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Category: Actualité

  • Madagascar, de la colonie à la République (Série de 6 articles. 1/1)

    Madagascar, de la colonie à la République (Série de 6 articles. 1/1)

    De l’époque des royaumes locaux à la colonisation française, jusqu’à la conquête de l’indépendance, le passé politique de Madagascar reste peu connu du grand public. Cet article que je vous propose met en lumière un aperçu de cette trajectoire singulière. Il sera suivi de 5 autres papiers pour ne rien éluder ou oublier à raconter sur cette île magique.

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    De la royauté merina à la conquête coloniale

    Le 30 septembre 1895, les couleurs françaises flottent sur la terrasse du Palais de la Reine à Antananarivo. Aboutissement provisoire d’une expédition de conquête qui avait débarqué à Mahajanga, à l’ouest, l’année précédente. La reine Ranavalona III, qui mourra en exil au Maroc, sera la dernière d’une longue lignée née au centre d’un pays longtemps divisé en royautés locales, selon les ethnies réparties sur tout le territoire de l’île – dite la Grande Ile ou l’Ile rouge en référence à la couleur de la latérite.

     

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    Le Palais de la Reine, symbole d’un pouvoir déchu

    Le palais de la Reine, qui existe toujours sur les hauteurs d’Antananarivo, était au départ un rova (place forte en malgache) parmi d’autres, installé là par le roi Andrianjaka au XVIIe siècle. Andriamponimerina, au siècle suivant, en fit la résidence principale de la dynastie merina à laquelle il appartenait. Il est devenu « Palais de la Reine » en raison de la succession presque ininterrompue de quatre femmes à la tête de l’Etat de 1828 à la colonisation : les trois Ranavalona et Rasoherina (un seul homme, Radama II, a régné pendant deux ans).

    C’est sous leur impulsion que le palais a pris la forme qu’on lui connaît aujourd’hui, d’abord en bois avec la contribution du Français Jean Laborde, puis en pierre sous la direction du Britannique James Cameron.

    Détruit par un incendie en 1995, le Palais de la Reine a été reconstruit en plusieurs étapes, et pour partie en béton. Ses portes sont à nouveau ouvertes au public. Dans son enceinte, on trouve aussi des tombeaux royaux, un temple et un colisée dont la présence est contestée par les défenseurs des traditions.

     

    De la colonisation à l’indépendance mouvementée

    Gallieni, gouverneur de la colonie française de 1896 à 1905, mène de front et avec la même fermeté la construction d’infrastructures et la répression de toute rébellion. À Madagascar, on se souvient davantage de sa brutalité que de son souci de civiliser le pays…

    Il y aura, sous le régime colonial, diverses tentatives de contester le pouvoir français, les plus marquantes en 1915 et en 1947, la seconde en particulier matée dans le sang. La visite récente d’Emmanuel Macron à Madagascar a débouché, entre autres choses, sur la décision de constituer un comité d’historiens pour faire la lumière sur ces derniers événements dont certains aspects ne font pas l’unanimité.

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    Pierre Maury

    Comme on sait, les mouvements indépendantistes sont une vague puissante qui débouche, le 26 juin (devenu jour de la Fête de l’Indépendance) 1960, sur la Première République présidée par Philibert Tsiranana, resté proche de la France, jusqu’à sa chute en 1972 après de violentes manifestations.

    Depuis, les périodes d’élections relativement démocratiques alternent avec des prises de pouvoir plus musclées suite à des émeutes. En 1991, Albert Zafy succède à Didier Ratsiraka après une Convention nationale qui a calmé le jeu. En 2002, Marc Ravalomanana prend le pouvoir après six mois de crise post-électorale. Et il est lui-même évincé en 2009 par l’actuel président, Andry Rajoelina, après pillages et massacres.

    Pas de tout repos, l’histoire politique de Madagascar… Suite au prochain épisode.

