Les World Marathon Majors (WMM) ne sont pas de simples marathons. C’est une ligue à part, une sorte de Grand Chelem de la course à pied, qui regroupe aujourd’hui sept épreuves mythiques à travers le monde : Tokyo, Boston, Londres, Berlin, Chicago, New York… et désormais Sydney, intégrée officiellement en 2025.
Le principe ? Une compétition annuelle réservée aux élites (valide et fauteuil), avec un système de points qui récompense les meilleurs classements. Chaque athlète peut marquer des points dans plusieurs courses, mais seuls ses deux meilleurs résultats sont retenus. Le cumul final détermine le classement général, avec une prime de 500.000 dollars à la clé pour le gagnant et la gagnante des 10 derniers WMM.
Mais l’objectif n’est pas que financier. Pour de nombreux coureurs amateurs, la vraie récompense, c’est la fameuse médaille Six Star (désormais Seven Star, puis potentiellement Nine Star si deux marathons supplémentaires sont validés). Chaque étoile représente un marathon terminé. Pas de chrono, pas de podium, mais une aventure à raconter toute sa vie !
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Le circuit : 7 villes, 7 ambiances
Tokyo, c’est la discipline et la douceur japonaise, des rues impeccables, une foule polie mais passionnée.
Boston, c’est le doyen, l’épreuve mythique avec sa célèbre côte de Heartbreak Hill et sa météo imprévisible.
Londres, c’est la convivialité britannique, entre éclats de rire et déguisements improbables. On court sous les encouragements constants, souvent trempé….
Berlin, c’est la vitesse. Le parcours est plat, les records du monde y tombent régulièrement. Moins d’émotion, mais beaucoup de performance.
Chicago, c’est le mix parfait entre parcours rapide et ambiance électrique. Chaque quartier a son identité, chaque rue vibre.
New York, c’est l’apothéose. Cinq boroughs, une foule gigantesque, des orchestres, des larmes à l’arrivée. C’est bruyant, épuisant… et inoubliable.
Et Sydney ? C’est la nouvelle pépite du circuit. Le seul Major de l’hémisphère sud. Départ sur l’Harbour Bridge, arrivée devant l’Opéra, 317 m de dénivelé au menu. L’ambiance y est déjà unique, entre chaleur humaine, paysages sublimes et ce parfum d’Océanie qui sent bon le voyage.
Il n’existe pas de règle générale concernant les animaux que vous pouvez emmener à bord d’un avion. Vous devez donc consulter les conditions spécifiques de la compagnie aérienne avec laquelle vous partez. Ces conditions sont souvent disponibles en ligne sur le site web de la compagnie concernée.
Cabine
Il est souvent permis d’emmener de petits chiens ou chats en cabine et de les garder « auprès de vous ». Généralement, il est exigé que l’animal et son sac de transport ne pèsent pas plus de 8 kilos au total. De plus, un seul animal est autorisé par passager. L’animal ne peut pas non plus déranger les autres passagers.
Soute
Dans certains cas, il est aussi possible d’emmener votre chien ou votre chat en soute. Là encore, les conditions peuvent varier d’une compagnie à l’autre. Il peut par exemple être requis que l’animal ait au moins 12 semaines, qu’il soit transporté dans une caisse de transport bien fermée, agréée pour le transport aérien, dans laquelle il peut se tenir debout et se retourner. Sachez aussi que certaines races de chiens et de chats peuvent être exclues.
Formalités
Si vous souhaitez voyager avec votre animal, assurez-vous qu’il dispose d’un passeport européen, qu’il soit pucé et qu’il ait reçu les vaccins nécessaires. Veillez également à ce que votre compagnon réponde aux exigences en vigueur dans le pays de destination.
Si votre vol a un retard significatif, vous pouvez pour le moment réclamer une indemnisation :
un retard d’au moins 2 heures pour un vol de maximum 1500 km,
un retard d’au moins 3 heures pour un vol de plus de 1500 km à l’intérieur de l’Union européenne ou pour un vol entre 1500 et 3500 km à destination ou en provenance d’un pays non-européen,
un retard d’au moins 4 heures pour un vol de plus de 3500 km en dehors de l’UE.
Attention, cette règle ne s’applique pas aux vols quipartent d’un pays non membre de l’UE et qui sont opérés par une compagnie aérienne non-européenne.
Quel est le montant de l’indemnisation ?
L’indemnité s’élève à :
250 euros pour les vols jusqu’à 1500 km inclus,
400 euros pour les vols de plus de 1500 km à l’intérieur de l’UE ou entre 1500 et 3500 km en dehors de l’UE,
600 euros pour tous les autres vols.
