Le Parc du Cinquantenaire a été créé en 1880 pour célébrer les 50 ans de l’indépendance de la Belgique. Situé au cœur de Bruxelles, ce parc est célèbre pour ses magnifiques arcades (achevées en 1905) et son imposant arc de triomphe. Conçu par l’architecte Gédéon Bordiau, le parc a été le théâtre de nombreuses expositions nationales et internationales. Le parc abrite également plusieurs musées prestigieux, dont le Musée de l’Armée, le Musée du Cinquantenaire et Autoworld, attirant chaque année des milliers de visiteurs.
Le masterplan est divisé en plusieurs dimensions :
Revoir les circulations sur l’ensemble du site pour améliorer l’accès et la fluidité des déplacements.
Valoriser les arcades et l’arc de triomphe pour en faire des pôles d’attraction encore plus marquants.
Recréer un lien entre les ronds-points Schumann et Mérode pour promouvoir la mobilité douce.
Rénover les espaces muséaux.
En plus de cela, un nouvel espace souterrain public sera créé.
Au-delà des 88,6 millions d’euros débloqués, le gouvernement a chargé Beliris de lancer les études architecturales du plan directeur intégré. La réalisation complète de ce plan nécessitera un investissement global de 160 millions d’euros.
Parmi les compagnies visées, on retrouve Ryanair, Vueling, Wizzair et EasyJet. Ces compagnies imposent des suppléments variant entre 6 et 75 euros pour des bagages à main, une pratique jugée illégale et problématique par Testachats.
Comparaison des prix
Testachats souligne deux problèmes principaux. Premièrement, cette pratique empêche les passagers de comparer facilement les prix. En effet, le coût réel du voyage n’est visible qu’en fin de processus de réservation, ce qui contrevient à la réglementation européenne qui stipule que le prix définitif doit être clair dès le début du processus.
Une pratique illégale !
Deuxièmement, la Cour de justice de l’Union européenne considère que les bagages à main sont “un élément indispensable du transport des passagers” et qu’ils ne devraient pas faire l’objet de suppléments de prix, à condition qu’ils respectent des critères raisonnables de poids et de dimensions ainsi que les prescriptions de sécurité.
L’organisation encourage également les passagers à conserver les preuves de paiement pour d’éventuelles démarches judiciaires ultérieures.
Dès le début des années 50, les constructeurs sont capables de développer des machines ultra rapides, frôlant parfois les 300 km/h. Des vitesses vues comme héroïques et atteintes sur des pistes conçues pour des véhicules nettement plus lents ! Le 11 juin 1955, le monde de la course automobile en fait malheureusement les frais avec la plus grosse catastrophe à ce jour, avec 80 tués lorsque la Mercedes de Levegh sort de la piste et vient s’écraser dans les tribunes.
A peine remis de cette catastrophe, qu’une autre se prépare. Il faut dire que tous les ingrédients y sont : des bolides d’une puissance délirante, une sécurité active très rudimentaire et passive complètement absente et surtout, un cadre délirant pour l’une des courses les plus dangereuses de tous les temps : les Mille Migia.
La Mille Miglia était en effet, une course sur route ouverte qui parcourait environ 1600 kilomètres (mille miles) à travers l’Italie, partant de Brescia et retour. Elle était réputée pour sa difficulté et le danger qu’elle représentait, tant pour les coureurs que pour les spectateurs, car elle se déroulait sur des routes publiques souvent encombrées. Et le 12 mai 1957, le deuxième et dernier jour de cette édition, fut une journée noire…
Ferrari, alors dans une très délicate posture financière, était alors bel et bien décidé à faire des étincelles lors de cette course, histoire de relancer son activité commerciale. La firme a engagé de nombreuses voitures, dont une était destinée au coureur espagnol, et marquis, Alfonso de Portago. Un marquis par ailleurs assez flamboyant, car toujours élégamment vêtu, bon vivant et drôle à ses heures. Linda Christian, une actrice mexicaine alors très en vogue, a d’ailleurs succombé à ses charmes.
