Joris Salden, directeur général des Affaires consulaires, souligne l’importance de l’assurance voyage, rappelant que “la sécurité est une responsabilité partagée“.
L’avenir de l’aviation pourrait bien dépendre des carburants d’origine non fossile, notamment ceux issus de la biomasse et d’huiles usagées. L’Association internationale du transport aérien (IATA) prévoit que leur production atteindra 69 milliards de litres d’ici 2028.
Les défis à surmonter
Malgré ce potentiel, l’IATA appelle les gouvernements à garantir une répartition équitable des carburants d’aviation durables (SAF) parmi les différents secteurs industriels. Actuellement, d’autres secteurs, tels que le biodiesel pour les camions et le biogaz pour le chauffage, sont également en concurrence pour ces produits.
La promesse des SAF
Les SAF sont encore naissants, représentant seulement 0,1% des carburants consommés par l’aviation. Néanmoins, ils sont essentiels pour les compagnies aériennes, qui se sont engagées à atteindre zéro émission nette en 2050. En effet, 62% de cette transition reposera sur les SAF, selon l’IATA.
Un objectif ambitieux
La production de SAF a déjà triplé entre 2021 et 2022, atteignant 300 millions de litres. L’IATA vise 30 milliards de litres en 2030. Plus de 130 projets de production de carburants renouvelables sont en cours dans 30 pays, soutenant l’ambition de zéro émission nette de CO2 du secteur aérien d’ici 2050.
La fermeture à venir du Centre Pompidou (aussi connu sous le nom de Musée national d’art moderne) était connue de longue date, sans pour autant savoir exactement quand. C’est désormais officiel : le déménagement et la fermeture progressive débuteront à l’automne 2024.
Projet incroyablement audacieux pour son époque, le Centre Pompidou est imaginé dans les années 1970 par les architectes Renzo Piano et Richard Rogers. Pour isoler cet édifice qui ne semble composé que de vitres, on recourt alors massivement à l’amiante qui, on le sait depuis, peut avoir des effets néfastes sur la santé. En 2021, la ministre de la Culture d’alors, Roselyne Bachelot, décide de lancer des travaux de modernisation et de désamiantage pour la somme de 262 millions d’euros.
Outre le désamiantage, les travaux de rénovation du musée se concentreront aussi sur la mise aux normes en matière de sécurité incendie, l’optimisation énergétique du bâtiment, ainsi que les aménagements nécessaires à une meilleure accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Des travaux devenus indispensables en raison de la corrosion et de l’usure affectant l’immense bâtiment, qui abrite notamment des collections très importantes d’art moderne et contemporain, de vastes espaces d’expositions et une très grande bibliothèque.
A la réouverture, les espaces du musée garderont la même organisation mais l’accrochage des œuvres sera en revanche repensé dans “une perspective pluridisciplinaire”. Le Musée national d’art moderne, inauguré en 1977 en plein cœur de Paris, n’a jamais été rénové. Depuis son ouverture, il a accueilli quelque 300 millions de visiteurs !
L’application Totemus est la meilleure manière de partir à la découverte de sites remarquables en Belgique, de manière ludique et interactive, aussi bien pour les petits que pour les grands ! Dans la région de Charleroi, il est ainsi possible de se lancer dans une balade passionnante à Aiseau-Presles, Gerpinnes, Fleurus, Charleroi même ou encore Farciennes. Et de nouveaux parcours sont en préparation ! Personnellement, j’ai choisi de vivre cette expérience en famille, à Farciennes. Pourquoi ? Car il est possible d’y parcourir plusieurs siècles d’histoire tout en se familiarisant avec une incroyable légende de vampires indissociable du château de Farciennes. D’une durée de 2h15 et d’une distance de 6 km, ce parcours Totemus vous fera passer des ruines du vieux château aux terrils tout proches avec une vue sur la tour de l’ancien charbonnage du Roton. Vous serez étonnés par la diversité des points d’intérêt rencontrés tout au long de la balade !
