Lorsqu’au tournant du siècle, la Chine annonçait son intention de construire le plus grand réseau ferré à grande vitesse du monde, beaucoup on rit dans leur barbe. Pourtant, deux décennies plus tard, force est de constater que le pays a tenu ses promesses avec quelque 40.000 km de voies rapides en service, soit 83 % du total des lignes à grande vitesse du monde !
Aujourd’hui, la Chine passe à la vitesse supérieure en se lançant dans la course à l’Hyperloop, ce train de nouvelle génération à sustentation magnétique qui se déplace dans un tunnel. Un premier test a eu lieu mi-janvier et il a été qualifié de “succès” par les autorités locales. Pourtant, la vitesse atteinte, soit une cinquantaine de km/h, n’a encore rien à voir avec les promesses de cette technologie révolutionnaire. Du coup, quelques doutes demeurent.
Court et lent
C’est dans la province chinoise du Shanxi, dans le nord du pays, que ce train à sustentation magnétique (Maglev) a effectué ses premiers tours de roue. Celui-ci a parcouru une distance de 210 m au sein d’un tunnel dédié. Un test grandeur nature qui a permis d’éprouver les technologies nécessaires à ce nouveau mode de transport. Vu la courte distance à parcourir, le train n’a pas dépassé la vitesse de 50 km/h, soit 550 km/h de moins que la vitesse maximale que pourrait atteindre l’engin !
Malgré cela, le chantier mené par la société CASC (China Aerospace Science and Technology Corporation) n’en demeure pas moins remarquable, sachant qu’il a débuté il y a un an seulement ! Un délai très court quand on sait qu’il a fallu non seulement construire un circuit de 2 km de long, mais aussi toute l’infrastructure technologique attenante, dont l’intelligence artificielle chargée des contrôles de sécurité.
On ne sait par contre pas si le tunnel a été vidé de son air, ce qui est l’une des caractéristiques fondamentales des trains Maglev. En effet, si le phénomène de friction est limité en l’absence de rails, l’absence d’air facilite pour sa part la progression du train. Du coup, le maintien d’un environnement à basse pression dans le tube est un des plus grands défis pour ce système de transport.
48% des Belges interrogés ont déclaré vouloir voyager cette année avec un budget similaire à celui des années précédentes. Cependant, 25% d’entre eux ont déclaré vouloir réduire le nombre de voyages et les dépenses en raison de l’inflation. Les Belges font en moyenne 3 voyages par an, selon l’étude. Les facteurs les plus importants dans le choix de la destination sont le coût (55%), la météo (43%) et la nature (38%).
Les Belges organisent eux-mêmes leur voyage
63% des personnes interrogées organisent elles-mêmes leurs vacances, tandis que 37% font appel à un tour-opérateur. Les Belges réservent leurs vacances plus tôt qu’auparavant, contrairement à la tendance de dernière minute qui prévalait pendant la pandémie.
L’Europe, premier choix de destination
En Europe, la France est la destination préférée des Belges, suivie de près par la Belgique elle-même. L’Espagne, les Pays-Bas et l’Italie complètent le podium des destinations européennes les plus prisées. Hors d’Europe, la Turquie reste un choix populaire pour les vacanciers, suivie des États-Unis, du Maroc, de l’Egypte et des Emirats arabes unis.
Le train, un moyen de transport en vogue !
Le secteur du tourisme s’attend à une augmentation des séjours en train cette année grâce au développement du réseau des trains de nuit. Les jeunes, en particulier, sont de plus en plus sensibles à la durabilité et considèrent ce critère lors du choix de leur destination de vacances. Le vélo, la marche, le bateau, etc. sont également des modes de vacances qui connaissent un regain d’intérêt.