Au volant de sa Ferrari, de Portago est déterminé à briller. Hélas, une petite pierre en décidera autrement, coupant son pneu au kilomètre 112 alors qu’il circulait à très vive allure (on estime sa vitesse à plus de 250 km/h !). La Ferrari 335S fut catapultée dans les airs et faucha la vie de neuf personnes, dont 5 enfants. Alfonso de Portago et son copilote, Edmund Nelson, perdirent également la vie.
Une course interdite
L’accident a provoqué une onde de choc dans le monde entier, attirant l’attention sur la sécurité dans les sports mécaniques, à peine deux ans après la tragédie du Mans. L’opinion publique, déjà préoccupée par la sécurité des courses sur route, s’est retournée contre les Mille Miglia. Face à la pression publique et aux critiques, les autorités italiennes ont interdit la Mille Miglia l’année suivante.
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Mille Miglia version 2.0
Aujourd’hui, la Mille Miglia a été ressuscitée, mais sous une forme très différente. Elle est devenue un rallye de régularité pour les voitures classiques, se concentrant moins sur la vitesse pure et plus sur l’exactitude dans le respect du parcours et des temps intermédiaires. Cette course attire des amateurs de voitures classiques de partout dans le monde, avec des bolides aussi beaux qu’onéreux !
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Guidizzolo
Guidizzolo, petit village du Nord de l’Italie, reste un village marqué par cette tragédie (un mémorial rappelle d’ailleurs la tragédie), est un village charmant avec une riche histoire et une culture vibrante. Entre le château de Cavriana, les vins locaux, le lac de Garde et Mantoue qui ne sont pas très loin, il s’agit d’une région riche en attractions touristiques !
La dernière course qualificative pour le « Vendée Globe » est la course « New York – Vendée » : c’est un format transatlantique qui précède le célèbre tour du monde en solitaire. Cette traversée, qui prend donc une dizaine de jours, impose les mêmes règles que le « Vendée Globe ».
Au départ de New York, le 29 mai dernier, les skippers engagés ont ainsi entamé la traversée de l’Atlantique. Les premières arrivées sont prévues aux alentours du 7 juin au port des Sables d’Olonne : c’est à qui scrutera en premier les voiles porteuses de rêves et d’émotions.
Le dispositif des arrivées mélangera les cultures new-yorkaise et vendéenne : un moment festif pour tous les passionnés et l’occasion d’acclamer une première fois les futurs marins du « Vendée Globe » le long du chenal !
Ne manquez pas l’Everest des mers !
Il faudra ensuite attendre le 10 novembre 2024 pour le top départ du « Vendée Globe », aux Sables d’Olonne. Cette course, autrement appelée « l’Everest des Mers », en sera à sa 10ème édition : un moment épique en perspective pour cette course autour du monde, réalisée en solitaire, sans escale ni assistance. Et bien entendu, fierté nationale, nous avons cette année un compétiteur belge, Denis Van Weynbergh, dont Vacancesweb est d’ailleurs partenaire…
Vendée Globe Alea JL. Carli
La course, dont le nombre de concurrents passe cette année de 34 à 40 bateaux, s’engage plus fort que jamais dans la protection des océans. La création des Fonds de Dotation « Vendée Globe Foundation » finance la coordination des sciences participatives des skippers en partenariat avec l’UNESCO.
Quant aux engagements environnementaux défendus, ils sont au nombre de 10 et s’articulent autour de 4 grands axes : l’anticipation, la réduction de l’empreinte carbone, l’inspiration et l’ancrage progressif d’un héritage positif. De vrais enjeux pour ce parcours autour du monde !
Alea
Des chiffres hallucinants !
Le « Vendée Globe », c’est 45 000 km, soit 24 300 miles nautiques. C’est 3 caps à passer : Bonne Espérance, Leeuwin et Horn. C’est aussi 3 océans à affronter : l’Atlantique, l’Indien et le Pacifique. Mais, c’est surtout une immersion au cœur d’une aventure incroyable !
Rendez-vous sur le village du « Vendée Globe 2024 », à Port Olona, aux Sables d’Olonne ! A partir du 19 octobre, et durant toute la durée de la course, la cité maritime vivra au rythme des voiles parties au large. Un moment unique à ne surtout pas louper !
