Les débuts des Jeux Olympiques : Une tradition millénaire
Le jour historique ? C’était en 776 av. J.-C., à Olympie, un petit sanctuaire grec dédié à Zeus. Ce jour-là, les premiers Jeux Olympiques de l’histoire ont eu lieu, marquant le début d’une tradition qui dure encore aujourd’hui. Imaginez l’atmosphère : des athlètes en pleine compétition, des spectateurs enthousiastes et le prestige d’honorer les dieux de la Grèce antique.
Pourquoi les Jeux Olympiques ?
Les Jeux Olympiques avaient une vocation à la fois religieuse et culturelle. Ils étaient créés pour rendre hommage à Zeus et promouvoir des valeurs telles que le courage, la force et le dépassement de soi. La légende raconte que le héros Héraclès serait l’initiateur des Jeux après avoir accompli ses douze travaux.
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Pour qui étaient ces Jeux ?
Les Jeux étaient réservés aux citoyens grecs libres. Seuls les hommes pouvaient participer et assister aux compétitions. Les femmes mariées, quant à elles, étaient strictement interdites dans l’enceinte d’Olympie. Seuls les meilleurs athlètes issus des différentes cités-États se présentaient, prêts à concourir pour la gloire et l’honneur.
Les récompenses et la gloire du vainqueur
Le vainqueur recevait une simple couronne d’olivier, symbole de paix et de victoire. Mais le véritable prix était la gloire éternelle. De retour dans leur cité, les champions étaient célébrés comme des héros, recevant parfois des privilèges tels que des repas gratuits à vie ou des statues érigées en leur honneur.
Quels étaient les jeux au programme ?
Lors des premiers Jeux, une seule épreuve existait : la course à pied de 192 mètres, appelée le stade. Par la suite, des épreuves comme le pentathlon (course, saut en longueur, lancer de disque, lancer de javelot, lutte), la boxe et le pancrace (un mélange de lutte et de boxe) furent ajoutées.
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Olympie : Un lieu mythique chargé d’histoire
Olympie, située dans le Péloponnèse, était un sanctuaire religieux dédié à Zeus. Ce site sacré abritait de majestueux temples et la célèbre statue de Zeus, l’une des Sept Merveilles du Monde Antique. Aujourd’hui, Olympie est un site archéologique incontournable en Grèce, attirant des milliers de visiteurs venus admirer ses ruines antiques et son stade historique.
Marie Owens Thomsen, économiste en chef de l’IATA, a salué cette reprise spectaculaire après des pertes colossales liées à la pandémie : 183 milliards de dollars entre 2020 et 2022. Les compagnies aériennes vont bénéficier d’un repli du prix du kérosène, estimé à 87 dollars le baril en 2025, contre 99 dollars en 2024. Cette baisse réduira la part du carburant à 26,4 % des coûts d’exploitation contre 28,9 % cette année.
Si la reprise est spectaculaire (qu’il faut toutefois tempérer avec des défis liés aux chaînes d’approvisionnement défaillantes, infrastructures saturées et fiscalité en hausse), l’impact environnemental reste préoccupant. Avec une consommation de 405 milliards de litres de kérosène en 2025, les émissions de CO₂ continuent d’augmenter. L’IATA encourage le développement de carburants durables (SAF), mais leur production reste insuffisante.
Pour limiter son empreinte carbone, privilégier des alternatives comme le train pour les courtes distances est essentiel. Les compagnies investissent également dans des technologies plus écologiques, comme des avions moins polluants et des programmes de compensation carbone. Suffisant ? Le débat est lancé mais certainement pas clôturé !
L’une des sept merveilles du monde antique a-t-elle vraiment existé ?
Les Jardins suspendus de Babylone fascinent depuis des millénaires. Décrits comme une oasis paradisiaque en plein désert, ils continuent de nourrir le débat entre les chercheurs : mythe ou réalité ? 🌱
Descriptions anciennes, preuves absentes
Les écrits historiques attribuent ces jardins à la reine Sémiramis ou au roi Nabuchodonosor II (vers 600 av. J.-C.). Les auteurs grecs, comme Strabon et Philon de Byzance, décrivent des terrasses luxuriantes remplies de plantes exotiques. Ces jardins auraient été construits pour Amytis, l’épouse de Nabuchodonosor II, qui regrettait les paysages verdoyants de sa Médie natale. Cette légende raconte que le roi fit édifier ces merveilles pour apaiser la nostalgie de sa reine. Pourtant, aucune preuve archéologique n’a été trouvée à Babylone pour confirmer leur existence.