Soyons un peu chauvins et fiers de nos carnavals wallons. Certes, ils n’ont pas l’élégance des tenues vestimentaires de Venise ou la folie des sambas brésiliennes… Quoi que ! La beauté et l’originalité des costumes de gilles ainsi que la ferveur et l’enthousiasme de tous les carêmes-prenants valent leur pesant d’oranges. Gilles, Blancs-Moussîs, Chinels, Haguètes, Paysans et Paysannes, Marins, Macrâles, Sôtés, Véheûs, Porais, Ours, Hârlikins, Sâvadjes, Joupsènes, Gugusses, etc., sont impatients de fêter le printemps, accompagnés des musiciens, des géants…
Jusqu’à Pâques, au fil des semaines à venir, les festivités vont se dérouler par étapes avec comme date charnière le célèbre Mardi gras (ce 21 février 2023). C’est la veille du mercredi des cendres qui marque le début du carême, cette ancienne période de la religion chrétienne qui bannissait de manger copieusement durant quarante jours… Il faut donc faire la fête une bonne fois avant le carême… Mais avant le mardi-gras, il faut se préparer. Il y aura donc plein de festivités comme les fameuses soumonces qui sont les répétitions sans costumes avec les tambours seuls et puis la fanfare complète. Les jours gras qui précèdent le mardi gras voient la fièvre monter petit à petit. Ceci dit, il faut savoir que tous les carnavals ne se produisent pas le mardi gras, certains sont décalés avec un pic à la mi-carême ou « Lætare » le dimanche 19 mars… D’autres se produisent encore à d’autres moments, voire tout près de Pâques.
Mardi Gras – Carnaval de Binche
Pour s’y retrouver, voici un petit guide
Binche et ses Gilles ! 21 février
A tout seigneur, tout honneur. Voici Binche, inscrit Patrimoine oral et immatériel de l’UNESCO. Bien sûr, les Gilles n’avaient pas attendu ce couronnement pour marquer leur attachement séculaire à cette festivité mondialement connue, même s’ils ne quittent jamais Binche et ne peuvent revêtir le costume qu’au carnaval. Rythmé par les fanfares, le lancinant martèlement des sabots et le son des apertintailles (ceintures ornées de grelots), ce carnaval existe depuis des siècles. Avec son costume unique au monde aux 150 motifs (étoiles, lions et couronnes) en feutrine noire, jaune et rouge, le Gille est muni d’un ramon (petit coiffera son chapeau en plumes d’autruche l’après-midi… Mais avant ce jour, annoncé par les ‘soumonces’ des semaines qui précèdent (quand les instruments (tambours seuls au départ) s’ajoutent chaque semaine pour compléter la fanfare des jours gras), ce carnaval verra son apothéose le Mardi Gras 21 février. La soirée des Trouilles de Nouilles (lundi 13 février) voit tout le monde se masquer et se costumer pour arpenter les cafés de la cité.
Les plumes d’autruche de sortie Eric Valenne
Avec coiffes de plumes d’autruches
Puis vient le grand jour où dès potron-minet va se dérouler l’habillage du gille toujours aidé par madame qui se dévoue totalement à sa tâche et en famille (avec huîtres et champagne). La porte est grande ouverte pour inviter la famille, les amis, voire les passants à trinquer. Vient ensuite le « ramassage » du gille qui doit rejoindre sa société ou confrérie (avec l’obligatoire tambour qui doit absolument accompagner chaque gille) puis le rondeau… Avant de se rendre à l’hôtel de ville, la mise du masque à lunettes vertes, moustache, barbiche et favoris, est un moment poignant en fin de matinée. Il symbolise l’anonymat et l’égalité entre les gilles. Enfin, le cortège de l’après-midi verra les merveilleuses coiffes de plumes d’autruches (si pas de pluie), les lancers d’oranges, les fanfares se déchaîner. Et la grande foule. La soirée sera longue et se terminera par un feu d’artifice.
Nos mille gilles de Binche ont de respectables cousins qui appliquent quasi les mêmes règles (mais peuvent se représenter costumés en dehors de leur ville et hors période). Comme à Nivelles qui fête son 119ième carnaval le dimanche 26 février avec le grand cortège l’après-midi. Mais les soumonces générales se déroulent le 11 février et le carnaval aclot, plus intime se passe en soirée le lundi 27 février avant le raclot ou dernier rassemblement le 28 février). Mais les passionnés continuent encore à déambuler quelques jours…
La ville de La Louvière est fière de son Laetere également (19/3) qui dépasse ses 150 ans d’existence avec également un millier de Gilles. La fête se prolonge le lundi et le mardi.