Cette dernière indemnisation peut être réduite de moitié si le retard à l’arrivée est compris entre 3 et 4 heures. En cas de force majeure, aucune indemnité n’est due. Si le dommage subi est supérieur au montant forfaitaire prévu, il est parfois possible de réclamer une indemnité plus élevée.
Quels changements à l’avenir ?
Les ministres européens des Transports sont tombés d’accord pour n’accorder une compensation financière qu’en cas de retards plus importants. En outre, les montants des indemnisations forfaitaires seraient réduits de manière significative.
La durée de retard minimale passerait ainsi :
à 4 heures pour les vols courts,
et même à 6 heures pour les vols intercontinentaux.
En parallèle, les montants seraient revus à la baisse. Par exemple, l’indemnisation de 600 euros pourrait être réduite à 500 euros.
Cependant, cette nouvelle réglementation potentielle doit encore être votée au Parlement européen.
Si vous tombez malade pendant vos vacances (que vous soyez chez vous ou en voyage), vous ne perdez plus automatiquement ces jours de congé. Vous pourrez les reprendre plus tard, avec maintien du salaire. Votre employeur devra également vous payer un salaire garanti pour les jours durant lesquels vous étiez malade.
Attention toutefois : cette règle ne s’applique qu’aux jours de congé légaux. Si vous êtes en congé extralégal et tombez malade, il se peut que vous ne puissiez pas récupérer ces jours ultérieurement.
Quand les reprendre ?
Vous pouvez reprogrammer vos jours de congé à un moment convenu avec votre employeur. Cela signifie que vos vacances ne sont pas automatiquement prolongées du nombre de jours où vous avez été malade ! Si vous souhaitez reprendre vos jours de vacances immédiatement après la période de congé initiale, vous devez en informer à temps votre employeur. Cela n’est d’ailleurs possible qu’avec son accord.
Si vous êtes toujours malade en fin d’année, vous pouvez reporter les jours non pris pendant une période de 24 mois.
Vos obligations
Pour pouvoir reprendre vos jours de congé par la suite, vous devez respecter certaines obligations. Vous devez d’abord avertir immédiatement votre employeur de votre incapacité de travail.
Si vous n’êtes pas à votre domicile (par exemple, dans un hôtel à l’étranger), vous devez également communiquer votre adresse de séjour. Votre employeur a en effet le droit d’envoyer un médecin de contrôle, même sur votre lieu de vacances. Enfin, vous devez remettre un certificat médical à votre employeur.
L’Hôtel Van der Valk Nivelles-Sud, c’est 155 chambres et suites, spacieuses et confortables, réparties en 3 catégories. C’est aussi un restaurant dont la réputation n’est plus à faire : cuisine d’inspiration française, vaste carte, plats raffinés et buffet à volonté (tous les midis en semaine ainsi que le vendredi soir, le samedi soir et le dimanche midi). C’est encore un magnifique espace Wellness & Fitness, avec hammam, sauna, jacuzzi, piscines et centre de soins.
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L’établissement jouit de plus d’une situation incroyable : c’est le lieu idéal pour découvrir Nivelles, capitale du Roman Païs de Brabant, et pour partir en excursion. Depuis l’hôtel, vous rejoindrez aisément les routes qui mènent aux chemins de campagne : à vous les randonnées et les coins pittoresques à explorer.
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Cet été, le Van der Valk propose plusieurs packages exceptionnels et, parmi ceux-ci, le package « Namasté », dont le nom est à lui seul une invitation à la détente.
Imaginez déjà : une chambre ou une suite catégorie « executive » avec unn cocktail de bienvenue, à siroter tranquillement sur la terrasse ensoleillée, avant de se restaurer d’un menu 3 services. Un accès aux piscines intérieure et extérieure et au Spa, pour fondre de plaisir. Sans oublier le massage « duo » de 50 minutes au centre de soins de l’hôtel. Et le lendemain matin, un savoureux buffet petit déjeuner.
La promesse donc de passer du temps de qualité avec votre moitié, à moindre coût. C’est si tentant ! Ressourcement. Relaxation. Détente. Farniente. Autrement dit, un moment suspendu, comme on les aime tant. L’offre promotionnelle rend tout cela possible à partir de 425 euros.
Et pour être décontracté et posé dès l’arrivée, sachez que l’hôtel dispose d’un parking gratuit : il n’y a qu’à réserver… et profiter !
