Quand la grisaille persiste et que le printemps se fait attendre, les Pays de la Loire offrent une bulle de sérénité parfaite pour se ressourcer ! Entre forêts verdoyantes, rivières paisibles et rivages apaisants, cette région pas très éloignée de la Belgique, se révèle être un refuge où l’on peut enfin souffler !
Ici, pas de klaxons ni de métro bondé : seulement le murmure du vent dans les arbres et le clapotis de l’eau. Que ce soit pour une escapade detox ou un week-end de lâcher-prise, tout est pensé pour ralentir et renouer avec l’essentiel. Elle est pas belle la vie ?
Détente et détox : le combo gagnant
Envie de bouger en douceur ? Une balade en bateau électrique à la Ferté-Bernard, surnommée la « Petite Venise de l’Ouest », promet une connexion totale avec la nature. À Pornic, l’Éco-Domaine La Fontaine propose des séances de yoga et méditation en plein air pour une détente maximale.
Les amateurs de randonnée ne seront pas en reste avec un itinéraire de 17 km dans les Alpes Mancelles, serpentant au fil de la Sarthe. Après l’effort, direction La Maison du Gasseau, où cuisine bio et chambres cosy attendent les explorateurs fatigués.
Des nuits au cœur de la nature
Le bien-être passe aussi par un sommeil réparateur. À Côté Rivière, près d’Angers, des lodges haut de gamme avec spa et hammam assurent une déconnexion totale. Pour une immersion zen à 30 minutes de Nantes, Slow Om propose un cadre propice à la méditation et aux soins ayurvédiques. Et si l’appel du large se fait sentir, cap sur l’Île d’Yeu et son hôtel-spa La Mission, où hammam et soins bien-être promettent une évasion sensorielle incomparable.
Beginning August 25, the exhibition featuring ‘#Lucy‘ and ‘#Selam‘ will be open to the public at the cultural center located in Prague. This exhibition, titled “Human Origin and Fossils,” will facilitate a greater understanding of Ethiopia’s reputation as ” Land of Origins.” pic.twitter.com/6ruVhC4nZF
Cinquante ans après sa découverte en Éthiopie, Lucy, la plus célèbre des australopithèques, quitte enfin son cocon d’Addis-Abeba pour une escapade inédite. Direction le Musée national de Prague, où ses précieux ossements seront exposés à partir du 25 août pour deux mois. Une première historique sur le Vieux Continent, saluée avec enthousiasme par le Premier ministre tchèque Petr Fiala : « C’est la première fois qu’ils seront présentés sur le Vieux Continent. »
Lucy, Selam et un peu d’histoire
Lucy n’arrive pas seule. Elle sera accompagnée de Selam, un autre squelette d’australopithèque découvert en 2000. Âgée de 3 ans au moment de sa mort, Selam aurait vécu 100 000 ans avant Lucy. Un véritable duo préhistorique sous haute sécurité, prêt à fasciner autant les touristes que les chercheurs.
Lucy, initialement nommée A.L-288-1 (moins fun, avouons-le), doit son prénom à la célèbre chanson des Beatles, « Lucy in the Sky with Diamonds », que fredonnait l’équipe de scientifiques lors de sa découverte en 1974. Haute de 1,10 m pour 29 kg, Lucy est un véritable puzzle fossilisé, reconstitué à 40 %.
Une occasion unique à ne pas manquer !
Habituellement conservée à l’abri des regards au Musée national d’Éthiopie, Lucy n’a jamais quitté l’Afrique. Cette exposition exceptionnelle offre donc une chance rare d’admirer de près celle qui a révolutionné la compréhension de nos ancêtres. Comme le souligne Selamawit Kassa, ministre éthiopienne du Tourisme : « Cette exposition historique va offrir aux touristes et aux chercheurs une occasion unique de voir de près ces fossiles humains. »
Reliant La Paz aux régions tropicales des Yungas, cette route serpente au milieu de paysages de montagne à couper le souffle. Sur 80 km, la route n’offre parfois que 3 mètres de largeur, avec des précipices vertigineux de 600 mètres.
Une route à haut risque
Autrefois, c’était le seul lien entre La Paz et les zones tropicales. Les accidents étaient fréquents à cause des pluies, du brouillard et de l’absence de barrières. Avec jusqu’à 300 morts par an, la route a gagné son surnom terrifiant !
