L’Atlantide, mentionnée pour la première fois par le philosophe Platon dans ses dialogues “Timée” et “Critias“, demeure, pour certains, l’un des plus grands mystères de l’histoire. Selon Platon, l’Atlantide était une île majestueuse, dotée d’une technologie avancée et d’une culture florissante, située au-delà des “Colonnes d’Hercule“, l’actuel détroit de Gibraltar.
Une civilisation avancée
Les Atlantes, décrits comme un peuple puissant et technologiquement avancé, auraient régné sur l’Atlantide il y a environ 9 000 ans avant JC. Leur île aurait été divisée en anneaux concentriques de terre et d’eau, reliés par un canal navigable. Au centre, se dressait un palais magnifique, entouré de murs recouverts d’or, d’argent et d’autres métaux précieux.
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Le déclin et la disparition
La légende raconte que les Atlantes, devenus arrogants et avides de pouvoir, auraient tenté de conquérir l’Europe. Ceci aurait provoqué la colère des dieux, en particulier celle de Zeus, qui, selon Platon, aurait envoyé un cataclysme submergeant l’Atlantide en une seule journée et nuit d’horreur, l’engloutissant sous les vagues de l’océan.
Recherches et théories
Depuis des siècles, l’existence de l’Atlantide fait l’objet de nombreuses spéculations et théories. Certains chercheurs suggèrent qu’elle pourrait avoir été inspirée par des événements réels, comme l’éruption de Santorin dans l’Égée, qui a dévasté la civilisation minoenne. D’autres avancent des hypothèses plus fantastiques, la situant dans l’Antarctique ou la reliant à des civilisations extraterrestres.
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Entre réalité et fiction
Bien que l’existence réelle de l’Atlantide reste non prouvée, elle continue de captiver l’imagination collective, inspirant de nombreux livres, films et théories. Pour de nombreux historiens, l’Atlantide est surtout à comprendre comme un récit allégorique de Platon pour illustrer ses idées philosophiques.
Venise, célèbre pour ses canaux pittoresques et son riche héritage historique, est confrontée à une crise due au tourisme de masse. En réponse, le conseil municipal a adopté une taxe spéciale, visant à réguler le flot de touristes. Cette taxe, effective dès le 25 avril 2024, coïncide avec les jours les plus fréquentés de la saison touristique, selon une annonce du maire.
Calendrier et modalités de la taxe
La taxe sera en vigueur du 25 avril au 5 mai, ainsi que tous les week-ends jusqu’à la mi-juillet, entre 8h30 et 16h00. Cependant, le week-end du 2 et 3 juin est exempté. Les visiteurs d’un jour devront acquitter cette taxe en téléchargeant un code QR à présenter à l’entrée de la ville. Des amendes, allant de 50 à 300 euros, sont prévues pour les contrevenants.
Protection du patrimoine contre l’usure du tourisme
La mesure vise à protéger le fragile écosystème urbain de Venise. Malgré une population résidente de seulement 50.000 personnes, la ville attire plus de 100.000 touristes certains jours, et près de 5 millions annuellement. Cette affluence excessive menace la préservation du centre-ville, y compris des sites emblématiques tels que la place Saint-Marc et le pont du Rialto.
Exceptions et perspectives futures
Les touristes séjournant à Venise, qui s’acquittent déjà d’une taxe de séjour, ainsi que les navetteurs, sont exemptés de cette nouvelle taxe. L’administration municipale envisage d’étendre cette mesure à d’autres périodes, soulignant son engagement à maintenir l’équilibre entre préservation et accessibilité de la ville.
Mois après mois, les “dupe destinations” gagnent en popularité et on comprend pourquoi ! En effet, pourquoi visiter des sites comme les Cinque Terre, Santorin, la Polynésie ou encore Barcelone aux côtés d’une horde de touristes alors qu’il existe des alternatives à peu de choses près similaires et préservées du surtourisme ?
Quelques exemples
L’un des meilleurs exemples sur le Vieux Continent n’est autre que Cudillero dans les Asturies espagnoles. Ce petit village coloré, encastré dans les falaises et faisant face à la mer, rappelle le site des Cinque Terre en Italie. Sauf que la version espagnole est nettement moins touristique que l’italienne et qu’on y mange tout aussi bien, sachant que la région est l’un des hauts lieux de la gastronomie ibérique.
