Avec cette nouvelle hausse, le taux total grimpe à 14 %. Un chiffre qui pourrait faire tiquer certains voyageurs, mais que l’île assume pleinement. « Cette mesure est cruciale car elle nous aidera à faire face aux risques d’incendies exacerbés par la crise climatique », a déclaré Josh Green, rappelant les tragiques incendies de Maui en 2023, qui avaient coûté la vie à plus de 100 personnes.
La taxe, qualifiée de “redevance climatique”, devrait rapporter environ 100 millions de dollars par an. Une somme destinée à renforcer la prévention des catastrophes naturelles sur un territoire aussi idyllique que vulnérable.
Bruges attire chaque année des flots de visiteurs charmés par ses canaux, ses façades médiévales… et désormais, ses pavés “collectors”. Le journal Krant van West-Vlaanderen a révélé une tendance insolite : les pavés historiques disparaissent littéralement du sol bruggeois ! Selon Franky Demon, échevin en charge du Domaine public, “Certains lieux emblématiques comme le Minnewater, le Vismarkt, la Grand-Place et le Musée Gruuthuse sont dépouillés de 50 à 70 pavés chaque mois“.
Le phénomène, très marqué en haute saison, pose des soucis bien concrets. Outre la nostalgie du patrimoine envolé, ce sont les trous béants laissés dans les ruelles qui inquiètent. “Nos collaborateurs doivent sans cesse combler les cavités. Cela a un prix : environ 200 euros par mètre carré“, précise M. Demon.
Face à ces vols insolites, les autorités locales en appellent à la raison (et à la civilité) des visiteurs. “Nous ne demandons rien d’autre que du respect. Se balader à Bruges, c’est fouler des siècles d’histoire. Laissez ces pierres à leur place“, implore l’élu.
AT SEA, c’est le tout nouvel événement musical orchestré par nul autre qu’Ozark Henry, le dandy de la pop belge. Du 25 au 27 juillet 2025, Koksijde-Oostduinkerke accueille ce festival inédit, à deux pas de la mer et sous le regard bienveillant de l’église Notre-Dame des Dunes.
Une affiche haute en couleurs
Le vendredi, on commence tout en douceur avec une soirée familiale et feel good : le duo Suzan & Freek – l’équivalent néerlandais d’une étreinte musicale – partage la scène avec André Hazes Jr.
Le samedi, les amateurs de sons plus alternatifs sont à la fête : la talentueuse Heather Nova vous fera planer avant Ozark Henry presents Paramount, un concert orchestral célébrant les 10 ans de son projet culte avec l’Orchestre national de Belgique.
Et le dimanche, c’est le feu d’artifice final : Queenie, tribute band magistral, ressuscite Queen !
Des snacks, du son et du sens
En plus des concerts, un espace catering vous attend pour combler les petits creux, avec des DJs live pour l’ambiance. Et le tout est annoncé comme étant 100 % écoresponsable !
L’Everest, théâtre de rêves, d’exploits… et parfois de drames. La première victime de la saison 2025 est Philipp Santiago, un alpiniste philippin de 45 ans, mort d’épuisement au camp IV, perché à 7.950 mètres.
Alors qu’il se préparait à affronter les ultimes 900 mètres vers le toit du monde, le corps de Santiago n’a tout simplement pas tenu. “Il est mort à l’endroit (même) où il se reposait“, a précisé Bodha Raj Bhandari de l’agence Snowy Horizon Treks and Expedition, citée par l’AFP.
Une autoroute vers le sommet
Le 9 mai a marqué le coup d’envoi de la saison d’ascension. Et comme chaque printemps, l’Everest se transforme en file d’attente géante. Le Népal a déjà délivré 456 permis à des grimpeurs du monde entier – auxquels s’ajoutent autant de guides népalais. Résultat : près de 900 personnes tenteront de fouler le sommet dans une étroite fenêtre météo favorable. Rien que depuis la semaine dernière, plus de 50 alpinistes ont atteint le sommet, profitant de la première fenêtre de beau temps. Et ce n’est qu’un début.
Le prix à payer pour un rêve
Chaque année, la montagne rappelle qu’elle reste souveraine, malgré les cordes fixes, les tentes à oxygène et les expéditions commerciales. L’an dernier, 800 alpinistes sont arrivés au sommet, au prix de critiques de plus en plus vives sur la surpopulation et la marchandisation de l’Everest.
