À Puerto de La Duquesa, charmant port andalou, le français est devenu langue semi-officielle. Là, Zapinvest, agence belgo-espagnole, accueille les futurs acquéreurs sous un soleil éclatant ! Il faut dire que les avantages sont nombreux : soleil, paysages, plages, prix du panier de la ménagère…
Et du côté des prix ?
Selon le journal Le Soir, qui a investigué du côté de l’agence Zapinvest, les prix ont très fort grimpé ces dernières années : en 10-15 ans, on peut estimer que les prix ont doublé. Aujourd’hui, il faut compter un minimum de 200.000 euros pour un bien ancien et 280.000 euros pour un bien neuf ! C’est qu’en matière d’immobilier, les Belges sont devenus exigeants : deux chambres, deux salles de bains, une grande terrasse, et le tout à deux pas des commodités.
Le profil des acheteurs ?
Principalement entre 50 et 65 ans, souvent déjà pensionnés ou en préparation de leur retraite dorée. Mais une nouvelle génération débarque aussi : ceux qui optent pour le télétravail les pieds dans l’eau.
Depuis exactement un an, Singapore Airlines relie Brussels Airport à Singapour quatre fois par semaine avec une liaison directe opérée par la version long-courrier de l’Airbus A350-900. À partir de Singapour, plus de 130 connexions sont possibles vers l’Asie, l’Océanie et au-delà. Pour fêter cet anniversaire et mettre en lumière la richesse de ces destinations, la compagnie aérienne la plus primée au monde a sollicité The Chocolate Line pour créer des pralines belges, typiques mais revisitées. Et qui dit revisitées, dit forcément une touche audacieuse, comme on peut s’y attendre de la part des maîtres chocolatiers Dominique et Julius Persoone. Le résultat ? Une boîte édition limitée, une explosion de saveurs qui vous propulse droit vers quelques-unes des destinations les plus fascinantes du réseau de Singapore Airlines.
Des goûts surprenants, parfois même expérimentaux
C’est principalement Julius Persoone qui s’est chargé du développement du panel de saveurs pour Singapore Airlines. Et ces saveurs sont aussi affirmées que surprenantes, voire carrément expérimentales. Un brin de rock & roll dans l’ADN des Persoone – et donc aussi dans la collection Chocolatitude.
Voici les neuf pralines de la boîte Chocolatitude :
• Singapour, la praline signature : gin, citron vert et cerise dans un enrobage de chocolat noir, inspirée du cocktail « Singapore Sling »
• Philippines : fraîcheur du calamansi et du kosho dans un chocolat noir intense
• Indonésie : chocolat au lait onctueux avec noix de coco, feuille de citron kaffir et citronnelle
• Thaïlande : chocolat blanc parfumé à la feuille de kaffir, noix de coco grillée, sucre de palme et piment
• Cambodge : chocolat blanc et ganache tropicale à la mangue et au fruit de la passion
• Viêt Nam : chocolat au lait avec une ganache caramel-café et du lait concentré
• Malaisie : ganache de chocolat blanc aux feuilles de pandan et cacao noir
• Nouvelle-Zélande : chocolat noir, kiwi frais et menthe poivrée
• Australie : ganache chocolat fumé (à base de fèves provenant d’une région volcanique) avec un caramel au Vegemite – une pâte à tartiner salée australienne à base d’extrait de levure. Une association étonnante mais réussie. On aime… ou pas !
Nous avons eu la chance de toutes les goûter, et le verdict est clair : le résultat est bluffant, voire carrément addictif pour certaines. D’où vient l’inspiration de Julius ?
« Je n’ai pas encore eu la chance de visiter toutes ces destinations, mais chez The Chocolate Line, nous avons la chance d’avoir une équipe très internationale. Ils connaissent les saveurs de leur pays d’origine jusque dans les moindres détails. Ensemble, nous avons développé des goûts marqués, allant du plus classique au plus audacieux, en écho aux profils des voyageurs et à la diversité des destinations de Singapore Airlines. »
Disponible en édition limitée, sans billet Business Class
« Chocolatitude, c’est bien plus qu’une collection de pralines. C’est une invitation à la découverte, » explique Christian Stenkewitz, General Manager Benelux chez Singapore Airlines. « Chaque bouchée stimule les sens et éveille l’envie d’explorer – un clin d’œil subtil à l’expérience de classe mondiale à bord et aux destinations extraordinaires que Singapore Airlines rend accessibles. »
Voler en Business Class est un rêve pour de nombreux voyageurs, surtout avec une compagnie aussi primée que Singapore Airlines, connue pour son service irréprochable et sa gastronomie raffinée. Mais bonne nouvelle : pas besoin de billet Business pour savourer les pralines Chocolatitude ! En réalité, ces pralines ne sont pas (encore ?) servies à bord des avions de la compagnie.