Charleroi avec ses gilles et son procès du corbeau en soirée (21/2) n’est pas en reste, (Morlanwelz les 26, 27 et 28 mars), Haine-St-Pierre et Anderlues (26 au 28/2) …
Le carnaval de Jemappes (Gilles) est une exception tant il se produit tard : le weekend de Pâques (9 avril)…
D’autres carnavals de Gilles se produisent hors saison (de l’été à l’automne comme Arquennes, Ligny…)
Malmedy Eric Valenne
Malmédy et son Cwarmê. 19 février
Classé au patrimoine immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, le Cwarmê dure quatre jours. Il commence le vendredi à… minuit et se termine le mardi gras à minuit avec son apothéose le dimanche après-midi (19 février 2023) et son grand cortège aux joyeux personnages hauts en couleurs dont certains attrapent avec leur ‘happe-chair’ les passants invités à implorer le pardon… Déjà attesté en 1459 (il en est à sa 563ème représentation cette année!), il se prépare des mois à l’avance et voit l’effervescence monter les jeudis précédents (lors des p’tites haguètes) où l’on se moque gentiment des clients des cafés et tavernes. Les couturières confectionnent de nouveaux costumes et les deux chorales d’hommes préparent leurs comédies satiriques (les Rôles), narrant les mésaventures des Malmédiens qui seront présentées sur des scènes ambulantes le lundi après-midi. Puis le samedi du carnaval, la « Grosse Police » voit le bourgmestre remettre ses pouvoirs au Trouv’lê.
Une quinzaine de personnages différents
Enfin, dimanche, c’est le grand cortège et les deux mille travestis aux masques traditionnels du Cwarmê. Les spectateurs sont gentiment pris à partie et se doivent de demander pardon un pied attrapé par le hâpe-char. Ils sont accompagnés par une quinzaine de personnages différents parfois uniques ou parfois représentés en nombre aux truculents surnoms wallons. Grosse Police, Djoup’sène (égyptienne), Long-né, Longuès-brèsses (longs bras), Longs-ramons, Sâvadge (sauvage), Sâvadge-cayèt (et ses plaquettes de bois), Boldgî (boulanger), Cwapî (cordonnier), viennent également le Vèheû (muni de sa vessie de porc), le Sotê (nuton), les Hârlikins (arlequins)… et quelques autres personnages plus improbables. Le tout sur des musiques originales, parfois fraîchement composées.
Le lundi, jour des « rôles », s’adresse avant tout aux Malmédiens et le « Brûlage de la Haguète » marquera la fin des festivités.
Bien que nous sommes dans les cantons de l’Est, ce carnaval n’est pas germanique mais bien latin et très… très wallon !
Stavelot Eric Valenne
Stavelot et les Blancs-Moûssis. 19 mars
Du 18 au 20 mars, ce sera la 518ième sortie du Laetare de Stavelot ! Tout de blanc vêtus avec leur longs nez rouges, ces « messieurs blancs » sont des centaines à déambuler seuls ou en files dans les rues où ils se déchaînent parfois en assénant gentiment les badauds de vessies de porc. Leur origine est incertaine et une légende voudrait qu’ils imitent des moines à qui il était interdit de s’amuser au Laetare suite à un édit du prince-abbé Guillaume de Manderscheidt en 1499. Les Stavelotains auraient tourné cette interdiction en dérision et se seraient tous habillés en moines blancs en 1502… Vrai u pas, peu importe, les Blancs-Moûssis sont parmi les plus incontournables personnages de nos carnavals wallons. C’est le dimanche de mi-carême (ou Laetare) 19 mars à partir de 13h30 que débutera l’apothéose du grand cortège folklorique avec ses 2500 participants entourés par près de 25 groupes folkloriques locaux ou invités. Le rondeau des Blancs-Moûssis à 17 heures est un incontournable. Entrée 5 euros.
