« La République dominicaine est notre partenaire prometteur dans la région de l’Amérique Latine et des Caraïbes », a déclaré Lavrov. Objectif affiché : intensifier les flux touristiques et renforcer les liens bilatéraux, notamment par l’ouverture prochaine d’une ambassade russe à Saint-Domingue.
Entre l’élargissement des corridors touristiques et les débats sur la stabilité régionale, la Russie semble vouloir s’inviter durablement dans les Caraïbes. De là à imaginer des touristes russes sur la plage de Punta Cana sans visa ? Le Kremlin y croit dur comme fer.
“Je pensais que la faiblesse du dollar […] aurait freiné la demande“, confie Benjamin Smith, DG du groupe. “Il est encourageant de voir que ceux qui voulaient voyager vers l’Europe prévoient toujours de le faire.”
Et il y a de quoi sourire : les billets vendus vers l’Europe depuis les États-Unis sont en hausse de +2,1%, pendant que les réservations dans l’autre sens (Europe → USA) reculent légèrement de -2,4%.
Des cabines à moitié pleines, mais premium
Sur l’Atlantique-Nord, les avions d’Air France-KLM sont remplis à 74% pour ce deuxième trimestre, soit un petit fléchissement par rapport aux 76% de l’an dernier. La demande en classe économique s’effrite, mais le segment premium reste très convoité. Si certains passagers européens semblent hésiter – “2 ou 3%“, selon M. Smith –, le groupe ne panique pas : des baisses de prix ciblées sont envisagées pour remplir les derniers sièges.
Avec une hausse de chiffre d’affaires de 8% sur un an (7,2 milliards d’euros), et une facture carburant revue à la baisse (6,7 milliards pour 2025 contre 7,3 en 2024), le ciel semble plus dégagé pour le groupe franco-néerlandais, malgré la hausse prévue des coûts liés aux carburants renouvelables.
L’office du tourisme de Copenhague relance cet été son programme CopenPay, une initiative qui troque les bonnes actions contre des expériences gratuites ou à prix réduit. Le deal ? Arriver en train, rester au moins quatre jours… et faire preuve d’un comportement écoresponsable. En échange : vélos à gogo, cours de yoga zen, repas végé ou entrées de musées à tarif friendly.
90 lieux engagés et enthousiastes
Dès le 17 juin, 90 lieux partenaires – du musée national à Copenhill, la piste de ski urbaine – joueront le jeu. Les touristes recevront l’info par des affiches, réseaux sociaux et autres réclames locales. Le but ? Récompenser les comportements verts tout en sensibilisant en douceur.
GoBoat, moteur d’enthousiasme
Certaines entreprises locales, comme GoBoat, se jettent à l’eau – littéralement. “L’an dernier, 500 personnes se sont précipitées sur notre offre qui consistait en une heure de bateau gratuite en échange de ramassage de déchets dans les eaux du port, on n’a même pas pu satisfaire la demande”, raconte Mads Pilegaard Sander à l’AFP.
Un test qui a porté ses fruits
Testé en 2024, CopenPay a déjà prouvé son efficacité : 75 000 touristes y ont participé, les locations de vélo ont bondi de 29 %, et la quasi-totalité des participants (98 %) ont applaudi l’initiative. De quoi donner des idées à d’autres capitales européennes…
1. 40 millions d’habitants : la plus grande mégalopole du monde
Avec plus de 40 millions d’âmes, le Grand Tokyo n’est pas seulement une ville, c’est une galaxie urbaine. Et pourtant, pas un papier par terre. Mystère ?
2. Un train toutes les 2 minutes… à l’heure près
Le réseau ferroviaire de Tokyo est une symphonie millimétrée : en heure de pointe, un train toutes les 2 minutes, avec une ponctualité suisse. Et en cas de retard de 60 secondes, les conducteurs présentent leurs excuses par haut-parleur. Oui, c’est du vécu.
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3. 5 millions de distributeurs automatiques
On peut y acheter de tout, des boissons aux nouilles, en passant par des parapluies ou… des cravates. Un distributeur pour 25 personnes, record mondial. Pratique ou légèrement dystopique ?
4. Le Shibuya Crossing : 3 000 piétons à chaque feu
Le carrefour le plus emblématique du monde, où jusqu’à 3 000 personnes traversent à chaque feu vert. Une chorégraphie urbaine, millimétrée, sans klaxon ni bousculade. À essayer sans paniquer.
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5. Le coût moyen d’un mètre carré : 10.000 €
Habiter Tokyo, c’est accepter de payer cher pour un placard bien situé. Dans certains quartiers comme Ginza, le mètre carré peut atteindre 40.000 €. Autant dire qu’avoir un jardin est un luxe olympique.
Difficile de ne pas tomber sous le charme de Berck-sur-Mer. Nichée entre la Baie de Somme et Le Touquet, cette destination iconique du littoral français séduit d’emblée par ses grands espaces, sa lumière unique et sa convivialité assumée. Ici, les plages s’étendent sur 12 km, les activités nautiques se pratiquent toute l’année, et les phoques se laissent observer à marée basse depuis les sentiers de la baie d’Authie.
