Cette nouvelle va peut-être autant réjouir que décevoir. Notez que si les compagnies aériennes décident d’opter pour des sièges fixes, ce n’est pas pour éviter les disputes dans les avions : c’est surtout pour faire des économies ! En effet, le mécanisme d’inclinaison est lourd et demande une maintenance qui finit par être onéreuse.
En outre, optez pour des sièges fixes permet de gagner 2,5 cm par rangé, rapporte Metrotime, ce qui permet au final d’ajouter une rangée supplémentaire dans l’avion ! L’inclinaison du siège sera en principe, réservée aux classes supérieures.
Les zones vertes, orange et rouges, semblent appartenir à un lointain passé, de même que les restrictions dues à la pandémie de coronavirus et le Passenger Locator Form (PLF) que nous étions obligés de remplir à notre retour de l’étranger. Ce PLF a été supprimé pendant un certain temps, mais dans certains cas, il peut être rétabli.
Pour les zones à très haut risque
La seule exception à la suppression du PLF concerne les personnes revenant de pays à « très haut risque ». Une situation particulièrement exceptionnelle, puisque même la Chine n’est pas considérée comme telle, malgré l’épidémie massive survenue début 2022 !
Les personnes qui ont séjourné dans un pays à « très haut risque » dans les 14 jours précédant leur voyage en Belgique (comprenez que cela concerne aussi les personnes qui se rendent en Belgique depuis un pays tiers « sûr »), sont interdites d’entrée dans notre pays, rapporte le Service Public Fédéral Santé publique. Il existe des exceptions à cette interdiction, par exemple pour les Belges et les résidents de notre pays, mais aussi pour une série d’autres personnes énumérées sur ce site. Le PLF reste toutefois d’application.
Voici ce que vous devez faire
Si, d’après cette liste et à condition que votre test soit négatif, vous pouvez rentrer en Belgique malgré votre séjour dans une zone à « très haut risque », sachez que vous devez remplir un PLF avant votre arrivée. En outre, vous devez passer 10 jours en quarantaine et être testé le 1er et le 7e jour après votre retour.
Là encore, il s’agit d’une situation très exceptionnelle qui n’est prise qu’en cas de risques très élevés d’infection dans certains pays. Si vous pensez être concerné et avoir le droit de retourner en Belgique malgré la situation, consultez le site https://www.info-coronavirus.be/fr/.
Un hôtel digital, quèsaco ? Il s’agit d’un hôtel on ne peut plus conventionnel, sauf que les réceptionnistes sont remplacés par une application et un chatbot disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Mais ce n’est pas tout puisque le groupe Numa a également numérisé 80 % de tous les processus internes tels que la réservation et la comptabilité. Le nettoyage, lui, est sous-traité et contrôlé grâce aux avis et commentaires laissés par les clients. Les chambres peuvent être nettoyées immédiatement après un départ, ce qui permet de proposer au client suivant un enregistrement anticipé.
Réduction de personnel…
Numa estime que ces procédures numériques lui permettent d’économiser environ 60 % des coûts opérationnels par rapport aux hôtels traditionnels. Pour gérer 100 chambres, seuls 3,5 employés sont nécessaires, précise-t-elle !
L’hôtel bruxellois compte 90 chambres et quelque 2.500 m². Il s’agit du dernier né de la start-up allemande. Celle-ci connaît un bel essor avec une présence d’ores et déjà assurée dans les villes de Milan, Florence, Madrid, Prague et sept villes en Allemagne dont Berlin, soit 3.000 chambres au total. Numa envisage de nouvelles ouvertures à moyen terme, notamment au Luxembourg, aux Pays-Bas ainsi qu’à Anvers et Gand.
Une nuitée pour deux adultes dans le nouvel établissement bruxellois est facturée environ 110 €. Quatre catégories de chambres sont proposées au sein de celui-ci.
Ce lieu hors du temps propose 6 cabanes pouvant accueillir de 2 à 8 personnes au cœur de la forêt ainsi qu’une cabane collective idéale pour les stages, les formations ou encore les teambuilding. Nichées dans un domaine de 3 ha au cœur de la forêt, ces cabanes ont toutes une thématique particulière qui vous plongera à chaque fois dans un univers différent. Elles sont aussi parfaitement isolées, afin de pouvoir affronter la chaleur comme le froid, et équipées d’une petite kitchenette, d’une salle de bain comprenant WC et douche, et d’une literie confortable.