2. Une offre muséale pour tous les goûts
Tom Colaux
Si, comme moi, vous êtes sensible à l’art alors ne manquez pas le tout nouveau Musée des Beaux-Arts de Charleroi qui est installé depuis peu dans les anciennes écuries Defeld, à deux pas de la tour de police signée Jean Nouvel. Ce lieu qui brille par sa sérénité préserve les témoignages artistiques de Charleroi et sa région, ainsi que du bassin hennuyer et de la Wallonie. Vaste ensemble de peintures, de sculptures, d’estampes, de dessins, de photographies, de céramiques ou encore de vidéos, la collection repose sur les œuvres d’artistes tels que René Magritte ou Pierre Paulus. En outre, jusqu’au 18 août 2023, on peut y admirer l’expo “Dupuis : la fabrique de héros, cent ans de 9e art au pays noir” qui rend hommage à l’histoire et aux nombreux personnages qui sont nés dans les pages publiées par ce fleuron culturel carolo. Si vous êtes de passage dans la région, vous pourrez aussi vous rendre au Bois du Cazier, au Musée de la Photo, au Centre de Culture Scientifique ou encore au BPS22, le musée d’art de la province de Hainaut. Je vous le disais, il y en a vraiment pour tous les goûts !
3. Focus sur le street art
Leslie Artamonow
Peu le savent mais Charleroi est aussi connue pour ses œuvres de street art. Accompagné de deux amis graffeurs, nous sommes partis de la gare de Charleroi-Sud pour entamer notre balade sur la thématique de l’art urbain. De la Ville-Basse à la Ville-Haute, nous sommes tombés tantôt sur des fresques murales, tantôt sur des cabines électriques customisées ou encore sur des murs où des artistes ont pu laisser libre cours à leur imagination. Le parcours comprend 19 stations reprises sur un plan très facile à suivre. Sur place, un QR code peut à chaque fois être scanné afin d’en apprendre plus sur l’œuvre face à laquelle vous êtes.
4. Des terrils en veux-tu en voilà !
Leslie Artamonow
Pour savoir lesquelles de ces drôles de collines sont accessibles au grand public, j’ai effectué quelques recherches sur la plateforme de Charleroi Métropole Tourisme qui recense tous les sites à découvrir à Charleroi et dans la vingtaine de communes alentour. J’ai repéré plusieurs terrils en libre accès : celui du Martinet à Roux, celui des Vallées à Gilly, le terril Saint-Charles à Marchienne-au-Pont, celui, célèbre, du Bois du Cazier et enfin le terril des Piges à Dampremy. J’ai jeté mon dévolu sur ce dernier car il offre un panorama exceptionnel sur la ville en contrebas, tout en étant facile d’accès depuis le centre-ville. Petit avertissement : comme pour gravir tout terril, je vous invite à vous munir de bonnes chaussures de marche, les chemins, riches en terre noire, n’étant pas compatibles avec des baskets blanches !
5. Virée shopping !
Enfin, j’ai profité de ma présence à Charleroi pour refaire ma garde-robe. Car oui, entre la nouvelle galerie commerçante Rive Gauche et la célèbre rue de Dampremy, intégralement réservée aux piétons, ce ne sont pas les commerces qui manquent tout comme les terrasses de cafés qui tombent à point nommé pour faire une pause entre deux enseignes. J’ai aussi pu faire quelques bonnes affaires sur le boulevard Tirou qui a subi une cure de jouvence bien méritée il y a peu. Et si le temps n’est pas de la partie, rendez vous vite au Ville2 où pas moins de 120 boutiques vous attendent !
CNN rapporte effectivement qu’à Palma de Majorque, il est interdit de déambuler en maillot dans la ville. La ville veut préserver une certaine image, raison pour laquelle elle pourra imposer des amendes allant jusqu’à 3.000 euros aux touristes trop dévêtus. Une telle réglementation n’est pas exclusive à l’Espagne (Barcelone n’autorise les bikinis que sur la plage). En effet, d’autres destinations touristiques à travers le monde commencent à imposer des réglementations similaires dans le but de maintenir un certain niveau de décence publique.
