La Nouvelle-Zélande frappe fort en s’ouvrant aux travailleurs à distance ! Désormais, les touristes étrangers pourront non seulement admirer ses fjords et ses volcans, mais aussi y poser leur ordinateur portable pour travailler. “Nous voulons que notre pays soit vu comme la destination idéale, où voyager et travailler se combinent à la perfection“, a déclaré Erica Stanford, ministre de l’Immigration.
Stimuler une économie en convalescence
Après une entrée en récession en 2024, l’économie néo-zélandaise a besoin d’un sérieux coup de pouce. Avec le tourisme représentant près de 11 milliards de dollars et 200 000 emplois, le gouvernement espère que ces nouveaux “nomades numériques” dynamiseront la consommation locale. Bien sûr, tout n’est pas gratuit : pour ceux qui resteront plus de 90 jours, une taxation pourrait s’appliquer.
Nous vous en parlions récemment, avec son nouveau plan logement, Pedro Sánchez entend freiner la flambée immobilière en Espagne. Parmi les mesures annoncées, une en particulier fait réagir : taxer jusqu’à 100 % la valeur des biens achetés par des étrangers non-européens. Une mesure qui vise les Britanniques, Américains ou encore Chinois, mais qui pourrait aussi profiter aux Belges en réduisant la concurrence pour acheter un bien au soleil.
En 2023, les étrangers ont représenté 15 % des acquisitions immobilières en Espagne, avec un tiers des achats concentrés aux Baléares, sur la Costa Blanca et la Costa del Sol.
Une réforme qui divise
Si elle est votée par le Congrès, cette réforme pourrait limiter les acquisitions tout en créant un effet contraire : un rush sur les achats avant son entrée en vigueur. Résultat ? Une possible hausse des prix, notamment dans les zones touristiques.
« Cette réforme pourrait avantager les Belges à long terme, mais dans l’immédiat, elle risque d’agiter le marché », commente Jonathan Buchet, CEO de ZAPINVEST.
Aides et opportunités
Pour équilibrer, le plan inclut des aides : exonération fiscale pour les propriétaires louant à prix abordables, soutien à la rénovation des biens vacants et garantie publique des loyers.
Que faire ?
Si vous rêvez d’un pied-à-terre en Espagne, surveillez de près ces changements. Avec moins de concurrence ou des prix en hausse, il pourrait être judicieux d’accélérer vos projets avant que ce plan ne transforme définitivement le marché.
A Chinese company has unveiled a next-generation supersonic aircraft verification model and eyes its first test flight in 2026.
The prototype named Cuantianhou will be 7 meters long and weigh 1.5 metric tons. Propelled by a state-of-the-art ramrotor detonation engine, which can… pic.twitter.com/OPJfrrWAsp
Sichuan Lingkong Tianxing Technology Co a dévoilé son prototype Cuantianhou (ou Soaring Monkey) de la série Yunxing. Ce bijou de technologie promet des vols à Mach-4 (près de 5.000 km/h), soit deux fois plus rapide que le Concorde. Présenté à Chengdu ce lundi, l’appareil est conçu pour opérer dans la stratosphère, entre 20 et 100 km au-dessus du sol. De quoi écraser la concurrence… et les temps de vol.
Un premier envol en 2026
Selon l’entreprise, le premier vol d’essai est prévu en 2026. Objectif : tester les matériaux résistants à la chaleur, les systèmes de propulsion et les performances aérodynamiques. Deng Fan, ingénieur en chef, se montre confiant : “Les avions de ligne supersoniques font un retour en force avec des percées majeures… Ils offriront bientôt des vols plus rapides et plus économiques.”
Si tout se passe bien, la société prévoit d’envoyer un autre modèle, le Dasheng (ou Monkey King), dans les airs d’ici 2030.
