Imaginez-vous pédalant le long de l’océan Atlantique, les embruns marins caressant votre visage, avant de vous enfoncer dans les terres paisibles du Marais Poitevin, puis de grimper les collines verdoyantes du bocage vendéen. C’est l’expérience immersive que propose le Vendée Vélo Tour, une boucle cyclable de 700 km découpée en 20 étapes, idéale pour une itinérance douce et dépaysante.
Par monts et par vaux
Le Vendée Vélo Tour débute aux Sables-d’Olonne, célèbre port de départ du Vendée Globe. Dès les premiers coups de pédale, vous longez le littoral atlantique, traversant des stations balnéaires animées comme La Tranche-sur-Mer, avant de plonger dans les paysages sereins du Marais Poitevin. Là, les canaux sinueux et la végétation luxuriante offrent un cadre apaisant pour votre périple.
En poursuivant votre route, vous découvrez le bocage vendéen, avec ses collines douces et ses villages pittoresques tels que Vouvant et La Châtaigneraie. Chaque étape révèle une facette différente de la Vendée, entre patrimoine historique, nature préservée et traditions locales.
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Des infrastructures pensées pour les cyclistes
Le Vendée Vélo Tour est entièrement balisé, empruntant des voies cyclables sécurisées et des routes partagées peu fréquentées. Le dénivelé total est modéré, rendant l’itinéraire accessible à la plupart des cyclistes, qu’ils soient débutants ou expérimentés.
Pour faciliter votre voyage, de nombreux hébergements labellisés “Accueil Vélo” jalonnent le parcours. Ces établissements, situés à moins de 5 km de l’itinéraire, offrent des services adaptés aux cyclistes : abris sécurisés pour les vélos, kits de réparation, informations sur les itinéraires locaux, et parfois même des services de blanchisserie ! Que vous optiez pour un camping, une chambre d’hôtes ou un hôtel, vous trouverez des prestations pensées avant tout pour votre confort.
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Une logistique simplifiée
La Vendée est bien desservie par le train, facilitant l’accès au départ et au retour de votre évasion. Les gares des Sables-d’Olonne, La Roche-sur-Yon, Nantes ou encore La Rochelle permettent de rejoindre facilement le Vendée Vélo Tour avec votre vélo. De plus, certaines étapes sont accessibles en TER, offrant une flexibilité appréciable pour adapter votre parcours selon vos envies et votre rythme.
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Des souvenirs plein les sacoches !
Chaque journée passée sur le Vendée Vélo Tour est une invitation à la découverte : dégustation d’huîtres fraîches à La Barre-de-Monts, visite du parc du Puy du Fou à proximité de Pouzauges, exploration des marais salants, ou encore flânerie dans les ruelles médiévales de Fontenay-le-Comte, il y en a pour tous les goûts ! Les rencontres avec les habitants, toujours chaleureux et accueillants, ajoutent une belle dimension humaine à votre aventure.
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Préparez votre escapade
Pour planifier votre itinérance, le site officiel du Vendée Vélo Tour propose des cartes détaillées, des suggestions d’étapes, ainsi qu’une liste des hébergements labellisés “Accueil Vélo”. N’hésitez pas à consulter ces ressources pour organiser un voyage selon vos desiderata, que ce soit pour un week-end prolongé ou une exploration complète de la boucle.
Enfourchez votre vélo et laissez-vous séduire par la diversité des paysages vendéens, la richesse de son patrimoine et l’accueil chaleureux de ses habitants. Le Vendée Vélo Tour vous promet une aventure inoubliable, au rythme apaisant du pédalier.
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Vous trouverez plus d’infos sur le site En Vendée.
Selon le 24e baromètre des vacances d’Europ Assistance, près de trois quarts des Belges comptent s’évader entre juin et septembre 2025. Une envie de dépaysement qui reste forte, malgré un contexte économique toujours un brin frisquet.
Parmi les 1.000 Belges interrogés, 45 % comptent partir une fois, et 28 % plusieurs fois (parce que les valises, c’est comme les chips : difficile de s’arrêter à une). 1,8 semaine de vacances en moyenne, avec une forte hausse des séjours courts (une semaine ou moins).