Si la ville est aujourd’hui mondialement connue pour ses institutions de santé d’excellence, c’est aussi une destination de choix pour une parenthèse bien-être, nature et famille. Entre balades à vélo, sorties en char à voile, marchés du terroir et festivals, chaque saison a ses plaisirs. La station est d’ailleurs labellisée Famille Plus, gage d’un accueil et de services pensés pour les petits comme les grands.
Rothschild, un quartier entre histoire et art de vivre
À seulement 300 m de la plage, le quartier Rothschild incarne à lui seul l’âme de Berck-Plage. On y retrouve l’ambiance élégante des villas de bord de mer du XIXe siècle, les façades pastel, les ruelles tranquilles… et toute l’animation d’un centre vivant. Restaurants, boutiques, casino, cinéma, clubs nautiques ou marchés hebdomadaires, tout se fait à pied ou à vélo, dans un esprit joyeusement balnéaire.
C’est dans ce cadre privilégié que s’inscrit le projet “Reflets d’Écume” signé VINCI Immobilier. Une adresse exclusive, qui mêle charme patrimonial et lignes contemporaines, à deux pas de la digue rénovée et de l’Esplanade Parmentier.
VINCI Immobilier
Reflets d’Écume : investir dans l’exception
La résidence Reflets d’Écume se compose de deux bâtiments élégamment intégrés dans leur environnement. Le premier, la Villa Sylvia, réhabilite avec soin une demeure centenaire emblématique du quartier. Façade restaurée, lucarnes en bâtière, balcons en bois ouvragé : le cachet architectural d’origine est conservé avec raffinement. Le second bâtiment, tout en lignes graphiques et volumes lumineux, évoque l’esprit des villas berckoises d’après-guerre.
Du 2 au 4 pièces, les appartements sont pensés pour offrir confort, luminosité et fonctionnalité. Loggias, balcons, terrasses en attique, matériaux de qualité, isolation renforcée, parking sécurisé, local à vélos, prestations certifiées NF Habitat… tout a été conçu pour un usage clé en main, que l’on souhaite y vivre à l’année, y passer ses week-ends ou réaliser un investissement locatif.
Un pied-à-terre accessible… et désirable
Depuis la Belgique, Berck-sur-Mer est à seulement 3h10 de Bruxelles en voiture, 2h50 de Paris, et bien connectée via la gare TER de Rang-du-Fliers. Une escapade facile à organiser, qui permet de profiter en toute saison d’un environnement naturel préservé, d’une ville à taille humaine, et d’un littoral propice à la déconnexion.
Pour les familles, les jeunes retraités ou les amoureux d’air marin en quête d’une résidence secondaire bien située, “Reflets d’Écume” coche toutes les cases : emplacement, charme, confort et potentiel. Un investissement pérenne dans une ville qui a décidément le vent en poupe !
Les Européens représentent plus de la moitié des visiteurs (53,5%). En tête : les résidents de la zone euro avec une hausse de 12,2% (14,5 millions). Mention spéciale à l’Italie dont les recettes grimpent de 13,6%. L’Allemagne suit (+3,7%). En revanche, la France boude un peu le sirtaki, avec une baisse de 11,6% des revenus générés.
Athènes accueille, les îles encaissent
Si l’Attique (comprenez Athènes et sa banlieue) concentre l’arrivée des visiteurs, ce sont les îles du sud de la mer Égée (Cyclades, Dodécannèse) qui tirent leur épingle du jeu côté recettes et nuitées.
Les croisières, moteur de luxe
Autre carton plein : les croisières, avec une envolée des recettes de 22,4%. Le Pirée rafle la mise (48,5% des revenus), suivi par Corfou et Héraklion.
À Spa, vivez l’aventure au cœur de la nature avec Spa Forest : accrobranches pour tous les niveaux, escape games originaux en plein air et une cafétéria conviviale. Idéal pour partager des moments uniques entre amis ou en famille !
Découvrez Spa autrement grâce à Totemus ! Une chasse aux trésors gratuite pour explorer la ville et ses forêts tout en résolvant des énigmes passionnantes. Une activité ludique, familiale et inoubliable pour tous.
Quand on parle de randonnée, on pense souvent à de longues montées, des mollets qui tirent et des sandwiches écrasés au fond du sac. Mais ici, la marche devient un plaisir raffiné. Grâce aux 1.300 km de sentiers balisés, on choisit sa promenade comme on choisirait un vin : douce ou corsée, courte ou étirée sur plusieurs jours, avec ou sans vue spectaculaire sur la vallée de l’Our. Le tout orchestré par l’application Nodemapp, une merveille technologique qui vous permet de planifier, enregistrer et suivre vos circuits, même sans réseau. L’idéal pour se perdre dans la nature… sans vraiment se perdre ! Et si vous êtes plutôt du genre à enfourcher une selle, ce n’est que du bonheur : outre les circuits VTT balisés, ne manquez surtout pas la Stoneman Arduenna, une piste VTT 5 étoiles ! Mon chéri est diablement tenté, mais vous m’excuserez, je n’ai déjà pas beaucoup d’équilibre sur deux jambes, alors sur deux roues, vous imaginez le tableau… Bon à savoir, l’hôtel Pip Margraff propose également à la location des vélos électriques, ainsi qu’un garage à vélo !