Bienvenue en Autriche, sur la rive ouest du lac Hallstättersee, dans la région montagneuse du Salzkammergut. Là trône depuis le XVIe siècle le petit village de Hallstatt, connu pour son funiculaire et ses vues dignes d’une carte postale. Un lieu hors du temps qui a notamment inspiré les studios Disney lorsqu’il a fallu créer Arendelle, le royaume de la Reine des Neiges, ce conte qui a fait un véritable tabac sur les grands comme les petits écrans et qui a rencontré un succès planétaire.
De quoi attirer une flopée de touristes, avec près d’un million de visiteurs chaque année depuis la sortie du premier opus des aventures de la princesse Anna ! Ceux-ci se contentent, pour la plupart, de quelques selfies et de photos de l’église et du lac avant de rebrousser chemin. Une fréquentation qui permet certes de développer quelque peu l’activité économique locale mais qui a pris trop d’ampleur par rapport à la taille des infrastructures existantes. De fait, nuisances sonores et embouteillages sont devenus le lot quotidien des villageois qui, tout logiquement, n’en peuvent plus.
La commune de Hallstatt a donc décidé de réagir en installant par endroits de hauts panneaux en bois autour du lac afin d’empêcher les touristes de prendre des photos du village et, in fine, de les décourager à venir. “La seule chose qui aidera, c’est que le point d’accès aux photos ne soit plus un point d’accès”, a tranché le maire qui assume pleinement cette décision pour le moins radicale !
Airbus, le géant de l’aviation, a dévoilé un avant-goût de sa cabine du futur, sous l’appellation « cabin vision 2035 ». Ces designs, loin de la traditionnelle configuration en rangées de sièges, promettent une expérience de vol plus confortable et personnalisable pour les passagers. C’est une transformation qui ne sacrifie pas le confort au profit de l’écologie, mais qui cherche plutôt à les harmoniser.
Faire un pas vers plus d’éco-responsabilité
Le réchauffement climatique est un problème pressant et Airbus y répond par une approche particulière. La conception de leurs avions futurs met l’accent sur la durabilité, utilisant des matériaux plus respectueux de l’environnement et promouvant une consommation d’énergie plus efficace. La société parle notamment d’une réduction de la masse allant jusqu’à 40 % !
Des images surréalistes ?
Outre l’écologie, la technologie est un autre pilier de l’avion du futur d’Airbus. Les images dévoilées montrent des cabines dotées d’installations de pointe pour améliorer l’expérience de vol. Il s’agit notamment de sièges personnalisables, de systèmes d’éclairage avancés et d’espaces flexibles pour se détendre ou travailler. Des visuels qui font rêver, mais qui font penser aux concepts de l’industrie automobile : de jolies images pour attirer l’attention, mais qui ont peu de chance de se concrétiser un jour…
Si la saison 2022-2023 en montagne s’est finalement révélée satisfaisante, avec un enneigement correct, il ne faut néanmoins pas oublier ces images de stations privées de neige et contraintes de fermer en décembre dernier, alors que la saison ne faisait que commencer. Un épisode de douceur exceptionnel qui en rappelle d’autres car, en effet, cela fait plusieurs années que des températures excessives pour la saison privent les stations de neige, ce qui empêche purement et simplement de skier.
Et s’il est possible de pallier le manque de poudreuse à l’aide de canons à neige, ceux-ci consomment tellement d’eau que leur utilisation est remise en question. Les professionnels sont donc contraints de revoir leurs plans et d’envisager l’avenir avec de nouvelles formules.
