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Category: À la plage

  • Les Flamands dans les Ardennes, les Wallons à la mer : mythe ou réalité ?

    Les Flamands dans les Ardennes, les Wallons à la mer : mythe ou réalité ?

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    michel-stockman

    Selon une enquête de l’Observatoire wallon du Tourisme (OWT), 28 % des clients des hébergements touristiques wallons étaient néerlandophones — soit plus d’un quart ! Ils devancent les Néerlandais (25 %) et les francophones du pays (23 %). « C’est une base de répondants loin d’être exhaustive », a nuancé la ministre Valérie Lescrenier (Les Engagés), mais les tendances se dessinent. Avec un taux de remplissage stable à 66 %, les campings ont même gagné en popularité, passant de 70 % à 80 % de fréquentation. Les hôtels, eux, ont davantage fait grise mine.

    Pendant ce temps à la mer du Nord…

    Les touristes d’un jour ont, eux, un peu boudé la Côte : -6 % par rapport à 2024, selon les chiffres de l’été 2025. Mais tout n’est pas perdu : les séjours longue durée résistent (-1 %). Et ? Les Flamands restent majoritaires (59 %), suivis des Wallons (24 %). Mention spéciale aux touristes étrangers, qui ont augmenté de 6 %, représentant désormais 17 % des nuitées.

    Alors, mythe ou réalité ?

    Selon les chiffres, le cliché tient plutôt la route… mais avec quelques nuances. Oui, les Flamands semblent avoir un faible pour les Ardennes, tandis que les Wallons continuent de profiter de la Côte belge. L’été, la Belgique reste donc bien en mouvement, avec des frontières linguistiques qui se floutent à mesure que les valises se remplissent !

  • Les îles au vent : tous ces noms qui font rêver !

    Les îles au vent : tous ces noms qui font rêver !

    Caribbean
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    Entre Caraïbes et océan Atlantique, les Îles au Vent sont une partie de l’arc antillais qui fait rêver. Situées dans le sud des Petites Antilles, elles comprennent notamment la Martinique, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, la Grenade et la Barbade.

    Alors pourquoi “au vent” ? Tout simplement parce qu’elles sont exposées aux alizés, ces vents tropicaux qui font tourner les moulins à sucre et gonfler les voiles des catamarans. Et oui, ces îles sont ancrées dans l’histoire coloniale.

    Des noms qui claquent comme des cocktails

    Chaque île a un nom qui donne envie d’un rhume vieux ou d’un punch au coucher du soleil. Grenade, par exemple, n’a rien à voir avec une explosion, mais tout à voir avec la muscade et le macis. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si elle est surnommée l’île aux épices… Barbade ? Un clin d’œil aux racines aériennes de certains ficus observés par les Portugais. Et Sainte-Lucie, avec son côté biblique, a été la seule île des Caraïbes à porter un nom féminin

    Caribbean
    grenadine

    Entre carte postale et histoire compliquée

    Derrière ces noms de rêve se cachent aussi des réalités plus complexes : esclavage, colonisation, luttes d’indépendance… Mais elles n’en restent pas moins riches d’une culture créole, d’un métissage vivant et d’une fierté farouche d’être elles-mêmes.

    Et côté status politique ?

    C’est un joyeux mélange : la Martinique est un département français d’outre-mer, tandis que Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, la Grenade et la Barbade sont aujourd’hui des États indépendants, tous membres du Commonwealth. Ces îles restent, dans l’âme, farouchement et fièrement caribéennes, quelles que soient les capitales.

    Quand y aller ?

    Si les tempêtes ne sont pas trop votre truc, visez la période entre décembre et mai : saison sèche, températures douces (même s’il y fait toujours chaud) et mer calme. C’est aussi la haute saison. Entre juin et novembre, c’est plus humide, moins cher, mais un peu plus risqué côté météo.

  • Votre chien est-il le bienvenu sur la plage ?

    Votre chien est-il le bienvenu sur la plage ?

    dogs beach
    kojirou-sasaki

    Cela dépend de la commune !

