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Category: À la plage

  • Le Soir Voyage : une brochure qui vous emmène autour du Monde

    Le Soir Voyage : une brochure qui vous emmène autour du Monde

    Le journal Le Soir propose un encart en collaboration avec Vacancesweb. Une pépite à ne pas manquer et une véritable aubaine pour les globetrotteurs ou ceux qui souhaitent simplement rompre avec la routine. Laissez-vous transporter vers des destinations aussi variées qu’enrichissantes.

    Washington
    Vlad Tchompalov

    En Jordanie, découvrez Pétra, un concentré d’histoire millénaire, et au Kirghizistan, partez en compagnie de Pierre Kroll au coeur d’une nature sauvage. Le Japon vous invite à découvrir une culture à la fois traditionnelle et contemporaine, tandis que le  Spitzberg et son environnement intact vous émerveilleront.

    Kirghizistan
    Bobby Rahe

    Et pour ceux qui souhaitent un dépaysement proche, une sélection d’hôtels belges est proposée avec de belles promotions. De quoi profiter d’un séjour détente le temps d’un week-end sans quitter le pays…

    Ces destinations, et tant d’autres, vous attendent impatiemment dans la brochure Le Soir.

    je découvre la brochure Le Soir

     

  • Top 5 des découvertes hivernales et automnales en Vendée

    Top 5 des découvertes hivernales et automnales en Vendée

    1ère découverte : Noirmoutier en l’île

    Marais salants Stéphane Grossin

    L’île de Noirmoutier est un véritable écrin de beauté en hiver ! Les marais salants se transforment en une toile de couleurs hivernales, offrant un spectacle absolument époustouflant. Et que dire de la floraison du mimosa entre février et mars ? C’est un festival de couleurs et de parfums qui rend l’île magique et enchantée ! Enfin, ne terminez pas le tour de l’île sans faire une étape au Musée des Traditions de l’Île est une fenêtre ouverte sur la riche culture locale, dévoilant les secrets de l’univers marin, de la saliculture et de l’agriculture de l’île. C’est une expérience incontournable, surtout lorsque l’île est paisible en basse saison !

    2ème découverte : Les Essarts

    Chateau les Essarts Simon Bourcier

    Les Essarts, c’est la promesse d’une évasion naturelle en famille ! Le Parc Saint-Michel, avec ses 6 hectares de verdure, est un véritable havre de paix où les arbres aux couleurs automnales créent un tableau vivant. N’oubliez pas non plus de faire une halte au château des Essarts, riche de son histoire fascinante, propose une pléiade d’animations même en basse saison. C’est une immersion dans le passé, une aventure à vivre pleinement pour découvrir tous les trésors cachés de ce lieu magnifique !

    3ème découverte : Mortagne-sur-Sèvre

    Mortagne-sur-Sevre Julien Gazeau

    Mortagne-sur-Sèvre, c’est une petite cité de Caractère au charme incontestable ! Les Jardins de la Cure sont une invitation à l’émerveillement, offrant une vue imprenable sur la Vallée de la Sèvre Nantaise et ses coteaux. Flânez dans les ruelles atypiques et découvrez le riche patrimoine de cette ville charmante. Et pour couronner le tout, terminez la balade en bord de Sèvre pour une immersion dans un décor naturel où les couleurs d’automne se mêlent à la sérénité de la rivière.

    4ème découverte : Tiffauges

    Gîte la Vallée de la Roche Simon Bourcier

    Plongez dans l’histoire et la légende au Château de Tiffauges ! Ce lieu mystérieux se pare de mille feux lors du marché de Noël, créant une atmosphère féerique. Les randonnées, comme la boucle du château et la Vallée de la Roche, sont une ode à la nature, offrant des panoramas à couper le souffle. Et pour prolonger le plaisir, le Moulin de la Roche, rénové en gîte, vous accueille dans un cadre pittoresque et chaleureux.

    5ème découverte : Talmont Saint-Hilaire

    Talmont Saint-Hilaire Alexandre Lamoureux

    Talmont Saint-Hilaire est un paradis pour les gourmets et les amateurs de sensations fortes ! La dégustation d’huîtres au village ostréicole du port de la Guittière en février est un pur délice. Pour les amateurs de sports nautiques, le spot du Veillon est le lieu rêvé pour une session de kitesurf mémorable. Et après l’effort, le réconfort : une balade sur la plage déserte, où le bruit des vagues et la beauté sauvage de la Vendée vous enveloppent dans une douce sérénité.

  • Fin de saison idéale en Vendée

    Fin de saison idéale en Vendée

    Le Pays de Saint-Jean de Mont

    Alamoureux

    Situé à une heure au sud de Nantes, ici le décor n’est autre qu’océan, immenses plages de sable ­en pente douce et sans courant, forêt, marais et air iodé. Ici, vous allez adorer ce goût d’infini et de liberté. Vous aurez le choix entre de nombreux hébergements, le stationnement totalement gratuit, les sentiers et pistes cyclables balisés et sécurisés.

