Le Kenya a récemment accueilli les premiers touristes étrangers sans visa. Cette mesure, annoncée l’année dernière, vise à alléger les formalités d’entrée dans le pays. Toute formalité n’est pas finie pour autant : les voyageurs doivent néanmoins s’enregistrer en ligne et payer un droit d’entrée.
Un système d’entrée assoupli mais structuré
Le président William Ruto avait déclaré l’an dernier que le Kenya deviendrait un pays sans visa. Cependant, les touristes doivent toujours obtenir une autorisation de voyage électronique (ETA) en ligne, avec un frais d’entrée de 30 dollars. Ce système est, par ailleurs, toujours en cours de développement et de mise en œuvre.
Le gouvernement veut booster le tourisme !
Malgré une baisse du tourisme due à la pandémie de Covid-19, le Kenya a accueilli 1,54 million de touristes en 2022. Avec cette nouvelle politique, l’Office de tourisme du Kenya espère dépasser les chiffres de 2019, en atteignant les deux millions de visiteurs.
Les récentes chutes de neige exceptionnelles, s’élevant jusqu’à 25 cm de poudreuse, ont métamorphosé les cantons de l’Est en un véritable terrain de jeu pour les amateurs de sports d’hiver.
Pas moins de quatorze centres de sport d’hiver seront ouverts dans l’Est. La pratique du ski de fond est ainsi rendue possible au ski club de Weywertz (pistes tracées de 2, 4, 6, 8 et 13 km), à la Baraque Michel (pistes non tracées de 5, 6, 7 km ainsi que les jonctions de 25km et 12-17km), au Mont Spinette (pistes tracées de 4 et 11 km, ainsi que des pistes pour balades en raquettes), au Signal de Botrange (pistes non tracées de 5, 6, 7 km et des jonctions de 13-15 km et 20 km), à Herzebösch (pistes tracées de 2, 5 et 9 km), à Losheimergraben (pistes tracées de 5, 8 et 12 km) et au Skihütte Mertes à Rocherath (pistes tracées de 3, 6 et 13 Km). Pour les amateurs de ski alpin, les pistes d’Ovifat offrent différentes difficultés, avec des pistes rouge, bleue et verte. Notez que certaines pistes restent actuellement impraticables… Enfin, les enfants peuvent également pratiquer la luge à Weywertz, Herzebösch, et Ovifat.
Avec la possibilité d’ouverture de nouveaux centres dans la journée, il ne fait aucun doute que vous serez nombreux à profiter du paysage féerique des Fagnes sous leur manteau blanc, sportifs ou simples promeneurs.
En Belgique, le prix des passeports varie en fonction de quatre critères : l’âge du demandeur (mineur/majeur), la procédure de demande (normale ou urgente), le nombre de pages (32 ou 64 pages) et, enfin, une éventuelle taxe communale.
Le prix d’un passeport ordinaire, comptant 32 pages, est fixé à 65 €. Un tarif qui comprend les frais de production (35 €) ainsi que la taxe consulaire (30 €). S’il est commandé en urgence, il vous reviendra à 240 €. Des tarifs “officiels” qui sont d’application dans certaines communes, dont celles de Knokke, Beauvechain et Libramont par exemple.
Mais les communes sont libres d’appliquer une taxe supplémentaire, ce qui peut faire grimper en flèche le montant que vous serez amené à débourser pour obtenir ce précieux sésame bordeaux. Si certaines d’entre elles n’exigent que quelques euros supplémentaires, comme Anvers (70,50 €), Liège et Bruges (75 €), voire une vingtaine comme à Mons et Namur (85 €), d’autres n’hésitent pas à quasiment doubler le prix, comme à Ixelles et Forest en Région bruxelloise où il vous sera demandé respectivement pas moins de 100 et 110 € ! Cette dernière commune bat d’ailleurs le “record” belge en la matière…
L’année 2023 se clôture sur une note positive pour l’hôtellerie bruxelloise, avec un taux d’occupation de 68,3%, en hausse par rapport aux 59,4% de 2022. Cependant, ces chiffres n’atteignent toujours pas le taux de 75% de 2019, l’année de référence avant la crise du Covid-19.
Le tourisme d’affaires à la traîne
Selon Brussels Hotels Association (BHA), cette reprise est freinée par le tourisme d’affaires qui peine à retrouver son dynamisme d’avant la pandémie. Il reste ainsi de grosses disparités dans les taux de fréquentation des hôtels entre les jours de semaine et les weekends…
Stéphanie Leblanc
Problématique de rentabilité malgré l’attractivité accrue
A en croire le rapport, cette hausse de fréquentation n’arriverait toujours pas à renflouer les caisses des hôtels bruxellois. Le revenu moyen gagné par chaque chambre disponible (un indicateur appelé “RevPar“) a augmenté de 14,5% depuis 2019, ce qui est mieux que la moyenne en Belgique, mais cela reste insuffisant ! En effet, les coûts ont beaucoup augmenté, avec une hausse de 17% des salaires, et une augmentation énorme de 88% des coûts liés à l’énergie !
