La Pokémon Company a annoncé l’ouverture du tout premier parc à thème Pokémon, baptisé PokePark Kanto, en plein cœur de Tokyo. Prévu pour le printemps 2026, ce temple du Pikachu s’étendra sur 2,6 hectares dans l’enceinte de Yomiuri Land, le plus grand parc d’attractions de la capitale.
Junichi Masuda, directeur créatif chez Pokémon Company, explique : « Nous voulons créer un lieu où les Pokémon sont toujours présents, et où chacun peut s’amuser avec eux. »
Deux zones, mille aventures
Le parc sera divisé en deux univers :
Une forêt Pokémon, sauvage et mystérieuse, idéale pour jouer au dresseur en herbe.
Une zone commerciale et d’attractions, pour vider son portefeuille avec le sourire.
Le Japon mise sur ses monstres de poche
Depuis la sortie du premier jeu Pokémon en 1996 sur Game Boy, la franchise n’a cessé de muter. Jeux, films, série animée, cartes à collectionner et bien sûr Pokémon Go, qui a ramené des millions de fans dans les rues. Un parc à thème semblait être l’évolution logique8
À quelques kilomètres de Lisbonne, Loures propose désormais un parcours piéton et cyclable qui longe la rive droite du Tage sur plus de 6 km. Ce nouvel itinéraire, pensé pour relier la capitale à Vila Franca de Xira, combine, selon les dires de ses auteurs, mobilité douce et valorisation du paysage naturel.
Artur Carvalho & João Guimarães
Le sentier traverse différents quartiers de Loures, reconnectant des zones urbaines autrefois séparées par des infrastructures routières. C’est aussi une belle option pour ceux qui cherchent une balade au calme, à pied ou à vélo, loin de l’agitation du centre-ville !
Artur Carvalho & João Guimarães
Une immersion en pleine nature
Ce qui surprend ici, c’est le contraste : à seulement quelques minutes d’une zone dense, on se retrouve face à des marais salants, des roselières et des vasières. Ces milieux accueillent une biodiversité remarquable et offrent un cadre idéal pour l’observation des oiseaux.
Artur Carvalho & João Guimarães
Le parcours a été conçu pour inciter à prendre son temps. On peut s’arrêter sur un banc, écouter les sons du marais ou observer les mouvements du fleuve. On ne parle pas juste de pistes cyclables bien lisses. On parle d’un chemin sinueux de 6,2 km, qui préfère les détours aux lignes droites, les pauses contemplatives aux sprints du dimanche matin.
Animations, conférences, visites, expos, stages, ateliers, concerts, spectacles, balades… C’est un kaléidoscope d’activités qui vous attend au cœur des ruines majestueuses. Impossible de tout vous énumérer ici… mais voici un petit tour d’horizon de l’agenda haut en couleurs de l’abbaye !
Visites et découvertes nature
Des visites de l’Abbaye ont lieu tous les dimanches à 14h30 (sans réservation), ainsi que des visites guidées du jardin (jusqu’en septembre) et de ses plantes médicinales. Des ateliers d’herboristerie sont d’ailleurs organisés jusque fin septembre. La visite du vignoble de l’abbaye et les balades nature sont une autre manière de découvrir le site.
Abbaye de Villers-La-Ville
Expositions à ne pas manquer
Jusqu’au 17 août, deux expos sont à découvrir dans l’Abbaye : « Notre Jardin Extraordinaire. Safaris insoupçonnés près et loin de chez vous » – 26 photos de nature et de vie sauvage en grand format. L’exposition se base sur une sélection d’images partagées par une communauté de passionnés, celle du ” Jardin Extraordinaire, et « Regard(s) sur l’Abbaye ». À travers l’objectif de 5 photographes, on revit des événements culturels de l’année.
Activités familiales ludiques
Participez en famille au « Jeu du Cloître » (sur réservation): 15 défis d’observation à relever ensemble avant de trouver le trésor des moines, oserez-vous relever le défi ?. Mais encore, un atelier corporel parent-enfant (sur réservation) : une autre façon de partager un moment unique avec votre petite tête blonde.
Abbaye de Villers-La-Ville
Journées bien-être et détente
Prenez soin de vous dans un cadre hors du temps… Des journées bien-être sont proposées aux adultes, autour de la sylvothérapie, de l’art, de la médiation et de la kinésiologie — prochains rendez-vous, les 26 septembre et 15 novembre.
Et ne manquez pas Le Jardin du Yoga, de retour pour sa 8e édition le 7 septembre à l’Abbaye. Une journée pleine d’énergies positives à vivre en harmonie avec la nature et soi-même. (sur réservation)
Abbaye de Villers-La-Ville
Événements culturels et conférences passionnantes
Dans un autre style, la soirée consacrée à la conférence sur la gestion de l’eau dans les établissements religieux brabançons du Moyen Âge se tiendra le 11 septembre aussi : l’occasion de se réunir pour partager « savoir et repas ».