Le “Gîte Martin” à Dinant pour une ambiance “montagne”
Il ne faut pas forcément se rendre dans les Alpes pour passer un moment dans un cadre rustique, digne des plus belles stations de sports d’hiver. En effet, à Dinant, le Gîte Martin offre un cadre unique qui semble tout droit sorti d’un village suisse. Situé en surplomb de la Meuse, ce gîte offre une vue majestueuse sur la forêt et les rochers aux alentours. La grande terrasse de 36 m2 est pour sa part une véritable invitation à la détente. De quoi y déguster un délicieux repas ou plus simplement y profiter du lever ou du coucher du soleil au beau milieu de la campagne dinantaise, sans le moindre vis-à-vis !
“L’Hostellerie Lafarques” pour les amoureux de manoirs à l’anglaise
Bien connu des gastronomes, l’Hostellerie Lafarques, située à mi-chemin entre Spa et Chaudfontaine, fut d’abord un manoir construit en 1927 pour une famille nantie de Verviers. Durant les années 1960, le domaine et son parc arboré de 13 ha furent transformés en pensionnat pour jeunes filles. Après son rachat par Michel et Agnès Lafarque en 1989, l’endroit devint rapidement un temple de la gastronomie belge reconnu notamment par le Guide Michelin. C’est aussi un hôtel 4 étoiles comptant 5 magnifiques chambres très cosy ainsi que 3 luxueuses suites ! Les fines fourchettes en quête de repos apprécieront !
Un gîte à la ferme dans la “Roulotte les Mésanges” à Rebecq
Voilà un endroit que les amoureux… de nature apprécieront ! En effet, la Roulotte les Mésanges est située dans un verger qui côtoie un joli petit étang, très bucolique. Selon la saison, ce cadre unique en son genre, situé au cœur du Brabant wallon, vous fera profiter du coassement des grenouilles tandis que vous pourrez observer de nombreux oiseaux, et, si l’envie vous en dit, de pêcher ! De quoi savourer les plaisirs simples de la vie tout en renouant avec Dame Nature.
Une nuit au “Moulin du Ya” à Houdeng-Aimeries près de La Louvière
Le Moulin du Ya est un gîte hors du commun aménagé dans un ancien moulin à vent, à Houdeng-Aimeries dans la province de Hainaut. Après une minutieuse restauration qui a duré près de 3 ans, supervisée par des artisans locaux, ce lieu hors du temps, qui dispose de 3 niveaux, compte un vaste loft équipé et décoré avec soin dans un style industriel. Le rez-de-chaussée compte une cuisine équipée, un WC séparé, un coin salle à manger et un salon équipé d’un feu ouvert. Au premier, on trouve une première chambre et une salle de bain tandis que le deuxième héberge une vaste suite parentale.
Sur l’île de la Cité, près de la Cathédrale Notre Dame, le restaurant « Au vieux Paris d’Arcole » est un lieu magnifique pour partager un repas. La façade de la terrasse est recouverte de feuillages et de fleurs, créant une atmosphère féérique. Comme son nom l’indique, le bâtiment est ancien puisqu’il a été construit à la même période que Notre Dame, en 1512. C’est seulement au XVIIème siècle que l’édifice est racheté pour être transformé en bar à vins, et depuis, c’est une échappatoire pour les parisiens en quête de tranquillité.
Le petit restaurant « La Maison Rose » dans le quartier de Montmartre ravis tous ses visiteurs. La Maison Rose voit le jour au début des années 1900 et devient célèbre grâce au tableau de Maurice Utrillo, « La Petite Maison Rose ». Si vous comparez ce tableau à aujourd’hui, vous remarquerez que rien n’a changé, le restaurant a conservé tout son charme d’antan, pour le plus grand plaisir des curieux.