Un influenceur TikTok basé à Hô Chi Minh-Ville (Vietnam) a été condamné à une amende de 7,5 millions VND (un peu moins de 300 euros) pour avoir publié une vidéo sur les temples d’Angkor Wat, situés au Cambodge. La vidéo montrait une jeune fille en costume traditionnel thaïlandais se promenant dans le temple, accompagnée d’images du drapeau et du roi thaïlandais, et d’une voix off disant « Bonjour la Thaïlande ». Comme disait Audiard, les c***, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît !
Une grosse amende
Autant dire que cette publication a provoqué une vague de critiques et d’indignations, notamment de la part de l’Autorité de conservation du patrimoine mondial d’Angkor Wat (Apsara), qui a jugé que la vidéo « affectait gravement la culture et le patrimoine cambodgiens ». Les autorités cambodgiennes ont demandé à TikTok de bloquer la vidéo, qui a depuis été supprimée de la plateforme.
Un conflit historique ravivé
Une description imbécile de la vidéo ? Non, à vrai dire, elle n’est pas tout-à-fait innocente et cette affaire a même ravivé un vieux différend entre la Thaïlande et le Cambodge. Certains Thaïlandais revendiquent en effet le temple d’Angkor comme faisant partie de leur pays, bien que la communauté internationale reconnaisse unanimement ce site comme territoire cambodgien. Le secrétaire d’État adjoint du ministère cambodgien du Tourisme, Prak Chandar, a exprimé son inquiétude quant à l’impact négatif sur l’image du tourisme cambodgien.
Sanctions
Outre l’amende, les autorités de Hô Chi Minh-Ville ont averti l’influenceur de se conformer aux lois vietnamiennes lors de l’utilisation d’Internet et des médias sociaux. Il risque également une interdiction d’entrée au Cambodge pour une durée pouvant aller jusqu’à 10 ans.
Après sa défaite à la bataille de Waterloo en 1815, Napoléon Bonaparte fut exilé sur l’île de Sainte-Hélène par les puissances alliées. Ce choix s’expliquait par la localisation isolée de l’île, la rendant idéale pour éviter une nouvelle évasion, après celle de l’île d’Elbe en 1814. À Sainte-Hélène, Napoléon vécut dans la résidence de Longwood House, sous surveillance britannique.
Une vie en exil
Durant ses six années d’exil, Napoléon se consacra à la rédaction de ses mémoires, dictant ses commentaires sur ses campagnes militaires et sa gouvernance. Il entretenait une correspondance régulière avec l’Europe, maintenant ainsi un lien avec les affaires mondiales, bien que sa santé déclinait progressivement.
Longwood House et la Vallée du Tombeau
Longwood House est aujourd’hui un musée, où les visiteurs peuvent découvrir la vie quotidienne de Napoléon en exil. La Vallée du Tombeau, où il fut initialement enterré, reste un site de commémoration, malgré le transfert de sa dépouille en France en 1840.
Napoléon mourut le 5 mai 1821, officiellement d’un cancer de l’estomac, bien que des théories aient suggéré un empoisonnement à l’arsenic. Sa mort marqua la fin d’une ère et le début de la légende napoléonienne.
Jamestown, la capitale de l’île, offre un aperçu charmant de l’architecture coloniale. Le Musée de Sainte-Hélène raconte l’histoire de l’île, avec une section dédiée à Napoléon. Au-delà de son histoire, Sainte-Hélène impressionne par sa nature préservée. Les randonnées à Diana’s Peak offrent des vues spectaculaires, tandis que les falaises côtières révèlent la beauté sauvage de l’île.
SkyAlps, la compagnie aérienne dynamique, a récemment lancé un service direct reliant Anvers à Bolzano en deux heures. Ce sont trois vols hebdomadaires d’Anvers à Bolzano qui sont proposés, avec des billets à partir de 174 euros.
Bolzano, si vous aimez le ski, est un bon point de chute ! En effet, l’aéroport est situé à proximité de Dolomiti Superski, un réseau skiable qui offre plus de 1.200 km de pistes. Si vous désirez plutôt profiter de l’ambiance, sachez que Bolzano, une ville historique, propose également des expériences gastronomiques exceptionnelles.
Les destinations de ski à proximité
1. Obereggen : À seulement 35 minutes de l’aéroport, ce domaine skiable offre 48 km de pistes, 18 remontées mécaniques, et un snowpark impressionnant.
2. Val Gardena : Réputé pour sa piste La Longia, ce domaine se trouve à 50 minutes de Bolzano.
3. Alta Badia : Connu pour ses pistes ensoleillées et la Wine Skisafari, Alta Badia se situe à 90 minutes.
4. Kronplatz : À 110 minutes de l’aéroport, ce domaine offre des défis pour les skieurs expérimentés, avec ses pistes noires et le musée MMM Corones.
