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Category: Thèmes

  • Les Caraïbes : 5 chiffres fascinants !

    Les Caraïbes : 5 chiffres fascinants !

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    1. Plus de 700 îles… 

    C’est le genre de chiffre qui donne le tournis — ou plutôt des envies de valises. Les Caraïbes, c’est un vaste chapelet de plus de 700 îles, îlots, récifs et cayes disséminés entre la mer des Caraïbes et l’océan Atlantique Nord. Certaines îles, comme la Jamaïque ou Cuba, sont des stars mondiales, d’autres, comme Saba ou Montserrat, des perles confidentielles. Ensemble, elles composent un archipel fascinant, où chaque rivage raconte une histoire différente : colonisation, indépendance, piraterie, ou simple joie de vivre sous les tropiques. Ajoutez à cela la barrière de corail la plus longue de l’hémisphère Nord — celle du Belize — et vous obtenez un véritable puzzle marin à couper le souffle.

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    2. 30 territoires, une diversité à ciel ouvert

    Les Caraïbes, ce sont 30 territoires officiellement reconnus, mêlant États souverains, régions d’outre-mer et dépendances. Cela explique pourquoi la région est à la fois si variée et si complexe politiquement. On passe en un vol de 45 minutes d’une ancienne colonie française à un territoire britannique, puis à une république indépendante aux influences espagnoles.

    De la Guadeloupe à Curaçao, de Trinité-et-Tobago à Haïti, chaque île a sa propre personnalité — et souvent, sa propre manière de danser. Ce patchwork culturel donne aux Caraïbes un charme unique : on y entend le zouk répondre au reggae et le merengue croiser la salsa…

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    3. 8 langues principales… et des centaines de variantes

    Les Caraïbes sont un véritable festival linguistique. On y parle français, anglais, espagnol, néerlandais, sans oublier les créoles, les langues amérindiennes et le papiamento. Le résultat ? Une cacophonie harmonieuse où un simple “bonjour” peut se dire dix fois différemment !

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    4. 80 % d’esclaves avant l’abolition britannique

    Derrière les cartes postales paradisiaques, un chiffre rappelle la dureté de l’histoire : avant 1833, près de 80 % de la population des colonies britanniques caribéennes vivait sous le joug de l’esclavage. En 1848, lorsque la France abolit définitivement cette pratique, les esclaves représentaient encore 60 % de la population.

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    5. 30 degrés toute l’année

    Les Caraïbes vivent au rythme d’un climat tropical qui oscille entre 25 °C et 33 °C toute l’année. Les alizés venus de l’est apportent une chaleur moite, parfois interrompue par des averses tropicales aussi brèves qu’intenses. La mer, elle, garde des températures de 26 à 30 °C selon les saisons… Un spa grandeur nature !

    De mai à novembre, c’est la saison humide, où les ouragans se font parfois menaçants (surtout entre août et septembre). Mais dès décembre, le soleil reprend ses droits, le ciel se fait bleu roi !

    Découvrez notre croisière sur le Royal Clipper en compagnie de Denis Van Weynbergh

  • Caño Cristales : l’improbable rivière arc-en-ciel qui donne des couleurs à Instagram

    Caño Cristales : l’improbable rivière arc-en-ciel qui donne des couleurs à Instagram

    Caño Cristales
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    Surnommée « el río de los siete colores » (la rivière aux sept couleurs) et « el río más hermoso del mundo » (la plus belle rivière du monde), Caño Cristales doit sa palette à la plante Macarenia clavigera, qui rougit au soleil et tapisse le lit rocheux du fleuve. Résultat : des rouges, verts, jaunes, noirs, bleus et blancs qui jouent avec la lumière… et les filtres.

    Où et quand ?

    La rivière se niche dans le parc national La Macarena (département du Meta), au cœur d’une biodiversité XXL. Le site ouvre seulement de juin à novembre : le reste de l’année, on laisse la plante se refaire une beauté !