WBT – Pierre Pauquay
J’ai personnellement craqué pour une boucle dans la réserve naturelle des Hautes Fagnes. Imaginez : des tourbières à perte de vue, des caillebotis de bois qui serpentent entre les bruyères, un silence presque solennel troublé seulement par le cri lointain d’un rapace… Un tableau à la fois sauvage et poétique.
Un cocon nommé Pip Margraff
Après l’effort, le réconfort. Et quel réconfort ! Le Relax Hotel Pip Margraff, véritable institution familiale depuis plus de 140 ans, m’a accueillie dans une atmosphère à mi-chemin entre le charme d’antan et le confort moderne. Dès que j’ai franchi la porte, j’ai su que j’étais entre de bonnes mains : accueil souriant, chambre douillette, et surtout un spa comme on en rêve les jours de pluie (ou les lendemains de randos ambitieuses).
Sarah Linden Fotografie
Mention spéciale pour la piscine à rocaille et le sauna bio, véritables antidotes au stress urbain. Et que dire des chaises longues infrarouges ? J’y ai trouvé un niveau de détente que même mes cours de yoga du jeudi soir n’ont jamais réussi à atteindre !
Gastronomie locale au sommet
Côté papilles, l’hôtel ne fait pas non plus les choses à moitié. Le restaurant du Pip Margraff, c’est un peu comme une balade gustative dans les prés alentours. Produits frais et locaux, recettes soignées, dressage élégant… Tout est pensé pour séduire autant les amateurs de terroir que les palais les plus exigeants. Mon coup de cœur : une entrecôte de veau, sauce au morilles, servie avec des échalotes caramélisées, des asperges et des fettuccine. Divin.
pip margraff
Un séjour tout compris, sans prise de tête
Pour prolonger l’expérience, j’ai opté pour la formule Midweek : trois nuits, petits déjeuners, menus quatre services et accès illimité au spa. Une aubaine à partir de 300 € par personne, qui permet de goûter à tous les plaisirs de la région sans devoir organiser quoi que ce soit. Juste savourer, flâner, dormir, recommencer.
Un dernier mot avant de repartir…
Les Cantons de l’Est, et Saint-Vith en particulier, ne sont pas seulement un havre de paix pour les randonneurs. Ce sont aussi des terres où l’on prend le temps. Le temps de regarder un panorama sans sortir son téléphone. Le temps de discuter avec un aubergiste passionné. Le temps de redécouvrir que le vrai luxe, finalement, c’est peut-être ça : le calme, l’air pur et la sensation d’être exactement là où l’on doit être.
Alors si vous cherchez une escapade loin du bruit et du stress, entre tourbières mystérieuses, vallées bucoliques et spa douillet, Saint-Vith et son hôtel Pip Margraff vous attendent.
En plein coeur des Lacs de l’Eau d’Heure, Natura Parc vous propose un parcours accrobranche pour tous les âges, une tyrolienne au-dessus du lac, et un Explor Game immersif en pleine nature.
Natura Parc
Des sensations à vélo pour petits et grands
Avec Natura Bike, profitez d’une piste de descente sécurisée, d’un airbag géant pour s’élancer en toute sécurité, et d’un circuit de draisiennes électriques pour les plus jeunes.
Lex-Deckers
Une journée riche en émotions
Entre nature, sport et fun, vivez une journée inoubliable en famille ou entre amis. Réservez maintenant sur le site du Natura Parc !
L’Espagne n’en finit plus d’attirer les foules. Selon l’Institut national des statistiques (INE), le pays a accueilli 17,1 millions de touristes internationaux au premier trimestre 2025, soit 5,7 % de plus qu’en début d’année précédente. Une performance qui confirme sa deuxième place mondiale derrière la France. Et les dépenses flambent : 23,5 milliards d’euros, soit une hausse de 7,2 %, rien qu’entre janvier et mars. Un joli pactole que le ministère du Tourisme brandit fièrement pour illustrer sa politique de « montée en gamme ».
Côté origines, ce sont les Britanniques qui arrivent en tête avec 3,1 millions de visiteurs, suivis des Français et des Allemands (2,1 millions chacun). Les premiers se montrent aussi les plus généreux, représentant 15,9 % des dépenses totales, contre 12,3 % pour les Allemands et 8,8 % pour les Nordiques. En mars, chaque touriste a déboursé en moyenne 188 € par jour.
Les revers du succès
Mais derrière cette carte postale ensoleillée, l’envers du décor commence à grincer. Congestion, loyers en hausse, locaux à cran : le surtourisme provoque un ras-le-bol croissant. Le ministre Jordi Hereu tente de calmer les esprits en insistant sur la nécessité de « désaisonnaliser » et de « diversifier » les flux touristiques.