     

    Pierre Maury

    Pierre Maury, journaliste au SOIR, réside à Madagascar depuis 1997. Il est toujours membre de l’équipe journalistique en tant que chroniqueur littéraire. En plus de son travail journalistique, il a fondé en 2006 la maison d’édition «Bibliothèque malgache», dédiée à la réédition de textes libres de droits et à la publication d’œuvres contemporaines malgaches.

  • Une légende troublante rend cette grotte belge encore plus mystérieuse…

    Une légende troublante rend cette grotte belge encore plus mystérieuse…

    grottes de remouchamps
    grottes de remouchamps

    Partout en Europe, des récits évoquent une race de petits êtres, vivant dans les rochers et les grottes, qui aidaient les humains en secret. En Belgique, sur les bords de l’Amblève, cette croyance a pris racine dans un lieu bien précis : la grotte de Remouchamps.

    Là, dans les profondeurs souterraines, auraient vécu les sottais – aussi appelés nutons –, des nains bienveillants qui, la nuit tombée, venaient accomplir les travaux des paysans. Leur seule demande ? Un peu de nourriture déposée à l’entrée de leur repaire. Mais gare à celui qui tentait de les duper…

    🌄 La grotte de Remouchamps : antre des sottais

    Située en région liégeoise, la grotte de Remouchamps est aujourd’hui un site touristique spectaculaire, mais autrefois, elle était perçue comme un lieu mystérieux et habité. Avec ses galeries profondes et ses cavités secrètes, elle offrait un refuge idéal à ces créatures discrètes.

    grottes de remouchamps
    grottes de remouchamps

    Les habitants de la région racontaient que les sottais y avaient élu domicile, ne quittant leurs grottes que pour aider ou se venger. L’imagination populaire en fit des êtres fantastiques, mais certains pensent qu’il s’agissait en réalité d’une ancienne population contrainte de vivre cachée…

    🕵️‍♂️ Le dernier sottai aurait-il disparu ici ?

    Alors, la grotte de Remouchamps abritait-elle réellement ces mystérieux habitants ? Une chose est sûre : avec son ambiance hors du temps et ses galeries fascinantes, elle continue d’alimenter les légendes… et qui sait, peut-être qu’un sottai s’y cache encore ! 🧙‍♂️✨

  • Séjour historique à Waterloo : immersion unique avec nuitée confortable et musées

    Séjour historique à Waterloo : immersion unique avec nuitée confortable et musées

    Hôtel Van der Valk Waterloo
    Hôtel Van der Valk Waterloo

    Emplacement

    Notre établissement se situe à proximité de Bruxelles, à deux pas de la Butte du lion.

    Prolongez l’expérience au restaurant La Sucrerie, niché sous de majestueuses voûtes d’époque, ce lieu emblématique de la région de Waterloo allie cuisine raffinée dans un cadre unique chargé d’histoire.

    Hôtel Van der Valk Waterloo
    Hôtel Van der Valk Waterloo

    Hébergement

    Nos chambres, récemment rénovées, incarnent un équilibre parfait entre élégance moderne et charme authentique. Notre package comprend une nuitée ainsi qu’un petit-déjeuner buffet à volonté, pour démarrer la journée sur une note gourmande.

    Hôtel Van der Valk Waterloo
    Hôtel Van der Valk Waterloo

    Activités incluses

    Découvrez les sites historiques incontournables de la bataille de Waterloo : l’entrée au Mémorial 1815, le Parcours scénographique, le Panorama de la Bataille, la Butte du Lion, la Ferme de Hougoumont, le Dernier Quartier Général de Napoléon et la visite du Musée Wellington. L’entrée à tous ces musées est gratuite dans le cadre du package.

    découvrez notre package

  • Knokke-Heist déclare la guerre aux embouteillages !

    Knokke-Heist déclare la guerre aux embouteillages !

    knokke
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    Une station chic… et un peu bouchée

    Le 1er mai dernier, Knokke-Heist a été prise d’assaut par pas moins de 40.000 voitures. Résultat : des files de véhicules, des klaxons impatients et des visages moins bronzés que crispés. « Nous avons été pris de court », reconnaît la bourgmestre Cathy Coudyser, qui préfère anticiper la suite plutôt que de revivre cette symphonie urbaine désaccordée.

