D’après le baromètre des vacances présenté par Europ Assistance, les Belges seront légèrement moins nombreux à partir en vacances cet été. Une enquête menée par Ipsos entre le 27 mars et le 22 avril 2024 révèle que 65% des Belges prévoient de voyager entre juin et septembre, une baisse de 5 points par rapport à 2023. Cette diminution s’explique principalement par l’inflation, qui pèse sur les budgets des ménages.
Facteurs environnementaux et géopolitiques
Outre les contraintes économiques, les préoccupations liées au réchauffement climatique et à la situation géopolitique influencent également les décisions, un nombre croissant de vacanciers évitant les zones sujettes aux canicules, ainsi que, bien évidemment, les régions connaissant des montées de l’extrémisme, voire des conflits armés.
Tendances des vacances
Malgré ces obstacles, 78% des Belges se disent enthousiastes à l’idée de partir en vacances. Les voyages de deux semaines (41%) et de trois semaines ou plus (25%) gagnent en popularité, contrairement aux vacances courtes d’une semaine (34%). La majorité des Belges choisiront de rester en Europe, avec la France (27%), la Belgique (20%), l’Espagne (17%) et l’Italie (12%) comme destinations principales.
Préférences de voyage et budget
Les séjours à la côte restent les plus prisés (58%), suivis par les city-trips (28%) et les régions montagneuses (22%). La voiture personnelle demeure le moyen de transport préféré (45%, voire 60% dans le cas des familles avec enfants), bien que l’avion soit en forte hausse. Les quelques pourcents restants sont partagés entre le train et le bus. En matière d’hébergement, les hôtels (54%) et les logements indépendants (31%) restent populaires.
Enfin, les ménages belges prévoient un budget moyen de 2.736 euros pour leurs vacances, les plaçant parmi les quatre premiers pays européens en termes de dépenses… Notez qu’en dépit de ce montant plutôt costaud, un tiers des sondés ont avoué avoir réduit leur budget !
Vacances et travail
Enfin, l’enquête indique que 26% des Belges actifs travailleront pendant leurs vacances, que ce soit sur leur lieu de villégiature ou avant leur départ pour mieux en profiter ensuite.
L’Espagne a accueilli 85 millions de visiteurs étrangers en 2023, dont 14,4 millions se sont rendus auxîles Baléares, avec Majorque comme destination principale. Cet afflux massif de touristes, notamment en provenance d’Allemagne, du Royaume-Uni et des Pays-Bas, exerce une pression énorme sur les infrastructures locales.
Impact environnemental
Les conséquences environnementales du surtourisme sont alarmantes. Les plages surpeuplées, l’augmentation des déchets et la pollution sonore ne sont que quelques exemples des problèmes rencontrés. “Nous devons protéger notre île avant qu’il ne soit trop tard,” déclare un militant écologiste. A cela, il faut également rajouter les répercussions sociales importantes, avec des prix de l’immobilier flambant rapidement, locations touristiques obligent, forçant les locaux à quitter les centres urbains. “Nous sommes en train de perdre notre identité locale,” s’inquiète un habitant de Palma, propos rapporté par Belga.
Selon une étude commandée par le Comité international olympique (CIO) et le comité d’organisation Paris-2024, le Centre de droit et d’économie du sport (CDES) a actualisé ses prévisions de retombées économiques pour les Jeux de Paris 2024. Les estimations ont été revues à la hausse, indiquant des retombées allant de 6,7 à 11,1 milliards d’euros, contre une fourchette précédente de 5,3 à 10,7 milliards d’euros.
Des estimations actualisées
Ces chiffres, exprimés en euros courants, prennent en compte l’inflation depuis la dernière étude du CDES. En euros constants (sans inflation), l’impact économique des Jeux pour l’Île-de-France est estimé entre 5,7 et 9,5 milliards d’euros, comparables aux estimations de 2016.
Des retombées principalement en Île-de-France
L’étude souligne que l’impact économique est principalement concentré en Île-de-France, “une très large majorité des sites de compétition ainsi que la plupart des épreuves sportives” étant situés dans cette région. Aucune estimation n’a été fournie pour la France entière.
Banco pour l’économie française ? Pas forcément…
Les études sur les retombées économiques des Jeux anticipent un impact limité sur l’économie française. Le cabinet Asterès a estimé une hausse de recettes fiscales et sociales de 5,3 milliards d’euros, tandis que François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a déclaré que le bénéfice éventuel des Jeux serait davantage “psychologique” qu’économique.