    Comment s’y rendre

    Ne vous fiez pas à la carte : la piste est quasi impraticable. Le plus simple : un vol d’environ 1 h depuis Bogotá, Cali, Medellín ou Villavicencio vers La Macarena, puis une agence locale pour l’excursion officielle. Enfin, le site est strictement réglementé !

    Caño Cristales
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    Règles du jeu

    Le site est une zone protégée avec un quota d’environ 318 visiteurs/jour. Pas de crème solaire, pas de répulsif, pas de plastique et des drones uniquement sur autorisation. En outre, les enfants de moins de 7 ans ne sont pas autorisés ! Pour votre facilité, sachez que les formalités sont généralement prises en charge par le guide.

    À faire (et à ne pas faire)

    • Marcher & admirer : cascades, vasques naturelles et paysages de la Serranía de la Macarena. (les photos sont autorisées mais pas les baignades dans les zones colorées !)
    • Baignade : uniquement dans des piscines naturelles autorisées comme la Piscina del Turista ou Caño Cristalitos.
    • Un petit bonus adrénaline ? Du rafting ou du kayak sur le Guayabero. Le Guayabero ? Oui, une rivière sauvage du centre de la Colombie, serpentant entre forêts tropicales et falaises rouges. Elle sert de porte d’entrée naturelle au parc La Macarena et alimente plusieurs affluents, dont Caño Cristales.
  • Le Palais Jacques Cœur à Bourges : laboratoire d’un alchimiste ou coffre-fort d’un génie des affaires ?

    Le Palais Jacques Cœur à Bourges : laboratoire d’un alchimiste ou coffre-fort d’un génie des affaires ?

    bourges
    François Piette | cms

    À Bourges, le Palais Jacques Cœur n’est pas seulement un joyau gothique : c’est un témoin de la flamboyante ascension (et de la chute) de l’un des personnages les plus intrigants du XVe siècle. Et certains se demandent encore : cet homme, dont la fortune semblait sortir de nulle part, avait-il percé les secrets de l’alchimie ?

    Des origines modestes

    Né en 1400 dans une modeste rue commerçante de Bourges, Jacques Cœur commence sa carrière en jouant un peu trop avec les devises et monnaies. Déjà, les esprits méfiants lui prêtent des talents de faussaire. Mais très vite, il se hisse au sommet grâce à une intelligence redoutable du commerce international, des routes vers l’Orient, et surtout… de la spéculation monétaire.

    Pendant que certains rêvaient de transformer le plomb en or dans leurs laboratoires enfumés dans les caves de Bourges, Jacques Cœur, lui, faisait exactement cela… légalement. Grâce aux écarts de change entre l’argent de l’Occident et l’or de l’Orient, il opère une forme de transmutation bien plus rentable. De là à dire qu’il était alchimiste, il n’y a qu’un pas que les rumeurs médiévales franchissent allègrement.

    Un palais grandiose !

    En 1443, il fait construire cette fameuse “grand’maison”, aujourd’hui appelée palais. Le bâtiment, audacieux, trône partiellement sur le rempart gallo-romain. Une prouesse architecturale, mais aussi un symbole : Jacques Cœur bâtit littéralement sur les ruines du passé pour ériger sa propre légende.

    Mais le destin du “grand argentier” bascule en 1451 : accusations, tortures, confiscation. L’homme s’évade, rejoint Rome, puis meurt dans une épopée navale digne d’un roman de cape et d’épée.

    Alors, alchimiste ou stratège de génie ?

    Probablement les deux, mais à sa manière. Son palais reste aujourd’hui l’un des plus beaux témoignages civils du gothique français, même si les restaurations ont un peu flouté la magie. Il n’en reste pas moins un mystère en pierre, fascinant à souhait…

  • Parc National d’Udzungwa, on a marché sur les nuages de Tanzanie

    Parc National d’Udzungwa, on a marché sur les nuages de Tanzanie

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    Quand on m’a parlé de ce parc pour la première fois, j’ai failli répondre : « Les monts quoi ? » Et pourtant, après l’avoir exploré, je peux vous dire une chose : on n’en revient pas indemne — mais transformé, émerveillé, et un peu boueux aussi, je ne vais pas vous mentir.