Respecter la montagne
Si elles sont tributaires de la bonne volonté de Dame Nature, les stations de ski doivent désormais aussi composer avec le respect de l’environnement. C’est ainsi que bon nombre de domaines établissent des “chartes d’éco-engagement” contraignant tout le secteur à réduire son empreinte écologique. Des engagements qui se répartissent généralement en différentes thématiques allant du climat à l’énergie, en passant par l’utilisation de l’eau, le respect des paysages ou encore la gestion des déchets générés par l’activité touristique. De quoi mobiliser tous les acteurs concernés et, in fine, réduire l’empreinte carbone des sports d’hiver.
Une chose est en tout cas certaine, les vacances au ski comme on les concevait il y a encore une dizaine d’années, c’est terminé ! Les amateurs de glisse vont devoir changer leurs habitudes. En effet, d’un point de vue météorologique, un facteur clé en montagne, on doit s’attendre à une perte de 25 % de l’enneigement envisagée d’ici 2050 ! Aucune station française, suisse, autrichienne ou encore italienne n’aura alors la capacité d’offrir la pratique du ski alpin sans neige de culture artificiellement produite. Pour les stations comme pour le secteur des tour-opérateurs, il va donc falloir faire preuve de créativité dans les années à venir !
Selon le géant américain Expedia, lors de l’été 2022, 90 % des consommateurs étaient à la recherche d’options durables en vue de leur voyage. A contrario, une autre étude américaine précise que la considération de l’impact environnemental des voyages n’a jamais été aussi basse, due à la pression inflationniste. Autrement dit, quand vient le moment de payer son voyage, lorsqu’il faut choisir entre l’environnement et un tarif raisonnable, c’est le second qui l’emporte. C’est donc avant tout le pouvoir d’achat qui détermine la volonté de durabilité lors de la réservation d’un voyage.
Les grandes tendances
Luke Dahlgren
Quoi qu’il en soit, plusieurs grandes tendances en matière de voyage devraient se dégager cette année. À commencer par le voyage solo qui fait de plus en plus d’adeptes. L’hiver dernier, le comparateur de vols et d’hôtels Kayak faisait part d’une tendance générale : les recherches pour des voyages en solitaire ont augmenté de près de 20 % en moyenne par rapport à 2021 ! Autre chiffre qui confirme cette tendance : l’explosion des recherches de vols par des voyageurs seuls de 275 % sur la période de Noël et du Nouvel An 2022-2023 par rapport à 2019 ! Le “temps pour soi” semble se généraliser, notamment pour les célibataires et les personnes divorcées qui ont de plus en plus facile à rencontrer des compagnons de voyage grâce à des applications dédiées.
Casper Menting
Autre marqueur indéniable : depuis le début de la pandémie, le besoin de nature semble de plus en plus prégnant pour les vacanciers. Ils sont désormais nombreux à privilégier une certaine authenticité à la campagne en louant des logements typiques au beau milieu de grands espaces avec des champs à perte de vue. Sans surprise, certaines destinations attirent désormais tous les regards, comme plusieurs départements ruraux français mais aussi l’Ardenne belge ou encore le Limbourg et l’Eifel en Allemagne. Un besoin de nature qui est généralement conjugué à une destination proche afin de limiter l’empreinte carbone du déplacement.
The Anam
Enfin, le bien-être constitue lui aussi désormais une donnée essentielle dans le choix d’un voyage ou d’une destination. D’après une étude réalisée par McKinsey, 79 % des personnes sondées considèrent le bien-être comme un critère capital pour leur temps libre, voire une priorité absolue pour 42 % d’entre elles ! Du coup, plusieurs acteurs du tourisme y voient une façon de réinventer l’expérience client. À titre d’exemples, des hôtels n’hésitent plus à investir dans du matériel visant à améliorer le sommeil de leurs clients, tandis que d’autres se lancent dans l’organisation de retraites pour des voyageurs en quête d’apaisement.
A six heures d’avion depuis Bruxelles, Boa Vista fait partie de l’archipel du Cap Vert qui compte dix îles disposées comme la lettre V dont la pointe est tournée vers l’Afrique. Tout au bout de celle-ci, comme une flèche vers le continent noir, voilà Boa Vista. L’île de Sal, au nord, se trouve à quelques coups d’aile de goéland. Toutes deux sont situées à moins de 500 km de la presqu’île du Cap vert au Sénégal, d’où le nom de l’archipel.