    La Tranche-sur-Mer en famille

    La Tranche sur Mer Julien Gazeau

    Ici l’ambiance est californienne dans ce petit village entouré de pins. L’endroit est idéal pour faire le plein d’activités, de soleil et de nature. Le bord de mer et ses 14km de plages de sable fin sont un cadre d’exception pour les amoureux de l’océan, des grands espaces et des moments privilégiés en famille.

    Le Puy du Fou, élu meilleur parc au monde

    Puy du Fou Julien Benhamou

    De l’Antiquité au XXe siècle, chaque jour, plus de 60 spectacles grandioses vous font voyager dans le temps avec des cascades époustouflantes et des effets spéciaux uniques au monde.

    Les Sables d’Olonne, environnement naturel exceptionnel

    Farid Makhlouf

    Ce village fait partie du club très sélect des « Plus Belles Baies du Monde », une distinction qui reconnaît ses grands espaces naturels préservés mais aussi son engagement pour la protection de la biodiversité. Idéal pour la randonnée, le vélo, le cheval, le paddle ou encore le canoë. De nombreux restaurants de poissons et fruits de mer sont à disposition.

    Le Marais Poitevin, la Venise verte de Vendée

    A vélo dans le Marais poitevin S. Bourcier

    Ce parc naturel labellisé Grand Site de France est la seconde zone humide de France après la Camargue. Un endroit unique, hors du temps, qui vous connecte en direct à la nature. Ce sont plus de 800 km de canaux, bordés d’arbres, que vous découvrirez à bord d’une barque traditionnelle, un incontournable de la région.

    Les îles d’Yeu et de Noirmoutier

    Simon Bourcier

    Impossible de choisir entre Yeu et Noirmoutier, chacune vaut le détour. Sur Yeu, vous prenez le large avec une petite impression de Grèce… Maisons blanches aux volets colorés, côte sauvage et eaux turquoise. Quant à Noirmoutier, l’île aux mimosas est un petit paradis pour les amoureux des randonnées à vélo. L’île perpétue les traditions ancestrales et transpire le savoir-faire artisanal.

    Pour préparer votre séjour, inspirez-vous sur:
    www.en-vendee.com

  • Voici comment les Espagnols désignent les touristes anglais. Et c’est peu flatteur…

    Voici comment les Espagnols désignent les touristes anglais. Et c’est peu flatteur…

    beach spain
    Eduardo Kenji Amorim

    Selon l’agence de statistiques espagnole EpData, la Grande-Bretagne représente la première source de touristes dans la péninsule ibérique. En effet, en février dernier, 784.496 Britanniques ont visité l’Espagne contre “seulement” 509.883 Allemands. Une présence en masse qui n’est pas au goût de tous les Espagnols, nos amis d’outre-Manche étant notamment connus pour leur sens de la fête qui vire parfois à l’excès.

    Du coup, en Espagne, les locaux ont adopté un sobriquet pour désigner les touristes anglais, qu’ils soient en villégiature à Malaga, Benidorm ou encore à Ibiza. Si le mot guiri est avant tout utilisé pour qualifier un touriste étranger de manière générale, celui-ci a pris une connotation péjorative ces dernières années. En effet, le mot s’est chargé d’un nouveau sens : un touriste étranger qui ne respecte pas les coutumes locales, qui se comporte de manière déplacée et, cerise sur le gâteau, qui est généralement en état d’ivresse. Guiri est également utilisé pour désigner un touriste à la peau très blanche venant du Nord, tout l’inverse des locaux qui ont pour leur part une peau mate.

    Enfin, le quotidien Daily Mail précise que selon une correspondante anglo-indienne installée à Madrid, le terme guiri renvoie aussi à un touriste qui se distingue par sa naïveté, son ignorance et qui refuse par principe de s’intégrer aux coutumes locales. Une particularité qui, bien entendu, est loin de valoir uniquement pour les seuls touristes britanniques…

  • Voici les communes les plus ensoleillés de Belgique

    Voici les communes les plus ensoleillés de Belgique

    Maxime Renard

    Régulièrement, l’Institut royal météorologique de Belgique (IRM) publie des cartes qui illustrent, à l’aide de différentes couleurs, le nombre moyen d’heures d’ensoleillement partout en Belgique. De quoi distinguer les zones les plus généreusement ensoleillées mais aussi celles qui le sont nettement moins.

    Celle qui bat tous les records, avec 5,1 à 5,2 heures de soleil par jour, soit environ 1.830 heures sur une année, est Knokke-Heist. Viennent ensuite, à égalité, Middelkerke, Sint-Laureins et Zeebruges, avec 5 à 5,1 heures de soleil par jour, soit 1.800 heures par an. Pour ce qui est des grandes villes belges, c’est Bruges qui emporte la mise avec 4,9 à 5 heures de soleil par jour (1.760 heures par an). Gand et Anvers la suivent de près.