Le paradis des amateurs de sensations fortes
Aujourd’hui, la route des Yungas attire surtout les amateurs de VTT extrême. Entre le frisson du danger et les paysages, c’est une expérience unique. Mais attention : même les cyclistes chevronnés doivent rester vigilants face aux nombreux dangers !
Depuis 2006, une nouvelle route a été construite, diminuant la circulation sur la route originale, qui est désormais davantage sécurisée et principalement réservée aux cyclistes et aux piétons. Malgré tout, cette route mythique reste un incontournable… pour ceux qui ont l’estomac bien accroché ! Une visite en toute sécurité passe, comme toujours, par un bon guide et un équipement adapté !
Les influenceurs AI sont en train de révolutionner la promotion des destinations. Plus besoin de payer des voyages luxueux à des stars d’Instagram : on crée un avatar parfait, on le fait poser dans des décors de rêve… et hop, la magie opère sur les réseaux ! Mais faut-il vraiment se laisser séduire par cette tendance futuriste ?
Ente rêve, efficacité et mirage médiatique.
1. Un marketing sans limites… mais un manque d’authenticité
Un influenceur AI peut visiter cinq continents en une journée, parler vingt langues et avoir une peau toujours parfaite. Pratique pour séduire un public global sans contrainte logistique ! On peut toutefois se poser la question de qui veut suivre un voyageur qui ne ressent ni émerveillement ni fatigue après une rando ? Le charme des influenceurs, c’est aussi leur spontanéité… pas une perfection artificielle !
2. Un contrôle total du message
Pas de scandale, pas de photos compromettantes, pas de mauvaises critiques sur un hôtel miteux. L’image de la destination reste impeccable. Après tout, ce n’est pas un journaliste ! Et c’est peut-être là le problème : des paysages embellis par l’IA, des expériences idéalisées… et un touriste qui débarque et ne reconnaît rien. La frontière avec la publicité mensongère peut parfois être mince.
3. Un coût (relativement) réduit, mais des ambassadeurs qui disparaissent…
Plus besoin de billets d’avion, d’hôtels ou de cachets exorbitants. Une fois créé, l’avatar bosse H24 sans se plaindre (et sans demander de mojitos gratuits). Mais si les influenceurs humains disparaissent, quid de leur vision personnelle, de leurs anecdotes et de leurs conseils sincères ? Tout deviendrait une mise en scène aseptisée, policée…
Alors, avenir du tourisme ou tendance passagère ?
Les influenceurs AI ont un énorme potentiel pour le marketing, mais peuvent-ils remplacer le vrai voyage ? Rien ne vaut une expérience vécue, avec ses imprévus et ses émotions. Après tout, ce n’est pas une IA qui va se perdre dans une ruelle pittoresque et découvrir un resto caché aux pâtes inoubliables… 😉
Préparez un sac rempli de petites surprises : crayons, mini-jouets, gommettes. Sortez-en un toutes les 30 minutes pour maintenir le suspense.
2. Les jeux de mots improvisés
L’indémodable “ni oui ni non” ou “le jeu des rimes” peut faire passer un bon moment. Prévoyez des récompenses rigolotes pour les gagnants, comme choisir la prochaine playlist.
3. Les histoires participatives
Commencez une histoire et laissez vos enfants la continuer. Ne soyez pas surpris s’ils vous déballent des récits où des licornes pilotent des fusées.
4. Les défis visuels
Cherchez ensemble des objets autour de vous : une voiture rouge, un panneau en forme de triangle, un chien. Parfait pour garder leurs yeux loin des écrans et éveiller leur sens de l’observation.
5. Le kit musical familial
Préparez une playlist où chacun a choisi ses chansons préférées. Chanter ensemble “Libérée, délivrée” à tue-tête, c’est aussi un souvenir inoubliable. Autre possibilité : chaque membre de la famille crée sa playlist et chacun choisit à son tour une chanson de la liste.
Un dernier conseil ? Évitez les astuces trop complexes. Les enfants ont une capacité d’attention courte… et vous aurez déjà assez à gérer avec la conduite.
C’est une première depuis un siècle : la tombe du roi Thoutmosis II, souverain de la XVIIIe dynastie égyptienne, a été exhumée lors de fouilles à l’ouest de Louxor. L’entrée et le couloir principal de la tombe avaient déjà été révélés en octobre 2022, mais ce n’est qu’au fil des mois que l’ensemble du site a été mis au jour !
Une tombe sous les eaux du temps
Malheureusement, le tombeau a mal vieilli. Selon Mohamed Abdel-Badie, responsable de la mission égyptienne, l’édifice a été submergé par les eaux peu après la mort du roi. Résultat ? Une dégradation importante qui a compliqué les fouilles.