Les pralines Chocolatitude sont disponibles exclusivement dans les boutiques The Chocolate Line à Bruges et Anvers, ainsi que, plus récemment, à Brussels Airport. Une petite gourmandise à s’offrir avant le décollage – ou pourquoi pas, un souvenir gustatif pour prolonger le voyage après votre retour ?
En principe, il est effectivement permis de voyager à l’étranger à des fins privées avec votre voiture de société. Il existe toutefois une exception à cette règle, à savoir si votre employeur vous l’interdit. En effet, la « car policy » de votre entreprise peut contenir une clause qui interdit l’utilisation de la voiture pour des vacances à l’étranger.
Vérifiez également qui est autorisé à conduire le véhicule durant ce voyage. Il est tout à fait possible, par exemple, que vos enfants ne puissent pas le conduire.
Quid en cas d’accident ?
Renseignez-vous également sur la couverture du véhicule et sur les règles prévues dans la car policy concernant d’éventuels dommages ou réparations à effectuer à l’étranger lorsque vous utilisez la voiture pendant vos vacances. Il se peut, par exemple, que les réparations soient à votre charge dans ce cas.
Et pour le carburant ?
Là aussi, des accords spécifiques peuvent être conclus avec votre employeur. Il peut, par exemple, être décidé que seuls les pleins effectués en Belgique soient pris en charge par l’entreprise…
Quid si vous ne respectez pas la règle ?
Si vous ne respectez pas les règles établies, vous vous exposez à une sanction disciplinaire. Celle-ci doit toutefois être prévue dans le règlement de travail. Dans les cas les plus graves, vous pourriez même être licencié pour faute grave. Vous pourriez également perdre temporairement l’avantage de l’utilisation privée de la voiture de société.
En 2024, la Belgique a enregistré 44.843.098 nuitées dans ses hébergements touristiques, selon les chiffres officiels de Statbel. C’est 146.496 de plus qu’en 2023 !
Un record absolu depuis le lancement des statistiques en 2007. Et la palme revient aux hôtels, qui cartonnent avec 20.928.319 nuitées (+1,4%). Une performance qui leur permet de garder la préférence des visiteurs (47% des nuitées).
Le top des hébergements : hôtels en tête, campings en berne
Outre les hôtels, les gîtes de vacances (+1,2%) et l’hébergement touristique (+6%) se frottent les mains. En revanche, ambiance plus morose pour les centres et villages de vacances (-4,4%), les chambres d’hôtes (-2,2%) et les terrains de camping (-1,9%). Les auberges de jeunesse ?
Bruxelles rayonne, la Wallonie boude
Côté régions, la Flandre rafle la mise avec 63% des nuitées, suivie de la Wallonie (21%) et Bruxelles (16%). La capitale grimpe de 3%, la Flandre de 1%, tandis que la Wallonie enregistre une baisse de 3%.
Moitié-moitié entre Belges et étrangers
Les touristes étrangers sont aussi venus en nombre (+2%), mais les nationaux restent fidèles à la maison : 50% des nuitées sont made in Belgium.
On s’est levées tôt : l’aventure nous attendait ! On a seulement pris un café et on s’est mises en route : on avait prévu de déjeuner dans l’un des établissements de la Grand-Place. Et on ne l’a pas regretté : quel plaisir de prendre un croissant en terrasse, devant le plus vieux beffroi de Belgique, et sous un joli ciel bleu !
Arts & Design in the city
Le ventre bien rempli, on allait s’aventurer en plein cœur de la ville pour suivre le parcours « Arts & Design in the city ». L’Office de tourisme distribue gratuitement le plan du circuit qui fait quand même 6 km. On a profité de notre passage à l’Office de Tourisme pour regarder le petit film « Les Folles Histoires de Tournai » : de quoi en savoir plus sur la ville avant d’entamer notre circuit artistique.
Tournai en couleurs !
Oui, Tournai, c’est désormais un musée à ciel ouvert. On a pris plaisir à découvrir les énormes lapins jaunes sur la place Crombez. On a vu des pantins escalant la façade de l’école des Arts, mais aussi des fresques pleines de couleurs, des sculptures jouant avec la lumière, un banc végétalisé… et j’en passe. Attractif et captivant.
Coralie Cardon
Je préciserai encore que nous avions hésité entre ce parcours et celui d’«Art Nouveau », qui compte lui, 7 km. Mais dans la vie, il faut choisir. Et ne jamais regretter !