France, Espagne, Italie… et un peu de Belgique
Pas de surprise au classement des destinations préférées : France (22 %), Espagne (14 %) et Italie (7 %) tiennent le podium. Mais les destinations long-courriers gagnent du terrain. Et 15 % des vacanciers restent au pays. Les Belges privilégient juillet (24 %), suivi de septembre (22 %), mois plus calme et plus doux… et aussi moins prisé.
Avion en tête, voiture en veilleuse
Grande première : l’avion devient le moyen de transport préféré des vacanciers belges (51 %), devant la voiture (44 %). Selon Europ Assistance, la faute pourrait revenir, et c’est un comble, aux voitures électriques, encore assez peu compatibles avec les longs voyages…
Le budget, toujours un frein
En moyenne, les ménages belges alloueront 2.170 € à leurs vacances. C’est généreux, mais pas illimité : parmi ceux qui ne partiront pas, la contrainte financière reste la raison n°1 (39 %).
Sorties des paysages industriels du bassin stéphanois, la nationale 88 ou le train régional qui grimpe vers l’Auvergne en suivant le cours de la Loire débouchent sur la « principauté » du Puy-en-Velay : un plateau riant de plus de 20 000 habitants perché à 700 m d’altitude, entre les montagnes du Devès, du Meygal et du Mézenc.
A ceux que les petites villes de province supposées ennuyeuses rebutent, disons-le tout net : Le Puy-en-Velay fait exception. Exception historique, avec un riche passé de ville religieuse, incarné par sa cité épiscopale. Exception géologique, avec ses pitons de lave couronnés d’églises ou de statues. Exception culinaire, avec ses spécialités de bouche et un marché uniques, pavoisant les rues de la ville chaque samedi. Ajoutons-y un renouveau en termes d’accueil – enfin ! – illustré par un nouvel hôtel de charme et un restaurant étoilé Michelin.
La haute-ville est enveloppée depuis le Moyen Âge d’un halo religieux. Ce quartier épiscopal baigne dans le culte de Marie et du Chemin de Saint-Jacques. D’autres pèlerins viennent le 15 août pour la procession mariale, un afflux de fidèles qui accompagnent la statue de la Vierge noire à la cathédrale. La balade témoigne de l’aura catholique du quartier : bâtiments d’enseignement privé, congrégations religieuses, cloître, chapelles, églises, couvent, gites de pèlerins… Le décorum est pieux, jusqu’à l’immense statue Notre-Dame-de-France, perchée 132 m au dessus de la ville, sur le rocher Corneille. Heureusement, l’Hôtel-Dieu et la chapelle numérique Saint-Alexis dépoussièrent les codes ecclésiastiques. Nommé Compostella, le premier présente des spectacles sons et lumière immersifs. La seconde abrite un show interactif, « Terre de Géants ».
« Les Cimes du Puy-en-Velay », chambres d’hôtes de charme
C’est dans ce quartier appartenant au diocèse et à des religieux que Gilles Devie et Sandrine Boudignon, propriétaires d’une partie de l’hôtel des Prévôts (14ème s., lieu d’accueil au 18ème s. d’une congrégation de sœurs), ont aménagé en 2002 deux chambres d’hôtes de grand charme, « Les Cimes du Puy-en-Velay ». Cimes car leur petite terrasse sommitale ouvre une vue splendide sur les toits de la ville et en fait les habitants les plus hauts perchés du Puy-en-Velay ! Avec ses tommettes au sol, la salle du petit-déjeuner se trouve dans l’ancien dortoir des novices. « Nous recevons beaucoup de gens passionnés d’Histoire et de cathédrales », précise Gilles Devie. Comme un symbole, les fenêtres du salon s’ouvrent sur les deux clochers aux tuiles vernissées de l’église Saint-Georges.
Le Chamarlenc, 1 étoile Michelin depuis 2024
Les rues en pente aux belles façades qui mènent vers la ville basse (rues des Tables, Raphaël, Chênebouterie…) font passer devant le restaurant Chamarlenc. Voilà la nouvelle table en vue du Puy-en-Velay, récompensée d’une étoile Michelin en 2024… un an seulement après l’ouverture ! Un succès pour Yoan Delorme, jeune chef de 27 ans venu d’Avignon d’où il a « ramené un peu de Méditerranée dans le Velay », dit-il. Jusqu’à proposer des lentilles à la bouillabaisse, raccourci savoureux de cette « cuisine fusion ». Avec sa compagne Cellia Baudelier en salle, il joue la carte des produits locaux pour « une cuisine simple, authentique et gourmande », poursuit-il. Le ticket moyen est à 125 € et mieux vaut réserver 2 mois et demi avant pour être sûr d’avoir une table !