    Objectif : désengorger sans décourager

    Pour les jours de grande affluence, la commune sort l’artillerie douce : parkings en périphérie, centre-ville fermé au trafic entrant, police aux aguets et signalisation renforcée. Les visiteurs seront redirigés dès le rond-point d’entrée (Balkonrotonde) vers les parkings, notamment près de l’hôpital AZ Zeno ou de la gare, où des places temporaires pourraient apparaître.

    Et non, ce n’est pas une blague : Knokke va ressembler un peu à Tomorrowland, dixit la bourgmestre. Mais ici, “les artistes, ce sont le soleil, la plage et la mer. Ici aussi, i faut marcher un peu pour y accéder”.

    Entre 12h30 et 17h00, les accès au centre seront partiellement bouclés. Seuls les résidents, commerçants ou cas jugés légitimes auront droit au précieux sésame. Pour les autres ? Ce sera demi-tour ou… marche à pied. Un filtrage sera assuré par les forces de l’ordre à trois points d’accès.

  • Croisière de printemps aux Pays-Bas (2/4) : retour en l’an 1900, à Enkhuizen

    Croisière de printemps aux Pays-Bas (2/4) : retour en l’an 1900, à Enkhuizen

    viva cruise
    viva cruise

    Après une première nuitée à quai au cœur d’Amsterdam, les moteurs se réveillent aux aurores, à 5h30, faisant légèrement frissonner la carcasse du bateau. Nos yeux s’ouvrent le temps d’un instant, puis se referment et on se laisse à nouveau bercer par les flots. Notre bateau Viva Enjoy laisse derrière lui les touristes et lumières d’Amsterdam, pour prendre le large.

    Une mer d’eau douce

    À l’heure du petit-déjeuner, à une trentaine de kilomètre au nord-est d’Amsterdam, notre embarcation lutte contre d’épaisses vagues. Pas de quoi faire trembler les tasses, mais on se croirait en pleine mer. Et point de terre visible à l’horizon. Nous sommes en fait sur un ancien bras de la mer du Nord, transformé à partir de 1932 en deux lacs artificiels (Markermeer ou lac de Marken, et IJsselmeer ou lac de l’IJssel). Un épais barrage fut en effet érigé à l’époque pour repousser la mer et transformer l’ancien golfe en lacs d’eau douce, l’asséchant même par endroits pour y faire pousser de vertes prairies et des villes nouvelles.

    zuiderzeemuseum
    zuiderzeemuseum

    Un village en l’an 1900

    L’éloignement de la mer et l’arrivée d’eau douce a chassé harengs et anchois, chamboulant la vie des pêcheurs d’autrefois. À Enkhuizen, le musée Zuiderzee (« Mer du sud », surnom de l’ancien bras de mer) retrace la vie d’avant le barrage. Un village entier y a été reconstitué, avec plus de 140 bâtiments historiques. Ces maisons sont pour la plupart authentiques (acheminées en entier ou brique par brique de toute la Hollande !). Elles nous ouvrent leurs portes et sont décorées d’objets d’époque, rendant la visite très réaliste. Les filets de pêche pendent aux façades et des artisans en habits d’époque font revivre les métiers anciens : un cordier tresse le lin, un forgeron bat le fer tout chaud et il y a aussi un fumoir à poisson avec dégustation. Sans oublier l’église, l’école, le bureau de poste et différents commerces, tous échappés du passé.

    zuiderzeemuseum
    zuiderzeemuseum

    Des bateaux centenaires

    Le musée abrite la plus grande collection de bateaux des Pays-Bas, avec de nombreuses embarcations en bois. En 1900, jusqu’à 2.000 bateaux pouvaient se croiser chaque jour sur les eaux poissonneuses de la Zuiderzee. Mais il temps de rejoindre notre navire moderne, pour l’heure du dîner. Parmi les trois restaurants, nous avons choisi le plus fin : le « Bistro », accessible sur réservation mais sans supplément de prix. Entre la soupe de homard et la souris d’agneau (bien d’autres choix sont proposés), notre bateau trace son sillon vers la prochaine étape de notre croisière Viva Cruise « Sea of tulips » : Nimègue, plus vielle ville des Pays-Bas, que l’on vous présente dans le prochain épisode.

    zuiderzeemuseum
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  • Eurostar abandonne son train vers le Sud : quelle alternative ?