    Un joyau caché, loin des foules

    À quelques heures de route de Dar es Salaam, dans le sud verdoyant de la Tanzanie, j’ai découvert ce que je qualifierais volontiers de petit paradis suspendu entre ciel et terre. Peu connu du grand public, le Parc national des monts Udzungwa n’a rien à envier aux stars comme le Serengeti ou le Kilimandjaro. Il offre une immersion totale, intime, dans une nature exubérante et protégée — et surtout, loin des hordes de touristes.

    Créé en 1988 pour préserver une forêt tropicale de montagne d’une rare richesse, le parc est depuis un refuge pour une biodiversité aussi étonnante qu’émouvante.

    Une nature exubérante à chaque pas

    Imaginez : des forêts tropicales impénétrables, où les lianes dansent au vent et où chaque feuille semble abriter une vie secrète. Des cascades jaillissantes, des vallées tapissées de fougères géantes, et des miombos — ces savanes boisées aux allures de tableaux impressionnistes.

    Chaque sentier semble vous inviter à l’émerveillement. Le clou du spectacle ? La cascade de Sanje, une chute de 180 mètres qui semble dégringoler du ciel. L’atteindre, ça se mérite (comptez une bonne demi-journée de marche), mais là-haut, j’ai eu l’étrange sensation… de marcher sur les nuages. Et je n’exagère même pas (bon, peut-être un peu, mais c’est la poésie du lieu qui parle !).

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    Des rencontres inoubliables : bienvenue au royaume des singes

    Autant vous prévenir : ici, les singes sont rois. J’en ai vu, entendu, surpris, parfois même un peu trop près de mon pique-nique. Le parc abrite 11 espèces, dont le célèbre colobe rouge d’Udzungwa, une espèce endémique au regard mélancolique.

    Et ce n’est pas tout ! Si vous êtes amoureux d’oiseaux, préparez vos jumelles : plus de 400 espèces peuplent le parc. L’un des moments les plus magiques ? Observer une Pitta d’Udzungwa — un petit oiseau coloré qui semble sorti d’un conte pour enfants.

    Un safari… à pied !

    Contrairement à la plupart des parcs africains, à Udzungwa, on oublie la jeep. Ici, on explore à pied, avec un guide local passionné (et passionnant). J’ai trouvé ça bien plus immersif, presque intime. Marcher en silence, entendre craquer les branches sous mes pas, respirer à pleins poumons… Ce n’était pas juste un safari, c’était une méditation grandeur nature. Mentionnons aussi le sentier de Mwanihana, réservé aux bons marcheurs. Trois jours de randonnée, des vues à couper le souffle, et ce sentiment de décrocher du monde. Trop physique pour moi, toutefois…

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    Une vie locale à découvrir à vélo ou au marché

    Autour du parc, la vie bat son plein. Les peuples Wapogoro et Warazamo m’ont accueillie avec une authentique gentillesse. Et que dire des marchés locaux, bruyants, colorés, pleins de senteurs et de rires ? Un vrai bain culturel… et l’occasion de ramener quelques souvenirs artisanaux !

    Infos pratiques

    • Quand partir ? De juin à novembre, en saison sèche.
    • Comment y aller ? Depuis Dar es Salaam, comptez 5h en voiture. Sinon, train ou petits vols régionaux sont aussi possibles.
    • Prix d’entrée ? Environ 30 USD/jour pour un adulte. Obligatoirement accompagné d’un guide.
    • Combien de temps rester ? Minimum deux jours sur place pour bien explorer le parc et ses environs.
  • Tourisme : plus de voyages, mais… moins de pollution ?

    Tourisme : plus de voyages, mais… moins de pollution ?

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    elizeu-dias

    Empreinte carbone, émissions de gaz à effet de serre, tourisme mondial… On sature tous un peu. Et pourtant, voici une bonne nouvelle qui a de quoi surprendre : alors que le secteur du voyage a retrouvé (voire dépassé) ses niveaux d’avant-COVID, ses émissions, elles, restent inférieures à celles de 2019.