Si vous avez toujours rêvé de vous rendre à Santorin mais que vous êtes du genre agoraphobe, préférez l’île de Paros, tout aussi charmante, plus calme et surtout nettement moins chère.
Le concept de “dupe destinations” n’est bien entendu pas limité à l’Europe. En effet, comme autres exemples on peut aussi citer Curaçao qui se substitue à Saint-Martin, São Miguel à Hawaï, Chicago à New York, Perth au lieu de Sydney, Memphis en lieu et place de Nashville ou, plus près de chez nous, Liverpool que l’on dit tout aussi charmante que Londres.
Le succès des “dupe destinations” s’explique bien entendu par leurs tarifs plus accessibles mais également par leur fréquentation nettement moins importante. De quoi ravir les voyageurs qui ne supportent plus d’être entourés de milliers de touristes bruyants et peu respectueux des sites qu’ils visitent. Selon une étude récente de l’Organisation Mondiale du Tourisme, 95 % des voyageurs visitent seulement 5% du globe. On assiste donc à une concentration sur une série de lieux qui n’est pas sans conséquences pour ses sites, leurs habitants et leur patrimoine.
Les rizières en terrasse de Banaue, aux Philippines, sont un exemple remarquable du génie agricole des Ifugaos, un peuple autochtone. Ces structures, créées il y a plus de 2.000 ans, sont non seulement un témoignage de l’adaptation de l’homme à la nature, mais aussi une preuve de son respect et de sa compréhension des écosystèmes locaux.
Un paysage à couper le souffle
Ces terrasses, qui s’étendent sur des pentes raides, offrent un panorama à couper le souffle. Le vert éclatant des rizières, contrastant avec le bleu du ciel et/ou les contours brumeux des montagnes, crée un tableau vivant et changeant au fil des saisons. Ce spectacle naturel est une source d’inspiration inépuisable pour les artistes, photographes et autres influenceurs.
Les rizières en terrasse ne sont pas seulement belles ; elles sont aussi un symbole de durabilité. Elles illustrent comment des générations d’Ifugaos ont cultivé leurs terres en créant un système d’irrigation complexe et efficace qui continue de fonctionner aujourd’hui.
Trois expériences incontournables
Une randonnée à travers les terrasses : Explorer les rizières à pied offre une immersion totale dans ce paysage unique, permettant de comprendre la complexité et la beauté de ces structures.
La rencontre avec les Ifugaos : Visiter les villages locaux et interagir avec les Ifugaos permet de découvrir leur culture riche et leurs traditions liées à la riziculture.
La fête du Tungo ou du Tungul : Ces festivals traditionnels offrent l’opportunité de voir les Ifugaos célébrer leurs récoltes et leur héritage culturel avec des danses, de la musique et des rituels.
Les premières mentions des jardins proviennent de textes grecs écrits plusieurs siècles après la période supposée de leur construction. Des historiens comme Strabon et Philon de Byzance les décrivent, mais aucune source babylonienne contemporaine ne les mentionne directement.
La théorie Nabuchodonosor
Une théorie populaire suggère que les Jardins auraient été construits par le roi Nabuchodonosor II pour sa femme, Amytis de Médie. Cependant, les fouilles archéologiques à Babylone n’ont pas mis en évidence de structures qui pourraient être identifiées comme les Jardins Suspendus.
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Énigmes archéologiques
Les recherches archéologiques dans l’ancienne Babylone ont révélé des systèmes d’irrigation avancés et des jardins, mais rien qui corresponde à la description des Jardins Suspendus. Certains experts suggèrent que les jardins pourraient avoir été situés ailleurs, ou qu’ils soient une exagération poétique d’un jardin réel.
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Un symbole de fertilité
Que les Jardins de Babylone aient existé ou non, ils restent un puissant symbole de la fertilité et de la grandeur de l’ancienne Mésopotamie. Ils représentent l’union de l’ingéniosité humaine et de la beauté naturelle, une idée qui continue de fasciner et d’inspirer.
Sous l’impulsion de Hugues de Payens et de Saint Bernard de Clairvaux, l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon, plus connu sous le nom de Templiers, voit le jour. Dédié à la protection des pèlerins en Terre Sainte, cet ordre combine idéaux monastiques et compétences militaires.
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Un idéal religieux et militaire
Les Templiers, reconnus pour leur courage et leur discipline, deviennent rapidement un symbole de la chrétienté médiévale. Leur rôle dans les Croisades et leur système financier innovant leur confèrent une influence considérable.
Une fortune ?