    Eurostar abandonne son train vers le Sud : quelle alternative ?

    avignon
    pixabay

    Cette annonce, on la lit avec beaucoup d’amertume. Certes, la liaison n’était pas vraiment donnée, mais il s’agissait d’une solution plus écologique que l’avion et plus rapide (et plus confortable !) que la voiture pour rejoindre le sud. Pour rappel, l’Eurostar Sun était un train direct qui, chaque samedi, reliait Amsterdam et Bruxelles aux villes du sud de la France comme Valence, Avignon, Aix-en-Provence et Marseille. Mais en 2025, ce service saisonnier ne sera plus proposé !

    Pourquoi cette suppression ?

    La compagnie justifie cette décision en expliquant qu’elle veut se concentrer sur ses grands axes et sur les liaisons entre centres-villes. “Eurostar continue à se concentrer sur ses gares les plus importantes et sur les liaisons entre les centres-villes tels que Bruxelles, Amsterdam, Paris, Cologne et Londres“, explique la porte-parole Cordula Descheemaeker. En clair : priorité aux lignes à forte demande, et tant pis pour les amateurs de lavande et de mer Méditerranée.

    Des alternatives ?

    Tout n’est pas perdu pour les voyageurs belges et néerlandais rêvant de Provence : ils pourront toujours compter sur les TGV Inoui français pour rejoindre le sud au départ de Bruxelles. Mais cela impliquera des changements et sans doute un peu plus de temps de trajet.

    Bonne nouvelle tout de même pour les amateurs de glisse : l’Eurostar Snow, qui dessert les stations des Alpes françaises en hiver, roulera comme prévu.

  • Parkings aéroports : Zaventem casse les prix pendant que l’Allemagne flambe !

    Parkings aéroports : Zaventem casse les prix pendant que l’Allemagne flambe !

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    Brussels Airport en mode promo

    D’après une étude du site spécialisé Vliegveldinfo.nl, garer sa voiture une semaine dans un parking officiel d’aéroport coûte désormais 88 euros en moyenne contre 82 euros l’an passé. Mais pendant que les prix montent ailleurs, Brussels Airport sort du lot avec un tarif moyen qui chute de 18,5 euros, passant de 96,5 € à 78 €.

    L’Allemagne en tête… des hausses

    La flambée des prix est surtout due aux aéroports allemands, dont certains semblent vouloir concurrencer les parkings parisiens. Düsseldorf, par exemple, affiche un bond de 39 euros pour atteindre 139 euros la semaine, devenant le plus cher des 16 aéroports analysés.

    Belgique : du plus cher au plus futé

    En Belgique, l’aéroport d’Anvers-Deurne garde son statut de parking le plus cher (132 €), loin devant Charleroi, champion du bon plan avec seulement 59 euros la semaine. Attention toutefois : si vous ajoutez la navette, c’est +8 € par personne – le low-cost a ses limites.

    Et pour un petit week-end ?

    Pour trois jours, le coût moyen du stationnement grimpe à 56 €. Bonne nouvelle, la Belgique s’en sort bien ici aussi : Ostende est imbattable avec 31,5 €, quand Schiphol (Amsterdam) affiche un insolent 98,5 €.

  • Les Néerlandais en mode camping : quand la réalité dépasse la légende

    Les Néerlandais en mode camping : quand la réalité dépasse la légende

    caravane
    blake-wisz

    D’après les chiffres des organisations Bovag et KCI, 627.093 caravanes et camping-cars sont actuellement immatriculés dans le pays. Soit 15.000 de plus qu’en 2024. Détail marquant : 423.888 caravanes (+1.700 sur un an), et surtout une poussée spectaculaire côté camping-cars avec 203.205 unités. Il faut dire que les Néerlandais entretiennent une relation presque culturelle avec le camping, ancrée depuis les années 60.