On peut aussi manger sur le pouce, en particulier le samedi. Pratique devenue rare en France, le marché hebdomadaire prend possession de la plupart des places et des rues du centre-ville. On y décèle un air du Sud, avec l’animation bon enfant, les étals conviviaux, les boutiques achalandées, les terrasses bondées, sur fond de façades colorées (places du Plot, du Clauzel, du Martouret). Si l’accent méridional est absent, les produits locaux, eux, sont bien là. La célèbre lentille verte du Puy s’achète obligatoirement chez Sabarot, rue Courrerie. Fondée en 1819, l’entreprise spécialisée en légumes secs et conserves appartient toujours à la même famille, qui se fournit auprès d’une myriade de producteurs locaux.
Place du Plot, on ira choisir son fromage aux Artisons, une « tomme » ronde de vache au lait entier et cru sur la croûte duquel se développent les artisons, des acariens. « Les miens sont affinés deux mois en cave », encourage Geneviève Boyer, productrice à Vernassal, commune rurale située à une vingtaine de km du Puy-en-Velay. Une quinzaine de producteurs vendent ce fromage sur cette place. Certains œuvrent pour qu’il obtienne une Appellation d’Origine Contrôlée.
Apéro place de la Halle
Le fin gras du Mézenc (viande bovine) est aussi une spécialité du territoire. On pourra l’acheter dans l’une des nombreuses boucheries de la ville. Car c’est ainsi au Puy-en-Velay : le petit commerce reste vivant, comme le prouvent notamment les boutiques de la rue Pannessac. Un point rassurant sur la capacité de certaines villes à résister à la concurrence des centres commerciaux. Après un apéritif de fin de marché à prendre sur la terrasse d’un des bars de la place de la Halle, on ira se poser pour déjeuner Au Comptoir des Saveurs (av. Foch), à la toujours très animée brasserie-pub La Distillerie, au Vellavi (rue des Tanneries) ou au Cintra, le bistrot-bar-lounge du tout nouveau hôtel Le Regina.
Le Régina, hôtel de charme
Voilà l’hôtel de charme qui manquait à la ville. Dans cet immeuble d’angle à rotonde, construit en 1924, 40 chambres et suites tout confort ont été aménagées dans les cinq niveaux de la bâtisse (mention particulière aux trois suites Regina de la rotonde). Ouvert fin 2024 après de lourds travaux, l’hôtel compte deux autres restaurants (La Terrasse et La Table 1924, ce dernier plus « gastro »), une salle de fitness et une salle de soins avec sauna.
Musée Crozatier, Histoire, peintures et expositions temporaires
Pour compléter la découverte de la ville, on ira visiter le musée Crozatier. Accessible à pied depuis la grande place du Breuil et l’agréable jardin Henri Vinay, ce musée présente sous une bâtisse 19ème s. et une extension design des collections de Beaux-Arts, d’égyptologie et de sciences. A voir : la plus ancienne peinture sur toile conservée en France (1410) ; « Vercingétorix devant César », tableau majeur de Lionel Royer (1899), reproduit dans la plupart des manuels scolaires français ; et un tableau de Delacroix, « La Chasse au tigre », en prêt exceptionnel jusqu’au 13 juillet. Une exposition sur le « Japon, archipel des arts », est aussi proposée du 21 juin 2025 au 4 janvier 2026. Une autre exposition, permanente, sur la dentelle, rappelle que Le Puy-en-Velay est aussi l’héritière de cette tradition… comme Dinant !
Le rocher Saint-Michel est aussi à voir absolument. Comme le rocher Corneille et sa statue Notre-Dame-de-France, ce piton volcanique est vertigineux en ce sens qu’il abrite à son sommet quasi « inaccessible » (il faut grimper 268 marches taillées dans le roc !), un sanctuaire qui remonte à l’an 950 et prend des airs de chapelle paléochrétienne. Plus terre à terre (mais pouvant aussi faire tourner la tête !) sera la visite de la distillerie Pagès. A 8 km de la ville, on produit ici depuis des lustres l’excellence liqueur de verveine du Velay (la plante est récoltée dans le jardin adjacent), vieillie en futs et foudres. Un ultime souvenir à ramener de cette cité qui n’est pas qu’une dévote chrétienne conservatrice.