Le système financier des Templiers était effectivement révolutionnaire pour son époque, marquant les débuts d’un système bancaire moderne. Leur innovation résidait dans la création d’un réseau de dépôts et de crédits à travers l’Europe et le Moyen-Orient, facilitant les transactions financières pour les pèlerins et les croisés.
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Les Templiers acceptaient les dépôts en Europe, offrant aux pèlerins un moyen sûr de conserver leur argent sans avoir à le transporter physiquement en Terre Sainte, où ils risquaient le vol. En échange, ils recevaient des lettres de crédit, utilisables dans les différentes commanderies de l’ordre pour retirer des fonds équivalents. Ce système précurseur des chèques garantissait sécurité et commodité.
Le secret de leur fortune résidait également dans les donations et les legs immobiliers. De nombreux fidèles léguèrent des terres et des biens aux Templiers, croyant ainsi assurer leur salut. Ces possessions s’étendaient sur de vastes territoires, générant des revenus considérables à travers l’agriculture, la location et les droits de passage.
En outre, les Templiers étaient exemptés de taxes et de droits de douane, un privilège accordé par l’Église et les monarques, ce qui augmentait encore leur richesse et leur influence économique.
Le trésor des templiers : mythe ou réalité ?
Le trésor des Templiers, entouré de mystères et de légendes, continue de fasciner. Bien que principalement constitué de biens fonciers, d’argent et d’objets de valeur, l’imaginaire populaire l’a embelli de récits de reliques sacrées et de richesses cachées. Sa disparition après la dissolution de l’ordre en 1312 alimente encore aujourd’hui les spéculations et les mythes.
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Clairvaux, berceau spirituel
Clairvaux, avec son abbaye fondée par Saint Bernard, est le cœur spirituel de l’ordre. L’abbaye reflète l’austérité et la dévotion des Templiers, incarnant les idéaux de pauvreté et de piété.
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A ne pas manquer à Clairvaux :
L’Abbaye de Clairvaux : Aujourd’hui, les visiteurs peuvent explorer les vestiges de l’abbaye, un site empreint d’histoire et de spiritualité. Bien que transformée au fil des siècles, l’abbaye conserve une atmosphère de paix et de contemplation.
Le Musée des Templiers : Un musée dédié à l’histoire des Templiers offre un aperçu fascinant de leur vie, de leurs exploits militaires et de leur rôle dans les Croisades.
Les Paysages de la Champagne : La région autour de Clairvaux, avec ses vignobles et ses paysages pittoresques, offre une expérience complète, mêlant histoire et beauté naturelle. Et tant que vous y êtes, pour les amateurs de bulles, profitez d’une dégustation et ramenez quelques caisses !
Les Grottes de Waitomo Glowworm en Nouvelle-Zélande offrent un spectacle naturel éblouissant. Les vers luisants, ou Arachnocampa luminosa, émettent une lumière bioluminescente, transformant les grottes en un ciel nocturne scintillant sous terre.
Une aventure géologique et biologique
La visite des grottes est une aventure à la fois géologique et biologique. Les formations de stalactites et stalagmites créent un décor surréaliste, tandis que la lumière des vers luisants offre un aperçu rare de la vie dans les profondeurs de la terre.
Naviguer en bateau silencieux sous un plafond illuminé de vers luisants est une expérience inoubliable. Le calme de la grotte, interrompu seulement par le son des gouttes d’eau, crée une atmosphère quasi mystique…
3 activités incontournables
La Croisière en Bateau : Glissez sur l’eau calme en admirant le spectacle des lucioles au-dessus de vous, une expérience à la fois paisible et envoûtante.
La Randonnée dans les Grottes : Explorez à pied les différentes chambres des grottes, découvrant les formations rocheuses et les écosystèmes souterrains.
L’Exploration Spéléologique : Pour les plus aventureux, des excursions de spéléologie offrent une exploration plus approfondie et sportive des grottes, incluant parfois de la descente en rappel et de la nage dans les eaux souterraines.