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Une erreur de localisation ?
Certains chercheurs suggèrent que ces jardins n’étaient pas à Babylone, mais à Ninive, une autre ville de l’Empire assyrien. L’archéologue Stephanie Dalley soutient que le roi assyrien Sennachérib serait le véritable créateur des jardins. Des découvertes à Ninive révèlent un système complexe d’irrigation, compatible avec cette théorie.
Un chef-d’œuvre d’ingénierie
Les descriptions parlent d’un système ingénieux d’irrigation permettant de cultiver des plantes sur plusieurs niveaux de terrasses. L’eau aurait été acheminée grâce à une vis d’Archimède ou des roues à eau depuis l’Euphrate. On imagine des palmiers, des arbres fruitiers et des fleurs exotiques se dressant en plein désert, une scène presque magique.
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Un mythe persistant
Malgré le manque de preuves concrètes, l’image des Jardins suspendus perdure. Leur légende incarne l’ingéniosité et le pouvoir des civilisations anciennes. Faut-il vraiment des preuves matérielles pour que le mythe vive ?
L’entreprise de tourisme spatial Virgin Galactic a annoncé une collaboration avec les autorités italiennes pour évaluer le lancement de vols spatiaux depuis l’Italie. Une étude sera menée avec l’Enac, l’autorité italienne de l’aviation civile, pour déterminer la faisabilité technique de ces vols au départ de la base de Grottaglie dans le sud du pays.
Selon Mike Moses, responsable des programmes commerciaux chez Virgin Galactic, les premiers décollages européens pourraient avoir lieu d’ici quatre à cinq ans. L’objectif : organiser plusieurs vols par semaine pour des touristes fortunés ou des projets de recherche scientifique.
Des billets à prix stratosphériques
Les vols proposés offriront aux passagers quelques minutes en apesanteur, à plus de 85 km d’altitude. Mais ces expériences auront un coût ! Initialement tarifés entre 200.000 et 250.000 dollars, les billets sont désormais fixés à 450.000 dollars, avec une augmentation prévue à 600.000 dollars pour les nouveaux vaisseaux en développement.
Ce projet place Virgin Galactic en concurrence directe avec Blue Origin, l’entreprise de Jeff Bezos. Jusqu’à présent, tous les vols spatiaux commerciaux sont partis des États-Unis.
Tout au bout de l’Europe et déjà aux confins de l’Asie, l’Arménie se situe au cœur du Caucase. Le « pays de Noé » n’a pas de côte mais un grand lac situé en altitude. L’Histoire raconte l’épopée des conquérants qui se sont succédé avec les Perses, les Romains, les Byzantins, les Turcs seldjoukides et Ottomans… Et plus récemment, la Russie soviétique. Sans oublier la tragédie du génocide et de sa diaspora qui dénombre aujourd’hui dix millions d’Arménien dans le monde tandis que l’Arménie elle-même n’en compte que trois. L’histoire mouvementée de ce petit pays a comme dernière aventure celle d’avoir été l’une des quinze républiques de la Russie soviétique. Période dont elle est fière d’avoir… tourné la page. Tandis qu’aujourd’hui, de nombreux opposants fuyant la politique de Poutine s’y trouvent désormais installés.
La ville qui compte un million d’habitants se visite facilement à pied : les édifices ne sont jamais loin. Il y a les places arborées et leurs fontaines à parcourir ainsi que l’opéra avec ses soirées dédiées notamment au grand Khatchatourian, compositeur national et sa célébrissime « Dance du Sabre ». Après cela, la balade le long des terrasses offrira tout ce que cette ville moderne et déjà européenne peut proposer : bars, restaurants, tavernes et spectacles…
La Cascade et son escalier géant à Erevan
Toute visite passera par la place de la République et ses édifices pastel couleur pêche dont certains datent de l’époque soviétique. Voici le Musée d’Histoire et la Galerie Nationale, le bâtiment de Gouvernement et la tour de l’Horloge où en été, les jets d’eau font leur show. Autres sites à visiter dans la capitale, la bibliothèque Matenadaran et ses millions de manuscrits. Incontournable, le mausolée « Tsitsernakaberd » évoque le génocide arménien de 1915 et son million de morts.