Le ministre jordanien du Tourisme, Makram Queisi, a révélé des pertes mensuelles allant jusqu’à 282 millions de dollars dans le secteur touristique, en raison de la guerre dans la bande de Gaza. Avec un taux d’annulation de 60%, représentant 200.000 à 250.000 visiteurs en moins, l’impact économique est considérable. Les annulations proviennent majoritairement de voyageurs des États-Unis, du Canada et de l’Europe.
Face à ces défis, la Jordanie s’oriente vers des marchés alternatifs tels que la Russie, la Chine, ainsi que les pays africains et arabes. Cette redirection stratégique vise à compenser les pertes subies et à revitaliser un secteur clé pour l’économie jordanienne : en 2019, il contribuait à hauteur de 16 % au PIB !
Les compagnies aériennes vendent parfois plus de billets qu’il n’y a de places disponibles. Elles partent simplement du principe que certains passagers ne se présenteront pas. Dans ce cas, si le nombre de passagers se présentant est supérieur au nombre de places disponibles, certains passagers ne pourront tout simplement pas prendre le vol !
Dans ce cas, les compagnies recherchent généralement des volontaires prêts à opter pour un autre vol en échange d’une compensation (et, par exemple, d’une nuitée). S’il n’y a pas assez de volontaires, la compagnie aérienne désignera elle-même les voyageurs qui ne peuvent pas prendre le vol. Il peut s’agir des derniers à la porte d’embarquement, à moins qu’il ne s’agisse de familles avec des enfants ou de « clients réguliers » de la compagnie aérienne.
Quelle compensation ?
S’il s’agit de convaincre des « volontaires » de prendre un autre vol, la compagnie aérienne choisit ce qu’elle offre en échange du choix d’un autre vol (par exemple, une nuit d’hôtel supplémentaire et une compensation financière). S’il n’y a pas de volontaires et que vous ne pouvez pas prendre le vol, vous avez droit à un nouveau vol ou au remboursement du vol, des repas, des rafraîchissements et éventuellement de l’hôtel. Vous pouvez également prétendre à une indemnisation comprise entre 250 et 600 euros, en fonction de la durée du vol. Ce montant peut être réduit de moitié si le vol alternatif part peu de temps après le vol surbooké.
Hôtel surbooké ?
Si votre hôtel est surbooké et qu’il s’agit d’un voyage à forfait, le voyagiste doit remédier au problème sur place, dans la mesure du possible. Il doit alors proposer un autre hôtel de qualité équivalente ou supérieure, à moins que cela n’entraîne des coûts déraisonnables ou ne soit pratiquement impossible. Si l’hôtel de remplacement est de qualité inférieure, vous avez droit à un dédommagement.
Si vous avez réservé l’hôtel vous-même, tout dépend de la législation du pays concerné. Il est préférable d’essayer de trouver un arrangement avec l’hôtelier local pour récupérer votre acompte, éventuellement un dédommagement et une solution pour séjourner dans un autre hôtel.
La Namibie est réputée pour le Désert du Namib, l’un des plus anciens déserts du monde, s’étendant sur plus de 80.000 km2. Ce désert, aux dunes rougeoyantes et à la faune adaptée aux conditions arides, offre un paysage d’une beauté surréaliste, façonné par plus de 55 millions d’années d’histoire géologique.
Population diversifiée et culturelle
Malgré son vaste territoire, la Namibie a une population relativement faible, avec seulement 2,5 millions d’habitants. Cette population est un melting-pot de cultures, incluant les Himbas, les Hereros, et les Damara, chacun contribuant à la riche mosaïque culturelle du pays.
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Économie et richesses naturelles
L’économie namibienne repose fortement sur l’extraction de minéraux. Elle est le 5ème plus grand producteur mondial d’uranium, et possède d’importantes réserves de diamants, positionnant le pays comme l’un des principaux acteurs dans ces industries. Le secteur minier représente environ 25% du PIB du pays, soulignant son rôle crucial dans l’économie nationale.
JP Desvigne
Conservation de la faune et de la flore
La Namibie est un leader en matière de conservation de la faune. Elle est le premier pays africain à inclure la protection de l’environnement dans sa constitution. Environ 42% de sa superficie est dédiée à des initiatives de conservation, incluant des parcs nationaux et des réserves naturelles, garantissant la protection de nombreuses espèces endémiques et menacées.
Tourisme
Le tourisme est un autre pilier de l’économie namibienne. Attirant plus de 1 million de visiteurs annuellement, la Namibie offre des paysages uniques, des safaris inoubliables et une aventure dans la nature sauvage. Ses attractions majeures incluent le parc national d’Etosha, la Côte des Squelettes, et les dunes de Sossusvlei, chacun présentant une expérience distincte et mémorable pour les voyageurs.