    Chaque commune (ou ville) détermine elle-même si, et à quelles conditions, les chiens sont autorisés sur la plage. Certaines stations balnéaires se montrent plus tolérantes que d’autres. Dans de nombreuses communes, les chiens ne sont pas admis, ou seulement de manière limitée (par exemple selon des plages horaires ou uniquement dans certaines zones), pendant les mois d’été. En hiver, les règles sont généralement assouplies.

    Vous trouverez un aperçu des règles spécifiques par station sur ce site. Pour plus de sécurité, il est toujours préférable de consulter les règlements communaux locaux, notamment via le site web de la commune concernée.

    Laisse obligatoire ?

    Il n’existe pas non plus de règle uniforme concernant l’obligation ou non de tenir votre chien en laisse. Dans la plupart des cas, la laisse est bel et bien obligatoire, mais certaines zones peuvent prévoir des exceptions. En tant que maître, vous êtes également tenu de ramasser les déjections de votre chien sur la plage. Dans la majorité des stations balnéaires, vous devez également disposer de sacs ad hoc pour ce faire.

    Et si vous ne respectez pas les règles ?

    Si vous ne respectez pas ces règles et que vous êtes pris en flagrant délit, vous risquez une amende GAS (Gemeentelijke Administratieve Sanctie). Celle-ci peut s’élever jusqu’à 350 euros pour les adultes et 175 euros pour les mineurs.

    Encore une dernière chose : à la mer, votre chien est également autorisé à bord du tram côtier, sans devoir payer de ticket supplémentaire. Il doit toutefois être tenu en laisse ou sur vos genoux pendant le trajet. Si nécessaire, vous devrez également lui mettre une muselière.

    Jan ROODHOOFT, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Nausicaá – Échappée Tropicale : cap sur les récifs et les mangroves !

    Nausicaá – Échappée Tropicale : cap sur les récifs et les mangroves !

    Nausicaa
    Nausicaa

    C’est LA star du parcours : le lagon tropical fait son grand retour après deux ans de travaux. Imaginez un bassin spectaculaire où se croisent coraux fluorescents, poissons exotiques, raies élégantes et requins zébrés un brin timides. On a presque envie d’y plonger (mais non, c’est interdit !) ! Ce lagon n’est pas seulement une merveille à regarder : il est pensé comme une leçon grandeur nature sur l’équilibre fragile de ces écosystèmes.

    Mangroves : entre terre et mer

    Le voyage commence pourtant ailleurs : au cœur d’une mangrove immersive. Lumière tamisée, bruits d’insectes, racines de palétuviers… On découvre un monde fascinant où vivent des poissons capables de grimper aux arbres (oui, oui !), des caméléons et même les impressionnantes tortues géantes d’Aldabra. Maquette interactive et simulateur de vagues à l’appui, on comprend vite à quel point ces forêts littorales protègent nos côtes et nos vies.

    Nausicaa
    Nausicaa

    Un marché tropical grandeur nature

    L’expo ne se contente pas de montrer de jolis poissons : elle nous plonge aussi dans un marché tropical, reconstitué pour rappeler le rôle vital de ces écosystèmes dans la vie quotidienne de millions de personnes. Poissons, crustacés, artisanat, miel de mangrove… On réalise que ces environnements nourrissent, protègent et font vivre des communautés entières. L’aspect “réalité économique” donne du relief au discours environnemental.

    Nausicaa
    Nausicaa

    Coraux en péril, mais pas sans espoir

    Difficile de parler récifs coralliens sans aborder le blanchissement et les effets du réchauffement climatique. L’espace Action Corail met cartes sur table : 84 % des récifs sont déjà touchés ! Mais l’exposition ne s’arrête pas au constat alarmant : elle présente aussi des solutions concrètes. Bouturage de coraux à Nausicaá, projets menés avec des associations comme Coral Guardian ou Reefscapers, et même des initiatives originales mêlant art et science (coucou, Corail Résilience de Jérémy Gobé).