Avec sa pointe de granite de 44 mètres, ses douze stèles, ses arches et son incroyable musée sans oublier sa flamme éternelle, le site est régulièrement fleuri (notamment chaque 24 avril). Quelques marchés dont le plus couru, le « Vernissage », déclinent tout l’artisanat du pays depuis la symbolique du grenadier aux multiples icones en passant par les assiettes et plateaux, peintures et foulards, instruments de musique et bois ciselés…
Eric Valenne
A l’horizon, l’Ararat
Les Arméniens ont créé leur propre identité nationale avec une langue et un alphabet uniques qui les ont affranchis de toute autre influence. Au cœur de la capitale Erevan et depuis la rue Tamanyan, les escaliers mènent vers les hauteurs de la colonne du cinquantième anniversaire de l’Arménie soviétique. Les escalators intérieurs évitent les 572 marches et permettent de profiter du Cafesjian Center For The Arts ou « Cascade », un important centre d’art contemporain aux 1200 œuvres à découvrir. De là-haut s’admire la meilleure vue panoramique sur la ville avec les lumières qui s’allument en contrebas comme autant d’étoiles d’une galaxie trépidante aux boulevards bruyants. A l’horizon, le magnifique mont Ararat, comme veillant sur la capitale et la nation. Mais celui-ci ne se dévoile pas souvent. Situé à soixante kilomètres et aux confins de la Turquie et de l’Iran, il est un des symboles forts de l’Arménie.
Le mont Ararat et le monastère Khor Virap
La Genèse a voulu que s’y échoue l’Arche de Noé qui a fait rêver des générations d’historiens et d’aventuriers. Emblématique et envoûtant mont Ararat… Avec ses neiges éternelles qui blanchissent son sommet de 5137 mètres, il se refuse souvent à la vue et se nimbe de nuages. Paradoxalement, cette montagne que l’on dit berceau de l’Arménie est inaccessible aux Arméniens eux-mêmes car située en Turquie. Empêchés par toutes les tracasseries frontalières imposées par Ankara, les Arméniens d’aujourd’hui se contentent de l’admirer de loin. De quoi rappeler que les deux pays se tournent encore le dos sur fond de génocide. Une tragédie jamais cicatrisée ni reconnue par la Turquie.
Vue sur les campagnes arméniennes et les gorges Vorotan
Une envie de grands espaces
Un goût d’aventure s’épice dès que l’on quitte Erevan avec notamment comme cap, les monastères qui font partie de la mémoire nationale et universelle (UNESCO). Si ceux-ci ne devraient pas limiter le pays au seul tourisme religieux et culturel, ils font partie de la mémoire de cette contrée du Proche-Orient. Non loin de la capitale se profile déjà le magnifique autant qu’emblématique monastère de Khor Virap.
Monastère de Khor Virap
Avec comme écrin lointain les neiges du mont Ararat à l’horizon, ce lieu témoigne de l’adoption du christianisme par ce pays, l’un des premiers à le faire. C’était en l’an 301 grâce à Grégoire l’Illuminateur, jeté ici dans un puits profond par le roi. Mais le saint y survécut miraculeusement treize ans. Au point de sauver son bourreau de la mort pour le convertir lui et tout le pays… Un monastère fut édifié autour du puits au 7ème siècle.
La cathédrale Sainte-Etchmiadzine
L’aventure continue. A 20 km d’Erevan, la cathédrale Sainte-Etchmiadzine abrite le Saint-Siège qui dirige l’Église apostolique arménienne avec son patriarche, le Catholicos de tous les Arméniens. Il s’agit d’un site religieux qui doit se visiter mais… surtout s’écouter lors des concerts chantés par les choristes les dimanche et jours de fête! Ensuite, la route permet de gagner les hauteurs encore couvertes des neiges hivernales tandis que les vallées voient les arbres fleurir. Ici et là, les vignobles s’accrochent aux reliefs et racontent leur origine ancestrale.