The barrier was put up a week ago in a popular photo spot in Fujikawaguchiko town, where residents had complained about streams of visitors littering, trespassing and breaking traffic ruleshttps://t.co/3XMCU47UY2pic.twitter.com/ZASD20bCwc
La ville de Fujikawaguchiko au Japon a installé une barrière pour limiter les nuisances causées par les touristes. Ce lieu est populaire sur les réseaux sociaux pour sa vue spectaculaire du Mont Fuji avec en premier plan une supérette, symbolisant le Japon contemporain. Les habitants se sont plaints des visiteurs abandonnant des déchets, fumant hors des zones autorisées, traversant au feu rouge ou se garant n’importe comment. Certains grimpaient même sur le toit d’une clinique dentaire pour prendre de meilleures photos.
Des incidents malgré la surveillance
Malgré l’embauche d’un agent de sécurité entre 10h00 et 16h00, une dizaine de petits trous ont été percés dans la toile, probablement le matin ou le soir. “C’est une question de comportement. C’est dommage“, a déclaré un responsable de la ville à l’AFP en évoquant les trous.
Objectif atteint malgré tout
Selon ce même responsable, la barrière de 2,5 m de haut sur 20 m de long a néanmoins atteint son objectif : réduire la foule sur le trottoir étroit. “Il y a des gens qui sont venus voir cet écran. Mais nous avons atteint notre objectif: décourager les gens de rester sur place“, a-t-il ajouté.
La ville prévoit de retirer cette barrière lorsque le lieu sera moins populaire. En attendant, elle envisage de placer des codes QR sur la barrière pour présenter d’autres attractions touristiques de la région, y compris d’autres endroits pour prendre des photos du Mont Fuji.
Pour rejoindre Noirmoutier, vous pouvez évidemment emprunter le pont qui relie le continent au sud de l’île : à vélo ou en voiture, c’est l’occasion déjà d’apprécier le paysage. Mais vous pouvez aussi emprunter le fameux « Passage du Gois », qui est classé monument naturel et site d’intérêt national. Les amateurs de pêche à pied trouveront là, au gré des marées, des palourdes, des coques et des huîtres sauvages…
Activités nautiques
Sur l’île, pourquoi ne pas commencer par mettre le cap sur la côte ? Noirmoutier permet de vivre le grand frisson, autant en profiter ! En effet, ici, les activités nautiques ne manquent pas et elles sont une jolie manière de découvrir les plages. Osez le char à voile. Tentez le kayak de mer. Essayez le stand up paddle. Il y a autant de possibilités que d’envies. Vous verrez à quel point c’est grisant…
Et puis, parce que le sport en plein air, ça creuse, on vous invite à aller goûter aux spécialités locales dans une ancienne maison de pêcheurs. « Le 11 », c’est un bar situé sur le vieux port : l’ambiance y est chaleureuse. A la carte, des gourmandises faites maison et une cuisine du marché. On vous conseille la planche de poissons fumés, accompagnée de crème ciboulette et de citron !
Simon Bourcier
Les fameux marais salants !
Que serait un séjour à Noirmoutier sans balader dans les fameux marais salants ? Partir à la rencontre des sauniers et observer le savoir-faire ancestral de la récolte du sel est un incontournable ici… Les paysages des marais salants sont si typiques. Si poétiques aussi ! On vous conseille de réaliser une visite guidée : ce patrimoine n’aura alors plus de secret pour vous.
Pour poser vos valises, on vous propose l’hôtel « Le Noirmoutier » : l’endroit est idéal pour profiter d’un site exceptionnel. Au calme, les pieds au bord de l’eau, vous pourrez vous ressourcer dans un univers haut de gamme. Décoration bohème-chic, nature luxuriante et charme authentique sont au rendez-vous. Toutes les pièces de cette grande maison de famille offrent des vues à couper le souffle.
Soirée gastronomique
Le soir, vous pourrez dîner sur la terrasse du restaurant de l’hôtel ou vous évadez encore le temps de la soirée ! N’hésitez alors pas à vous attabler au restaurant « Le P’tit Noirmout » : on vous y servira d’incroyables produits de la mer et du terroir. La façade peinte en rouge, la belle glycine bleue et les grands tableaux noirs posés à l’entrée sont une invitation ! La convivialité est assurée.