Le Jardin botanique de Meise, situé dans le Brabant flamand, a célébré la Journée internationale de la biodiversité en grande pompe avec l’inauguration d’une nouvelle infrastructure majeure. Ce complexe, baptisé l’”Arche verte“, comprend 22 serres couvrant une surface totale de 7.600 mètres carrés. “Cette nouvelle infrastructure était désespérément nécessaire“, affirme l’équipe du jardin botanique. “La protection des espèces menacées est plus urgente que jamais. Ici, nous sauverons les plantes menacées d’extinction, au travers de leur étude et de leur préservation.”
Des serres à la pointe de la technologie
L’Arche verte a été conçue pour recréer des conditions climatiques variées, allant des zones sèches aux zones humides. Elle est équipée de quatre régimes de température et de différentes conditions d’humidité et de luminosité. Le jardin botanique abritera trois spécimens de chacune des 10.000 espèces présentes, garantissant ainsi leur préservation future grâce à des échanges internationaux.
Une banque de semences
En parallèle de l’Arche verte, une nouvelle banque de semences a été ouverte. Cette collection impressionnante comprend près de 2,5 millions de graines issues de plantes sauvages indigènes et 4,5 millions de semences de haricots sauvages. Parmi les trésors de cette banque, on trouve également 113 graines de bananes sauvages et 911 semences de la flore du cuivre du Katanga (République démocratique du Congo).
Les Grottes de Han offrent aux visiteurs la possibilité de découvrir un réseau souterrain de grottes calcaires remarquablement bien préservé. Ces grottes présentent des formations géologiques spectaculaires telles que des stalactites, des stalagmites, des draperies et des colonnes, qui contribuent à créer un paysage souterrain tout bonnement époustouflant. Le site des grottes comprend également un parc animalier où l’on peut observer des espèces rares dont des loups, des lynx, des ours ou encore des rapaces. Enfin, les lieux proposent également diverses activités en plein air, telles que des sentiers de randonnée, des aires de pique-nique ou encore des aires de jeux pour enfants, ce qui en fait une destination idéale pour une journée voire un week-end en famille.
Grottes de Han
Mais la région de Han-sur-Lesse est également une destination idéale pour vous balader, vous ressourcer et vous vider l’esprit. Située au cœur de la Famenne-Ardenne et de son Unesco Global Geopark, celle-ci propose en effet une multitude de découvertes aussi fascinantes que surprenantes dans un décor naturel grandiose, rehaussé de panoramas idylliques. Une région qui se découvre aussi bien à pied qu’à vélo !
au lit des ours
Où loger ?
Le meilleur moyen de découvrir cette belle région, dont ses grottes fascinantes, est d’y passer quelques jours, ce qui nécessite donc d’y loger et de trouver un point de chute confortable et bien placé. En la matière, l’hôtel Au Lit des Ours est l’une des meilleures options dans la région. Situé à deux pas des célèbres grottes, cet établissement récemment rénové propose des chambres spacieuses, lumineuses et confortables. Mais ce n’est pas tout ! En effet, l’hôtel héberge également un restaurant, baptisé Arthur, qui propose des plats typiques de la région, le midi comme le soir avec un succulent menu trois services. Au menu, on trouve notamment le steak Arthur, le vol-au-vent maison, un jambonneau et sa sauce moutarde, une truite meunière ou encore un demi-poulet rôti.
au lit des ours
Trois packages pour les aventuriers
Afin de permettre aux visiteurs de passage de découvrir les Grottes-de-Han et leur parc animalier, l’hôtel au Lit des Ours propose trois forfaits qui permettent de combiner une ou plusieurs nuitées, avec le petit-déjeuner et l’entrée au parc. A partir de 93,8€ par personne, le package “Séjour Grottes” vous offre l’accès au site des Grottes-de-Han tandis que le second, baptisé “Séjour Wildlife” à partir de 93,8 € par personne, vous permet d’accéder au parc animalier. Il est bien entendu possible de combiner le deux, grâce au “Séjour Nature” (à partir de 106,3 € par personne) qui comprend alors le Passhan, sésame donnant accès aux trois principales attractions du site (les grottes, le parc animalier et le musée PrehistoHan).
au lit des ours
Pour les fins gourmets, au Lit des Ours vous propose de combiner votre journée d’aventure à… une aventure culinaire grâce au forfait gastronomique qui comprend un repas trois services le premier soir.
Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à prendre contact avec l’équipe de l’hôtel Au Lit des Ours par email à info@aulitdesours.be ou par téléphone au 084 37 72 37.
Quoi qu’il en soit, les chambres sont toutes modernes et confortables. Nous, on s’était décidés pour une vue sur la forteresse. J’ai aimé le papier intissé aux damiers discrets. Et j’ai adoré le jaune moutarde rehaussé par les leds linéaires : l’éclairage est subtil. Agréable aussi de voir la Citadelle par la fenêtre : dire qu’une heure avant on visitait le cœur des remparts. Je vous recommande de partir à l’assaut de cette ancienne caserne militaire, désormais nommée « Centre du Visiteur Terra Nova ». C’est là que se trouve le musée et que démarre la visite impressionnante des souterrains.
Hôtel Mercure Namur
On a déposé nos bagages et on s’est rendus au centre de bien-être de l’hôtel. Mon amoureux avait réservé le Spa privatif : une belle surprise ! 2 heures, juste pour nous, en peignoir tout doux et chaussons. Je fais partie de ces gens qui peuvent rester dans un sauna très très longtemps. Ça m’amuse toujours de voir ma moitié capituler après 5 minutes. Sa boisson détox n’a pas suffi à le réhydrater : on a recommandé autre chose. Après cette petite bulle de douceur à deux, on s’est attablés à la brasserie chic de l’hôtel : « La Carte du Roi » nous attendait. On a opté pour le menu 2 services. Ceviche de daurade aux agrumes et vinaigre Kalamansi. Filet de bar rôti aux poireau et lait de poule. A s’en lécher les doigts.
On voulait souper tôt pour ensuite s’éclipser dans le centre-ville : l’hôtel est seulement à 10 minutes à pied du cœur de la capitale wallonne. Le Mercure Namur est situé en face du port de plaisance et il suffit de suivre les quais pour arriver à destination. Namur est une ville si vivante, même la nuit. On est rentrés un peu tard mais pas trop tard pour boire un verre au bar lounge.
Hôtel Mercure Namur
Le matin, j’étais contente de plonger dans mon café noir. Le petit-déjeuner était parfait : grand choix de produits locaux et belles quantités aussi. Et puis, le personnel était adorable. On est alors partis découvrir la Brasserie de la Houppe, à deux pas de l’hôtel. Ils savent incontestablement transmettre leur amour de la bière et de la ville de Namur. On en a appris plus sur la création de la Houppe et de la Jambes en l’air. On en a d’ailleurs acheté pour la faire goûter à nos amis. On a profité du reste de la journée pour faire une petite croisière sur la Meuse et la Sambre et pour faire un peu de shopping : le piétonnier propose un cadre idéal pour déambuler et découvrir les boutiques.
La 19e édition du “Week-end au bord de l’eau” organisé par Centrissime (la maison du tourisme du Pays du Centre) aura lieu les 6 et 7 juillet prochains. Au programme, une foule d’animations culturelles et musicales qui prennent place sur les berges du canal ainsi qu’au pied de l’ascenseur n° 3. Pour avoir pris part à l’événement l’année dernière, je peux vous assurer que je ne manquerais pour rien au monde cette nouvelle édition !