Dès l’arrivée, le charme opère. La lumière de fin d’après-midi se reflète sur l’eau, les arbres bruissent doucement, et la terrasse s’étire en bord de fleuve comme une invitation à ralentir. Les tables se remplissent, les verres tintent. Ce soir, c’est apéro-concert. Une voix s’élève, une guitare accompagne les mots. On sirote un cocktail maison et on se laisse porter. Tout est là, simple et juste : la beauté du cadre, la douceur de l’instant, la chaleur humaine.
Une île, du yoga et la Meuse à fleur de pagaie
Au matin, l’appel du large se fait sentir. Un kayak m’attend, amarré tout près. Je glisse sur la Meuse, paisible et puissante, en longeant les berges boisées, les falaises, les jolis ponts. Ici, le paysage semble figé dans un été éternel. Au retour, je découvre l’île qui fait face à l’hôtel. Sauvage et mystérieuse, elle se visite avec un guide qui en raconte l’histoire, la faune, les légendes.
Les Sorbiers
Pour celles et ceux qui préfèrent garder les pieds sur terre, Les Sorbiers proposent aussi des sessions de yoga dans le parc, en plein air, à l’ombre des grands arbres. Le corps s’étire, la respiration s’apaise, et l’esprit se pose. Ici, on prend soin de soi autant qu’on savoure l’instant.
Le goût des saisons, en face de l’île
Le soir, je découvre le restaurant En face de l’Île, dont la cuisine est signée Mika Lehaire. Le chef sublime les produits du terroir avec une créativité qui fait mouche. Chaque assiette est un tableau : les textures dialoguent, les arômes explosent, les saisons s’invitent dans l’assiette avec poésie. Ce soir-là, le chou pointu rôti, la truite fumée et la mousse d’herbes m’ont littéralement conquis. La carte est fabuleuse, gastronomique, tout en gardant cette simplicité sincère qui fait du bien. On dîne sur la terrasse, bercé par le clapotis de la rivière, les lampions qui s’allument doucement, les éclats de rire autour. C’est un peu magique, un peu hors du temps.
Les Sorbiers
Bon à savoir, si le restaurant est fermé sur le temps de midi, quelques snacks sont proposés au bar.
Un lieu pour vivre, pas seulement pour dormir
Les chambres des Sorbiers, sobres et confortables, offrent ce qu’il faut pour prolonger le plaisir : du calme, une belle lumière, et parfois même une vue sur la Meuse. Mais ici, plus encore que le lit douillet, c’est l’expérience globale qui séduit. On vient pour une nuit, et on prolonge souvent pour une deuxième, voire une troisième…
Les Sorbiers
Les Sorbiers, on y vient pour la beauté du cadre, pour les cocktails au bord de l’eau, pour la cuisine inventive du chef Mika Lehaire, pour un concert en plein air ou une balade en kayak… mais on y reste pour cette atmosphère unique, qui oscille entre légèreté d’un été à la campagne et raffinement discret. Les Sorbiers, c’est bien plus qu’un hôtel : c’est un lieu de vie, de partage et de plaisirs simples. Cet été, laissez-vous porter par la Meuse.
Les 28 et 29 juin 2025, le Domaine de la Bataille de Waterloo commémore les 210 ans de la célèbre bataille. Le samedi soir et le dimanche matin, deux reconstitutions grandioses seront représentées et racontées par Stéphane Bern, le célèbre animateur et passionné d’histoire.
Domaine de la Bataille de Waterloo
Plongez dans le quotidien de 1815
Visitez les bivouacs historiques : le camp français au Dernier Quartier Général de Napoléon et le camp allié à la Ferme d’Hougoumont. Découvrez le quotidien des soldats, assistez à des animations civiles et militaires, et explorez le village civil animé dans lequel vous pourrez rencontrer 50 artisans passionnés qui redonneront vie aux métiers d’autrefois.
CGT-Alex Kouprianoff
Profitez-en pour (re)découvrir les sites incontournables du champ de Bataille de Waterloo et visiter l’exposition Lego sur la légende napoléonienne !
Des navettes gratuites relieront les différents sites pour faciliter vos déplacements.