Le tout petit café « Boot Café » dans le Marais s’est récemment installé dans une ancienne cordonnerie, qui lui donne une atmosphère toute particulière. Ici, ne vous attendez pas à passer l’après midi autour d’une table à discuter, il n’y en a que deux sur la terrasse et l’intérieur accueille uniquement le comptoir. Cet établissement mise sur les cafés à emporter, un pari qui a séduit le quartier. Les cafés servis sont délicieux et vous pourrez l’accompagner d’une gourmandise originale.
La Maison Sauvage de Saint Germain des Prés à Paris est un restaurant incomparable qui a forgé sa réputation au fil des années grâce à son esthétique, à la qualité de sa cuisine et de son service. Le restaurant s’étire sur deux étages et sur une jolie terrasse qui vous fera profiter de la splendide façade. Entièrement recouverte de végétation, les fleurs et les feuillages se succèdent au rythme des saisons, accueillant toujours de nouvelles couleurs.
Certainement l’un des cafés le plus connu de Paris, le Café de Flore accueille ses clients depuis les environs de 1887. C’est un établissement qui a vu s’asseoir de nombreuses personnalités, Apollinaire, Jacques Prévert, Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Boris Vian, Alain Delon et bien d’autres se sont partagés les tables de ce café, laissant leur emprunte et parfois leur photo entre les murs de l’édifice.
Grande spécialiste des choux à la crème, la Maison Odette les cuisine sous toutes les formes, pour tous les goûts. Vous pourrez les déguster sur la petite terrasse qui borde le comptoir, dans les étages de la bâtisse, vue privilégiée sur Notre-Dame ou les emporter avec vous pour les apprécier partout dans Paris !
Sur le bord de la Seine, dans le quartier du Marais, le café Louis Philippe est une petite bulle de romantisme au cœur de la capitale. C’est un café vraiment typique de Paris, exactement ce à quoi on peut s’attendre quand on pense à un café parisien, c’est pourquoi il a été utilisé dans la série américaine Gossip Girl, présenté comme le site préféré des stars de la série.
Pas construction, nous entendons des bâtiments dont au moins une partie est fermée, quasiment complets et qui s’élèvent à un minimum de 1,5 m de sol. Ce qui veut dire qu’il existe sur terre des bâtiments plus anciens, mais que leur état ne permet pas de prétendre à une place sur cette liste.
1. Le cairn de Barnenez, France – 4800 Av. J.C.
Nous sommes en Bretagne et plus précisément dans le Finistère. C’est ici que, en l’an 4.800 avant Jésus Christ, cette tombe à couloir fût édifiée. Et quel édifice : 72 m de long, 25 m de large et 8 m de haut !
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2. Le tumulus de Bougon, France. – 4.700 Av. J.C.
Toute petite bourgade de Nouvelle Aquitaine comptant moins de 200 habitants, Bougon a toutefois une histoire peu commune. On y retrouve des traces de vie remontant à la préhistoire et notamment au néolithique. On y voit une nécropole formée de tumulus remontant à 4.700 avant Jésus Christ.
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3. Le tumulus de Saint-Michel, France – 4.500 Av. J.C.
Une fois de plus, il est difficile de savoir avec précision de quand date ces constructions. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que ce tumulus impressionne par ses dimensions : 125 m de long, 60 m de large et 10 m de haut. Situé à Carnac, dans le Morbihan, en Bretagne, ce domaine jouxte également le fameux alignement des 2.934 menhirs.
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4. Le mont d’Accoddi, Italie – 3.800 Av. J.C.
Il s’agissait probablement d’un temple, mais rien n’est moins sûr. Ce qui semble assuré, c’est que le bâtiment a connu une utilisation religieuse à un moment ou à un autre. Hélas, l’édifice a beaucoup souffert durant la Seconde Guerre mondiale, après avoir résisté à plus de 5.500 ans sans gros changement.
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5. Knap of Howar, Ecosse – 3.700 Av. J.C.
Cette fois, il ne s’agit pas d’une tombe ou d’un édifice religieux, mais bien d’une… maison, meublée qui plus est. Nos ancêtres avaient du goût car la situation en bord de mer est idéale ! Remarquablement préservée, la maison compte encore un mobilier en très bel état.
Nous en avons répertorié 4. Elles permettent de se rendre compte une fois de plus, à quel point on est normal quand on se tient debout à Cologne avec un verre de vin chaud à la main !