Jour 2 : Exploration de l’île d’Yeu
Le lendemain, on vous invite à rejoindre l’île d’Yeu par bateau, au départ de Fromentine. 17 km séparent les côtes vendéennes de l’île : le voyage, qui dure 45 minutes, est déjà une activité en soi : c’est si gai de voguer sur les flots et de voir les rochers de l’île se rapprocher.
Alexandre Lamoureux
A la découverte du centre-ville
Vous le constaterez vite, l’île d’Yeu est un joyau de l’Atlantique. Arpenter les ruelles typiques du centre-ville est un vrai plaisir : vous serez séduits par les petites maisons, pleines de charme, et aux volets colorés. Avant les activités de l’après-midi, attablez-vous à « La Cabane sur le Port » : le poulpe grillé est une belle idée !
Simon Bourcier
Tour de l’île à vélo
Enfourchez ensuite un vélo pour partir visiter les points incontournables de l’île : c’est idéal. Au départ du port Joinville, et à la force des mollets, vous découvrirez entre autres, le vieux Château, le port de la Meule, la pointe du But et du Châtelet…. Les 23 km qui constituent la piste cyclable vous permettront de faire le tour de l’île et d’en admirer les paysages variés : plages, dunes, côte sauvage, falaises, criques, landes, bocage… Sur votre route, tant de jolis points de vue !
Simon Bourcier
C’est au cœur du quartier Saint-Sauveur que vous pourrez poser vos vélos pour vous restaurer. Le restaurant « Le Missionnaire » est une adresse qui vaut sacrément le détour. La cuisine, généreuse et authentique, change chaque jour au gré des arrivages des bateaux. Deux entrées, deux plats, deux desserts : on va à l’essentiel et c’est parfaitement parfait.
Moment détente
Poussez encore sans hésitation la porte de l’hôtel « La Mission » : ici, vous pourrez vous détendre sur les transats qui bordent la piscine. Le cadre est idyllique : c’est autour d’un platane centenaire que les hébergements sont agencés en clos. Les chambres sont faites de lambris blanc et de couleurs joyeuses : des bijoux. Quant au rooftop, avec vue sur le clocher de Saint-Sauveur, il est l’endroit idéal pour siroter un cocktail et terminer la journée…
Un séjour en Vendée, c’est toujours une bonne idée : y venir, c’est avoir déjà envie de revenir. Et c’est tant mieux, car c’est une destination aux multiples facettes !
La Nocturne des Coteaux de la Citadelle est l’un des événements phares de Liège, attirant chaque année plusieurs milliers de visiteurs. Organisée traditionnellement le premier samedi d’octobre, cette manifestation a été annulée quatre années consécutives : en 2020 et 2021 en raison de la crise sanitaire, et en 2022 et 2023 à cause des travaux du tram.
Une reprise avec des innovations lumineuses
Ces travaux touchant à leur fin, Jean-Pierre Hupkens a confirmé que le collège communal prévoit de relancer la Nocturne des Coteaux de la Citadelle en 2024, en proposant une formule élargie. “Les traditionnelles bougies devraient toujours être présentes sur la montagne de Bueren et complétées par des dispositifs lumineux dans un périmètre qui reste à définir. Nous devons, en effet, tenir compte des conditions de sécurité qu’impose la fréquentation très importante d’un tel événement, en particulier l’accès aux impasses et chemins escarpés“, a-t-il expliqué.
Une intégration dans un programme plus large
La Nocturne s’insérera dans un ensemble d’animations visant à dynamiser le centre de Liège. Parmi les événements annoncés, on trouve la nocturne des mariages, le week-end du client, une édition spéciale de la Batte ainsi que l’ouverture de la foire. Cette stratégie vise à revitaliser le centre-ville et à offrir aux habitants et visiteurs une expérience riche et diversifiée.
Dans le réseau des Plus Beaux Villages de Wallonie, Celles est l’un des plus anciens. En effet, des traces de culte au dieu romain Neptune semblent indiquer que l’endroit était déjà habité au 2e siècle tandis que dès le 7e, il est évangélisé par Saint Hadelin qui y fonde d’abord un ermitage, devenu ensuite un monastère. Plusieurs miracles sont attribués à la présence du saint, Celles devenant alors un lieu de pèlerinages. Avec son cadre pittoresque, entouré de collines verdoyantes, et son riche patrimoine, le village est aujourd’hui une destination très courue. Cette balade d’un peu plus de 6 km vous permet de visiter notamment l’église romane Saint Hadelin du 11e siècle, connue pour ses fresques et son architecture exceptionnelle, ainsi que le château médiéval de Vêves tout proche.