    Nausicaa
    Nausicaa

    Des stars marines à rencontrer

    Les amoureux de la faune sous-marine seront comblés : requins à pointe noire, poissons-clowns, une raie à pois bleus, des crevettes arlequin (oui, ça existe, et c’est superbe)… Plus de 100 espèces peuplent les bassins. Certaines sont nées sur place grâce au savoir-faire des soigneurs. Un détail qui fait plaisir à voir : Nausicaá ne se contente pas de montrer, il produit, cultive et partage son expertise avec d’autres aquariums.

    Nausicaa
    Nausicaa

    Et après la visite ?

    Parce qu’une plongée tropicale, ça creuse, Nausicaá a pensé à tout avec son nouveau resto, La Table d’Ephelia. Ambiance exotique, vue sur le lagon, plats inspirés des îles : une belle manière de prolonger l’évasion sans se mouiller les pieds.

    Pourquoi y aller ?

    Parce que « Échappée Tropicale » réussit le pari d’allier émerveillement et sensibilisation. On ressort à la fois ébloui par la beauté des récifs et conscient de leur extrême fragilité. Une expo à la fois poétique et engagée, parfaite pour les familles, les passionnés d’océan ou tout simplement les curieux qui aiment voyager…

    Découvrir Nausicaa

  • Vous souhaitez louer un appartement à la côte belge ? Voici ce que dit le décret…

    Vous souhaitez louer un appartement à la côte belge ? Voici ce que dit le décret…

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    ai

    Ce décret relève d’une certaine importance si vous proposez un hébergement à des touristes. Cela concerne, par exemple, le cas où vous mettez votre appartement en location saisonnière, que ce soit pour un week-end, ou pour une ou plusieurs semaines.

    Ce décret ne s’applique pas si vous optez pour une location annuelle, ou si vous louez votre bien via un contrat de bail résidentiel classique, dans lequel le locataire établit sa résidence principale dans le logement.

    Le décret ne s’applique pas non plus si vous louez occasionnellement à des membres de votre famille ou à des amis, sans faire de publicité à ce sujet.

    Conditions de base

    Le décret exige avant tout que votre appartement remplisse certaines conditions minimales. Vous devez par exemple disposer d’un certificat de sécurité incendie, et votre logement doit être propre et bien entretenu.

    Il est également obligatoire de souscrire une assurance incendie ainsi qu’une assurance responsabilité civile. Les informations que vous fournissez à propos de l’appartement doivent être exactes et honnêtes.

    En tant qu’exploitant, vous devez être soit propriétaire, soit locataire du bien, avec l’autorisation du bailleur pour l’exploiter comme logement touristique. Vous devez également pouvoir présenter un extrait de casier judiciaire vierge.

    Le bien mis en location doit aussi être conforme aux règles d’urbanisme et disposer des autorisations nécessaires.

    Déclaration obligatoire

    En tant que bailleur, vous êtes en outre tenu de signaler à Toerisme Vlaanderen que vous souhaitez proposer votre appartement à la location. Cela peut se faire via le site web Je logies aanmelden | Toerisme Vlaanderen.

    Après cette déclaration, votre hébergement reçoit un numéro d’enregistrement unique. Vous pouvez également aller plus loin et demander une reconnaissance officielle. Ce n’est toutefois pas obligatoire. Si vous faites cette demande, votre hébergement peut alors recevoir un classement par étoiles attestant de sa qualité.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Les touristes étrangers ont-ils sauvé l’été à la Côte belge ?

    Les touristes étrangers ont-ils sauvé l’été à la Côte belge ?

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    michel-stockman

    Seulement trois journées ont dépassé les 150.000 visiteurs, contre huit en 2024. Les deux jours les plus fréquentés ? Le 10 et le 15 août, avec près de 190.000 curieux du littoral à chaque fois.