MuFlm
Nous avons ensuite poussé la porte du MuFIm : à nous le Folklore et les imaginaires tournaisiens. Le bâtiment, qui date du 17e siècle, raconte des tas d’histoires, comme par exemple celle du fabricant de bas en coton ou de la plus ancienne friterie itinérante de Belgique. Emouvant ! Et puis, j’ai aimé admirer le plan en relief de Tournai, à l’époque de Louis XIV. Moi qui aime les détails, j’étais hypnotisée !
Pas bien, je sais : on n’a rien mangé de sérieux. Du sucre, que du sucre ! Mais que c’était bon ! On a testé les faluches, les palets de dame et les gaufres à la cassonade. Il faut dire : les tea-rooms sont nombreux et les spécialités tournaisiennes trop tentantes.
Les quais, un passage obligatoire !
On a ensuite rejoint les quais de la ville : ici, ce sont les bars et les cafés qui animent Tournai. Convivialité assurée ! Les rives droite et gauche de l’Escaut sont idéales pour rêvasser. Arbres remarquables, façades classées, ponts historiques… L’ambiance est détendue et les festivités font plaisir à voir. C’est finalement dans un café du quai du Marché au Poisson qu’on s’est posées et qu’on a grignoté (encore).
Coralie Cardon
Le repos des guerrières
Nous avions réservé un petit hôtel bien centré : histoire de pouvoir rentrer tard et d’être au cœur de la ville dès le réveil. Sachez néanmoins qu’on trouve ici tous types de logements : les chambres d’hôtes et les auberges de jeunesse ont aussi la cote.
L’héroïne de mon enfance !
Le lendemain, après le petit déjeuner, on s’est baladées tranquillement dans les ruelles et les quartiers tournaisiens. On y a d’ailleurs croisé une adorable statue de Martine (et Patapouf !), l’héroïne des albums de notre enfance, qui était tournaisienne de par son scénariste et son dessinateur.
Un moment solennel
On a encore visité la Cathédrale Notre-Dame, qui est de toute beauté à l’intérieur. C’est néanmoins surtout depuis le sommet du Beffroi que je l’ai trouvée splendide. Moi par contre, je l’étais moins après avoir grimpé les 142 marches du Beffroi.
Coralie Cardon
Ecopark Adventures
Après un dernier verre (ou deux, et un paquet de frites, j’avoue !), on s’est décidées pour l’Ecopark Adventures : c’est vous dire si on est folles ! Pour une fois qu’on était sans les enfants… Mais l’idée de finir notre weekend sur une activité fun et de rire à gorge déployée l’a emporté sur celle de la détente et des bulles.
J’ai d’ailleurs quelques clichés assez sympas de mon amie qui trépigne au départ de la tyrolienne (la plus grande de Belgique) ! Je souris encore, rien que de vous l’écrire. Dire qu’on aurait pu choisir de se re-po-ser dans un des centres de bien-être de la ville. On ne se refait pas !
On est donc rentrées fatiguées. Mais pleinement heureuses de notre escapade. Tournai est vraiment une ville qui plaira à tous : que vous y veniez en amoureux, en famille, entre amis, vous y trouverez de quoi être heureux.
D’après une étude menée par McAfee chez nos voisins du Sud, 16 % des Français ont déjà été victimes de fraudes liées au voyage. Et surprise, ce sont surtout les 18-34 ans qui en font les frais.
En quête de bons plans, ces jeunes explorateurs du clic finissent parfois par réserver un gîte imaginaire ou une excursion fictive. Résultat : 54 % des 18-24 ans et 43 % des 25-34 ans ont déjà été arnaqués.
Faux sites, vraies pertes
Les techniques des escrocs sont bien huilées : liens malveillants, photos retouchées, faux sites de réservation… Et quand la méfiance baisse, la facture grimpe : plus de 10 % des victimes ont perdu plus de 450 €.
Le hic ? 66 % des Français font confiance aux plateformes tierces autant qu’aux sites officiels. D’ailleurs, même les grands noms comme Airbnb ou Booking.com ne sont pas épargnés par les contrefaçons.
Vacances zen, vigilance en prime
Heureusement, les Français ne sont pas totalement naïfs : 65 % se renseignent avant de réserver. McAfee recommande quelques gestes simples : éviter les QR codes douteux, activer un VPN sur les Wi-Fi publics, et bien sûr, fuir les offres qui semblent trop belles pour être vraies.
Et si malgré tout l’arnaque frappe ? Réagir vite : signalement sous 48 h, plainte sous 72 h, blocage de la carte et modification des mots de passe. Car comme le rappelle McAfee : « les escrocs s’appuient sur la confiance »…
C’est Kristi Noem, ministre américaine de la Sécurité intérieure, qui a annoncé la nouvelle : la fameuse “Shoes-Off Policy” vit ses dernières heures. En vigueur depuis près de 20 ans, cette mesure obligeait les passagers à se déchausser avant d’embarquer. “Nous sommes convaincus de pouvoir renoncer à cette étape tout en maintenant les normes de sécurité au plus haut niveau“, a affirmé la ministre sur X (anciennement Twitter).