La Chaussée des Géants, joyau naturel de l’Irlande du Nord, souffre. Non pas à cause de l’érosion naturelle (elle gère ça depuis 60 millions d’années), mais à cause d’une habitude touristique aussi tenace qu’incongrue : glisser des pièces de monnaie dans ses failles.
Un geste censé porter chance ou attirer l’amour, selon une superstition qui, visiblement, n’a pas été testée scientifiquement. Résultat : des milliers de pièces coincées dans les colonnes de basalte, qui rouillent, gonflent, éclatent la roche, et défigurent ce site classé à l’UNESCO.
Quand la magie abîme la pierre
Cliff Henry, du National Trust, ne cache pas son inquiétude : « Ces pièces causent de sérieux dégâts au site et nous devons agir », rappelle-t-il, appuyé par un rapport de la British Geological Survey datant de 2021. Les effets sont bien visibles : des marques brunes peu gracieuses, et des fissures agrandies par la dilatation des métaux.
Le retrait des pièces a été testé par des tailleurs de pierre — avec succès — mais cela a un prix : environ 30.000 livres (plus de 34.000 €). En attendant, des panneaux et des guides touristiques bienveillants mais fermes sensibilisent les visiteurs à ne plus transformer ce site volcanique en tirelire sentimentale.
Le secret de cette croissance ? Un cocktail bien dosé de nouveautés et d’expériences inédites :
Une troisième boutique dédiée aux minéraux (avis aux collectionneurs de cailloux brillants),
Un taux d’occupation de 90% pour les hébergements, qui comptent désormais 121 chambres,
Et surtout, l’inauguration d’un 9e monde, Les Îles du Soleil Levant, ambiance Japon zen garanti (mais sans les sushis, dommage).
Sans oublier “Préhi-Daiza”, l’exposition immersive pour marcher dans les pas des dinos.
Des pandas… et des emplois
Le parc ne pense pas qu’à ses animaux : avec 126,6 millions d’euros d’investissements, Pairi Daiza voit grand. Et pas seulement pour ses enclos : une étude indépendante affirme que l’activité a généré 145,2 millions d’euros de retombées économiques et 3.167 emplois, directs et indirects.
Cinq ans après la crise du coronavirus, le tourisme mondial a repris ses droits. Selon ONU Tourisme, l’année 2024 a vu 1,47 milliard de voyageurs internationaux. En tête du classement ? La France : avec 102 millions de visiteurs internationaux, l’Hexagone signe une progression de 2 % par rapport à 2023. Le combo gagnant ? Sa gastronomie, ses musées… et les Jeux Olympiques.
Les poursuivants font mieux qu’avant
Juste derrière, l’Espagne a explosé les compteurs avec 93,8 millions de touristes, soit 10 millions de plus qu’avant la pandémie. Les États-Unis, eux, enregistrent un léger recul avec 72,4 millions de visiteurs, en baisse de 7 millions comparé à 2019.
Et les autres dans tout ça ?
Dans le reste du top 10 :
Turquie : 60,6 millions
Italie : 57,7 millions
Mexique : 45 millions
Chine, Royaume-Uni, Allemagne (37,5 M) et Japon (36,9 M)
Bon à savoir : les chiffres de la Chine et du Royaume-Uni restent des estimations, les données officielles se faisant désirer.
Vous vous souvenez encore du temps où l’on vous servait à bord une purée sans saveur, des légumes mous sans assaisonnement et un morceau de viande caoutchouteux difficile à identifier ? Ce genre de repas appartient peu à peu au passé. Si, sur les vols low-cost, il faut encore sortir sa carte de crédit pour calmer sa faim, sur les vols paneuropéens opérés par des compagnies « classiques » – et a fortiori sur les vols intercontinentaux – un repas est souvent inclus. Et les compagnies aériennes sont de plus en plus attentives à la qualité et à la diversité de leur offre.
Allergies et préférences alimentaires
Une tendance générale se dessine : une plus grande attention portée aux allergies alimentaires. Aujourd’hui, un passager sur sept présente une forme d’intolérance ou d’allergie : lactose, gluten, arachides, amandes, poisson, crustacés… Autant de produits qui peuvent entraîner de simples désagréments, ou dans le cas d’allergies sévères, des conséquences beaucoup plus graves. Surtout lorsqu’on est en plein vol, à haute altitude, sans accès immédiat à une assistance médicale…
À côté des allergies, les préférences alimentaires sont également en hausse : régime halal, végétarien, végétalien… Pensez donc à signaler clairement vos besoins spécifiques au moment de la réservation, et en cas d’allergie, n’hésitez pas à le rappeler une nouvelle fois à l’équipage en embarquant pour vous assurer qu’ils en tiennent bien compte.