    Les séjours longue durée résistent

    Heureusement, les amateurs de nuitées ont sauvé les meubles. Avec 10,4 millions de séjours, le recul est à peine perceptible : -1% sur un an. Hôtels, campings, maisons ou parcs de vacances ont tenu bon, probablement grâce à un facteur inattendu…

    Merci les voisins !

    La vraie surprise vient de l’étranger. Les touristes internationaux ont répondu présents : +6% de nuitées, soit 1,7 million de réservations, ce qui fait grimper leur part à 17% du total des nuitées (contre 15% en 2024). Les Flamands restent les champions du séjour côtier (59%), devant les Wallons (24%). Visiblement, certains préfèrent éviter la file sur l’E40…

  • Saint Tropez : 5 mythes archi faux !

    Saint Tropez : 5 mythes archi faux !

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    « En dehors de l’été, Saint‑Tropez est mort »

    C’est faux. Si les VIP désertent le port en hiver, le village ne ferme pas pour autant les volets. Marché le mardi et samedi, tropezienne en terrasse au soleil d’hiver, balades dans les ruelles sans touristes ni selfie sticks… C’est même le moment préféré des Tropéziens. Restaurants, galeries et cafés restent bien ouverts. L’ambiance y est plus douce, plus vraie.

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     « Saint‑Tropez, c’est uniquement pour les riches »

    Oui, les yachts sont là. Mais le bling‑bling n’est qu’un décor partiel. Il y a des B&B, des petits hôtels, des snacks abordables et même un camping. Le village accueille aussi des familles, des retraités et des backpackers, surtout en arrière‑saison. Hors juillet‑août, les prix baissent, l’ambiance devient plus locale et la Méditerranée reste aussi belle. On n’est pas obligé de claquer 30€ pour une salade niçoise.

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     « Tous les bateaux sont des yachts »

    Non. On croise des pointus (barques traditionnelles), des bateaux de pêche, de plaisance et même des voiliers d’école. Les superyachts sont la façade, pas la majorité.

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     « Saint‑Tropez, c’est bronzette, plage et farniente »

    C’est très réducteur. Le village regorge de trésors culturels : la Citadelle, le musée de l’Annonciade, des galeries, des concerts en plein air… Les randos dans le massif des Maures ou sur le sentier du littoral offrent des panoramas de folie. Et si vous voulez la plage, Pampelonne n’est pas seule au monde : l’Escalet ou la Moutte sont des alternatives plus sauvages.

    saint-tropez
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     « Saint‑Tropez, c’est une ville-musée figée dans le passé »

    Faux. Même si Brigitte Bardot hante encore les souvenirs, le village bouge, crée, évolue. Des artistes y installent leurs ateliers, des jeunes entrepreneurs relancent des boutiques locales, des festivals de musique ou de photo animent la saison. Le patrimoine est là, oui, mais il vit au présent, pas coincé dans un cliché sixties. Et non, tout ne tourne pas autour de la Gendarmerie.

  • Les 3 îles habitées les plus isolées de la planète

    Les 3 îles habitées les plus isolées de la planète

    Tristan da Cunha

    Dans l’Atlantique Sud, cette île volcanique rattachée au Royaume-Uni est à 2 787 km de l’Afrique du Sud. Aucun aéroport, et des navires en provenance du Cap… quand la météo le permet. Son petit village au nom royal, Édimbourg-des-Sept-Mers, abrite une population de 250 personnes qui vivent en autarcie partielle.

    Tristan da Cunha
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    La vie y est rythmée par les saisons agricoles, la pêche, les éruptions volcaniques à l’occasion (celle de 1961 a forcé une évacuation), et une solidarité quasi tribale. On y partage tout : terres, bétail, actualités venues par bateau ou radio. On pourrait croire à un cauchemar logistique, mais pour les habitants, c’est un art de vivre.

    L’île de Pâques (Rapa Nui)

    Située à plus de 2 000 km de toute autre terre habitée, cette île chilienne est célèbre pour ses moai, statues monumentales mystérieuses alignées face à l’océan. Pourtant, derrière les cartes postales se cache une vie quotidienne assez calme : environ 7 700 habitants, dépendants du tourisme et de l’importation maritime.