« La République dominicaine est notre partenaire prometteur dans la région de l’Amérique Latine et des Caraïbes », a déclaré Lavrov. Objectif affiché : intensifier les flux touristiques et renforcer les liens bilatéraux, notamment par l’ouverture prochaine d’une ambassade russe à Saint-Domingue.
Entre l’élargissement des corridors touristiques et les débats sur la stabilité régionale, la Russie semble vouloir s’inviter durablement dans les Caraïbes. De là à imaginer des touristes russes sur la plage de Punta Cana sans visa ? Le Kremlin y croit dur comme fer.
“Je pensais que la faiblesse du dollar […] aurait freiné la demande“, confie Benjamin Smith, DG du groupe. “Il est encourageant de voir que ceux qui voulaient voyager vers l’Europe prévoient toujours de le faire.”
Et il y a de quoi sourire : les billets vendus vers l’Europe depuis les États-Unis sont en hausse de +2,1%, pendant que les réservations dans l’autre sens (Europe → USA) reculent légèrement de -2,4%.
Des cabines à moitié pleines, mais premium
Sur l’Atlantique-Nord, les avions d’Air France-KLM sont remplis à 74% pour ce deuxième trimestre, soit un petit fléchissement par rapport aux 76% de l’an dernier. La demande en classe économique s’effrite, mais le segment premium reste très convoité. Si certains passagers européens semblent hésiter – “2 ou 3%“, selon M. Smith –, le groupe ne panique pas : des baisses de prix ciblées sont envisagées pour remplir les derniers sièges.
Avec une hausse de chiffre d’affaires de 8% sur un an (7,2 milliards d’euros), et une facture carburant revue à la baisse (6,7 milliards pour 2025 contre 7,3 en 2024), le ciel semble plus dégagé pour le groupe franco-néerlandais, malgré la hausse prévue des coûts liés aux carburants renouvelables.
Faire un grand voyage en Albanie, c’est visiter des villes à l’intérêt certain. Depuis la capitale Tirana, assez centrale, l’itinéraire vers le nord conduira donc vers Kruja et Shkodra, avant de redescendre le long de la côte jusqu’à Durrës, premier port du pays.
Tirana, 900 000 habitats (presque un tiers de la population du pays) est une capitale disparate. Aux bâtiments modernistes des années 30 et communistes de l’après-guerre répondent des édifices futuristes censés inscrire la capitale dans le XXIe s. Le résultat est bancal. Au centre, la place piétonne Skanderbeg, héros national omniprésent, représenté ici en statue à cheval, incarne cet urbanisme foutraque. Le musée national d’Histoire et sa grande mosaïque des années 80 en façade, le palais de la Culture (1963), la banque d’Albanie (1938) ou la mosquée Et’hem Bey (fin XVIIIe s.), côtoient le nouvel hôtel InterContinental et la tour futuriste Tirana’s Rock, dont le profil dessine le visage de Skanderbeg.
La terrible période de la dictature communiste est révélée à la Maison des Feuilles. L’ancien siège de la Sigurimi, la « Stasi albanaise », présente tout l’arsenal de répression, surveillance et propagande mis en place par l’Etat albanais au plus fort de sa paranoïa. Le soir, on profitera de l’animation et de la cuisine albanaise dans l’un des nombreux bars et restaurants des quartiers Pazari i Ri et Blloku, festifs et occidentalisés.
Kruja vaut pour sa situation en amphithéâtre au flanc d’une montagne et sa citadelle. Elle est censée avoir vu naître le héros Skanderbeg, qui lutta farouchement contre les Ottomans au XVe s. Rebâtie dans les années 80, elle abrite un musée consacré au chef de guerre et offre une belle vue sur l’Adriatique.