Le monastère de Geghard
Quelques autres sites monastiques incontournables vous attendent encore comme celui de Geghard situé dans les collines rocheuses de l’arrière-pays. Fondé au XIIIème siècle, il cache une partie troglodyte. Les lieux sont fascinants et ressemblent comme un écho à celui de Tatev, ce nid d’aigle isolé dans les neiges printanières qui se découvre après une descente en téléphérique (le plus long au monde).
Le monastère de Geghard Eric Valenne
De quoi rappeler que ce pays est très montagneux, découpé de canyons et haché de rivières sauvages. Il témoigne également à l’instar de la quarantaine de monastères et d’églises du grand intérêt de ce patrimoine. Partout, l’ornementation des sanctuaires et des murs fascine avec les entrelacs et autres khatchkars (croix sculptées) qui ornent les édifices. Fondé au XIIIème siècle, il présente une partie troglodyte. Les lieux sont fascinants. Posté sur un nid d’aigle, voici Tatev. Souvent isolé dans les neiges persistantes, l’endroit ne se découvre qu’après une… descente en téléphérique le plus long au monde « Les Ailes de Tatev » (5752m)…
Monastère de TatevEntre prières et chants Eric Valenne | cms
Une boisson millénaire…
Détruit en 1679 par un séisme, le temple grec de Garni domine une vallée aux étranges murailles volcaniques en tuyaux d’orgue. Ce temple de style ionique a fière allure. Il semble venir droit de l’antiquité, ce qui n’est pas tout à fait vrai dans la mesure où fut reconstruit pour être à nouveau sur pied en 1976. Sur la route vers Erevan, d’autres témoignages s’admirent au cœur d’antiques vignobles aux vins originaux. Question de rappeler l’histoire plurimillénaire de cette boisson dont cette région du Caucase en est le berceau. C’est que par ici, l’accueil et la table sont très importants…
Les petits verres de vodka ou de brandy local précèderont, accompagneront ou termineront les plats locaux, mélanges d’Asie et d’Occident. Lesquels sont souvent servis avec les vins du cru. Voici les khorovats (grillades et salades), les dolmas (légumes farcis par toutes sortes de viandes), le Lahmajoun (pizza arménienne)… Sans oublier le lavash, ce pain traditionnel cuit au four, dont on peut souvent admirer la fabrication ancestrale. Mais s’il y a bien une nourriture plus spirituelle qui séduira le visiteur… c’est le plaisir d’écouter résonner l’âme et l’esprit de ce petit pays : la musique envoûtante du doudouk, ce haut-bois ancestral bercé de nostalgie qui transporte au paradis au-delà du mont Ararat.
Le duduk arménien est un instrument de musique à vent traditionnel, considéré comme l’un des symboles culturels les plus emblématiques de l’Arménie. Fabriqué en bois d’abricotier, il est doté d’une anche double qui produit un son doux, profond et mélancolique, souvent comparé à la voix humaine. Ce timbre unique lui permet d’exprimer une large gamme d’émotions, allant de la joie à la nostalgie, et de raconter des histoires imprégnées des traditions et de l’âme arméniennes. Son origine remonte à plusieurs siècles, et il est indissociable des rites, cérémonies et moments marquants de la vie arménienne. En 2005, l’UNESCO a reconnu la musique du duduk comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité, soulignant son importance dans la préservation de l’identité arménienne.
Pour écouter du duduk en Arménie, la capitale Erevan est une excellente destination. Le Centre Cafesjian pour les Arts organise régulièrement des concerts où le duduk est mis en avant. Le Théâtre national d’Opéra et de Ballet propose aussi des performances intégrant cet instrument unique. Les festivals de musique folklorique, comme ceux organisés à Dilijan ou dans la région du Lori, offrent l’opportunité d’écouter du duduk dans un cadre plus traditionnel. Enfin, dans les villages arméniens, des soirées culturelles permettent de découvrir des joueurs locaux dans un contexte authentique et chaleureux, pour une immersion complète dans la richesse sonore de cet instrument légendaire.