    Et dans le Sud ?

    Au sud du pays, c’est Mons qui est la mieux placée, vraisemblablement grâce à sa proximité avec la mer du Nord. Puis, étonnamment, on trouve ensuite Arlon, qui bénéficie du célèbre microclimat de la Gaume. En troisième place sur ce podium wallon, on trouve Liège.

    À l’autre extrémité du classement, et ce à nouveau au niveau national, c’est Namur qui termine dernière. La région de Bruxelles-Capitale fait légèrement mieux mais demeure également dans le bas du classement.

  • Corse: Un paradis touristique en déclin ?

    Corse: Un paradis touristique en déclin ?

    Timo Horstschaefer

    La Banque de France a tiré la sonnette d’alarme, notant une baisse de 20 à 30% des réservations dans la majorité des hébergements touristiques en Corse, une situation inédite pour la haute saison. Les professionnels de l’hôtellerie, de la restauration et de la location de véhicules observent des baisses de volume.

    Selon Karina Goffi, présidente de l’UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie) de Corse, « la majorité des hébergements touristiques n’atteignent pas 80% de taux de remplissage », peut-on lire dans le Figaro. « Beaucoup accusent une baisse de 20 à 50% dans leurs réservations pour juillet-août », une situation sans précédent.

    Hendrik Cornelissen

    Les causes possibles

    Plusieurs facteurs sont évoqués pour expliquer ce déclin. Certains pointent du doigt les tarifs de transport exorbitants, « une mauvaise communication, la concurrence d’Airbnb, les réseaux sociaux contre le tourisme et les tags antifrançais qui fleurissent sur les murs. » Cependant, les compagnies de transport réfutent ces accusations, affirmant que leurs réservations sont satisfaisantes et que l’inflation affecte tous les domaines de l’économie.

    Quid de l’avenir

    La Corse va-t-elle disparaître progressivement des radars du monde touristique ? Ou cette situation n’est-elle que provisoire ?

     

  • Maurice, pourquoi découvrir cette île noyée de vert et de bleu

    Maurice, pourquoi découvrir cette île noyée de vert et de bleu

    Petit topo historique

    Maurice baigne au cœur de l’océan Indien, le plus tiède des océans, et elle doit sa notoriété pour avoir été jusqu’à la création du canal de Suez en 1869 une étape stratégique sur la route des Indes.

    Gravure du quai en bois de Port Louis, bâtiment des marchandises et des douanes (1861)

    Les premiers à s’y installer sont les Hollandais à la fin du 16ème siècle qui y développent un marché d’esclaves. Au début du 18ème siècle, ils quittent volontairement l’île, abandonnant une population métissée mais ils sont remplacés par les Français qui prennent possession des lieux et de nouveaux esclaves en provenance du Sénégal et de la Guinée y sont acheminés. Du contact entre les colons français et leurs esclaves naît le parler créole. En 1810 les troupes britanniques envahissent l’île mettant fin à l’occupation française, tout en autorisant les grands propriétaires fonciers franco-mauriciens à poursuivre l’exploitation de la canne à sucre, sauvegardant ainsi la langue française et le créole. Quand l’île perd sa position stratégique avec l’ouverture du canal de Suez, les exportations reculent, la pauvreté s’accroît, de plus la malaria ravage le pays. Au début du 20ème siècle la population mauricienne n’atteignait plus que 350000 habitants ! En 1992 Maurice devient une république indépendante, aujourd’hui sa population s’élève à quelque 1300000 habitants et il n’y a plus de recensement au nom de l’origine ethnique ou de la couleur de la peau, ils sont tous Mauriciens et fiers de l’être.

    Plage de Belle Mare Charles Mahaux

    Les plus belles plages de l’océan indien

    La chance de cette petite île, à peine 65km du Nord au Sud et 48km d’Est en Ouest, c’est la barrière de corail qui la ceinture, la protégeant de la houle qui s’écrase sur les récifs tout en créant un lagon aux eaux turquoise chaudes et sûres qui lèche les plages. Sable doré et palmiers ondoyants, fonds marins multicolores, horizon flamboyant au lever ou au coucher du soleil, tous les clichés d’une carte postale sont réunis à Maurice. Le plus difficile est de choisir son camp de base !

    Vue sur le Morne Brabant et la baie de Tamarin Charles Mahaux

    La beauté des lagons transforme la plongée et le snorkeling en une immersion dans un univers de rêve auprès des rascasses volantes, des grondins et des poissons flûte qui peuplent le lagon. Sur la côte Ouest et plus particulièrement au départ des plages de Flic-en-Flac ou de Tamarin, offrez-vous l’expérience unique de saluer des dauphins à long bec dans leur cadre naturel et si vous le souhaitez, vous pourrez même nager à leur côté. Nous n’avons pas eu cette chance car c’était une baleine qui nous est apparue. Elle s’était engagée dans la zone à la recherche de planctons et sa seule présence a suffi à faire fuir les dauphins. Rencontre magique !