Le nom « Domaine des Grottes de Han » ne reflète plus entièrement la diversité de l’offre. Non, les grottes ne sont pas fermées au public, elles sont toujours accessibles. Le parc animalier, l’aire de jeux, le charmant petit train… tous ces incontournables continuent d’attirer du monde depuis des décennies à Han-sur-Lesse. Mais le Domaine veut désormais aller plus loin : devenir une destination ;où les visiteurs de tous âges passent une journée complète de plaisir et d’aventure, et où l’on peut revenir régulièrement tout au long de l’année sans jamais s’ennuyer. D’où les événements thématiques, les nuitées insolites, et maintenant, donc, la Tree Experience.
La tour en bois de 17 mètres de haut, point de départ de la « Tree Experience » Bryan Nicola Maxwell
5 parcours
Dès l’entrée de la Tree Experience, on l’aperçoit au loin : cette tour en bois de 17 mètres, point de départ des deux parcours d’accrobranche les plus exigeants. Lors de la conception du projet, le Domaine a veillé à ce que tous les profils de visiteurs puissent y trouver leur compte, pour rendre la sortie en famille encore plus attrayante.
Des parcours accessibles aux plus petits, avec autant de sensations Bryan Nicola Maxwell
Pas moins de 5 parcours sont proposés chacun portant un nom d’animal. Les deux premiers sont idéaux pour les enfants dès 4 ans. Le niveau intermédiaire, reste facile mais offre un peu plus de challenge avec sa hauteur de 2 mètres. Quant aux plus téméraires, ils se lanceront perchés à 10 mètres du sol, avec un départ et une arrivée via une tyrolienne de 140 mètres.
Libre comme l’air à 10 mètres du sol. Bryan Nicola Maxwell
Adrénaline
Pour une fois, je me suis mis avec les courageux et j’ai gravi, harnaché, la fameuse tour de 17 mètres. Pour ceux qui aiment les défis, une paroi d’escalade permet de monter, mais il y a aussi un escalier plus classique. Arrivé en haut, vous êtes directement confronté au câble de 140 mètres qui vous transporte vers le début des deux parcours les plus costauds. Le souffle court après l’ascension, avec une vue imprenable sur la canopée, on se sent déjà transporté. Se préparer à la tyrolienne (ou deathride, pour les amateurs de sensations fortes) a quelque chose de troublant… à moins que vous n’ayez l’habitude de vous jeter dans le vide !
La sécurité avant tout ! Bryan Nicola Maxwell
Heureusement, un briefing sécurité précède le départ : toutes les procédures y sont expliquées en détail. Le système de sécurité est infaillible : une double ligne de vie ne permet de se détacher que si l’autre point est solidement fixé. Système de glisse enclenché, petit signe de l’instructeur… et on saute ! De l’adrénaline pure. L’excitation initiale laisse rapidement place à un sentiment de liberté, planant comme un oiseau au-dessus du Domaine !
Effort
Quelques secondes plus tard, vous atterrissez avec un petit choc sur une plateforme en bois, qui marque le début des deux parcours les plus intenses de la Tree Experience. En accrochant votre longe à gauche, vous choisissez le parcours de niveau 4, ce qui me semblait largement suffisant pour une première fois.
Acrobaties entre les arbres et à plusieurs mètres du sol. Bryan Nicola Maxwell
Tel un trapéziste dansant sur un câble tendu entre deux arbres, en équilibre sur des planches et poutres en bois, accroché à un filet ou filant sur des tyroliennes, je me fraie un chemin à travers les arbres, haut perché au-dessus du sol. Chaque portion entre deux arbres constitue un nouveau défi, demandant à la fois courage et effort, mais toujours dans un cadre sécurisé et, somme toute, très accessible, tout en procurant une réelle satisfaction personnelle. Un instructeur – ils sont toujours trois sur place, avec renforts en période de forte affluence – vous observe depuis le sol pendant que vous jouez les acrobates d’un jour, en surmontant vos peurs et en faisant le plein d’adrénaline. Il vous glisse aussi, de temps à autre, quelques bons conseils.
Bryan Nicola Maxwell
Sortie parfaite en famille ou pour un teambuilding
Les deux parcours se terminent par une tyrolienne qui vous ramène à toute allure à la tour de départ en bois. Une fois de retour, vous avez le choix : redescendre tranquillement par l’escalier… ou opter pour une chute libre. C’est vous qui décidez du niveau d’aventure que vous voulez vivre ! Grâce à la variété des parcours, aux degrés de difficulté adaptés, à l’encadrement sécurisé et au cadre naturel exceptionnel, la Tree Experience est une sortie idéale pour les familles, les groupes d’amis ou encore pour un teambuilding original.