Une étude de Climate Central révèle que l’Europe est le continent le plus touché par le réchauffement climatique. Entre 2014 et 2023, 44 pays et près de 400 villesont perdu au moins une semaine de jours de gel par an. Cette hausse des températures hivernales affecte déjà le tourisme, l’agriculture et la santé.
En France, le Nord et l’Est sont particulièrement concernés. En moyenne, le pays a enregistré 10 jours de gel en moins par an sur la dernière décennie. Cela compromet les sports d’hiver, la disponibilité d’eau potable liée à la fonte des neiges et la production de fruits comme les pommes et les pêches, qui ont besoin de froid prolongé.
Santé et biodiversité en péril
Kristina Dahl, scientifique chez Climate Central, souligne que ces changements mettent en danger les écosystèmes et les traditions culturelles. Le froid régule également les populations d’insectes nuisibles comme les moustiques et les tiques. Des hivers plus courts favorisent la prolifération du pollen, aggravant les allergies.
Nouvelle journée, nouveau lieu : nous sommes le long de la Moselle dans la petite ville de Cochem. Nous commençons par une visite de l’imposant château de Reichsburg, fondé autour de l’an 1000, détruit en 1689 par les troupes du Français Louis XIV et reconstruit en style néo-gothique à partir de 1868. Puis, direction les ruelles de la vieille ville et son marché de Noël.
Un sauna sur la Moselle
De retour au bateau, on dîne dans le petit restaurant arrière (gratuit, mais réservation obligatoire), où l’ambiance est plus cosy et le menu encore plus fin que dans le grand restaurant avant. On s’offre ensuite une séance dans le spa du bateau (gratuit, mais sous réservation), un espace privatisé avec sauna, hammam, jacuzzi et solarium.
Viva Cruise
Le dîner de gala du capitaine
Le spa nous a remis d’aplomb pour le dîner de gala du capitaine, où nous sont présentés les 40 membres d’équipage de 10 nationalités différentes. L’occasion d’applaudir ces gens dévoués et offrant un service de qualité. Pour le repas, j’ai choisi les fruits de mer Thermidor, le bœuf Angus, le plateau de fromage et la tarte au citron ; le tout accompagné de bons vins, dont un excellent rouge chilien. Pendant que nous dégustons, le bateau fait machine arrière vers Francfort, avec une dernière halte à Mayence au petit matin.
Viva Cruise
Mayence et Wiesbaden
À part la cathédrale et le musée Gutenberg de l’imprimerie, il n’y a pas grand-chose à voir à Mayence. Mais Viva Cruise propose aussi une visite guidée de Wiesbaden, la riche ville voisine. Tous les bâtiments historiques sont colossaux, à commencer par le Kurhaus, inauguré en 1907. Plusieurs fontaines publiques d’eau chaude naturelle jaillissent aussi un peu partout dans la cité, réputée pour ses cures thermales.
Viva Cruise
De retour à Francfort
Nous atteignons Francfort à 18h30, juste à temps pour profiter de son marché de Noël, spectaculaire mais très peuplé. On l’écourte pour un apéro au calme dans le bar du bateau, avant le dernier repas et une soirée d’adieu, avec comme tous les jours un pianiste et même du champagne à volonté si vous le désirez…
Olivier Maloteaux
De quoi conclure en beauté cette croisière apaisante, illuminée des scintillantes lumières de Noël. Une expérience à revivre. Peut-être au printemps ou en été la prochaine fois, pour profiter des facilités extérieures du bateau. Viva Cruise propose des croisières dans de nombreuses villes et pays européens et à toutes les périodes de l’année, avec en prime un rapport prix/prestations franchement concurrentiel…
Singapour est l’une des rares villes-États au monde. Bien que petite, elle affiche une architecture futuriste avec des bâtiments iconiques comme le Marina Bay Sands et le jardin de super-arbres, Gardens by the Bay.
2. Des lois strictes, mais efficaces 🚫
Ici, la discipline règne ! La vente de chewing-gum est interdite, et jeter un papier par terre peut coûter cher. Ces règles strictes assurent une propreté exemplaire et une sécurité sans pareil.