Néanmoins, l’archéologue britannique Piers Litherland souligne un détail intrigant : un second couloir, incliné vers le haut au lieu de descendre. Une bizarrerie qui pourrait s’expliquer par une tentative de récupération du corps royal après l’inondation. De quoi remettre en question nos théories sur les rites de l’époque ?
Hatchepsout, l’ombre de la reine derrière le tombeau
Outre son mobilier funéraire exceptionnel, la tombe révèle un autre élément-clé : c’est Hatchepsout, épouse et demi-sœur de Thoutmosis II, qui aurait supervisé l’enterrement. Une découverte qui met en lumière son rôle central dans la gestion du royaume et ses liens complexes avec le défunt roi.
Mohamed Ismail Khaled, secrétaire général du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, ne cache pas son enthousiasme : “C’est l’une des découvertes les plus importantes de ces dernières années.”
Cela peut sembler étrange, mais Nauru ne possède pas de capitale officielle. La plupart des États du monde ont une ville désignée comme centre politique et administratif, mais ce n’est pas le cas ici. Historiquement, Yaren, le district le plus peuplé de l’île, a souvent été considéré comme la “capitale de facto”, car il abrite les principales institutions du pays : le Parlement, l’aéroport international, la banque nationale et l’école principale.
2. Une richesse soudaine… puis une chute brutale
Il y a plusieurs décennies, Nauru était l’un des pays les plus riches du monde en termes de PIB par habitant. Pourquoi ? Parce que son sous-sol regorgeait d’une ressource précieuse : le phosphate. Cette richesse naturelle, issue d’excréments d’oiseaux fossilisés (le guano), a été exploitée massivement dès le début du XXe siècle.
Dans les années 1970-1980, grâce à l’exportation de ce minerai, les habitants de Nauru vivaient dans un luxe insolent : voitures de luxe, voyages en avion, absence d’impôts… Mais cette prospérité a été de courte durée. À mesure que les réserves de phosphate s’épuisaient, l’économie de l’île s’est effondrée, laissant le pays en grande difficulté. Aujourd’hui, Nauru dépend presque entièrement de l’aide internationale, notamment celle de l’Australie.
3. Le triste record du taux d’obésité le plus élevé au monde
Avec plus de 60 % de la population en situation de surpoids, Nauru détient un record inquiétant. Ce phénomène s’explique par plusieurs facteurs :
✅ Une alimentation largement importée, riche en aliments transformés et sucrés 🍔🥤
✅ Un mode de vie sédentaire, avec peu d’activités physiques 🚶♂️
✅ Un effondrement de l’économie qui limite l’accès à une alimentation saine
Ce problème de santé publique est l’une des conséquences directes de l’ancienne prospérité économique : dans les années de richesse, la population s’est habituée à une alimentation occidentale peu équilibrée, et après la crise économique, les alternatives locales sont devenues limitées.
4. L’un des pays avec le taux de chômage le plus élevé
Avec un territoire de seulement 21 km² et une économie en déclin, les opportunités d’emploi sont rares à Nauru. À la fin de 2020, plus de 90 % de la population active était sans emploi stable.
Les principales sources de revenus actuelles du pays sont :
💰 L’aide internationale, principalement en provenance de l’Australie
🛂 Le centre de rétention pour demandeurs d’asile, géré pour le compte du gouvernement australien
Ce dernier point est particulièrement controversé. L’Australie envoie sur Nauru des migrants interceptés en mer, en échange d’un soutien financier. Ce système a été critiqué par de nombreuses organisations humanitaires en raison des conditions de vie difficiles des réfugiés dans ces camps.
5. Aucune armée pour protéger le pays
Nauru fait partie des rares pays au monde sans forces armées officielles. L’île ne possède ni armée, ni marine, ni force aérienne. Pour assurer sa défense, Nauru dépend entièrement de l’Australie, avec qui elle a signé un accord de protection.
En échange, l’Australie bénéficie de certaines facilités, notamment l’exploitation du centre de détention pour migrants, qui constitue l’un des rares revenus du pays.
Un micro-État fascinant et méconnu
Malgré son déclin économique et ses défis sociaux, Nauru reste un pays unique, chargé d’histoire et de particularités insolites. Peu de touristes s’y aventurent en raison de son éloignement et du coût élevé des voyages pour s’y rendre. Pourtant, cette île a beaucoup à raconter et constitue un cas d’étude passionnant sur les conséquences de l’exploitation des ressources naturelles.