    Le mont de la Tourelle dans la baie de Tamarin Charles Mahaux

    Cette sortie en bateau très matinale permet aussi de faire une escale sur l’île vierge Aux Bénitiers où on se la joue Robinson pour quelques heures de bonheur sur cette langue de sable paradisiaque. L’eau ici est translucide et avec un peu de chance on y croise des pêcheurs de poulpe en paddle. Non loin de là une insolite formation de corail semble flotter en lévitation au-dessus de l’eau cristalline qui lui a donné son nom, Crystal Rock. C’est aussi le meilleur endroit pour découvrir de près le Morne Brabant, une sorte de pain de sucre levé sur une péninsule à l’extrémité Sud-Est de l’île. Il dresse ses parois abruptes à 556m d’altitude et a été classé en 2008 par l’Unesco au titre de paysage culturel. Difficile d’accès, il a servi de refuge aux esclaves en fuite et il constitue aujourd’hui un lieu symbolique fort pour les victimes du colonialisme.

    Crystal Rock

    Un paradis vert

    Au-delà de ses plages, Maurice offre une nature tellement généreuse que l’écrivain américain Mark Twain aurait écrit lors d’une visite au 19ème siècle que Dieu s’était inspiré de Maurice pour créer le paradis… De fait, outre ses plages paradisiaques, l’île abrite des trésors naturels qui invitent aussi au dépaysement, le temps d’une escapade de quelques heures.

    Les gorges de La Rivière Noire Charles Mahaux

    La Terre des sept couleurs, à une quinzaine de km de Tamarin sur la côte Ouest, se découvre au cœur d’une immense clairière cernée de collines verdoyantes. Un paysage d’insolites dunes bombées qui semblent onduler et qui se parent sous le soleil de nuances de couleurs fauves, avec des reflets allant du jaune au bleu en passant par le brun, le violet, le vert, l’orange ou le rouge. Ce phénomène unique dans le monde atteste de l’activité volcanique de l’île, il s’agit de cendres mises à nu par l’érosion progressive des roches basaltiques. Les oxydes minéraux de diverses couleurs qu’elles contiennent ne se mélangent pas à cause des différences de densité et dessinent des bandes de couleurs à l’origine de ce magnifique relief.

    La vallée des 7 couleurs à Chamarel Charles Mahaux

    Autre escapade insolite, le Casela Nature Park, à 5km environ de Flic en Flac sur la côte Ouest, une sorte de zoo noyé dans une végétation tropicale. Près d’un millier d’oiseaux multicolores piaillent dans leurs volières au milieu d’arbres exotiques centenaires. On y trouve aussi de nombreuses tortues géantes d’Aldabra qui ne se laissent pas impressionner par les enfants qui viennent les toucher.

    Un arrêt de bus à Flic en Flac Charles Mahaux

    Mais le clou de la visite qui justifie l’excursion est la rencontre avec les félins. Pour les adeptes du grand frisson, la grande attraction consiste à marcher avec des lions, encadrés de guides professionnels. Nous nous sommes contentés du Drive Thru, un parcours à bord d’un véhicule entièrement grillagé à l’intérieur des vastes enclos qui abritent d’un côté des lions et de l’autre des tigres comme si nous étions au cœur de la savane où ils circulent en toute liberté. De quoi offrir certains tête-à-tête uniques https://caselaparks.com.

    Château de Labourdonnais Charles Mahaux

    Remonter le temps à Maurice

    Il ne reste plus grand-chose de ce qui fut l’époque coloniale mais il est un château qui mérite qu’on s’y attarde, le château de Labourdonnais non loin du jardin de Pamplemousses. Il a été construit au 19ème siècle pour une riche famille franco-mauricienne toujours propriétaire du site qui compte également un verger et une distillerie. La beauté historique de cette demeure coloniale a amené la famille à la restaurer pour lui rendre son cachet d’antan et en faire une visite incontournable à Maurice.

    La salle à manger du château de Labourdonnais Charles Mahaux

    La bâtisse affiche sa structure architecturale typique de l’époque avec de nombreuses fenêtres et portes vitrées qui inondent la maison de lumière et permettent également de l’aérer tandis que les 4 façades restent protégées des rayons du soleil par une varangue, à savoir une longue galerie en bois. Le rez-de-chaussée dévoile un très beau parquet marqueté tout comme un mobilier Second Empire en palissandre. A l’étage la chambre conjugale présente un lit à baldaquin, un bonheur-du-jour, un banc de prière, etc… Une autre pièce transformée en musée est dédiée à l’histoire de la famille mais aussi à Mahé de Labourdonnais du nom du domaine sur lequel Christian Wiehe a construit son manoir https://domainedelabourdonnais.com.

