Le gouvernement a validé le lancement d’un marché public de 8,1 millions d’euros pour restaurer le chœur et les transepts de l’Abbaye d’Aulne. Ce site cistercien situé à Gozée va connaître trois ans de travaux avec des matériaux aussi proches que possible des originaux. Une restauration qui vise chaque pierre à haute valeur historique.
Subventions accordées
Une subvention de 460.000 euros ira aussi à l’église Saint-Nicolas d’Enghien pour restaurer les toitures du bas-côté sud et les gouttières. Quant à la Collégiale Saint-Ursmer de Binche, une majoration de 315.000 euros permettra des travaux complémentaires sur le clocher, un joyau gothique protégé depuis 1936.
Ce jeu-vidéo, édité par un studio ukrainien, se déroule dans un univers post-apocalyptique peuplé de mutants et de monstres humanoïdes autour de la centrale accidentée en 1986. « Il a été constaté qu’un nombre considérable d’aventuriers qui ont tenté de pénétrer illégalement dans la zone interdite à la recherche de sensations fortes étaient des amateurs de jeux vidéo », ont déclaré les gardes-frontières ukrainiens dans un communiqué.
Un périmètre hautement contaminé
Pour rappel, la zone d’exclusion est l’une des plus contaminées par la radioactivité au monde et reste strictement interdite au public. D’après les gardes-frontières, près de 120 personnes ont été interpellées en 2021 pour avoir pénétré illégalement sur ce site. Depuis l’invasion russe en 2022, leur nombre a diminué, mais certains curieux continuent à enfreindre la loi. « Il s’agit principalement d’Ukrainiens qui voulaient visiter la zone de Tchernobyl et marcher dans des endroits où il est interdit de se promener », explique une source proche des gardes-frontières.
C’est par un des ponts qui enjambent le Rhin que Düsseldorf m’est apparue : la Rheinturm au loin, la Rheinuferpromenade, le clocher de la Basilique Sint Lambertus, la Burgplatz avec sa jolie Schlossturm et la Grande Roue de Noël juste à côté. Et là, ancré juste après le pont Oberkasseler, le navire-hôtel VIVA RIVERSIDE dans lequel nous allions passer la nuit.
viva riverside
Celui-ci était fort bien situé : ancré à 300 mètres de l’hôtel de ville, le navire-hôtel est le point de départ idéal pour découvrir Düsseldorf. Un parking (payant) est à moins d’un kilomètre seulement : pratique ! C’était une première pour nous : nous n’avions jamais dormi sur un bateau et cela nous a beaucoup plu. « La Croisière s’amuse », on en avait rêvé !
viva riverside
Il faut dire : VIVA RIVERSIDE met les petits plats dans les grands pour que tout soit parfait. C’est un navire-hôtel luxueux : tout brille, tout est chic, tout est somptueux. Notre cabine était joliment agencée et la literie excellente. Nous avons choisi de souper au restaurant du navire : déguster un bon petit plat, dans un fauteuil en velours, en regardant les péniches portées par le Rhin, c’est original et charmant. Une expérience qui nous a enchantés !
Quant à Düsseldorf, je m’y suis tout de suite sentie bien !
Les incontournables à découvrir sont proches les uns des autres : on a tout fait à pied, au départ de notre navire-hôtel. Pour découvrir la ville, rien de tel que d’emprunter la promenade sur les rives du Rhin : elle longe la Burgplatz de la vieille ville (Altstadt) et vous emmène jusqu’à la Rheinturm. Cette tour de télévision, qui s’élève à 240 mètres de hauteur, restera dans ma mémoire : j’ai adoré son immensité, sa silhouette élancée et les lumières qui l’habillent la nuit.
Florence Brigode
Un peu plus loin, c’est la quartier MedienHafen qui s’offre à vous. Les couleurs de l’automne magnifient cet ancien quartier portuaire, devenu quartier des médias et des télécoms. C’est l’endroit que j’ai préféré : des immeubles futuristes, des gratte-ciels, des arbres aux tons fauves, des bateaux amarrés et le large pont en bois (la Kaistrasse) qui vous fait prendre de la hauteur. Magique !