    Selon un rapport coécrit par le World Travel & Tourism Council (WTTC) et le groupe Omran, le secteur aurait réussi à réduire son empreinte carbone de 9,3 % par rapport à 2019, tout en générant plus de PIB (+6 %). En clair, on pollue un peu moins pour chaque euro dépensé en vacances ou déplacements pros.

    Des chiffres encourageants… mais à manier avec prudence

    Derrière cette baisse, on retrouve surtout des gains d’efficacité, un recours accru aux énergies moins polluantes (+16,6 %) et une réduction de la part des combustibles fossiles (-5,7 %).

    Mais attention à l’effet loupe : les transports représentent encore 40 % des émissions du secteur, et près de 60 % sont issues de la chaîne d’approvisionnement (comprenez : hôtels, restauration, activités…). Le « miracle » s’explique donc surtout par des ajustements techniques ! Le secteur reste responsable de 7,3 % des émissions mondiales. C’est moins qu’avant (8,3 % en 2019), mais ça reste colossal.

  • Les Flamands dans les Ardennes, les Wallons à la mer : mythe ou réalité ?

    Les Flamands dans les Ardennes, les Wallons à la mer : mythe ou réalité ?

    belgian coast
    michel-stockman

    Selon une enquête de l’Observatoire wallon du Tourisme (OWT), 28 % des clients des hébergements touristiques wallons étaient néerlandophones — soit plus d’un quart ! Ils devancent les Néerlandais (25 %) et les francophones du pays (23 %). « C’est une base de répondants loin d’être exhaustive », a nuancé la ministre Valérie Lescrenier (Les Engagés), mais les tendances se dessinent. Avec un taux de remplissage stable à 66 %, les campings ont même gagné en popularité, passant de 70 % à 80 % de fréquentation. Les hôtels, eux, ont davantage fait grise mine.

    Pendant ce temps à la mer du Nord…

    Les touristes d’un jour ont, eux, un peu boudé la Côte : -6 % par rapport à 2024, selon les chiffres de l’été 2025. Mais tout n’est pas perdu : les séjours longue durée résistent (-1 %). Et ? Les Flamands restent majoritaires (59 %), suivis des Wallons (24 %). Mention spéciale aux touristes étrangers, qui ont augmenté de 6 %, représentant désormais 17 % des nuitées.

    Alors, mythe ou réalité ?

    Selon les chiffres, le cliché tient plutôt la route… mais avec quelques nuances. Oui, les Flamands semblent avoir un faible pour les Ardennes, tandis que les Wallons continuent de profiter de la Côte belge. L’été, la Belgique reste donc bien en mouvement, avec des frontières linguistiques qui se floutent à mesure que les valises se remplissent !

  • Durbuy : 5 nouvelles cabanes vont pousser dans les arbres !

    Durbuy : 5 nouvelles cabanes vont pousser dans les arbres !

    Treelodges by Mont-des-Pins

    C’est officiel : le 25 octobre 2025, les Treelodges by Mont-des-Pins ouvriront leurs portes à Bomal-sur-Ourthe. Mais attention, ce sont bien plus que de simples cabanes dans les arbres : ce sont de véritables nids enchantés où les elfes, le chant des chouettes et les saunas privés cohabitent sans le moindre conflit de voisinage !

    Installés dans le domaine de vacances Mont-des-Pins, les cinq treelodges écologiques peuvent accueillir jusqu’à 22 personnes. Avec hottub, sauna ou barbecue en terrasse, chaque lodge est une jolie et confortable parenthèse dans les arbres.

     

    Treelodges by Mont-des-Pins

    Un projet entre écologie, solidarité et… trollologie ?

    Imaginé par l’équipe stratégique de MN Vacances, ce projet s’inscrit dans une démarche à la fois écologique, inclusive et légèrement magique. La légende raconte que les lieux sont protégés par cinq anciens trolls, aujourd’hui elfes bienveillants : Lignus Forest, Robin Falco, Chanterelle Moss, Basil Artemis et Kepler Cosmo. Loin du folklore creux, cette narration s’intègre dans un projet éducatif et poétique. Chaque lodge porte la trace de son elfe résident, jusque dans sa déco et son ambiance !