    Dans le musée de l’Aventure du Sucre Charles Mahaux

    Cette visite dans un ancien manoir des Sugar Lords du 19ème siècle se prolonge non loin de là par celle du Sugar World ou Aventure du Sucre, un musée aménagé dans l’ancienne usine sucrière de Beau Plan fermée en 1999 après 202 années d’activité. La découverte est ludique et interactive tout au long d’un parcours en 8 étapes entre le pavillon de l’histoire de l’île avec une partie intéressante sur l’esclavage, le pavillon de la canne, les routes du sucre, le pavillon du rhum, etc. tout en découvrant d’impressionnantes machines aux engrenages tentaculaires, des centrifugeuses, des malaxeurs, etc. Notez que chaque section est résumée par un panneau « la leçon » qui affiche les points les plus importants. On découvre ainsi que l’identité mauricienne est intimement liée à la canne à sucre qui a façonné l’île, ses paysages, son peuplement et son économie. On y apprend aussi que la filière cannière est aujourd’hui synonyme d’innovation au cœur d’un modèle d’économie circulaire produisant sucres, rhum, bio fertilisants, énergie verte et alimentation animale https://aventuredusucre.com.

    Marché de Port-Louis Charles Mahaux

    Les saveurs mauriciennes

    La vraie richesse de Maurice est sans nul doute son brassage des différentes cultures qui au fil des années ont tissé entre les communautés des liens forgés sur la tolérance et le respect. Cette harmonie malgré les différences religieuses entre autres nous surprend quand on connaît les hérissements qui divisent nos sociétés occidentales européennes. La langue créole met tout le monde d’accord et elle colore toutes les interactions parsemées de mots français, tout comme la toponymie des lieux à Maurice offre à elle seule un incroyable voyage tant leurs noms sont imagés : Curepipe, Crève-Cœur, Le Pétrin, Plaine Champagne, Poudre d’Or, Terre Rouge, Trou aux Biches et tant d’autres encore.

    Sous la varangue du restaurant L’Escale créole Charles Mahaux

    Les restaurants ne sont pas légion dans l’île, la plupart se situant dans les sites touristiques où ils proposent des menus de qualité dans des décors qui méritent le détour. Comme le rhum est au cœur de l’économie mauricienne, découvrez la table de l’Alchimiste dans le cadre élégant de la rhumerie de Chamarel qui ouvre ses portes pour une visite qui permet de comprendre la différence entre un rhum industriel et un autre dit agricole éco-conscient www.rhumeriedechamarel.com.

    Dans le domaine du thé de Bois-Chéri Charles Mahaux

    Ou encore le restaurant de Bois Chéri qui domine le domaine de l’usine à thé du même nom qui se visite également. Ici le thé figure en bonne place dans le menu : thé glacé, chutney, poulet au thé, etc. A découvrir en s’offrant le parcours gastronomique, historique et culturel de la Route du Thé, du Rhum et de la Vanille www.saintaubinloisirs.com.

    Cuisine de rue Charles Mahaux

    La cuisine mauricienne est à l’image de sa population, elle intègre des spécialités indiennes, européennes, chinoises ou créoles. Comme le public des vacanciers dans les hôtels est tout aussi varié, on y offre souvent des buffets où chacun peut y trouver son bonheur. Mais le moyen le plus sûr d’apprécier les saveurs mauriciennes c’est en s’offrant un Port-Louis Street Food Tour ou comment découvrir les différentes facettes de la capitale entre le Caudan Waterfront la galerie commerciale vitrine de l’île et les rues bigarrées du centre avec intrusion dans le quartier chinois et le marché très coloré.

    Le waterfront de Port-Louis Charles Mahaux

    Une découverte jalonnée de pauses gourmandes autour de la cuisine de rue : des dholl puri, des rotis, un mine frit et bien sûr un jus de canne fraichement pressé mixé avec du jus de citron et une pomme granny ! Délicieux et parfait pour accompagner ensuite la balade dans le marché qui offre une incroyable palette de couleurs avec la richesse des fruits et légumes proposés. Et si vous préférez plus de confort choisissez une authentique varangue créole ouverte au cœur d’un jardin fleuri luxuriant, L’Espace Créole. Le menu dégustation permet de découvrir les 4 saveurs de la cuisine mauricienne servies dans des petits chaudrons, de quoi organiser chacun son assiette à son goût. Un régal dans un décor terriblement authentique https://escalecreole.net.

    Plus d’infos : www.mauritiusnow.com

     

  • Canicule dans le sud : les Belges vont-ils changer leurs habitudes de voyage ?

    Canicule dans le sud : les Belges vont-ils changer leurs habitudes de voyage ?