Egalement au patrimoine de Wallonie, la superbe cavalcade inspirée par la Commedia dell’Arte voit les hommes de Fosses porter de jolis costumes de satin coloré avec deux bosses, l’une sur le thorax et l’autre dans le dos. Une légende raconte l’histoire de deux bossus, dont l’un perdit sa bosse, récompensé par les fées ; l’autre, jaloux et méchant, fut puni et hérita d’une bosse supplémentaire. C’est ce dernier qui inspira ce folklore. Et depuis plus d’un siècle, le Chinel est à Fosses ce qu’est le Gille à Binche. Ils sont deux à trois cents à parcourir les rues lors du Laetare et à virevolter munis de leur sabre de bois. Accompagnés des Doudous en blanc avec les boutons rouges (issus de carnavals plus anciens), les Chinels exécutent une chorégraphie où il faut entrechoquer les sabres de bois, se figer sans bruit puis redémarrer de plus belle au son d’une musique joyeuse chantée et spécialement composée pour la circonstance. Le Laetare se termine par un rondeau final au cours duquel tous les groupes viennent faire une démonstration de leurs talents sur la Place du Marché.
Le Laetare se fête également à Andenne (Carnaval des Ours), à Tilff avec les Porais, à Welkenraedt, à Houdeng…
Carnavals rhénans dans les Cantons de l’Est. Lundi 20 février
Le plus célèbre des carnavals d’inspiration allemande est celui d’Eupen. A l’instar des grands carnavals de l’Allemagne toute proche (Cologne, Düsseldorf, etc.), il voit un Prince Carnaval recevoir les clefs de la ville le dimanche pour les garder trois jours. Des chars et des sociétés costumées vont déambuler en grands cortèges dès le lundi gras mars (Rosenmontag) aux cris d’Alaaf, Alaaf ! Ce carnaval a débuté le jeudi précédant le mardi gras avec l’ « Altweiberdonnerstag » ou Jeudi des Femmes, jour de liesse pour les dames où tout leur est permis. Le point culminant de ce carnaval est le fameux « Rosenmontag » ou lundi des roses.
Un cortège constitué de chars très colorés va défiler dans les rues sous la direction du Prince Carnaval. Ce dernier entouré de ses gardes du corps ou « funkenkorps » jettera bonbons, oranges et des tonnes de confettis. De nombreuses fanfares se joignent à la fête qui se clôture par un bal où le Prince Carnaval remettra les clés de la ville aux autorités de la commune, à minuit.
Idem à La Calamine (même date), Büllingen, Bütgenbach, Faymonville, Oudler, Schönberg, Sourbrodt…
Les grands feux sont fascinants… Liés aux fêtes printanières, ils brûlent Bonhomme Hiver et trouvent leur origine dans la nuit des temps. Cela se passe notamment le dimanche des Brandons, à savoir le premier dimanche de Carême, donc cette année le 26 février 2023. Le plus célèbre va crépiter à Bouge, sur les hauteurs de Namur en soirée (début du cortège à 19 h). Cette tradition se perpétue depuis plus de mille ans et toute la région reste fidèle à cet évènement. « Au grand feu, les sizes au feu », dit un vieux proverbe local qui signifie au feu les longues nuits d’hiver… Ce soir-là verra flamber également six autres feux dans les alentours. Les voir tous briller dans la nuit est un porte-bonheur. Mais bon an mal an, des dizaines de feux semblent reprendre vigueur dans nos provinces (parfois à d’autres dates)…
Malmédy dimanche (gras) 19 février Eupen lundi (gras) 20 février Binche mardi gras 21 février Grand feu de Bouges dimanche 26 février Nivelles dimanche 26 février Stavelot dimanche 19 mars (Laetare) Fosses-la-Ville dimanche 19 mars (Laetare) La Louvière dimanche 19 mars (Laetare)
Le Bright Festival sera de retour en février prochain à Bruxelles. Comme pour les éditions précédentes, les rues et places de la ville s’orneront donc de milliers de lumières et d’éclairages en tous genres. Durant quatre soirées, de 19 à 23h, trois parcours lumineux vous promettent des moments féériques, à partager en famille ou entre amis, le tout au cœur de la capitale belge. De quoi bercer l’imaginaire des petits comme des grands et offrir des souvenirs inoubliables à tout un chacun. Si, pour l’instant, le programme exact n’a pas encore été dévoilé, on sait par contre que ce festival des lumières aura lieu du 16 au 19 février.