  • Embouteillages à la mer : le gouverneur veut relancer le « baromètre Covid » pour les plages surpeuplées !

    Embouteillages à la mer : le gouverneur veut relancer le « baromètre Covid » pour les plages surpeuplées !

    ostende
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    Carl Decaluwé, gouverneur de Flandre occidentale, ressuscite une idée née en pleine pandémie : utiliser un système de surveillance en temps réel pour gérer l’affluence sur la côte belge. L’objectif : éviter que les routes du littoral ne se deviennent systématiquement bloquées à chaque rayon de soleil.

    Jeudi noir sur le littoral

    Pourquoi cette idée refait-elle surface ? Tout simplement parce que jeudi dernier, c’était le chaos :

    • Ostende a dû fermer ses accès, faute de pouvoir accueillir plus d’automobilistes.
    • À Blankenberge et Knokke-Heist, les conducteurs faisaient des rondes désespérées à la recherche de places de stationnement… sans succès.

    Un retour au futur technologique

    Le fameux baromètre d’affluence, mis en place durant la crise sanitaire, fonctionne toujours. À l’époque, il permettait de mieux répartir les visiteurs le long de la côte. Et selon Decaluwé, il serait grand temps de le remettre à l’œuvre pour gérer non seulement la foule, mais aussi le trafic routier et ferroviaire.

    Un conducteur venant de Bruxelles devrait savoir dès Bruges si Ostende est saturée, lui permettant de choisir une destination moins fréquentée comme Coxyde.”
    — Carl Decaluwé, cité par la VRT

    Les vacances, oui, mais sans stress

    Le gouverneur souhaite impliquer activement le Centre flamand du trafic pour rediriger les automobilistes avant qu’il ne soit trop tard. L’idée ? Informer en amont, plutôt que de laisser les vacanciers découvrir qu’Ostende est fermée !

  • Escapade bucolique près de Namur : le secret bien gardé des Jardins de la Molignée

    Escapade bucolique près de Namur : le secret bien gardé des Jardins de la Molignée

    Jardins de la Molignée
    Jardins de la Molignée

    Et au cœur de ce décor de rêve se trouve Les Jardins de la Molignée, un hôtel 4 étoiles qui promet une pause tout en douceur, que ce soit pour un week-end en amoureux, une escapade en famille ou même une réunion d’entreprise dans un cadre inspirant.

    Un hôtel où il fait bon se poser

    Dès qu’on pousse la porte, l’ambiance est posée : calme, élégance et confort. Avec ses 52 chambres rénovées, l’hôtel offre un refuge douillet après une journée à explorer la région. Envie de lâcher prise après une randonnée ou une visite de l’abbaye de Maredsous ? Direction l’espace bien-être avec piscine chauffée, sauna et jacuzzi pour une vraie bulle de détente.

    Jardins de la Molignée
    Jardins de la Molignée

    Une brasserie à ne pas manquer

    Un bon séjour, c’est aussi une bonne table ! La Brasserie du Moulin, véritable institution locale récemment rénovée, mise sur des produits du terroir pour une cuisine généreuse et savoureuse.

    Jardins de la Molignée
    Jardins de la Molignée

    Au programme :
    🍽 Des plats inspirés des saveurs régionales, mêlant tradition et modernité.
    🥖 Des planches à partager, idéales après une balade.
    ☀️ Une grande terrasse ensoleillée, parfaite pour un apéro ou un déjeuner au grand air.

    Parfait pour des événements privés ou professionnels !

    Et la cerise sur le gâteau ? L’établissement propose également des salles adaptées à des événements privés ou professionnels, qu’il s’agisse de séminaires, de team buildings, de conférences ou encore de réunions de famille ! Bref, toutes les excuses sont bonnes pour y retourner !