En 2024, le tourisme thaïlandais a connu une croissance impressionnante de 26 % par rapport à 2023, selon le ministère du Tourisme. Le pays, qui avait fixé un objectif ambitieux de 35 millions de visiteurs, a finalement atteint 35,54 millions grâce à des initiatives gouvernementales ciblées, comme la levée des restrictions de visas pour les Chinois et les Indiens.
robin-noguier
La Chine reste la première source de touristes avec 6,73 millions de visiteurs, soit une hausse spectaculaire de 91 %. La Malaisie, l’Inde, la Corée du Sud et la Russie complètent le podium.
Des retombées économiques significatives
Les revenus générés par le tourisme s’élèvent à 1 600 milliards de bahts, soit environ 45 milliards d’euros. Pourtant, la Banque mondiale note que les visiteurs dépensent environ 20 % de moins qu’avant la pandémie. Malgré tout, le gouvernement reste optimiste et prévoit d’accueillir 39 millions de touristes en 2025, dépassant ainsi le record de 2019. Non, la pandémie ne nous a manifestement pas appris à nous échapper du tourisme de masse…
1. Barcelone, Espagne – Tapas en toute tranquillité
À Barcelone, manger sans gluten est un vrai jeu d’enfant. Des croquetas croustillantes aux paellas savoureuses, même les bars à tapas traditionnels proposent des options sans gluten. Les restaurants sans gluten pullulent, à tel point que nous ne saurions même pas lequel vous conseillez !
enes
2. Rome, Italie – La dolce vita sans gluten
Oui, à Rome, vous pouvez savourer des pizzas croustillantes et des pâtes fondantes… sans gluten ! Le restaurant Mama Eat propose des plats italiens authentiques en version gluten free, et c’est un vrai régal.
chris-czermak
3. Stockholm, Suède – Le paradis nordique des sans gluten
À Stockholm, le sans gluten est presque une religion. Que ce soit pour un brunch branché ou un fika traditionnel (pause café avec douceurs), vous trouverez des options partout. Testez les roulés à la cannelle sans gluten chez Sally Voltaire & Systrar.
ana-borquez
4. Prague, Tchéquie – Bière et spécialités locales sans gluten
Vous pensiez que bière et sans gluten étaient incompatibles ? Détrompez-vous ! À Prague, des brasseries proposent de la bière sans gluten, et des restaurants comme Svejk U Karla offrent des plats tchèques traditionnels revisités.
martin-krchnacek
5. Budapest, Hongrie – Goulash et douceurs gluten free
À Budapest, goûtez au fameux goulash et laissez-vous tenter par des desserts comme la dobos torta sans gluten. Le Drop Restaurant est un incontournable pour les amateurs de cuisine 100% gluten free.
Defile des Gilles de Binche CGT – Alex Kouprianoff
Le grand retour des Gilles… et des nouveautés !
Le Carnaval de Binche, inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO depuis 2003, promet une édition 2025 haute en couleurs. Plus de 150.000 festivaliers sont attendus pour célébrer le printemps, dans une ambiance où traditions et surprises se rencontrent.
Dimanche 2 mars : des masques et des violettes
Dès 8h00, le carnaval s’éveille avec le ramassage des participants en costumes de fantaisie. Cette année, un nouveau groupe de femmes masquées défilera au son de la viole, ajoutant une note inédite au cortège de l’après-midi. La journée s’achèvera en musique avec des rondeaux festifs.
Lundi 3 mars : l’amitié à l’honneur
Le lundi est dédié aux “Jeunesses”. Costumes colorés, enfants ravis et un rondeau de l’amitié rythmeront l’après-midi avant un feu d’artifice spectaculaire dans le quartier de la gare.
Mardi Gras : le jour des Gilles
Le grand jour débute dès 5h00. Au son du tambour et du fifre, les Gilles, coiffés de leurs célèbres plumes d’autruche, rejoindront l’Hôtel de Ville. L’après-midi et la soirée seront marqués par deux cortèges, des danses enflammées sur la Grand-Place, et un dernier feu d’artifice pour dire adieu à l’hiver.
Sécurité et accessibilité au cœur de l’événement
Un plan de sécurité renforcé sera mis en place, avec une coordination étroite entre la police, les secours et les organisateurs. Des navettes gratuites faciliteront l’accès, notamment pour les personnes à mobilité réduite.