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    L’aéroport Mataveri reste leur seul lien aérien avec le monde extérieur, mais les vols sont coûteux. Ce bout de terre volcanique est non seulement isolé, mais aussi profondément marqué par une culture unique, issue de peuples polynésiens et façonnée par l’isolement. Signe des temps modernes, les infrastructures se sont considérablement améliorées ces dernières décennies.

    Pitcairn

    C’est probablement l’île la plus romanesque des trois. Descendants des mutins du Bounty et des femmes tahitiennes, la quarantaine dhabitants vivent sur une île de 47 km², au beau milieu du Pacifique Sud.
    Pas d’aéroport, aucun port en dur : pour y arriver, il faut embarquer sur un cargo depuis Tahiti ou la Nouvelle-Zélande, et accoster… en petite embarcation.

    pitcairn
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    Les écoles peinent à rester ouvertes et l’île ne cesse de chercher de nouveaux habitants (sans grand succès). Malgré une beauté sauvage et une histoire digne d’un roman, la vie à Pitcairn est rude.

  • Naturisme : les jeunes français(es), adeptes du « tout-nu » ?

    Naturisme : les jeunes français(es), adeptes du « tout-nu » ?

    naked beach
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    La France, terre d’accueil historique du naturisme, reste leader mondial en la matière. Plus de 2 millions de pratiquants réguliers, des touristes venus en masse du Nord de l’Europe, et des sites emblématiques comme Héliopolis ou Montalivet : le pays ne manque ni d’adeptes ni de lieux.

    Mais malgré cette aura internationale, la pratique reste, dans l’Hexagone, minoritaire. Une étude Ipsos pour la Fédération Française de Naturisme révèle que seuls 21 % des Français ont déjà osé tomber le maillot sur la plage, 19 % en pleine nature, et 12 % en centre de vacances. La plupart préfèrent rester discrets : 40 % le pratiquent uniquement chez eux.

    Les jeunes, plus curieux… mais pas si téméraires

    Surprise (ou pas) : les 18-34 ans apparaissent comme les plus ouverts à l’expérience. 37 % des 25-34 ans et 32 % des 18-24 ans ont déjà goûté au naturisme. Un petit vent de liberté qui souffle sur une génération plus à l’aise avec son corps… du moins en apparence. En effet, 90 % de ceux qui n’ont jamais pratiqué n’envisagent pas de le faire, dont une majorité catégoriquement opposée. Entre ceux qui le trouvent “un peu ridicule” (34 %) et ceux qui redoutent les “dérives” (50 %), le naturisme reste souvent incompris.

  • Maison de vacances : les Belges se ruent sur l’Espagne !

    Maison de vacances : les Belges se ruent sur l’Espagne !

    costa del sol
    martijn-vonk

    À Puerto de La Duquesa, charmant port andalou, le français est devenu langue semi-officielle. Là, Zapinvest, agence belgo-espagnole, accueille les futurs acquéreurs sous un soleil éclatant ! Il faut dire que les avantages sont nombreux : soleil, paysages, plages, prix du panier de la ménagère…

    Et du côté des prix ?

    Selon le journal Le Soir, qui a investigué du côté de l’agence Zapinvest, les prix ont très fort grimpé ces dernières années : en 10-15 ans, on peut estimer que les prix ont doublé. Aujourd’hui, il faut compter un minimum de 200.000 euros pour un bien ancien et 280.000 euros pour un bien neuf ! C’est qu’en matière d’immobilier, les Belges sont devenus exigeants : deux chambres, deux salles de bains, une grande terrasse, et le tout à deux pas des commodités.

    Le profil des acheteurs ?

    Principalement entre 50 et 65 ans, souvent déjà pensionnés ou en préparation de leur retraite dorée. Mais une nouvelle génération débarque aussi : ceux qui optent pour le télétravail les pieds dans l’eau.