Vue panoramique sur la ville de Skhodra depuis la forteresse de Rozafa Philippe Bourget | cms
A 30 km de la mer, bordée par le lac du même nom frontalier avec le Monténégro, Shkodra offre un double intérêt : sa citadelle de Rozafa, bâtie au XIVe s. par les Vénitiens, dont les vestiges occupent 200 ha au sommet d’une colline ; et l’animation piétonne des rues Idromeno et G’juhadol, aux nombreuses terrasses, où l’on visitera aussi le passionnant musée national de la photographie Marubi, du nom de cette famille qui documenta durant trois générations la société albanaise.
Durrës est comme tous les ports, intriqué, hétéroclite. Seconde ville du pays, celle qui fut hellène, romaine, byzantine, angevine, vénitienne et ottomane, en plus d’être un des terminus des routes caravanières venues d’Orient, en porte encore les traces. C’est donc à travers l’archéologie qu’on la découvrira, en allant voir l’amphithéâtre romain de 15 000 places enclavé dans la ville, les vestiges des remparts et le musée archéologique, synthèse fouillée de toutes ces époques. En plein boom touristique, la ville, connectée à l’Italie par ferries, devrait prochainement accueillir une marina tandis que de nouveaux hôtels sortent de terre, à l’image du Crown Plaza, en front de mer.
Tout comme certains humains, les chiens peuvent souffrir du mal des transports. Selon Paul, vétérinaire : « C’est une combinaison de stress et de déséquilibre de l’oreille interne, surtout chez les jeunes chiens. » Autrement dit, leur petit cerveau galère à gérer les mouvements de la voiture.
Nos astuces pour un trajet plus serein
1. Habituez-le progressivement
Ne l’emmenez pas direct pour un road trip en Ardenne ! Faites-lui d’abord découvrir la voiture à l’arrêt, puis de petits trajets avant de viser plus grand.
2. Évitez les repas copieux avant le départ
Paul recommande : « Donnez-lui à manger au moins trois heures avant le voyage. Un estomac trop plein, c’est le carnage assuré. »
3. Offrez-lui un environnement apaisant
Un chien qui panique, c’est un chien qui vomit. Installez-le confortablement, avec une couverture ou un coussin familier. Minimisez les bruits stressants et évitez les trajets chaotiques.
4. Faites des pauses régulières
Personne n’aime rester coincé des heures sans bouger. Votre chien non plus. Arrêtez-vous toutes les deux heures pour qu’il se dégourdisse les pattes.
5. Testez les solutions anti-nausée
Il existe des médicaments vétérinaires contre le mal des transports. « Certains chiens réagissent bien au gingembre, mais demandez toujours conseil à votre vétérinaire avant d’essayer. » précise Paul.
L’office du tourisme de Copenhague relance cet été son programme CopenPay, une initiative qui troque les bonnes actions contre des expériences gratuites ou à prix réduit. Le deal ? Arriver en train, rester au moins quatre jours… et faire preuve d’un comportement écoresponsable. En échange : vélos à gogo, cours de yoga zen, repas végé ou entrées de musées à tarif friendly.
90 lieux engagés et enthousiastes
Dès le 17 juin, 90 lieux partenaires – du musée national à Copenhill, la piste de ski urbaine – joueront le jeu. Les touristes recevront l’info par des affiches, réseaux sociaux et autres réclames locales. Le but ? Récompenser les comportements verts tout en sensibilisant en douceur.
GoBoat, moteur d’enthousiasme
Certaines entreprises locales, comme GoBoat, se jettent à l’eau – littéralement. “L’an dernier, 500 personnes se sont précipitées sur notre offre qui consistait en une heure de bateau gratuite en échange de ramassage de déchets dans les eaux du port, on n’a même pas pu satisfaire la demande”, raconte Mads Pilegaard Sander à l’AFP.
Un test qui a porté ses fruits
Testé en 2024, CopenPay a déjà prouvé son efficacité : 75 000 touristes y ont participé, les locations de vélo ont bondi de 29 %, et la quasi-totalité des participants (98 %) ont applaudi l’initiative. De quoi donner des idées à d’autres capitales européennes…
1. 40 millions d’habitants : la plus grande mégalopole du monde
Avec plus de 40 millions d’âmes, le Grand Tokyo n’est pas seulement une ville, c’est une galaxie urbaine. Et pourtant, pas un papier par terre. Mystère ?