    Elizeu Dias

    Les agences de voyage et les sites spécialisés dans le tourisme sont confrontés à un sacré casse-tête : faut-il encore recommander des destinations comme Athènes, l’Andalousie, la Provence ou encore la Sicile en été alors que, de plus en plus souvent, ces régions connaissent des vagues de chaleur extrême ? Autrement dit, faudra-t-il bientôt faire évoluer les recommandations saisonnières pour telle ou telle destination ? Une nouvelle donne qui, conjuguée à des épisodes de sécheresse, de pénuries d’eau et d’incendies, a de quoi faire réfléchir de nombreux Belges quant à leur lieu de villégiature estivale.

    Toujours est-il que certains d’entre eux, même s’il ne s’agit encore que d’une minorité, commencent à revoir leurs habitudes de voyage, en optant par exemple pour la montagne, la Scandinavie ou la Grande-Bretagne. Autant de zones où les températures d’été demeurent, pour l’instant, moins extrêmes. Cela concerne bien entendu les personnes qui n’envisagent plus de passer leurs vacances sous le cagnard mais aussi celles qui privilégient les promenades au grand air plutôt que de faire la crêpe sur un sable brûlant, recouvert de crème solaire ou encore celles qui, plus simplement, entendent fuir les destinations habituellement envahies par le tourisme de masse.

    La chaleur ? Même pas peur !

    Pour d’autres, l’été se conjugue irrémédiablement avec le soleil et la mer, quitte à devoir endurer des températures insupportables. Et les statistiques récentes le montrent, ne fût-ce qu’à l’échelle de la France : la mer Méditerranée attire encore à elle seule le double des touristes de la Normandie et de la Bretagne réunies. L’été dernier, le pourtour du bassin méditerranéen retrouvait quelque 83 % de ses chiffres d’avant pandémie et, pour la saison actuelle, l’affluence de touristes ne semble pas s’essouffler, malgré la chaleur. Il faut aussi dire que bon nombre de réservations sont enregistrées des mois à l’avance, sans savoir si l’été qui suit sera marqué ou pas par des épisodes de canicule. Avec plus d’un demi siècle de tradition touristique, la Méditerranée et, plus globalement, le sud de l’Europe, demeurent incontournables pour de nombreux foyers belges. Mais rien n’exclut que cet enthousiasme s’amenuise dans les années qui viennent.

    Enfin, il est aussi possible de fréquenter ces destinations populaires à un autre moment de l’année, comme au mois de mai ou au mois de septembre. Si on a la possibilité d’éviter les mois les plus chauds, on peut donc anticiper ou différer son départ en vacances. Une solution de plus en plus privilégiée par les ménages sans enfant et les couples retraités.

  • Gijón et Oviedo, les demi-sœurs des Asturies

    Gijón et Oviedo, les demi-sœurs des Asturies

    Dans le centre historique d’Oviedo

    Si la région est surtout connue pour son littoral sauvage et ses formidables reliefs des Picos de Europa, on ne doit pas oublier ces deux cités majeures. La première, moderne, active et commerçante, s’ouvre gracieusement sur la mer Cantabrique. La seconde cultive une histoire unique, illustrée par son patrimoine ancien et son statut de « capitale princière ». A l’heure du surtourisme, voici une destination qui coche toutes les cases, à découvrir en voiture ou en avion via désormais des vols directs de Belgique vers Oviedo.

    1. Oviedo, une capitale en son ancien royaume
    2. Gijón, ville marine et marchande

    Oviedo, une capitale en son ancien royaume

    A peine moins peuplée que sa voisine Gijón, Oviedo est sans conteste la plus belle ville de la province. Elle doit son riche patrimoine à son passé de royaume (9ème – 10ème s.), premier territoire ibérique à avoir entrepris la Reconquista. Mais aussi à sa fonction de capitale de la « principauté des Asturies », un statut décroché après que l’héritier de la couronne de Castille puis d’Espagne ait obtenu le titre de « prince des Asturies », selon un accord datant du 14ème s.

    Plaza de la Constitución, Oviedo

    La balade dans le centre historique est un bonheur de découverte architecturale. Au fil de calles et de plazas essentiellement piétonnes, les édifices monumentaux se succèdent : l’ancienne université du 17ème s., d’allure sévère ; le torre Vieja, romane ; le monastère bénédictin de San Pelayo, plus palais que couvent ; les édifices nobles des 17ème s. et 18ème s. de la plaza de Porlier ; l’hôtel de ville à arcades et l’église de San Isidoro, place de la Constitution ; la splendide petite place El Fontan, une cour intérieure encadrée de portiques à colonnes soutenant des maisons…

    Petite place au centre d’Oviedo

    El Greco, Murillo, Zurbaran, Goya, Sorolla et même Picasso, Miró et Dalí

    Musée des Beaux-Arts des Asturies turismoasturias.es

    Les amateurs d’art ne manqueront pas de visiter le musée archéologique des Asturies, aménagé dans l’ancien couvent bénédictin San Vicente. Il abrite notamment des vestiges du temps où la région était un royaume. Au coin de la place de Alfonso II El Casto se tient le musée des Beaux Arts. Ce mini « Prado » déployé dans un palais du 18ème s. et une bâtisse contemporaine, abrite des œuvres d’artistes aussi connus qu’El Greco, Murillo, Zurbaran, Goya, Sorolla et même Picasso, Miró et Dalí.