C’est à l’initiative du ministre wallon de l’Économie, Willy Borsus, et du bourgmestre de Charleroi, Paul Magnette, qu’un appel aux initiatives en vue de reconvertir le site de Caterpillar a été relancé il y a quelques semaines. D’après nos confrères de Sudinfo, une nouvelle piste serait envisagée : celle d’un parc dédié au personnage de bande dessinée Spirou. Ledit parc serait appelé à occuper un tiers du site de l’ancienne usine.
parc spirou
Concrètement, le site qui hébergeait Caterpillar sera divisé en trois lots distincts. Le premier accueille d’ores et déjà des sociétés actives dans les biotechnologies. Le second devrait se transformer en parc d’activités économiques et industrielles. Enfin, le troisième est destiné à accueillir des acteurs du loisir et du tourisme. Et c’est ici qu’intervient le dossier d’un parc d’attractions consacré à l’univers de Spirou. Celui-ci s’inspirerait d’une infrastructure de ce genre qui existe d’ores et déjà à Monteux en Provence et qui rencontre un beau succès. En outre, par rapport au dossier Legoland, qui envisageait d’occuper la totalité du site, pour Spirou, un tiers du terrain devrait suffire.
parc spirou
Toujours selon Sudinfo, des discussions ont bel et bien eu lieu concernant ce nouveau parc Spirou, avec un intérêt réel et réciproque. Tous les acteurs impliqués dans le dossier se montrent néanmoins très prudents. De nombreuses étapes restent encore à franchir et après les désillusions Thunder Power et Legoland, les responsables politiques veulent à tout prix éviter les effets d’annonce ainsi que de nouvelles déceptions.
Ça y est ! Les températures sont en baisse, les jours raccourcissent et les rues de nos villes se parent de leurs traditionnelles illuminations de Noël. L’effervescence propre aux fêtes de fin d’année commence à se faire sentir, notamment grâce aux marchés de Noël qui constellent bon nombre de régions du pays. Autant d’occasions de passer un bon moment en famille ou entre amis en plongeant dans une ambiance unique en son genre qui mêle gourmandise, shopping et, pourquoi pas, un peu de culture sachant que c’est là l’occasion de visiter des villes qu’on ne connaît pas forcément.
WBT – J.P. Remy
La Wallonie compte de nombreux marchés de Noël. Certains sont incontournables, d’autres ont lieu sur des sites exceptionnels, d’autres encore sont moins connus, mais valent néanmoins le détour. Le plus ancien d’entre eux, mais aussi le plus vaste, est celui de Liège. Pour honorer l’arrivée de son marché annuel, la Cité Ardente se pare de ses plus beaux atours et brille de mille feux pour le plus grand plaisir des grands et des petits. Sur la place Saint-Lambert et la place du Marché, près de 200 chalets vous proposent tous les produits de saison possibles et imaginables. L’occasion parfaite de dénicher le cadeau idéal à glisser sous le sapin !
visitMons – Daie
À Mons, le marché “Cœur en neige” mettra l’Alsace à l’honneur sur la Grand’Place de la Cité du Doudou ! Des chalets colorés feront découvrir aux visiteurs les spécialités culinaires de cette région française proche de chez nous.
SI Dinant
En région namuroise, ne manquez pas le marché de Noël de Dinant. Moins connu que les deux premiers, le marché de la cité mosane vous permettra de découvrir une foule de produits du terroir, de l’artisanat local ainsi que des animations pour petits et grands. Et, pour l’occasion, la ville d’Adolphe Saxe revêt bien entendu ses habits de fête tout en se parant d’illuminations qui se reflètent sur le fleuve tout proche. A ce sujet, Dinant Lumière prolonge la magie du 1/12 au 6/1. Magique !
WBT – J.P. Remy
En Brabant wallon, le plus grand marché de Noël de la “jeune province” se tient à Louvain-la-Neuve. Baptisé “Louvain-la-Neige”, celui-ci accueille une centaine d’exposants dispersés dans une petite centaine de chalets en bois. Étudiants, habitants ou encore touristes, s’y mélangent dans une ambiance bon enfant.
Marche de Noel a Durbuy CGT – Arnaud Siquet
Enfin, dans la province du Luxembourg, Durbuy accueille les amateurs du genre jusqu’au 7 janvier 2024. Un marché de Noël dans la plus pure tradition qui met en valeur le travail d’artisans de la région et qui propose de succulents produits de bouche. Une patinoire est même de la partie !
Il ne s’agit ici que de quelques coups de cœur, d’autres marchés de Noël étant tout aussi incontournables, à l’instar de celui de Namur et, bien entendu, les Féeries du Parc à Ciney.