2. Un train toutes les 2 minutes… à l’heure près
Le réseau ferroviaire de Tokyo est une symphonie millimétrée : en heure de pointe, un train toutes les 2 minutes, avec une ponctualité suisse. Et en cas de retard de 60 secondes, les conducteurs présentent leurs excuses par haut-parleur. Oui, c’est du vécu.
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3. 5 millions de distributeurs automatiques
On peut y acheter de tout, des boissons aux nouilles, en passant par des parapluies ou… des cravates. Un distributeur pour 25 personnes, record mondial. Pratique ou légèrement dystopique ?
4. Le Shibuya Crossing : 3 000 piétons à chaque feu
Le carrefour le plus emblématique du monde, où jusqu’à 3 000 personnes traversent à chaque feu vert. Une chorégraphie urbaine, millimétrée, sans klaxon ni bousculade. À essayer sans paniquer.
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5. Le coût moyen d’un mètre carré : 10.000 €
Habiter Tokyo, c’est accepter de payer cher pour un placard bien situé. Dans certains quartiers comme Ginza, le mètre carré peut atteindre 40.000 €. Autant dire qu’avoir un jardin est un luxe olympique.
Difficile de ne pas tomber sous le charme de Berck-sur-Mer. Nichée entre la Baie de Somme et Le Touquet, cette destination iconique du littoral français séduit d’emblée par ses grands espaces, sa lumière unique et sa convivialité assumée. Ici, les plages s’étendent sur 12 km, les activités nautiques se pratiquent toute l’année, et les phoques se laissent observer à marée basse depuis les sentiers de la baie d’Authie.
Si la ville est aujourd’hui mondialement connue pour ses institutions de santé d’excellence, c’est aussi une destination de choix pour une parenthèse bien-être, nature et famille. Entre balades à vélo, sorties en char à voile, marchés du terroir et festivals, chaque saison a ses plaisirs. La station est d’ailleurs labellisée Famille Plus, gage d’un accueil et de services pensés pour les petits comme les grands.
Rothschild, un quartier entre histoire et art de vivre
À seulement 300 m de la plage, le quartier Rothschild incarne à lui seul l’âme de Berck-Plage. On y retrouve l’ambiance élégante des villas de bord de mer du XIXe siècle, les façades pastel, les ruelles tranquilles… et toute l’animation d’un centre vivant. Restaurants, boutiques, casino, cinéma, clubs nautiques ou marchés hebdomadaires, tout se fait à pied ou à vélo, dans un esprit joyeusement balnéaire.
C’est dans ce cadre privilégié que s’inscrit le projet “Reflets d’Écume” signé VINCI Immobilier. Une adresse exclusive, qui mêle charme patrimonial et lignes contemporaines, à deux pas de la digue rénovée et de l’Esplanade Parmentier.
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Reflets d’Écume : investir dans l’exception
La résidence Reflets d’Écume se compose de deux bâtiments élégamment intégrés dans leur environnement. Le premier, la Villa Sylvia, réhabilite avec soin une demeure centenaire emblématique du quartier. Façade restaurée, lucarnes en bâtière, balcons en bois ouvragé : le cachet architectural d’origine est conservé avec raffinement. Le second bâtiment, tout en lignes graphiques et volumes lumineux, évoque l’esprit des villas berckoises d’après-guerre.
Du 2 au 4 pièces, les appartements sont pensés pour offrir confort, luminosité et fonctionnalité. Loggias, balcons, terrasses en attique, matériaux de qualité, isolation renforcée, parking sécurisé, local à vélos, prestations certifiées NF Habitat… tout a été conçu pour un usage clé en main, que l’on souhaite y vivre à l’année, y passer ses week-ends ou réaliser un investissement locatif.
Un pied-à-terre accessible… et désirable
Depuis la Belgique, Berck-sur-Mer est à seulement 3h10 de Bruxelles en voiture, 2h50 de Paris, et bien connectée via la gare TER de Rang-du-Fliers. Une escapade facile à organiser, qui permet de profiter en toute saison d’un environnement naturel préservé, d’une ville à taille humaine, et d’un littoral propice à la déconnexion.
Pour les familles, les jeunes retraités ou les amoureux d’air marin en quête d’une résidence secondaire bien située, “Reflets d’Écume” coche toutes les cases : emplacement, charme, confort et potentiel. Un investissement pérenne dans une ville qui a décidément le vent en poupe !