Déjà des records en poche
Ce n’est pas un coup d’essai. En octobre dernier, l’entreprise avait déjà fait voler un prototype Yunxing à Mach-4. Alors, bientôt un Paris-New York en moins de deux heures ? Le rêve supersonique renaît, et cette fois, il vient de Chine. Signe des temps…
Ryanair met en garde contre les surcoûts abusifs pratiqués par des sites comparatifs ou sur une plateforme plus large comme Booking. Ces sites, utilisés pour comparer les prix des vols ou des hébergements, sont loin d’être gratuits lorsqu’il s’agit d’acheter directement via leurs services !
Une enquête menée par Ryanair révèle des majorations importantes, notamment sur les bagages et les réservations de sièges. Par exemple :
eDreams facture un bagage de 10 kg à 27,49 € contre 11,99 € sur le site de Ryanair (+129 %).
Vola.ro demande 16,50 € pour une réservation de siège, contre 8,00 € directement chez Ryanair (+106 %).
Sur Booking.com, les billets d’avion peuvent coûter entre 7 % et 27 % plus cher selon la compagnie (easyJet, Wizz Air, etc.).
Comparer, mais pas acheter
Comparer les prix reste un bon réflexe, mais procéder à l’achat final via les sites des compagnies aériennes est une solution plus sûre et souvent moins coûteuse. Bien entendu, il en va complètement différemment pour les agences de voyage qui proposent souvent des prix globaux que l’on ne peut pas toujours disséquer et qui surtout, ne prennent pas forcément de commission sur les vols !
Le Toubana Hôtel & Spa : élégance et vue à couper le souffle
Si vous cherchez le summum du luxe en Guadeloupe, posez vos valises au Toubana Hôtel & Spa, le seul hôtel 5 étoiles de Grande-Terre. Niché sur une colline, il offre une vue imprenable sur les eaux turquoise.
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Ici, chaque détail respire l’exclusivité : suites et villas élégantes, certaines avec piscine privée, plage privée et spa dédié à la détente. Après une escapade à la Pointe des Châteaux ou à Saint-François, laissez-vous séduire par un dîner gastronomique avec l’océan en toile de fond. Un cadre idyllique pour une parenthèse hors du temps !
Le Jardin Malanga : une immersion en pleine nature
Pour une expérience plus intimiste, cap sur Le Jardin Malanga, un havre de paix niché au cœur d’un jardin tropical à Trois-Rivières. Avec ses cottages en bois et sa vue panoramique sur Les Saintes, cet hôtel offre une parenthèse authentique et raffinée.
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Et tant qu’à faire, partez à l’aventure en gravissant la Soufrière, explorez les fonds marins de Malendure à la rencontre des tortues ou embarquez pour une excursion vers Les Saintes ! Le Jardin Malanga est l’adresse idéale pour une immersion en pleine nature, loin de l’agitation. Nous, on adore !
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Un archipel aux mille trésors
En séjournant dans ces hôtels d’exception, vous serez aux premières loges pour explorer la diversité de la Guadeloupe : les paysages sauvages de la Pointe de la Grande Vigie, les eaux cristallines de Marie-Galante, ou encore les falaises spectaculaires de la Pointe des Châteaux.
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Que vous soyez amateur de plages paradisiaques, de randonnées tropicales, ou de villages pittoresques comme Pointe-à-Pitre, la Guadeloupe a tout pour séduire !
Walibi continue sa mue avec un chantier d’envergure : Dock World, un nouvel univers portuaire industriel en plein cœur du parc. Avec 35 millions d’euros sur la table, le parc belge ne fait pas les choses à moitié ! Prévu pour 2025, ce monde accueillera plusieurs attractions revues et corrigées, un restaurant, un café et même un phare de 15 mètres, affectueusement baptisé “Port du Wavre”.
Mecalodon : le monstre des airs (et de l’eau)
La star de Dock World ? Mecalodon, un family coaster dantesque qui décroche déjà le titre du plus grand du Benelux. Ses chiffres donnent le vertige :
🦈 925 mètres de parcours
⚡ 3 propulsions pour un maximum de vitesse
🎢 14 airtimes pour une sensation d’apesanteur garantie
Avec ses trains en forme de requins mécaniques, ce coaster plongera les visiteurs au ras de l’eau pour un ride aussi impressionnant que thématisé.