Une décision techno-compatible
Si cette règle peut enfin disparaître, c’est grâce aux avancées technologiques dans les contrôles de sécurité. Les scanners de nouvelle génération permettent désormais de détecter les menaces sans avoir à voir vos orteils. Pour les agents de la TSA, l’agence de sécurité américaine, c’est aussi un soulagement : moins de manipulations, moins de tensions, et sans doute un peu moins d’odeurs suspectes !
Une mesure née d’un attentat manqué
La règle avait été mise en place après l’arrestation de Richard Reid, surnommé le “shoe bomber”. En 2001, il avait tenté de faire exploser ses chaussures piégées sur un vol Paris-Miami. Résultat : dès 2006, la TSA imposait le retrait des chaussures pour tous. Les aéroports européens, eux, avaient déjà rangé cette mesure au placard depuis plusieurs années.
Les touristes ayant assisté à des concerts ou des festivals musicaux au Royaume-Uni ont dépensé 10 milliards de livres (11,7 milliards d’euros) en 2024, un record, selon une étude de l’association sectorielle UK Music. Ce montant marque une augmentation significative par rapport aux 8 milliards de livres déboursés en 2023 !
L’an dernier, un peu plus de la moitié (5,1 milliards) des 10 milliards de livres correspond aux dépenses pour les billets, repas, transports ou l’hébergement, le reste étant constitué de dépenses indirectes (sécurité, fournisseurs…).
Le secteur a été porté en premier lieu par les concerts de Taylor Swift, mais aussi ceux de Bruce Springsteen, Dua Lipa, Olivia Rodrigo ou Charli XCX. Ils ont contribué à attirer 23,5 millions de touristes, essentiellement britanniques, contre 19,2 millions un an plus tôt.
Une partition à surveiller
“L’industrie musicale britannique est confrontée à plusieurs défis menaçant son statut mondial“, souligne cependant Music UK, en citant la “hausse des coûts de tournée, les fermetures de salles de quartier” et la “crise du pouvoir d’achat“.
En général, pas de panique : votre assurance incendie habitation principale vous couvre aussi pendant ces séjours temporaires. Que ce soit en Belgique ou à l’étranger, vous êtes généralement protégé.
Mais il y a un hic, évidemment. Cette couverture ne tient que 120 jours par an maximum. Et attention : cette assurance ne sera pas valable si vous dormez sous une tente ou dans une caravane.
Et si la maison est à vous ?
Dans ce cas, c’est plus compliqué. Votre maison de campagne n’est pas couverte par l’assurance de votre habitation principale : il faut donc souscrire une assurance incendie distincte.
Bonne nouvelle toutefois : si vous êtes déjà client auprès d’une compagnie, vous pourriez décrocher un tarif avantageux pour cette deuxième assurance.
C’est devenu une tradition bruxelloise aussi attendue qu’une frite bien dorée : le Bal National revient le dimanche 20 juillet dès 19h, fidèle à sa place du Jeu de Balle. Organisé depuis 2003, ce grand bal populaire s’annonce encore une fois haut en couleurs.
Frank Anthierens, maître d’orchestre de l’événement, le dit sans détour : « C’est l’événement le plus important de Belgique, car il offre tout ce qu’on a à offrir : la bonne humeur, l’accueil, le fait d’être ouvert à tous ». Au programme : Upside Down pour mettre l’ambiance, suivi de Lou B., Slongs Dievanongs, Two Dots, les Amazing Flowers, et en apothéose, le légendaire DJ Daddy K. Le tout gratuit et retransmis en direct sur BX1.
Resto National : moules-frites pour tous
Le lundi 21 juillet, c’est le ventre qui prendra le relais avec le Resto National dès 17h, toujours sur la même place. Deux classiques belges au menu : moules-frites ou boulettes végé sauce tomate. Environ 2.000 repas seront servis, dont 450 à 1 euro pour les plus précaires. Une nouveauté saluée par Delphine Houba, échevine du Tourisme : « 100 de ces repas seront, pour la première fois, distribués dans des maisons de repos ».
Côté ambiance : les Mignonnettes, le Fietsorkest, Lazy Jack, et le karaoké “Bruxelles Zingt” feront chanter les plus timides.
La fête continue lundi soir dans tout le centre-ville avec la Fête au Parc, concerts, animations et un feu d’artifice au Cinquantenaire. Tout est 100 % gratuit.