Florence Brigode
Au départ de la vieille ville, nous sommes remontés vers la Königsallee : cette Avenue du Roi est un lieu incroyable pour les amoureux du shopping de luxe. Les boutiques se succèdent, dans cette allée ombragée traversée par une rivière enjambée de ponts. Et puis, juste à côté, le Hofgarten, que je vous recommande grandement d’emprunter. Il est à lui seule un poème d’automne.
Joie suprême : le marché de Noël est partout à cette période. Il s’étire comme un ruban dans de nombreux quartiers. A nous les échoppes d’artisans et les cabanons gourmands. On n’a pas résisté aux currywurst, ces fameuses saucisses agrémentées de ketchup au curry. Ni au vin chaud d’ailleurs. Le must.
Florence Brigode
Düsseldorf, j’en reviens vraiment ravie : cette ville d’eau m’a séduite. Entre verdure et buildings, entre modernité et tradition, la ville offre bien des possibilités de dépaysement. Mon seul regret : n’avoir pas eu le temps de tout. On reviendra !
Si vous voulez vivre cette expérience folle, rendez-vous ici !
Ce jour-là, deux royaumes longtemps séparés, parfois ennemis, commencèrent une nouvelle ère sous une seule couronne, établissant les bases de ce qui allait devenir le Royaume-Uni. Cette union dynastique allait transformer la géopolitique des îles Britanniques et ouvrir la voie à une nouvelle époque de collaboration, mais aussi de… tensions !
Jacques VI et Ier : Un roi pour deux royaumes
À la mort de la reine Élisabeth Ire d’Angleterre, qui n’avait pas d’héritier direct, c’est Jacques VI d’Écosse, son cousin, qui monta sur le trône d’Angleterre. Cette union personnelle des deux couronnes signifiait qu’un seul monarque gouvernait désormais deux royaumes distincts, chacun conservant ses propres lois, son Parlement, et ses institutions. Le règne de Jacques VI/I marquait une tentative de rapprochement entre les deux nations, même si la pleine unification politique ne fut réalisée que plus tard, avec l’Acte d’Union de 1707.
Bjorn Snelders
Une nouvelle ère de collaboration et de tension
Bien que les couronnes aient été unies, l’union des peuples ne fut pas immédiate. L’idée d’une seule nation unifiée n’était pas partagée par tous, et les résistances, tant en Angleterre qu’en Écosse, étaient nombreuses. Jacques Ier rêvait d’une “Grande-Bretagne” unifiée, mais il se heurta aux réalités des différences culturelles et politiques profondément ancrées. Le roi dut naviguer entre ces deux identités, essayant d’apaiser les tensions tout en posant les bases d’une future unification.
Héritage et impact
L’union des couronnes en 1603 ouvrit la voie à des changements profonds dans la vie politique et sociale des îles Britanniques. Cette période vit l’émergence d’une identité commune, bien que partielle, et l’intensification des échanges entre les deux nations. Les efforts de Jacques Ier pour créer une réelle unité étaient parfois freinés par les rivalités historiques et les conflits religieux, mais son règne permit de jeter les fondations de ce qui deviendra, plus tard, une union politique formelle.
L’hiver au Val d’Arimont est un moment à part. Même si la saison se pare de teintes plus ternes, avec une nature tombée dans un profond sommeil, le domaine, lui, demeure un lieu féérique. Pour rompre avec la morosité ambiante, tout le Val d’Arimont s’illumine dès décembre avec des guirlandes scintillantes, ce qui ajoute une touche magique qui réchauffe instantanément le cœur. Ces décorations lumineuses, en place jusqu’en février, créent en effet une atmosphère propice à la rêverie.
Val d'Arimont
À chaque journée son activité
Les journées d’hiver, qu’elles soient ensoleillées, pluvieuses ou enneigées, réservent chacune leurs moments d’évasion. Par temps sec, une balade revigorante dans les bois alentours est un incontournable. Les sentiers balisés qui traversent le domaine invitent à l’exploration et, une fois la marche terminée, rien de tel qu’un chocolat chaud à la brasserie pour se réchauffer et se détendre. Lorsque la pluie s’invite, pas de panique : le Val d’Arimont offre de nombreuses alternatives pour profiter pleinement de son séjour. Un moment de détente au wellness ou des parties de jeux de société suffisent à faire oublier les averses.