Un lifting industriel pour des attractions cultes
Walibi profite de ce grand chambardement pour re-thématiser certaines de ses attractions iconiques :
Flash Back et Psyké Underground adopteront un look industriel, en accord avec Dock World.
Les attractions pour enfants Dragon Boat et Salsa y Fiesta deviendront respectivement Stormy et Tous en boîte.
Une halle centrale accueillera les visiteurs pour un peu de shopping bien mérité après les sensations fortes.
Voilà, voilà. Il n’y a plus qu’à espérer que vous aurez bien digéré vos frites avant de vous faire trimballer dans ces joyeuses attractions !
On ne va pas se mentir, le retour au travail de mon amoureux ne s’est pas fait de gaieté de cœur ! Entre les piles de dossiers, les clients mécontents et les collègues stressés, il n’y avait qu’un remède : une échappée en Wallonie, au vert et au calme ! Enfin, pas trop quand même : c’est que je le connais, mon petit canard en sucre ! Le choix s’est rapidement arrêté sur Namur, une capitale, certes, mais à taille humaine et entourée d’une magnifique nature. Chose insolite : je n’ai pas pu choisir le programme. S’il adhérait à mon idée, mon chéri a insisté pour tout organiser, histoire de « se vider la tête », m’a-t-il dit… Allez comprendre les hommes !
Avec mon amoureux (qui a un faible pour les châteaux), nous avons donc laissé les enfants chez mamie pour partir à la conquête de cette sublime ville…
Flâner dans les rues…
Avant de poser nos valises au château, nous avons flâné dans la vieille ville de Namur. Si vous aimez les ruelles pavées, les petites boutiques et les cafés charmants, c’est un passage obligé. La vue sur la Citadelle m’émerveille toujours autant. Je me sens comme protégée par ce bijou médiéval qui semble veiller avec bienveillance sur les habitants de la ville. Lassé par mes arrêts incessants dans les boutiques de la ville, amour a décidé d’écourter mes séances d’échauffement de la carte de crédit pour m’emmener vers « sa surprise »…
Et pour une surprise, ce fut une surprise ! C’est qu’il m’emmenait directement au château, le grand prince ! Et pas n’importe lequel : le château de Namur, un hôtel 4 étoiles qui porte magnifiquement son nom et se dresse au sommet d’une colline boisée. Avec son architecture majestueuse et ses jardins soignés, on se croirait dans un conte de fées. Faut l’avouer, ce rôle de princesse me va à merveille !
La chambre
Notre chambre était d’un confort absolu : un lit ultra confortable qui nous a donné envie de ne jamais en sortir, une salle de bain élégante et des petites attentions qui font toute la différence. Tout cela pour moins de 150 euros, un tarif plus que raisonnable vu le cadre et les prestations.
Le restaurant et sa cuisine aux petits oignons !
Le vrai clou du spectacle ? Contrairement à nos petites habitudes, nous ne sommes pas partis en ville pour souper, mais avons tout simplement descendu les escaliers ! Le restaurant du Château met les étudiants de l’École Hôtelière de la Province de Namur à l’exercice. Encadrés par des professionnels, ils s’entraînent à concocter et servir des plats dignes des plus grands chefs. Et croyez-moi, on était bluffés !
Pour 48 euros par personne, nous avons savouré un menu 3 services à vous faire tomber les papilles ! En entrée, des noix de Saint-Jacques, suivies d’un coucou de Malines, une volaille délicieusement tendre et juteuse ; et pour finir, un tiramisu léger comme un nuage. Et je vous l’avoue, moi aussi j’avais l’impression d’être sur un nuage ! La carte change régulièrement, mais une chose est certaine : peu importe ce qui est inscrit, vous allez vous régaler !
Un départ en douceur…
Le lendemain matin, après un petit-déjeuner royal, direction le parc de la Citadelle. On peut y marcher tranquillement et admirer une vue sensationnelle sur la ville ! Avant de repartir, nous n’avons pu nous empêcher de flâner à nouveau près de la Meuse, histoire de refaire le plein d’énergie !