…Et ce n’est qu’un aperçu !, Les incontournables vous attendent : les Médiévales, le spectacle théâtral de l’été, sans oublier les innombrables soirées concerts-spectacles du Cabaret du moine qui ont lieu dans la magnifique salle romane.
Abbaye de Villers-La-Ville
L’Abbaye vous réserve bien des surprises !
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À Najaf, en Irak, le Wadi al‑Salam s’étend sur 9,17 km², faisant de lui le plus vaste cimetière de la planète. On y estime des millions de dépouilles depuis le VIIᵉ siècle !
La proximité du sanctuaire de l’Imam Ali lui confère une importance religieuse majeure : au sein du chiisme, seuls La Mecque et Médine sont supérieurs, rapporte le Guinness Book.
Le cimetière est un enchevêtrement de tombes collectives et de cryptes, pouvant contenir jusqu’à 50 corps chacune. Au plus fort de la guerre d’Irak, 250 corps étaient inhumés chaque jour.
Malgré son nom évoquant la paix, l’histoire récente est marquée par la violence. Ce terrain labyrinthique a servi de refuge à des combattants chiites — lors des soulèvements contre Saddam Hussein ou l’occupation américaine. En 2004, lors des affrontements entre l’armée américaine et la milice du religieux Muqtada al‑Sadr, des mortiers et roquettes ont touché le site, endommageant plusieurs édifices funéraires. Même dans le repos éternel, l’histoire humaine sut y imposer ses conflits.
À La Rochelle, l’inventivité des loueurs saisonniers ne connaît pas de frein… ni d’attache réglementaire. Depuis que la ville interdit les boîtes à clés sur le mobilier urbain (novembre 2024), certains propriétaires ont trouvé un nouveau complice : le… vélo abandonné, parfois même un vélo pour enfant, devenu support discret.
Un cliché posté par une élue locale sur les réseaux sociaux, montrant un vélo bleu muni d’une boîte à clés, a mis le feu aux rayons. Son message ? Un pamphlet moral visant le supposé propriétaire : « Redonne à ce vélo sa vraie fonction : faire découvrir la ville aux enfants. » Ambiance.
Mais le retour de pédale a été rapide. Jean-Antoine Montcho, concierge Airbnb et gestionnaire local, s’est exprimé dans Sud Ouest, dénonçant une vision manichéenne : « Oui, des propriétaires locaux tentent de valoriser un bien pendant l’été pour survivre, pas pour s’enrichir. » Et de rappeler que ces logements retournent souvent dans le circuit étudiant en septembre, et que les boîtes sur vélo valent mieux qu’un accrochage sauvage sur une façade historique.
Surtourisme ou survie économique ?
Le fond du débat ? Une tension toujours plus forte entre surtourisme et crise du logement. L’un pédale pour boucler ses fins de mois, l’autre freine des deux pieds devant la raréfaction des résidences principales. Entre les deux, un petit vélo bleu devenu symbole de cette friction urbaine…
Aujourd’hui, on ne parle plus de chasse, mais de rencontres respectueuses et de moments suspendus. Le lion règne sur la savane avec autorité, la force tranquille de l’éléphant fascine, le léopard reste un caméléon furtif dans les arbres, le buffle incarne la sauvagerie imprévisible, et le rhinocéros, menacé, symbolise la fragilité de la biodiversité africaine.
Pour tout safariste digne de ce nom, en voir même quatre sur cinq laisse un goût d’éternité. En revanche, les cinq réunis pour un seul séjour… c’est la légende. Et ça se raconte encore après le retour.
Parc Kruger (Afrique du Sud)
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Le Kruger National Park, s’étendant sur 20.000 km², propose une communion avec la nature. Là, les réserves privées comme Sabi Sands ou Timbavati, associés à des guides ultra‑expérimentés, offrent des safaris en 4×4, à pied ou de nuit, avec souvent des observations de léopards – chose rare et magique. Hôtellerie haut de gamme ou charme rustique au coucher du soleil : Kruger sait surprendre.
Maasai Mara + Serengeti (Kenya & Tanzanie)
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Ces deux voisins sont les stars de la Grande Migration.
Maasai Mara : densité élevée de lions, de rhinos noirs, et accès à des safaris en montgolfière.
Serengeti : plébiscité en 2024 comme meilleur parc d’Afrique par plusieurs sources dont le WTA, habitacle de milliers de lions, et expérience immersive sans équivalent.
Le duo permet de vivre deux ambiances : la tradition tribale masaï d’un côté, et les plaines sans fin de l’autre.
Botswana – Delta de l’Okavango & Parc National de Chobe
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Le contraste eau/terre, c’est ici. Safaris en mokoro (pirogue) dans les marécages d’Okavango, et game drives dans Chobe, réputé pour ses milliers d’éléphants. C’est l’endroit idéal pour combiner faune terrestre et fluviale, souvent dans des lodges sobres et intégrés.
Namibia – Parc national d’Etosha
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Une autre vision avec la plaine blanche salée d’Etosha comme toile. Les points d’eau deviennent des scènes animalières en plein jour. Cerise sur le gâteau, il est parfaitement possible de visiter le parc avec votre véhicule de location. Envoûtant.