    Tourisme pour tous, magie pour chacun

    Derrière les étoiles dans les yeux, il y a une mission : rendre les vacances accessibles à tous. Grâce aux Mutualités Neutres, le projet bénéficie de prix abordables, sans sacrifier la qualité. En prime, il stimule l’économie locale et respecte l’environnement (pompes à chaleur, station d’épuration, matériaux organiques, etc.).

    Treelodges by Mont-des-Pins

    Et si, en pleine nuit, vous entendez un bruissement dans les branches… ce n’est peut-être pas le vent. Juste un elfe qui vous souhaite bonne nuit !

     

    Découvrez la magie des Treelodges by Mont-des-Pins

  • Froid dehors, chaud dedans : les Sorbiers, l’antigel du bonheur !

    Froid dehors, chaud dedans : les Sorbiers, l’antigel du bonheur !

    les sorbiers
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    Des chambres cosy comme un plaid géant

    Dans l’établissement, chaque chambre a sa personnalité. Mais toutes sont chaleureuses à souhait. Du parquet ciré, des plafonds hauts qui laissent entrer la lumière, des moulures fines et élégantes : c’est raffiné et tout cosy. On a qu’une seule envie : se cacher du froid, sous les draps, et prendre le temps de se reposer.

    Déconnexion garantie

    Aux Sorbiers, on s’évade en douceur : les chambres sont dépourvues de télévision ; mais l’hôtel dispose d’une bibliothèque. Alors on se cale, bien confortablement, dans les oreillers, et on en profite : pour bouquiner, pour papoter, pour rêver.

    les sorbiers
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    Pourquoi ne pas prendre aussi le temps d’un massage ? Abandonner votre nuque, votre crâne et votre visage aux mains d’une experte en bien-être, c’est encore une manière de se ressourcer et de prendre soin de soi !

    Marché de Noël : guirlandes, vin chaud et étoiles plein les yeux

    Ambiance chaleureuse aussi lors du marché de Noël qui s’invite aux Sorbiers du 28 novembre au 30 novembre 2025. Guirlandes, illuminations, cadre enchanteur, chants et animations musicales : tout y est ! Dans ce marché artisanal et gourmand, vous pourrez dénicher des petits cadeaux uniques, en dégustant un bon chocolat chaud ou un verre de vin à la cannelle. Du plaisir à l’état pur…

    les sorbiers
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    Impossible de venir aux Sorbiers sans partir se balader le long de la Meuse, dans le village de Heer, à Waulsort ou encore à Dinant… Rive linéaire, ruelles charmantes, ville animée ou nature dense : il y a ici plein de façon de profiter des couleurs de l’automne et du ciel bleu de l’hiver. On s’emmitoufle dans nos écharpes, on se serre dans nos anoraks, et on profite de l’environnement.

    Table gourmande et bar cocooning

    Et pour se réchauffer, au terme de la journée, attablez-vous au restaurant de l’hôtel « En Face de l’Ile » : la carte change toutes les 6 à 8 semaines, au gré des saisons ; et c’est toujours un régal. Le bar lounge est encore un endroit dans lequel vous pourrez cocooner : l’atmosphère y est conviviale et unique.

    Un cadeau en hiver : une nuit offerte !

    Le domaine vous offrira même 1 nuit en cadeau si vous en réservez 2, en janvier et février : encore une raison de se réjouir de l’arrivée des jours plus frais.

    Vite ! Les Sorbiers vous attendent pour vous réchauffer du froid et vous mettre du baume au cœur !

  • Remouchamps – un R d’automne au R Hôtel : douceur, bien-être et saveurs locales

    Remouchamps – un R d’automne au R Hôtel : douceur, bien-être et saveurs locales

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    Dès le pas franchi, on retrouve cette atmosphère feutrée propre au R Hôtel : une décoration contemporaine, mais jamais froide, des lumières tamisées, et une impression de calme absolu. Pour cette édition automnale, l’accueil se fait autour d’une pause gourmande dans le lounge : le duo brookie tiède et glace artisanale est une petite merveille (je vous préviens, on en redemande), accompagné au choix d’un thé d’automne ou d’un pumpkin latté parfaitement dosé. C’est simple, on entre ici dans la saison comme on enfile un pull en cachemire !