Situé en province du Luxembourg, Ny est niché dans une belle vallée aux crêtes boisées parcourue par deux ruisseaux, la Naive et le Douyet, et doit sa beauté au mariage de la pierre et de l’eau qui se matérialise dans plusieurs fontaines. Empreint d’une architecture typiquement mosane, ce village présente un habitat rural où alternent, dans une belle harmonie, les teintes gris clair et gris sombre des pierres et des toitures. Les fontaines et abreuvoirs, adossés au mur de l’église Notre-Dame et du presbytère, participent à l’identité du village. On ne peut que tomber sous son charme lorsqu’on s’y promène ! Situé non loin de là, le château de Deulin consiste en un ensemble architectural classique remarquable, érigé au 18e siècle, et dominant la sublime vallée de l’Ourthe.
La légende raconte que le diable a choisi Wéris pour s’y reposer. Libre à chacun d’y croire ! Toujours est-il que ce village sort de l’ordinaire avec ses dolmens, ses menhirs et ses pierres riches en mystères qui ont fait la renommée des lieux. En parcourant les routes et chemins balisés le long d’étonnants paysages de plaines et de forêts, Wéris ne laisse en tout cas personne insensible à son charme. Le village jouit également d’un patrimoine exceptionnel dont les dolmens et menhirs en pierre poudingue, datant d’environ 3.000 ans avant J.-C., constituent le clou du spectacle. Et outre son château-ferme du 17e siècle et son musée des mégalithes, Wéris regroupe aussi de belles maisons à colombage, en pierre de calcaire ou en grès, parfaitement restaurées. Enfin, son église romane, dédiée à Sainte-Walburge, fille du roi Richard d’Angleterre, date du 11e siècle.
Témoins d’un riche passé, ces trois villages méritent que l’on s’y attarde quelques heures pour profiter de la magie des lieux, et ce quelle que soit la saison !
Tournai, une ville d’art, d’histoire et de création
Tournai est le point de chute idéal pour se promener le week-end, en famille ou entre amis. Plus vieille cité de Belgique, la ville est connue pour son riche passé médiéval, ainsi que pour sa magnifique cathédrale aux cinq clochers et son beffroi, tous deux inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Tournai est aussi une ville d’art. En plus de ses musées, des œuvres d’art modernes et design se sont installées dans ses différents quartiers. Véritable fil rouge entre le passé et le présent, les 13 œuvres à découvrir ont été conçues comme des traductions contemporaines de la riche histoire de Tournai.
visittournai
Pour découvrir l’ensemble des œuvres et leur symbolique, procurez-vous un dépliant Arts & Design in the City, disponible à l’office du tourisme de Tournai. Vous pouvez également vous rendre directement sur le site www.artetdesign.city via votre smartphone.
J’avais envie de me dégourdir les jambes au cœur de grands espaces, mais sans partir trop loin. Une amie m’a parlé de la beauté des Hautes Fagnes, cette région vallonnée située près des Cantons de l’Est, à la frontière avec l’Allemagne. Le coin regorge de balades balisées. Sur les conseils de mon amie, nous sommes partis à l’assaut des « Crêtes de la Warche ». Coup de bol : nous sommes passés entre les gouttes des grosses pluies de ces derniers jours. Un rayon de soleil nous a même accompagnés dans cette aventure.
Les crêtes de la Warche
Samedi matin, nous voilà fin prêts, sac au dos et chaussures crantées aux pieds. Les crêtes de la Warche, c’est une randonnée de 17 kilomètres, qui prend son départ dans le petit village de Xhoffraix, situé à huit kilomètres au nord de Malmedy. Nous avons parqué la voiture devant l’église du village. Maintenant, il n’y a plus qu’à suivre les flèches et s’armer de courage, pour croquer des yeux les beaux paysages.
WBT – Denis Erroyaux
Après la plaine, le parcours nous fait remonter le vallon, traverser un pont jusqu’au pied du château de Reinhardstein, qui se dresse sur un piton rocheux. Là, comme nous, vous ferez de grands yeux. Trop beau, ce château ! A l’abandon pendant 150 ans, il a été frappé par la foudre avant de profiter d’une réfection complète de plus d’un an. Il offre des visites avec animations. Ce sera pour une autre fois, car aujourd’hui, nous devons continuer notre périple…
Un décor qui vaut l’effort
L’itinéraire nous plonge ensuite vers le lac du barrage de Robertville. Puis, armez-vous de courage pour emprunter le sentier escarpé qui vous conduit jusqu’aux crêtes. C’est la partie corsée de l’expédition. Comme niveau de difficulté, mon homme a attribué un 3 sur 5 à cette balade. Totalement d’accord avec lui : cette rando est un bon test pour vos mollets. Mais le décor vaut franchement l’effort. Une fois arrivé au sommet des crêtes, vous dominez les méandres de la Warche, affluent de l’Amblève. Splendide.