Visit Brussels – Eric Danhier
Les organisateurs ont précisé que “pour cette nouvelle édition, le plus brillant des rendez-vous bruxellois illuminera trois quartiers : le quartier Royal, le quartier Européen et le quartier Lehon jusqu’à l’avenue Louis Bertrand à Schaerbeek”. Et d’ajouter que les itinéraires de cette édition 2023 “seront subtilement rythmés par une vingtaine d’œuvres immersives et poétiques”.
En parallèle de ces installations artistiques, les participants pourront aussi profiter de nocturnes dans les musées, de visites guidées d’édifices remarquables ainsi que de diverses installations éphémères. Notons enfin que les illuminations de cette année mettront l’Art Nouveau à l’honneur, Bruxelles ayant été proclamée “Capitale de l’Art Nouveau 2023”.
Les festivités des trois jours “gras” seront lancées le dimanche 19 février avec le “ramassage” des acteurs du carnaval à leur domicile dès le début de matinée. Les participants évolueront en costume dans Binche en matinée, ils danseront en cortège dans l’après-midi avant des “rondeaux en musique” devant les locaux des sociétés carnavalesques tard dans la soirée.
La journée du lundi gras, le 20 février, sera consacrée aux “jeunesses” dès le début de matinée. Des feux d’artifice tirés dans le quartier de la gare ponctueront le programme en soirée.
Le mardi gras, “jour J” du Carnaval de Binche, débutera à 5 heures du matin avec le traditionnel ramassage des gilles et autres acteurs costumés. Le grand cortège, avec les gilles portant leurs chapeaux de plumes et lançant leurs oranges au public, partira à 15 heures. Le soir, un second cortège sera organisé et un grand feu d’artifice clôturera le carnaval.
Des mesures pour une fête en toute sécurité
Les autorités binchoises ont annoncé la mise en place de mesures pour faciliter la mobilité, notamment des trains supplémentaires, des navettes de bus gratuites et des mesures pour les personnes à mobilité réduite. La sécurité sera également renforcée. Le Musée du Masque de Binche proposera également plusieurs activités dans le cadre du carnaval.
“Nous attendons une édition record après deux années d’annulation“, a déclaré Laurent Devin, bourgmestre de Binche et gille cette année. “Les louageurs n’ont plus de chapeau depuis la mi-décembre, un signe qui montre que le nombre de participants sera très important.”
Le Domaine des Grottes de Han démarre sa saison 2023 dès le 18 février prochain et sera ouvert durant tous les congés de Carnaval.
Vivez l’ambiance colorée du « Carnaval des Animaux » ces 25 et 26 février !
Domaine des Grottes de Han
Ces 25 et 26 février, la plaine d’accueil du Domaine sera plongée dans l’ambiance colorée et festive du Carnaval : décors et animations réchaufferont les visiteurs ! De drôles d’animaux se baladeront et divertiront petits et grands de leurs numéros fantaisistes. Des grimeurs se feront un plaisir de maquiller les petites frimousses. N’hésitez pas à venir déguisés !
Découvrez la Lesse, cette rivière puissante et sauvage, sous les couleurs de l’hiver, qui enchante la Grotte de Han et le Parc Animalier !
Site naturel d’exception, le Domaine des Grotte de Han est en partie façonné par la rivière la Lesse. Sur terre et sous terre, la Lesse est fascinante et se transforme au gré des saisons. Elle offre toute l’année un magnifique spectacle !
Domaine des Grottes de Han
En hiver, la Lesse s’amplifie, devient sauvage. Durant tous les congés de Carnaval, découvrez cette rivière, véritable force de la nature, sous son manteau d’hiver ! Un spectacle à admirer dans le Parc Animalier, où vivent plus de 650 animaux (ours bruns, loups, lynx, cerfs…), et dans la merveilleuse Grotte de Han ses mille et un trésors géologiques et son éblouissant son et lumière Origin.