    Cathédrale San Salvador

    Surtout, la place voit se dresser la formidable cathédrale San Salvador. Typique du gothique flamboyant, elle aligne trois portails majestueux derrière lesquels on accède à la nef et au cloître. La première présente un remarquable retable d’autel du 16ème s., en bois, et d’autres du 18ème s., baroques. Elle abrite aussi et surtout la Cámara Santa, présentant des chefs d’œuvre d’orfèvrerie des 9ème et 10ème s., un trésor inouï classé au Patrimoine mondial par l’UNESCO. Le second est remarquable par ses croisées d’ogives et la finesse de ses ouvertures.

    Oviedo, l’art de vivre dans l’Espagne « verte »

    Ville verdoyante de l’Espagne atlantique, Oviedo se pare d’une élégance commerçante illustrée par son parcours artistique et la tradition solidement installée des sidrerías. Au nord de la calle de Argüelles, le shopping est roi.

    Sculpture sur une place de la vieille ville d’Oviedo Philippe Bourget | cms

    Les boutiques prennent place aux rez-de-chaussée d’édifices remarquables, le long de larges avenues piétonnières agrémentées de sculptures modernes, de fontaines et de bancs. Une centaine de statues égayent en effet les rues, un parcours arty à suivre depuis le centre historique jusqu’à cette partie moderne de la ville. « Vendeuses du Fontán » (place de Daoíz y Velarde), «Femme assise» (rue Ramón y Cajal, devant l’université), « El Diestro » (buste de torero, rue Valdes), « Culis monumentalis » (angle des rues Pelayo et Alonso de Quintanilla), « La Maternidad » (œuvre du colombien Botero, place de la Escandalera)…

    Woody Allen est présent à Oviedo Philippe Bourget | cms

    Ces réalisations, souvent de grande taille, mènent jusqu’à la rue Milicias Nacionales où l’on a la surprise de découvrir une statue de… Woody Allen. Sa présence ici s’explique par l’attribution en 2002 au cinéaste new-yorkais du célèbre prix « Princesse des Asturies », remis chaque année à une personnalité du monde des arts, des sciences, du sport, de la littérature ou de la communication, au théâtre Campoamor. L’américain était par la suite devenu un familier de la région. D’autres célébrités l’ont reçu, à l’image de Norman Foster, Barbara Hendricks, Bob Dylan ou Meryl Streep, en 2023.

    Une tradition et un spectacle étonnants

    Autre tradition d’Oviedo : le cidre ! Comme au Pays basque espagnol, la région produit cette boisson légèrement alcoolisée à base de pommes, que l’on déguste dans des tavernes dédiées, les sidrerías.

    La tradition du cidre dans les Asturies turismoasturias.es

    Et s’il est une rue où il faut absolument se rendre pour le goûter, c’est bien la calle Gascona. Elle aligne quantité d’échoppes où le plaisir est autant dans le verre et l’ambiance chaleureuse que dans la façon de servir le breuvage. Levant haut la bouteille au dessus de leur tête, les serveurs remplissent les verres « au jugé », le liquide s’écoulant en un jet spectaculaire émaillé éclaboussures – elles sont recueillies dans un seau posé au sol sous le verre. Une tradition et un spectacle étonnants pour clore en beauté un séjour à Oviedo !

    Le palais baroque de Revillagigedo Philippe Bourget | cms

    Gijón, ville marine et marchande

    La plus grande cité des Asturies (275 000 habitants), plaira aux fans de villes portuaires qui savent combiner activités balnéaires et shopping. Pour bien cerner Gijón quand on y vient la première fois, direction la presqu’île de Santa Catalina. Cette protubérance naturelle, colline originelle nommée Cimadevilla, mêle ruelles et placettes populaires, scandées d’anciennes maisons de pêcheurs et de vieux bars à matelots.

    De la plage San Lorenzo, vue sur Cimadevilla

    Par la montée del Cerro, on accède à un parc, une ancienne zone militaire devenue lieu de balade surplombant toute la ville. Elle ouvre une vue majestueuse sur la baie de Gijón et les montagnes environnantes. On découvrira aussi deux places charmantes, Arturo Dias et plaza de la Correda, ainsi que la tour de l’Horloge et un palais du XVIème s., la Casa Natal de Jovellanos.