Pique-nique au sommet
C’est là-haut que nous avons décidé de poser nos sacs pour prendre notre pause déjeuner. On vous conseille d’emporter une belle quantité d’eau avec vous car marcher, en plus de creuser, ça assèche… Après le pique-nique, on met le cap vers le bas : c’est au fil des rochers abrupts, des torrents et des prairies que nous rejoignons la vallée. Le paysage est somptueux ; pour un peu, on se croirait en montagne. « Et tout ça si près de chez nous ! Ta copine n’a pas menti… », sourit mon homme, un peu exténué au bout de ce périple de 5 heures, pique-nique compris.
Grand cube posé dans la nature
Ce sont les jambes un peu tremblantes que nous avons repris la voiture, direction l’hôtel, le MY Hotel by Intermills, situé à Malmedy, dans l’ancienne papeterie Intermills Steinbach. Le bâtiment épuré en béton lisse ressemble à un grand cube posé dans la nature. Dans les chambres de cet hôtel 4 étoiles, vous avez le choix de la vue : la fenêtre donne soit sur la nature, soit sur la ville de Malmedy. L’hôtel dispose d’une salle de sport mais aujourd’hui, on a déjà donné… Nous avons opté pour l’espace wellness avec piscine, sauna, hammam et même massages. Charmante attention : des produits de soin de luxe sont mis à disposition dans la salle de bain de la chambre.
WBT – Vincent Ferooz
Un petit festin bistronomique !
C’est donc complètement détendu que nous sommes descendus prendre l’apéro. Nous avons siroté un cocktail au bar cosy, qui abrite un impressionnant feu ultramoderne en son centre. Pour le resto, nous avons opté pour l’atmosphère raffinée au « MY HOTEL Restaurant ». Le chef Lionel concocte une cuisine bistronomique de premier plan, avec quelques pépites sur la carte. Pour ma part, je me suis régalée avec l’agneau rôti, servi avec des asperges blanches et une croquette de risotto, avec pour finir en apothéose, un cheesecake chocolat blanc et citron vert comme dessert ! Un pur régal ! De quoi oublier nos crampes aux pieds et terminer en beauté une journée chargée en émotions, la tête encore emplie des grandioses paysages des Hautes Fagnes.
WBT – Vincent Ferooz
Notre coup de cœur :
Le pique-nique au sommet des crêtes avec vue imprenable sur la nature et la rivière en contrebas.
Les Hauts-de-France sont célèbres pour leur tradition brassicole. Bonne nouvelle, la région vous invite à découvrir ses paysages variés et ses bières locales grâce à 40 randonnées exceptionnelles. De la côte aux villes historiques, chaque itinéraire vous emmène à la rencontre des brasseurs passionnés qui perpétuent l’art de la bière avec une touche de modernité.
Itinéraires pour tous les goûts
Chaque parcours, détaillé dans le guide “Randos Bière Hauts-de-France”, se termine à proximité d’une brasserie ou d’un lieu où déguster une bière locale testée par des connaisseurs. Avec différents niveaux de difficulté, ces randonnées (en moyenne 10 km) sont majoritairement des boucles. Cerise sur le gâteau, les deux tiers sont accessibles en transports en commun.
Un guide pratique et complet
Créé par Damien Courcoux, fondateur de bieres-et-brasseries.fr, ce guide pratique inclut des fichiers GPX pour chaque parcours. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour profiter pleinement de vos excursions.
2 exemples d’itinéraires
La citadelle de Montreuil
Distance : 12,6 km
Durée : 3 h
Difficulté : Facile
Dénivelé : 90 m D+ et 86 m D-
Bière associée : Quentovic Tourbée, une bière viking de caractère
L’abbaye de Vaucelles
Distance : 10 km
Durée : 2 h 25
Difficulté : Difficile
Dénivelé : 100 m D+ et 98 m D-
Bière associée : Abbaye de Vaucelles Blonde, une bière d’inspiration cistercienne