La taxe d’embarquement n’a rien de neuf puisqu’elle fut introduite en avril 2022. Elle visait principalement les vols courts de moins de 500 km, avec un tarif de 10 euros par passager (ciblant notamment les jets privés). Pour les autres vols, elle était fixée à 2 euros en Europe et 4 euros au-delà. Aujourd’hui, le nouveau gouvernement veut remettre de l’ordre dans ces taxes !
Désormais, l’Arizona simplifie le système : 5 euros pour tout le monde, quelle que soit la destination. Une décision qui rebat les cartes et redistribue… la charge !
Gagnants et perdants du nouvel équilibre
Avec cette réforme, les passagers des jets privés bénéficient d’un rabais de 50%, passant de 10 à 5 euros. À l’inverse, les voyageurs sur vols commerciaux intra-européens (qui payaient 2 euros) et ceux des longs courriers (4 euros) verront leur contribution augmenter.
Mais la grosse surprise, c’est que cette harmonisation pourrait doubler les recettes. En 2024, la taxe a rapporté 40,4 millions d’euros. Avec le nouveau tarif unique, une simulation prévoit 73,3 millions de recettes. Plus d’argent pour l’État, certes, mais une politique qui interroge sur sa réelle équité ?
Et si vous passiez la nuit dans une tente perchée entre les arbres du Parc Animalier ? Depuis votre petit nid, profitez d’une vue imprenable sur la plaine où gambadent cerfs, biches, chevaux de Przewalski, aurochs… Un séjour magique au contact de la nature, agrémenté, entre autres, d’une visite privilégiée de la vallée avec un Ranger, d’un petit déjeuner du terroir et d’un barbecue en forêt. Déconnexion et émerveillement garantis !
Le Cocoon Village, séjour sous tente cosy et ambiance chaleureuse
Situé au cœur du village de Han, à quelques pas seulement de la Lesse et du Domaine, le Cocoon Village vous invite dans une bulle de nature, le confort en plus ! Lits douillets, petit déjeuner champêtre, animations pour enfants et accès illimité au Domaine vous garantissent un séjour inoubliable.
Vivez une aventure magique faite de détente, émotions et découvertes. Partagez des moments privilégiés, créateurs de souvenirs lumineux !
Son raisonnement ? D’un côté, la France exporte ses avions innovants aux quatre coins du globe. De l’autre, elle alourdit la fiscalité aérienne, encourageant presque à préférer le train. Une approche qui, selon Walsh, manque de cohérence avec les ambitions technologiques du secteur.
Les taxes, ennemies de l’environnement ?
Pour Walsh, augmenter les taxes n’est pas la réponse magique aux défis environnementaux. « Si vous êtes sincères dans votre envie d’affronter les problèmes environnementaux, les taxes ne sont pas la solution », a-t-il martelé.
Selon la Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers (Fnam), la hausse des redevances de navigation aérienne et d’autres prélèvements, comme la taxe de solidarité sur les billets d’avion, représente un surcoût de 1,2 milliard d’euros pour 2024. Une addition salée qui, selon eux, met en danger la compétitivité du secteur français.
Une alternative : le ciel unique européen
Et si la solution était ailleurs ? Willie Walsh plaide pour un « ciel unique européen », une réforme vieille de 20 ans mais encore bloquée par des résistances nationales. Cette mesure, simple à mettre en œuvre, permettrait de réduire de 10 % les émissions de CO2, soit bien plus que la suppression des vols courts, qui n’apporterait qu’une réduction de 3,8 %.
Une équation à résoudre
La France peut-elle concilier ambition environnementale et soutien à son secteur aérien ? Parce qu’il faut bien l’avouer : à court et moyen termes, le secteur ferroviaire restera plus écologique que l’aérien. Favoriser le premier a donc plus de sens que le second d’un point de vue environnemental… Reste que le second fait la fierté de l’hexagone et emploie un grand nombre d’employés ! Plutôt que de penser opposition, pensons peut-être complémentarité !