Domaine des Grottes de Han
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Première concernée en Europe : la compagnie allemande Lufthansa qui est occupée à ramener dix de ses Airbus A340 (déclassés jusqu’alors en Espagne) afin de répondre à la demande de sièges premium avant l’arrivée de l’été et des vacances. L’explosion de la demande ces derniers mois a créé un goulot d’étranglement pour certaines compagnies. En effet, la majorité d’entre elles doivent faire face à des retards de livraison des avions de nouvelle génération qu’elles avaient commandés avant la pandémie, en particulier le Boeing 777-9. Quelque 2.400 appareils ont fait l’objet de bons de commande avant la crise sanitaire mais ceux-ci n’ont toujours pas été construits.
On ressort donc les “vieilles marmites”
Dans ce contexte, Lufthansa est donc contrainte de ressusciter les 297 sièges de l’A340-600 (dont huit en First Class), soit le même nombre que sur l’A380, ainsi que 44 sièges en Business et 32 en Premium Economy. Si les A380 de Lufthansa proposent également une première classe, seuls trois d’entre eux pourront être remis en service. Les Boeing 747-8 de la compagnie disposent également de cette classe, tout comme un nouveau lot d’Airbus A350-900, bien que les livraisons ne soient pas prévues avant la fin de l’année.
Thai Airways, qui a déclaré en 2021 qu’elle prévoyait de retirer progressivement l’ensemble de sa flotte d’Airbus A380 et de Boeing 747, envisage maintenant un retour de l’A380 en 2024. Parmi les autres compagnies aériennes qui envisagent de ressusciter leurs A380 immobilisés au sol figurent Qatar Airways, Etihad Airways, Korean Air Lines, Singapore Airlines et Qantas. Emirates, quant à elle, s’emploie à rafraîchir 67 “anciens” A380 en les dotant d’un nouvel intérieur.
#Egypt unveiled Thursday a gold-laced mummy and four tombs, including of an #ancient king’s “secret keeper”, discovered in the Saqqara necropolis south of Cairo. pic.twitter.com/Xxfub3OH0t
C’est dans la nécropole de Saqqara, connue pour la célèbre pyramide à degrés du pharaon Djéser, que ces découvertes ont été faites. Les tombes datent de la 5ème et 6ème dynastie, entre 2.500 et 2.100 ans avant JC. Les cavités profondes sont ornées de scènes colorées de la vie quotidienne et ont servi de dernière demeure à des personnages importants tels que Khnoumdjedef, grand prêtre du pharaon Ounas, Meri, gardien des secrets du roi, Messi, grand prêtre de Pépi Ier et Fetek, scribe et juge.
De fortes chutes de neige au Japon ont causé des perturbations importantes dans les transports tout en offrant un spectacle enchanteur aux touristes et passants dans les temples et sanctuaires.
Selon Takafumi Umeda, un responsable de l’agence météorologique japonaise, ces températures sont parmi les plus froides vues en une décennie. Un décès a déjà été confirmé, tandis que des centaines de vols ont été annulés et des trains ont été retardés ou supprimés, y compris sur des lignes à grande vitesse.
Cependant, les visiteurs ont apprécié le spectacle des lieux recouverts de neige, comme au temple Zenkoji à Nagano, au coeur des Alpes japonaises. Des scènes analogues avaient lieu dans l’Ouest du pays comme à Kyoto, l’ancienne capitale impériale au riche patrimoine historique.
Si Tokyo connaissait une période de froid inhabituelle, la capitale a cependant été épargnée par la neige.
C’est sur une plage très fréquentée de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie qu’un requin bouledogue a attaqué une baigneuse, la blessant grièvement aux mains, à la cuisse et au dos. L’attaque s’est produite à moins d’une centaine de mètres du rivage de la plage du Château Royal, l’une des plus fréquentées de Nouméa. Le requin bouledogue est une espèce de trois à quatre mètres de long pouvant se montrer agressive envers l’homme. La municipalité a aussitôt interdit la baignade sur toutes les plages de la ville, ainsi que sur les îlots qui lui font face.
En Nouvelle-Calédonie, les requins sont plus nombreux près des côtes pendant les mois de janvier, février et mars, période de mise bas. Le risque d’attaque est par ailleurs plus important après les fortes pluies, comme celles qu’a connues le territoire ces derniers jours.