    La Plaza Mayor, encadrée de monuments Philippe Bourget | cms

    Côté ouest et côté est

    A l’est de la presqu’île s’étend la promenade de front de mer. Balade favorite des habitants, elle longe depuis les termes romains del Campo Valdes la longue plage de San Lorenzo, où les locaux ont l’habitude de se donner rendez-vous à l’un des escaleras (escaliers) numérotés qui dévalent vers le sable blond… Côté ouest, Gijón se déploie autour de son port de pêche et de plaisance. Face aux bateaux, la place del Marques est dominée par le remarquable palais baroque de Revillagigedo (XVIIème s.).

    Le palais Revillagigedo de nos jours un lieu d’exposition. Philippe Bourget | cms

    Son look moyenâgeux cache en réalité un ensemble baroque qui accueille régulièrement de belles expositions. A deux pas, la Plaza Mayor, encadrée de monuments aux façades ocrées, s’ouvre au sud vers un quartier de rues ultra commerçantes (calles Instutito, de la Merced, San Bernardo…), bordées d’immeubles nobles qui abritent quantité de boutiques et de cafés-restaurants.

    Le Laboral un des plus grands édifices d’Espagne Philippe Bourget | cms

    Laboral de Gijón, ancien collège et folie urbaine des années 1950

    C’est à un voyage dans l’architecture des années Franco que conduit l’excursion au « Laboral », le plus vaste complexe urbain d’Espagne aux côtés de l’Escurial, à Madrid. La bâtisse, monumentale, se tient dans les faubourgs de Gijón, posée sur un promontoire qui lui confère l’allure d’une citadelle moderne. Entrepris en 1948, cet ensemble aux dimensions gigantesques avait pour vocation d’accueillir et de former les enfants orphelins du secteur minier.

    Bâtisse imposante ou style très académique Philippe Bourget | cms

    Lors de sa construction, il sera décidé d’en faire un collège et une université technique (Universidad Laboral). Dirigée alors par Franco, l’Espagne, très pauvre, pousse le pouvoir à vouloir former les plus jeunes, dans une vision éducative stricte et conservatrice. C’est au jeune architecte madrilène Luis Moya Blanco qu’est confiée la réalisation de cette forteresse scolaire, censée fonctionner en autarcie avec une ferme de 100 ha, sous la férule des Jésuites et des sœurs Clarisses.

    LABoral Cuidad de la Cultura

    L’entrée dans cette « cité idéale » crée un choc. L’immense place centrale (150 m de long, 50 m de large), son encadrement par des bâtiments classiques empruntant aux styles romain, grec et ottoman, l’église imposante, la haute tour (130 m !), le théâtre… : tout respire l’ordre et la mégalomanie franquistes. Délaissé dans les années 1980, le complexe a été repris par le gouvernement de la Principauté des Asturies, dans le but de lui insuffler une nouvelle vie. Depuis sa réouverture en 2007, il est devenu la «LABoral Cuidad de la Cultura», un lieu ouvert dévolu à la création artistique et industrielle, aux médias, à la formation, à la musique (conservatoire), aux expositions et à l’accueil d’évènements culturels et professionnels. L’ancien couvent des clarisses abrite ainsi le siège de la Radiotélévision de la Principauté des Asturies. Une partie des 130 000 m² du LABoral est accessible lors de visites guidées, de janvier à mi septembre.

  • Bali : une taxe touristique pour les visiteurs étrangers !

    Bali : une taxe touristique pour les visiteurs étrangers !

    Geio Tischler

    Les autorités balinaises ont annoncé l’introduction d’une taxe touristique de 10 dollars US par vacancier étranger à partir de 2024. Cette mesure vise à générer des fonds pour la préservation de l’environnement et le développement de l’infrastructure de l’île très fréquentée.

    Modalités de la taxe

    Selon le gouverneur de Bali, I Wayan Koster, chaque visiteur étranger sera soumis à cette taxe, payable une seule fois pendant leur séjour. Le montant, équivalent à 150 000 roupies indonésiennes, devra être réglé électroniquement et s’appliquera aux touristes venant de l’étranger et des autres régions d’Indonésie. Les résidents indonésiens seront exemptés.

    Harry Kessell

    Des préoccupations minimisées

    Cette taxe pourrait-elle dissuader les touristes ? Le gouverneur ne le pense pas : selon lui, la taxe sera utilisée pour améliorer la qualité de l’environnement, de la culture et de l’infrastructure, rendant ainsi les voyages à Bali plus confortables et sûrs.

    Cette initiative intervient à un moment où le secteur touristique de Bali se redresse après les fermetures de frontières provoquées par la pandémie de Covid-19. Les voyages ont repris avec la suppression de la quarantaine pour les voyageurs vaccinés et le rétablissement des visas à l’arrivée en mars 2022.

    Vers une responsabilité accrue des touristes

    L’introduction de cette taxe fait partie d’un effort plus large pour responsabiliser les touristes et respecter les traditions locales. Ces derniers mois, plusieurs incidents impliquant des comportements irrespectueux ont entraîné l’expulsion de touristes et l’émission d’un guide pour les visiteurs par les autorités locales.