Avec ses 620 km², Boa Vista ressemble à un désert en mer avec des dunes à perte de vue, une végétation rare et parsemée, des routes pavées qui se perdent dans des paysages hérissés de grands palmiers pliés par les alizés. Le long de la côte, des plages immenses voient déferler des rouleaux d’écume venus du bleu intense de l’océan. Avec ses 378 mètres, le point culminant de l’île fut un volcan il y a belle lurette.
Les villages de Rabil, João Galego, Povoação Velha, Estância de Baixo alignent leurs maisonnettes de toutes les couleurs. Certains hameaux ont une école, parfois une taverne et quelques boutiques de souvenirs. Au bout des ruelles pavées, d’autres maisonnettes et puis souvent la petite église toute simple.
L’île fut découverte en 1456 par Diogo Gomes, explorateur portugais. Son nom traduit en « Belle Vue » s’explique peut-être du fait qu’elle fut la première à apparaître à l’horizon en venant d’Afrique. Un peu à l’écart des grandes routes commerciales, l’archipel devint aussitôt une colonie portugaise puis une escale pour le trafic des esclaves entre Afrique et Amérique.
Aujourd’hui, l’accueil des habitants est tout en gentillesse et convivialité. D’ailleurs, le slogan de l’archipel est « no stress ». On y parle portugais, un peu français et un créole unique. « Ici le crioulo n’est pas le même d’une île à l’autre… mais on se comprend toujours!», plaisantent les Capverdiens… L’île qui développe tranquillement son tourisme a vu la construction de quelques grands hôtels de luxe en all-in, incroyables Babylones entre dunes et plages.
Mis à part le farniente, la plage, les spas et autres bains de soleil près des immenses piscines, parmi les activités à faire viennent les excursions en quad, en pick up ou en 4X4 pour des tours de l’île. De quoi découvrir quelques plages perdues (Santa Monica et ses onze kilomètres de sable blanc, Santa Maria et sa célèbre épave rouillée…) ainsi que quelques petis saharas comme celui de Viana et ses vagues de dunes. Des sorties en mer permettent de profiter du soleil et des alizés, tandis que le kitesurf est plutôt réservé aux pros.
La capitale, Sal Rei est un ensemble hétéroclite d’habitations dont le centre et la petite plage ont gardé leur charme avec quelques ruelles pavées, des habitations colorées et des barques tirées sur le sable. Quelques bars ouverts sur la rue lâchent des airs de musique traditionnelle. Il s’agit du morna et du funaná. Le morna dont l’île est le berceau est une musique un peu nostalgique rendue célèbre chez nous par une certaine Césaria Evora. Plus rythmé et déhanché, le funaná a des petits airs cubains et se danse parfois, voire souvent, cela dépend de l’ambiance, des cocktails et des bières ainsi que du rhum qui coulent parfois à flots… Car de nombreux petits concerts improvisés ou programmés égaient les tavernes et les restaurants.
Boa Vista est également célèbre pour deux fantastiques rencontres mais qui ne se déroulent pas toute l’année. La plus impressionnante est l’arrivée des baleines à bosse (de mars à mai) avec des sorties en bateau pour les admirer des près. Quant aux tortues marines, ce sera plutôt de juillet à octobre, sur la côte sud-est de l’île qui est la troisième plus grande réserve mondiale de tortues caouannes après Oman et la Floride. Des visites guidées pour observer la nidification des tortues ont lieu tous les soirs de juin à mi-octobre… Bref, qui a dit qu’il n’y avait rien à faire à Boa Vista ?
L’archipel du Cap Vert est le royaume de l’été quasiment 360 jours par avec de rares journées d’harmattan et de « bruma seca » chargée de sable venu d’Afrique. Quant à la pluie, elle semble avoir oublié l’archipel. Et beaucoup de vent chaud… surtout en hiver.