Terminer votre aventure par une chute libre de 17 mètres ? C’est possible. Bryan Nicola Maxwell
Autre avantage : le billet d’accès donne droit à un accès illimité à cette activité, que vous pouvez combiner avec les autres attractions du Domaine. Et pour clore l’expérience en beauté, pourquoi ne pas savourer une bière bien fraîche ? Vous pouvez, par exemple, opter pour une Lupulus, brassée en Wallonie, qui propose une édition dédiée à la Tree Experience.
Adrénaline garantie ! Bryan Nicola Maxwell
Testez par vous-même !
Envie de partir à l’aventure dans les cimes des arbres ? C’est possible tous les jours : la Tree Experience du Domaine des Grottes de Han est ouverte en permanence. Le billet vous donne accès aux 5 parcours. Vous pouvez acheter un ticket uniquement pour la Tree Experience (25 € par personne, peu importe l’âge), ou combiner avec la grotte, le parc animalier, ou encore choisir le PassHan+, qui donne accès à l’ensemble du parc (50 € pour les adultes, 40 € pour les enfants de moins de 12 ans).
Vous êtes accro à l’adrénaline ou comptez revenir plusieurs fois dans l’année ? Pensez à l’abonnement annuel, qui vous donne accès à tout le Domaine pendant 12 mois, y compris la Tree Experience : 67 € pour les adultes, 52 € pour les enfants.
Parcourez les paysages bucoliques de Spa, Jalhay, Theux ou Stavelot à vélo ou à pied grâce au RAVeL, un réseau de voies lentes sécurisé, parfait pour les familles et les amateurs de grand air.
MHTFA
À Stavelot, une surprise vous attend : une exposition à ciel ouvert vous invite à découvrir des œuvres d’art contemporain tout au long du parcours. Sculptures, installations et créations locales ponctuent la balade et rendent l’expérience encore plus unique.
MHTFA
Mariez culture et nature dans une activité douce, gratuite et accessible toute l’année !
« Il y a des cadavres d’animaux qui jonchent les plages », déplore Brad Martin, responsable pour Ozfish, une organisation de protection des poissons. « Nos bénévoles disent souvent : Nous avons marché un kilomètre le long de la plage et vu 100 animaux morts », confie-t-il à l’AFP. Des lieux prisés comme l’île Kangourou, les péninsules de Fleurieu et de Yorke sont particulièrement touchés.
Un phénomène inédit dans la région
Identifiée pour la première fois dans les années 1930, Karenia mikimotoi sévit déjà au Japon, en Norvège, en Chine ou encore aux États-Unis, impactant tourisme et pêche à hauteur de millions de dollars. Mais c’est une première d’une telle ampleur en Australie-Méridionale.
Selon le gouvernement local, cette prolifération serait en partie due à une vague de chaleur marine, un des effets visibles du changement climatique. La biologiste Shauna Murray, qui a identifié l’algue, précise : « Elle endommage les branchies des poissons, les empêchant de respirer. »
Un signal d’alarme écologique
Si cette floraison toxique ne semble pas dangereuse pour l’humain, elle illustre néanmoins la fragilité de nos écosystèmes. Selon le gouvernement de l’Etat d’Australie-Méridoniale, cette prolifération pourrait être en partie due au réchauffement de la mer !
La pomme de discorde ? Le bagage à main de 10 kg. Facturé en supplément alors que, selon un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne, il devrait être inclus dans le prix du billet. Résultat : impossible pour le voyageur de connaître le coût réel de son vol dès le départ. Tout se joue à la dernière étape de la réservation.
Transparence low-cost
Testachats tape également du poing sur le comptoir concernant d’autres frais additionnels, comme l’embarquement prioritaire ou les valises en soute. Là encore, les prix n’apparaîtraient que tardivement, rendant toute comparaison entre compagnies pratiquement impossible.
“Nous voulons que les prix soient clairement affichés, séparément pour chaque service, dès le début du processus de réservation”, insiste Julie Frère, porte-parole de Testachats. Bref, une réservation plus lisible, moins piège à clics.
Le billet n’est peut-être pas cher, mais…
Cette action fait suite à trois plaintes déjà déposées auprès de l’Inspection économique. Ryanair, déjà habituée des turbulences judiciaires, devra sans doute ajuster son plan de vol légal…