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3. Un melting-pot culturel 🏮
Singapour est une mosaïque de cultures : malaisienne, chinoise, indienne et occidentale. Cela se reflète dans sa gastronomie, avec des plats comme le Laksa ou le fameux chicken rice.
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4. Un paradis vert 🌳
Malgré son urbanisation, Singapour est une “ville jardin”. Des espaces comme le Botanic Gardens et les parcs verticaux font partie de ses solutions écologiques innovantes.
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5. Un hub économique et technologique 💼
Avec l’un des ports les plus actifs au monde et une économie florissante, Singapour est une plaque tournante pour le commerce et la technologie en Asie.
Les allergies alimentaires graves touchent aujourd’hui 1 voyageur sur 7, contre 1 sur 8 il y a quelques mois, selon une étude de la Safer Tourism Foundation relayée par Traveldailynews. Avions, hôtels, buffets : pour les personnes allergiques, chaque repas peut devenir une source de stress intense.
Des conséquences bien réelles
Une personne sur deux avoue ressentir une anxiété accrue à l’idée de voyager avec une personne allergique. Pour éviter les risques, 64 % des voyageurs adoptent des précautions supplémentaires et un tiers d’entre eux préfère des prestataires avec des politiques de sécurité claires.
Georgie Palmer, journaliste et mère d’un enfant allergique, raconte dans Geo.fr : « En voyage, vous placez votre confiance entre les mains d’autrui. Ce que vous souhaitez, c’est de la clarté et de la bienveillance. »
La sensibilisation prend son envol
Face à ces risques, la Safer Tourism Foundation a lancé la campagne “Put The Nuts Away” pour des politiques claires en matière de gestion des allergies. Objectif : des règles transparentes et appliquées à chaque étape du voyage. Katherine Atkinson, directrice de l’association, rappelle : « S’abstenir de consommer des noix en vol pourrait sauver une vie. »
Le quartier de la Ribeira, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, est le cœur vibrant de Porto. Avec ses maisons colorées bordant le fleuve Douro et ses ruelles pavées animées, il incarne à lui seul l’âme de la ville. Ne manquez pas le pont Dom-Luís I, chef-d’œuvre métallique reliant Porto à Vila Nova de Gaia, et offrant une vue spectaculaire sur la ville et le fleuve. Ce mélange de charme historique et d’animation fait de la Ribeira un lieu incontournable. C’est le point de départ idéal pour une visite de la ville, ou pour faire une croisière sur le Douro en suivant les recommandations de Bonjour Porto !
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Les caves à vin de Porto
Impossible de visiter Porto sans découvrir ses célèbres caves à vin ! Elles sont pour la plupart situées à Vila Nova de Gaia, de l’autre côté du pont Dom-Luís I. Ces caves renferment l’histoire et les secrets de fabrication du fameux vin de Porto. Lors de votre visite, vous pourrez explorer les espaces de vieillissement, en apprendre davantage sur les différents types de Porto (ruby, tawny, blanc) et, bien sûr, déguster ces nectars emblématiques. Parmi les caves les plus réputées, Sandeman, Taylor’s ou Graham’s offrent des expériences enrichissantes.
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La Torre dos Clérigos
La Torre dos Clérigos, ou en français Tour des clercs, est un autre symbole emblématique de Porto. Ce chef-d’œuvre baroque construit au XVIIIe siècle culmine à 76 mètres et domine le paysage urbain. Après avoir gravi ses 240 marches, vous serez récompensé par une vue panoramique à couper le souffle sur la ville et le Douro. Autrefois, ce monument était un point de repère pour les marins… Il est aujourd’hui devenu un incontournable pour tous les visiteurs !
Pourya Gohari
Le Palácio da Bolsa
Le Palácio da Bolsa, ou palais de la bourse, est un chef-d’œuvre architectural du XIXe siècle situé en plein cœur de la ville. Ancien siège de la bourse de commerce, ce monument impressionne par son élégance néoclassique et sa richesse décorative. Lors de la visite, ne manquez pas le spectaculaire Salon Arabe, inspiré de l’art mauresque, avec ses détails dorés et ses fresques fascinantes.