    Une nuit apaisante dans un écrin de confort

    Les chambres Confort et Junior Suites du R Hôtel sont irréprochables : literie impeccable, tonalités apaisantes, grandes baies vitrées laissant entrer la douce lumière du matin. Ce séjour d’automne s’y prête à merveille : on s’y réfugie après une balade sur les rives de l’Amblève ou une promenade dans les forêts alentour, lorsque les feuilles flamboyantes craquent sous les pas.

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    Et le check-out à midi ? Un vrai luxe, surtout pour les amateurs de lenteur assumée. Pouvoir savourer un dernier café en peignoir, sans se soucier de l’heure, c’est l’assurance d’un départ serein !

    Un espace wellness comme un cocon de chaleur

    Je garde un souvenir ému du wellness du R Hôtel : élégant, lumineux, impeccablement entretenu. On y retrouve sauna, hammam et jacuzzi, un trio parfait pour effacer la fatigue et renouer avec soi-même. Le R d’automne inclut une demi-journée d’accès, largement suffisante pour flotter entre vapeur et bulles, tandis que dehors les collines de Remouchamps se parent de roux et d’or.

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    La petite touche locale qui fait la différence

    J’ai toujours apprécié l’attention portée aux détails dans cet établissement, et cette fois encore, la surprise en chambre témoigne du même soin. En partenariat avec La Petite Gatte, charmante épicerie fine de Remouchamps, le R Hôtel glisse dans chaque chambre un produit du terroir, une confiture, un biscuit ou une douceur artisanale. Un geste simple, mais plein d’élégance, à l’image du lieu !

    Un automne réinventé au pied de La Redoute

    Ce package “R d’automne”, en plus d’être une invitation à la détente, est proposé avec 20 % de réduction sur l’ensemble des prestations. Une belle occasion de redécouvrir le R Hôtel, ou d’y revenir comme moi, avec le plaisir d’y retrouver un accueil soigné, une cuisine gourmande et cette ambiance chaleureuse qui en fait un havre de paix en bord d’Ardenne.

  • Malmedy et les Hautes Fagnes : Julie prend de la hauteur et revisite un grand classique !

    Malmedy et les Hautes Fagnes : Julie prend de la hauteur et revisite un grand classique !

    Malmedy
    WBT – David Samyn

    Direction les Hautes Fagnes, avec un crochet par Malmedy ! Je vous emmène pour une escapade où tourbières mystérieuses, forêts profondes, bières artisanales, châteaux féodaux et lacs enchanteurs tissent le fil d’une aventure dépaysante. Allez, lacets serrés, on respire bien et on y va !

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    Le Signal de Botrange et les Hautes Fagnes : là où la Belgique tutoie les nuages

    Point culminant du royaume, le Signal de Botrange trône à 694 mètres d’altitude. Oui, en Belgique, ça suffit pour être au sommet du monde… ou presque. C’est ici que commence l’immersion dans la plus ancienne et la plus vaste des réserves naturelles du pays : les Hautes Fagnes.

    J’ai eu le bonheur d’arpenter ces paysages singuliers un matin de brume — vous savez, ce genre de lumière tamisée qui donne à la lande un air de roman gothique. Bruyères, tourbières, bois moussus : tout ici respire l’ailleurs.

    Pour les marcheurs infatigables (et les rêveurs déterminés), je recommande chaudement la Venntrilogie, cette randonnée de 109 km en six étapes à travers les Cantons de l’Est. Primée l’année dernière, elle mérite amplement sa couronne : chaque étape dévoile un visage différent du pays, entre vallées ombragées, plateaux fagnards et villages pittoresques.

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    Le château de Reinhardstein : le médiéval à flanc de falaise

    Non loin de là, le château de Reinhardstein surgit comme un décor de film. Accroché à son rocher au-dessus de la vallée de la Warche, il semble tout droit sorti du Moyen Âge… Mais non, il est bien réel… et fabuleusement restauré ! On y découvre la salle des chevaliers, la chapelle, des tapisseries, des armures… Bref, tout l’imaginaire médiéval en vrai.