Une fois n’est pas coutume, je suis partie en vadrouille seule. Un voyage en auto pendant lequel j’ai pu mettre ma playlist et chanter à tue-tête sans déranger personne : ça commençait bien ! Direction la Province de Luxembourg, et l’hôtel La Barrière de Transinne, à Libin. Une mise au vert au cœur de la Grande Forêt de Saint-Hubert, ça recharge les batteries ! J’avais réservé une chambre dans le bâtiment principal : teintes douces, décoration pleine de charme et vue sur la forêt et ses couleurs d’automne. Et puis surtout, un lit immense, juste pour moi. Joie !
JP Remy
Je me suis remise en route : je voulais être rentrée avant que l’obscurité n’ait eu le temps de tout grignoter. Redu m’attendait : c’est là que se cache le Musée de l’Art didactique. Dans un ancien presbytère, j’ai découvert un monde incroyable. Peintures, dessins, sculptures, BD, photos et films d’animation au programme. Les œuvres interactives sont fort bien pensées : mes enfants auraient adoré chipoter à tout ça. Des créatures qui s’animent dans les tableaux, des filtres artistiques qui s’invitent sur les photos, des canons à points qui créent des peintures folles, des jeux divers qui rendent l’approche ludique et originale ! J’ai pris un cappuccino au Mudia Café dont les murs sont tapissés de livres d’art. J’ai bien sûr encore pris le temps de flâner dans le village du livre : 12 bouquineries sont installées ici. Impossible de ne pas acheter quelques exemplaires !
B Deprez – La barrière de Transinne
De retour à l’hôtel, j’ai sauté dans mon maillot : je m’étais réservé une heure à l’espace Wellness. Un Dafalgan met plus de temps à fondre que je n’en ai mis à me détendre dans le sauna. J’ai mangé au restaurant de l’hôtel, en tête-à-tête avec mon filet de Marcassin. Puis j’ai filé sous les draps pour retrouver mes bouquins et rouler de chaque côté du lit. Une couette qu’on ne doit pas partager, c’est divin ! J’ai savouré mon petit-déjeuner au calme : tout le temps d’un café, à rêvasser ! Le buffet était parfait et c’est le ventre (trop) rempli que je suis partie me balader : pas question de partir sans avoir fait le plein de nature. Au départ de l’église de Redu, j’ai entamé une balade de 8 km de difficulté moyenne. « Le Passage des Chèvres » m’a pris un peu plus de 2 heures, mais j’y suis allée calmement : ça glissait ! La boucle est facile à réaliser : il suffit de suivre le balisage. Une réussite ! Vive les bulles de solitude : ça fait tant de bien aussi…
Hôtel-restaurant La Barrière de Transinne
28 chambres tout confort vous attendent ici dans cet hôtel qui a su préserver un cachet traditionnel et forestier à la fois. Les animaux de la forêt sont partout : petits bronzes, tableaux et déco raffinée leur est dédiée.
La barrière de Transinne
Vous pouvez loger dans le bâtiment principal ou réserver un chalet authentique. C’est selon…
Quoi qu’il en soit, le cadre est verdoyant et propice à la relaxation. L’espace wellness (privatisable pour deux personnes) et le restaurant contribuent à faire de votre pause en solo ou en amoureux, un moment réussi !
Le MUDIA
Le Musée didactique d’Art se trouve dans le village de Redu. 7 siècles d’art se retrouvent là, dans un ancien presbytère, au cœur du village. 300 œuvres et 20 salles sont à voir !
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L’intérêt du lieu réside surtout dans les animations proposées : les œuvres interactives, digitales et high-tech amuseront petits et grands. Ici, découvrir l’art, c’est surtout amusant. Des animations et évènements sont régulièrement organisés.
Un catalogue permet aussi d’illustrer la visite et un jeu inédit est mis à disposition : il permet de faire le lien entre les collections d’art, le village, ses librairies, ses restaurants et son patrimoine.
Le village de Redu
Une trentaine de commerces sont regroupés dans le village dédié aux amoureux du livre. Ici, les bouquineries ne couvrent pas moins de deux kilomètres de rayonnage : un rêve !
Le Mudia n’est pas la seule activité à faire. Les promenades balisées en forêt sont nombreuses : le passage de Chèvres (rectangle jaune) et la Virée des Croix (rectangle bleu) démarrent sur la place de l’église.
Un nouveau circuit de découverte interactif est aussi proposé : Tania au cœur des légendes. Vous partez à la rencontre de personnages légendaires de la région et résolvez des énigmes. L’Office du Tourisme de Libin vous donnera le roadbook nécessaire !