Une partie intégrante de l’expérience de voyage
Mais manger à bord ne se limite plus à une simple nécessité : c’est désormais un élément de l’expérience globale de voyage. Pour beaucoup, les vacances commencent déjà dans l’avion.
Lors de la présentation de Chocolatitude, une sélection de pralines conçue par la maison belge The Chocolate Line en collaboration avec Singapore Airlines, nous en avons discuté avec Christian Stenkewitz, General Manager de la compagnie asiatique pour le Benelux : « En tant que compagnie aérienne premium, nous accordons une attention toute particulière à la qualité des repas servis à bord. Nous appliquons des critères de sélection rigoureux et organisons des tests de dégustation pour choisir les produits que nous proposons », explique Stenkewitz.
L’évolution du goût en vol
Julius Persoone, à l’origine de la collection Chocolatitude chez The Chocolate Line, confirme cette volonté : « Pour l’instant, cette collection est uniquement disponible dans les boutiques The Chocolate Line, donc pas encore servie à bord des vols de Singapore Airlines. Mais cela pourrait arriver, car nous avons pris en compte de nombreux paramètres. Les 9 pralines offrent une grande diversité de saveurs pour séduire un large public, dont une version plus expérimentale au Vegemite et cacao fumé. La praline signature est vegan, mais a été développée pour que son goût ne le laisse pas deviner. Et chaque praline doit être une explosion de saveurs, même en altitude. »
Ce n’est en effet un secret pour personne : le goût change en avion. Plusieurs facteurs l’expliquent : la baisse de la pression rend les papilles moins sensibles, l’air sec diminue la perception des arômes, et le bruit ambiant peut également altérer la dégustation. C’est pourquoi les compagnies adaptent l’assaisonnement de leurs plats en conséquence.
À la carte
L’année dernière, Singapore Airlines a lancé une toute nouvelle offre de repas pour les passagers en Premium Economy, avec une sélection de 200 plats. En plus des repas spécifiques commandés à l’avance pour certains régimes, deux plats principaux sont toujours proposés au choix.
Mais la compagnie va encore plus loin. « Nous offrons aussi une option à la carte via le service Book the Cook », explique Christian Stenkewitz. « Le menu propose jusqu’à 20 plats différents, qui varient selon les saisons. Les passagers peuvent faire leur choix jusqu’à 24 heures avant le départ. Ces plats ont été élaborés en collaboration avec des chefs et incluent également des menus bien-être, plus sains, pour aider l’organisme à rester en forme pendant les longs vols. Nous proposons aussi des plats d’exception, comme un homard thermidor ou encore du Louis Roederer Cristal 2015 pour les passagers en First Class. »
Quand manger devient une question de sécurité
Ce que mangent les pilotes vous préoccupe sans doute peu… Et pourtant, il y a une règle essentielle : le pilote et le copilote ne mangent jamais le même plat. En 1975, 144 passagers sont tombés malades à bord d’un vol de Japan Airlines entre Anchorage (États-Unis) et Copenhague (Danemark), après avoir consommé des aliments contaminés par des staphylocoques. Le pilote et le copilote, eux, avaient mangé un repas différent… et n’ont pas été touchés.
Les conséquences auraient pu être dramatiques s’ils avaient été malades eux aussi. Depuis cet incident, Japan Airlines a imposé que chaque membre de l’équipage reçoive un plat différent. Une mesure reprise depuis par la majorité des compagnies aériennes.
Cinq partis suisses se sont mis d’accord pour proposer ce système au Parlement. Leur idée ? Un péage dynamique, avec des prix plus élevés pendant les vacances ou en période de forte affluence. Les plaques seraient scannées à la frontière et une facture envoyée si votre passage s’apparente à du transit pur et dur. En gros : pas de nuit sur place ? Pas de pitié, annonce Gocar.
Objectif affiché : inciter les touristes à séjourner dans le pays plutôt que d’y faire un simple passage éclair. Mais pour l’instant, aucune précision n’a été donnée sur la durée de séjour minimale pour éviter le péage.
Ce n’est pas la première fois qu’un péage est évoqué en Suisse. Mais jusqu’ici, seul l’usage des tunnels avait été visé. Ces projets avaient été abandonnés pour ne pas pénaliser les habitants du Tessin, qui dépendent fortement de ces axes. Cette fois-ci, l’enjeu est juridique, car des accords avec l’Union européenne sur la libre circulation routière pourraient venir compliquer l’affaire.