    Reinhardstein
    WBT – Denis Erroyaux

    Depuis le lac de Robertville, une jolie balade de 7 km vous y mène, en passant par le “Nez de Napoléon” (non, on ne l’a pas inventé !) et les méandres de la Warche. Pour les plus endurants, une autre version de 16,7 km démarre depuis Malmedy et serpente entre torrents et parois abruptes. Les mollets s’en souviendront, mais quel spectacle !

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    Le lac de Robertville : un écrin paisible pour promeneurs en quête de sérénité

    Vous aimez les balades les pieds presque dans l’eau ? Le lac de Robertville est fait pour vous. Ses eaux calmes bordées de forêts profondes sont parfaites pour une balade douce, appareil photo à la main ou tête dans les nuages.

    Robertville
    Robertville-les-bains

    Et pour ceux qui aiment tremper les pieds, voire plus, la base de loisirs Robertville-les-Bains propose baignades et activités nautiques… ambiance douce, loin de l’agitation.

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    Belgium Peak Beer : une bière au sommet

    Après l’effort… la mousse ! Impossible de randonner dans les Hautes Fagnes sans faire halte à la brasserie Belgium Peak Beer, située à seulement 2 km du Signal de Botrange.

    Degustation de bieres et planches aperitives
    WBT – Olivier Bourgi

    Ici, la bière est plus qu’une tradition, c’est un hommage liquide à la région : Peak Blonde, Triple, Scotch, et même une étonnante Peak Myrtille qui goûte la forêt. J’ai un petit faible pour cette dernière, dégustée sur leur terrasse en bois, avec vue sur les Fagnes. Le combo parfait : mollets fatigués, cœur léger, verre levé !

    Chargement en cours…

    Et pour ne rien gâcher, on y mange très bien. Idéal pour se remettre d’une randonnée qui a dépassé le “petit tour tranquille” prévu au départ.

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    La Vennbahn : quand l’histoire devient piste cyclable

    Si vous préférez le deux-roues, enfourchez votre vélo et partez à la conquête de la Vennbahn, cette ancienne voie de chemin de fer reconvertie en piste cyclable de 125 km. Elle relie Aix-la-Chapelle à Troisvierges au Luxembourg, en passant par Montenau et les plus beaux paysages des Cantons de l’Est.

    Ligne Ravel 45 Sourbrodt Vennbahn Grunen Kloster-Rurhof
    Ostbelgien.eu-Dominik Ketz

    Vous pouvez bien sûr le parcourir par tronçons, au rythme des anciennes gares, viaducs majestueux et villages plein de charme. Ce n’est pas juste du vélo : c’est une traversée poétique de la mémoire industrielle et des grands espaces.

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    Malmedy, perle des Hautes Fagnes

    Enfin, comment ne pas s’attarder à Malmedy, ce petit bijou blotti au creux des collines ? Sa cathédrale, ses ruelles animées, ses terrasses accueillantes… Tout invite à la flânerie.

    Malmedy
    WBT – David Samyn

    Mais ne passez pas à côté de ses trésors cachés : poussez la porte du Malmundarium, installé dans l’ancien monastère, pour un voyage immersif entre histoire locale, carnaval, cuir et papier. Flânez le long de l’Itinéraire de la Mémoire, une promenade urbaine ponctuée de stèles et de bâtiments emblématiques – de l’obélisque à la maison Vinette, en passant par la Halle Grétedar ou le Calvaire : un parcours passionnant, parfois poignant, toujours éclairant. Et pour trinquer à tout ça (avec modération mais beaucoup de goût), direction la Brasserie de Bellevaux : un havre de houblon dans un écrin de verdure.

    Mais ma balade préférée reste celle « Au pays des Négus » (oui, le nom intrigue), qui vous plonge dans un décor sauvage et spectaculaire, digne d’un conte nordique…

    Alors, qu’attendez-vous ?

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