Mise en jambes
Le mieux est de commencer la journée par une balade à vélo le long de l’eau. Et inutile de débarquer avec vos propres bicyclettes puisqu’il est possible d’en emprunter gratuitement sur place grâce à la Maison du Vélo de La Louvière. Je ne peux que vous recommander de réserver votre monture à l’avance, histoire d’être certain de pouvoir pédaler le Jour J à l’heure voulue. Après une balade de deux petites heures, nous nous sommes rendus à l’ascenseur n° 3 pour nous restaurer.
maison du centre
Un bateau en fête
Nous avions ensuite rendez-vous à 14h30 pour embarquer à bord d’une “Croisière spectaculaire” ! Non seulement nous avons pu vivre en direct le franchissement de l’un des magnifiques ascenseurs à bateau qui jalonnent la portion historique du Canal du Centre mais, en plus, la péniche proposait une série d’animations théâtrales et musicales grâce à des compagnies et groupes locaux. Un voyage sur l’eau qui nous a permis de profiter des jolis paysages qui jalonnent le parcours mais aussi de l’effervescence du programme concocté par l’équipe de ces croisières hors norme ! Une expérience à ne surtout pas manquer car c’est le seul week-end de l’année où l’on peut en profiter ! Et n’oubliez pas de réserver vos places afin d’être certain de pouvoir monter sur la péniche.
Enfin, pour terminer cette journée placée sous le signe de la détente et de l’évasion, les enfants et moi avons pris part au marché artisanal. Une cinquantaine d’artisans, alignés dans des échoppes le long du canal, proposaient une foule de produits du terroir et d’ailleurs, allant de la charcuterie locale à la bière en passant par des douceurs sucrées. De quoi nous permettre de finir cette journée en beauté avant de reprendre la voiture pour rentrer à la maison. Je laisse la conclusion à un de mes fils : “Dis maman, on reviendra l’année prochaine ?”
Notez que ce week-end festif est aussi l’occasion de profiter d’animations musicales, à l’image de celles qui sont organisées à Strépy-Bracquegnies où une scène est installée sur la vieille place du village. Les 6 et 7 juillet, on pourra y écouter une programmation éclectique à même de combler les petits comme les grands, le tout dans une ambiance festive et conviviale !
Le gouvernement portugais a annoncé la sélection de la municipalité d’Alcochete, située sur la rive sud de l’estuaire du Tage, pour la construction du nouvel aéroport de Lisbonne. Baptisé Luis de Camoes en hommage au célèbre poète portugais du XVIe siècle, le nouvel aéroport remplacera complètement l’actuel aéroport Humberto Delgado. Cet investissement colossal, estimé à 8 milliards d’euros par les médias portugais, répond à la saturation chronique de l’aéroport actuel, dont le nombre de passagers a doublé en 10 ans, atteignant 33 millions l’an dernier.
Lisbonne-Madrid en TGV
En parallèle à la construction du nouvel aéroport, le Premier ministre a annoncé un projet ambitieux de développement des infrastructures. La société en charge des infrastructures ferroviaires et routières travaillera sur une troisième traversée de Lisbonne et une liaison ferroviaire à grande vitesse entre Lisbonne et Madrid.
La tendance du « Stopover » n’a rien à voir avec celle, nettement plus discutable, du « skiplagging ». Pour rappel, cette dernière consiste à réserver un vol pour une autre ville que votre destination, mais qui fait escale à cette dernière ! En douce, les adeptes de la méthode sortent donc de l’aéroport une fois arrivés à l’escale qui est donc… leur destination ! Dans certains cas, les prix sont en effet plus avantageux…
Le « stopover » consiste en revanche à profiter au maximum de l’escale imposée. Certaines compagnies proposent en effet, et volontairement, d’allonger la durée de la correspondance pour permettre aux passagers de visiter la ville de leur escale ! Dans le jargon, il est alors question de « STPC », pour « Stopover Paid by Carrier ».
Les avantages ?
Booster le tourisme d’une ville ou d’un pays qui est peut-être un peu plus en peine sur ce point, faire découvrir de nouveaux horizons aux voyageurs et profiter d’un plus grand « tampon » entre deux vols, en cas de retards…
Les inconvénients ?
Tout d’abord, les conséquences environnementales : si la méthode venait à se populariser, le modèle de vols à correspondance pourrait multiplier les vols, ce qui a évidemment un impact sur les émissions de gaz à effet de serre. En outre, les voyageurs désintéressés par cette escale sont retardés et tous devront composer sans leur bagage en soute.