“Le Mexique aux Mexicains”, scandaient des manifestants début juillet, dénonçant une gentrification qui transforme leurs quartiers en cartes postales Airbnb.
Des tensions qui montent
Certains ont vu rouge, au sens propre : vitrines brisées, slogans virulents, ambiance tendue. La présidente Claudia Sheinbaum a condamné ces débordements, les qualifiant de comportements “xénophobes”. Mais derrière les excès, un vrai malaise : la ville se transforme sous l’effet du tourisme longue durée, parfois au détriment de ceux qui y vivent toute l’année. Le gentrification des quartiers aurait fini par tuer l’âme bohème de certains quartiers. Ce qui est certain, c’est qu’elle a clairement fait grimper les prix et notamment des logements !
Google dit : « novembre à avril ». ChatGPT répète. Et pourtant… bullshit, nous dit Van Thai Nguyen, un agent local ! « En réalité, choisir le bonne période au Vietnam est comme un cocktail musical. Il faut jongler sur différents paramètres. Le client, en tant que «DJ» doit nous renseigner sur ses préférences », nous dit-il.
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Vous fuyez la canicule mais la pluie ne vous fait pas peur ? Cap sur janvier-février dans le Nord. Si, au contraire, vous avez besoin de soleil et de ciel azur, et que la chaleur ne vous dérange pas, essayez mai-juin dans le Nord et le Centre.
kenneth oh
Budget : le prix d’un guide peut tripler !
La haute saison tarifaire ? Mars, avril, octobre. Pourquoi ? « Les guides francophones, qui sont une denrée rare et ils peuvent vous coûter trois fois plus cher en haute saison. », nous dit notre agent.
Rizières : la grande illusion de novembre
Vous rêvez de rizières vert fluo ? Attention au piège. En novembre, elles sont souvent… vides. Entre périodes de culture, accès compliqué, et mauvaise synchronisation, on se retrouve vite à photographier de la boue.
leo nguyen
Expériences : à chacun sa saison
Si vous désirez vivre le Nouvel An vietnamien, notre guide conseille les deux semaines qui précèdent le Réveillon. Notez qu’avec le calendrier lunaire, il peut y avoir des surprises d’une année sur l’autre… Voilà donc pourquoi l’activité est souvent déconseillée dans les guides !
Si, en revanche, vous désirez plutôt vivre la culture du thé, sachez que l’aromatisation du lotus se déroule en mai-juin dans le Nord, tandis que la cueillette se fait entre septembre et février.
Alors non, ChatGPT ne peut pas faire tout ça tout seul. Et les guides papier ? Ils préfèrent souvent éluder la question. Voilà pourquoi l’avis d’une agence reste conseillé !
Depuis début juillet, c’est officiel : les Parisiens peuvent enfin se baigner dans la Seine !. Un événement historique, puisqu’il fallait remonter à 1923 pour retrouver les dernières baignades autorisées dans le fleuve.
3 sites, zéro centime, un million d’euros…
Trois sites sont ouverts tout le mois d’août : au bras Marie, au bras de Grenelle (près de la Tour Eiffel) et à Bercy. Le tout est gratuit, bien encadré, et plutôt bien équipé : pontons, vestiaires, douches…
Derrière cette baignade estivale se cache une transformation d’ampleur : 1,4 milliard d’euros investis pour rendre l’eau propre. Car oui, nager dans la Seine, c’est aussi une réponse aux canicules de plus en plus fréquentes. Bon à savoir, des drapeaux colorés vous signaleront si l’eau est safe (vert), douteuse (jaune), ou carrément fermée (rouge).
21,5 millions de touristes… et ce n’est que le début
Le Japon vient de franchir un cap historique avec 21,5 millions de touristes étrangers entre janvier et juin 2025, soit une hausse de 21 % par rapport à l’an dernier. Un record battu à mi-parcours, salué comme un « rythme jamais vu » par l’Office national du tourisme japonais.
Le mois de juin, souvent discret sur le plan touristique, a explosé avec 3,4 millions de visiteurs, dopés par les vacances scolaires et une appétence internationale retrouvée pour le pays du saké et des sushis.
Qui visite ? Qui hésite ?
Ce boom est en grande partie tiré par la Chine, la Corée du Sud, Singapour, l’Inde, les États-Unis et même l’Allemagne. Bref, une carte postale mondiale… sauf pour Hong Kong.
Là, c’est la douche froide : une chute de 33 % des arrivées en juin. La faute à des rumeurs en ligne annonçant un séisme majeur en juillet 2025. L’origine ? Un manga republié en 2021, dans lequel un rêve de l’auteur prédisait une catastrophe. De quoi semer le doute. Les autorités ont eu beau démentir, l’effet a été réel.
Tourisme de masse : Kyoto étouffe
Si l’objectif gouvernemental est ambitieux — 60 millions de touristes par an d’ici 2030 —, il s’accompagne d’une volonté de décentraliser le flux touristique. Kyoto, comme Venise, voit ses habitants froncer les sourcils devant le surtourisme.