Suède – Se rassembler autour d’une chèvre géante en paille
Nous avons la crèche, mais à Gavle en Suède, les gens se rassemblent autour d’une énorme chèvre en paille. Cette tradition serait issue de la mythologie normande. Dans certaines régions, ils se limitent à de petites figurines de chèvres, mais ici, la chèvre est énorme ! En 1966, elle a été incendiée et depuis, des vandales essayent d’y bouter le feu chaque année. Jusqu’à présent, elle a pris feu environ 25 fois.
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Catalogne – Espagne – un tronc d’arbre arborant un visage
Nous, nous avons un sapin de Noël et en Catalogne ils ont le Tio de Nadal. Quelques jours avant Noël, les enfants reçoivent un joli tronc d’arbre avec un visage et ils doivent s’en occuper. Chaque soir, le morceau de bois est mis sous une couverture et doit être nourri. La veille de Noël, on chante et on bat la mesure avec un bâton de bois, après quoi les enfants trouvent des surprises sous la couverture. Ce visage en bois trouve ensuite le chemin de la cheminée.
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Philippines – Des chaussettes pleines de bonbons
Aux Philippines, ils célèbrent Noël jusqu’en janvier. Ici, les enfants préparent leurs chaussures et accrochent leurs chaussettes bien lavées. Généralement, les deux sont remplies de bonbons. L’Epiphanie en serait responsable. La fin des festivités signifie ici le plein de bonbons !
Ukraine – Un arbre de Noël plein d’araignées
En Ukraine, il n’y a pas de boules sur l’arbre, mais beaucoup de (fausses) araignées et de toiles. Selon la légende, une vieille dame ne pouvait pas se permettre des décorations de Noël. Un jour, l’arbre était plein de toiles, qui se sont avérées être faites d’or et d’argent. Depuis, la légende urbaine veut qu’une toile d’araignée le matin de Noël apporte le bonheur. Ça vaut le coup d’essayer, non ?
Autant vous le dire tout de suite, le climat, la beauté des paysages, le nombre de festivals et le prix de la bière ne sont pas des critères pris en considération ! En lieu et place, le « World Happiness Report » a choisi des critères nettement plus rationnels, comme le PNB, l’espérance de vie, les aides sociales, le niveau de corruption, la liberté et la… générosité. Au vu des critères, vous ne serez donc pas surpris de retrouver les pays scandinaves en très bonne position !
Lorsque vous voyagez en avion, vous pouvez emporter de la nourriture dans votre bagage à main pour la consommer pendant le vol. Vous pouvez aussi mettre des aliments dans votre bagage en soute. Quelles sont les règles en la matière ?
Si vous souhaitez transporter des boissons dans votre bagage à main, il existe des restrictions pour des raisons de sécurité. Si vous emportez des boissons, elles doivent être contenues dans des récipients de 100 ml maximum, dans un sac en plastique transparent refermable dont la capacité totale n’excède pas 1 litre. Les liquides achetés dans les magasins de l’aéroport sont emballés dans un sac spécial scellé. Vous ne pouvez ouvrir ce sac qu’à votre destination !
Et qu’en est-il de la nourriture ?
Les aliments pour bébés, qu’il s’agisse de lait ou d’aliments en pot, peuvent être transportés dans votre bagage à main. Vous pouvez prendre la quantité dont votre bébé a besoin pendant le vol. Vous pouvez également apporter un sandwich emballé dans un sac, des barres de chocolat et des biscuits ainsi qu’une salade, par exemple. En revanche, les aliments à tartiner (comme la confiture) ne sont pas autorisés, sauf s’ils sont déjà étalés sur un sandwich.
Dans votre bagage en soute
Vous pouvez emporter toutes sortes d’aliments et de boissons dans vos bagages en soute. En principe, la compagnie aérienne acceptera facilement. Il existe toutefois quelques exceptions : dans de nombreux pays, il existe des limites strictes concernant la nourriture que vous pouvez apporter. Avant de partir, vérifiez donc quelles sont les règles en vigueur dans le pays où vous vous rendez. Dans le cas contraire, vous risquez de devoir laisser la nourriture à l’aéroport et peut-être même de recevoir une amende.
C’est un secteur qui permet le développement local mais qui provoque, malheureusement, certaines nuisances. Ce problème ne concerne pas uniquement les aspects naturels du tourisme, comme les paysages et le patrimoine environnemental du territoire mais également les populations locales. Mais il est possible de voyager en étant responsable et en minimisant l’impact sur l’environnement et les populations.
Weiqi Xiong
1. Utiliser le bon moyen de transport
Lorsque vous voyagez, le choix du moyen de transport est crucial. Pour un impact moindre sur l’environnement, le transport à privilégier est le train. C’est aujourd’hui le moyen de transport le plus écologique. En Europe par exemple, il est possible de voyager sur tout le continent en utilisant les transports ferroviaires. Voyager près de chez vous est plus responsable et il y a tellement de lieux magnifiques à découvrir, vous n’avez surement pas tout vu !
2. Sortir des sentiers battus
Sur place, vous pouvez privilégier des activités plus authentiques et moins fréquentées. Ainsi, vous pourrez profiter de lieux typiques sans être entourés par une foule de touristes. Pour trouver les lieux uniques à visiter, vous pouvez contacter un guide local, spécialiste de la région en question qui vous aidera pendant votre séjour. Bien sûr, ces lieux doivent être préservés et respectés, c’est-à-dire pas de déchets par terre et pas de souvenir ramassé par terre. Beaucoup de touristes ont pris l’habitude de ramener du sable ou des pierres et c’est une pratique qui, pratiquée par tout le monde, finit par détruire la biodiversité du secteur. Si vous le faites en pensant que personne d’autre ne le fait, c’est faux !
Shaafi Ali
3. Consommer dans les bons établissements
Pendant votre séjour, pour trouver un restaurant, une boutique de souvenir artisanale ou votre logement, renseignez-vous à l’avance sur les bons établissements. Dans les territoires les plus touristiques, les entreprises du voyage appartiennent souvent aux groupes leader du tourisme. En consommant dans ces établissements vous ne profiterez pas aux populations locales car les gains reviendront en majorité à ses enseignes internationales.
Pensez plutôt à séjourner chez l’habitant, dans une maison d’hôte, un petit hôtel typique qui vous feront découvrir la culture locale plutôt qu’un établissement avec les mêmes offres aux quatre coins du monde. Ainsi, les bénéfices reviendront directement aux populations locales et ne feront pas le tour du monde. C’est le moyen le plus efficace pour développer un tourisme local authentique et responsable.
4. Changer les aprioris sur le tourisme responsable
Beaucoup pensent que le tourisme responsable coûte cher et n’est pas confortable. Mais aujourd’hui, cette forme de tourisme se développe de plus en plus et ne vous fera pas dépenser plus qu’en allant dormir chez une grande enseigne ou manger dans le restaurant le plus réputé de la ville, et sera tout aussi confortable et délicieux, si ce n’est plus !
Les hôtels ayant obtenus un label par exemple, respectent certaines normes en matière d’électricité, d’eau ou autre ce qui leur permet de réduire les coûts et il en va de même pour les agences. Ensuite, de nombreux labels encouragent les démarches vers un établissement responsable en finançant une partie des travaux. Les structures ne vous feront donc pas payer plus cher.
Lee Myungseong
Pour ce qui est des boutiques de souvenirs, de vêtements ou autre, il est plus intéressant de rajouter quelques euros et de ramener un objet fabriqué sur place, que vous ne trouverez pas ailleurs, plutôt qu’un souvenir fabriqué en centaines d’exemplaires à des kilomètres de là. Parfois, vous pourrez même observer l’artisan en pleine création et participer à l’activité pour ramener votre propre souvenir.
C’est toutes ces petites actions qui vont permettre au tourisme local de se développer et de respecter son environnement. Chaque touriste doit se responsabiliser et mesurer son impact sur le territoire afin de le minimiser tout en profitant de ses vacances. Le tourisme repose sur la notion de découverte d’un territoire, en passant par les populations et les paysages, or, si vous passez vos vacances dans des sites fabriqués pour les touristes, vous ne découvrirez rien de la culture, des coutumes locales et des paysages naturels.