Val d'Arimont
Les jours de grand froid sont pour leur part, synonymes de cocooning. Chaque chalet du domaine est équipé d’un poêle à bois, permettant d’apprécier la chaleur d’un bon feu de cheminée. La réception propose du petit bois et des bûches pour profiter de ce plaisir réconfortant. Et quand la neige fait son apparition, on a droit à un véritable enchantement. Les forêts enneigées qui entourent le domaine transportent les visiteurs dans un décor digne d’un conte de fées. Que ce soit pour une promenade dans cette nature immaculée, la construction de bonhommes de neige ou des batailles de boules de neige dans les espaces extérieurs, les occasions de se divertir ne manquent pas. Le domaine étant situé dans un cul-de-sac, il est aussi un havre de tranquillité qui demeure parfaitement accessible même en cas de neige.
Les fêtes de fin d’année apportent également leur lot d’animations festives à proximité. Malmedy s’illumine avec son marché de Noël, sa patinoire et son village d’hiver. Des balades aux flambeaux et un circuit des crèches dans les villages voisins, ainsi que des contes de Noël au Château de Reinhardstein, complètent le tableau de cette période magique.
Val d'Arimont
Et le reste de l’année ?
Le Val d’Arimont, niché dans un écrin de nature préservée, offre une escapade idéale à tout moment de l’année. Pour les séjours plus courts, les chambres d’hôtel et le loft se louent à la nuitée. Quant aux chalets et villas, ils sont disponibles pour des week-ends, des midweeks ou des semaines complètes. Peu importe la saison, chaque coin de ce domaine familial et convivial permet de se reconnecter à la nature ! L’ambiance qui y règne, à la fois décontractée et ressourçante, contraste agréablement avec les lieux souvent impersonnels des grandes destinations touristiques.
Quelle que soit la saison, le Val d’Arimont, c’est l’assurance d’un séjour plein de charme, où confort et convivialité règnent en maîtres !
Pour réserver votre séjour au Val d’Arimont ou pour vous inspirer, cliquez ici.
La compagnie Ryanair a lancé un avertissement sans détour : si l’augmentation des taxes aériennes est validée dans le budget 2025, elle cessera de desservir jusqu’à 10 aéroports régionaux français à compter du 1er janvier. Jason McGuinness, directeur commercial de la compagnie, n’a pas mâché ses mots : “Ryanair revoit actuellement ses programmes français et s’attend à réduire la capacité […] jusqu’à 50%.” Actuellement, Ryanair dessert 22 aéroports en France, dont Beauvais et Vatry près de Paris. Les aéroports menacés se situeraient parmi les 20 autres, mais aucun nom précis n’a été divulgué.
Un contexte fiscal tendu
La cause ? Le gouvernement français souhaite tripler la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) et augmenter la taxation des passagers de jets privés, dans le cadre du projet de loi de finances 2025. Cette hausse devrait rapporter un milliard d’euros, visant à réduire un déficit budgétaire plus élevé que prévu.
Pour McGuinness, ces mesures sont un “projet à courte vue” qui “rendra de nombreuses routes […] non viables“. Selon lui, les régions françaises seront les principales victimes, dépendant de vols à faible coût pour attirer les touristes et dynamiser leurs économies locales.
Une menace à prendre au sérieux ?
Avec 5,7 millions de passagers prévus en France cette année, soit une hausse de 19% par rapport à 2023, Ryanair joue un rôle important dans le transport aérien français. La question reste de savoir si cette menace entraînera une quelconque révision des taxes ou si Ryanair concrétisera réellement ses menaces.
Nous sommes le 16 décembre 1944. L’aube pointe à peine quand un rugissement déchire le silence des Ardennes. Le sol tremble sous les chenilles des tanks allemands, tandis que dans l’air glacial résonne des explosions. L’opération Wacht am Rhein, dernier coup de poker d’Hitler, débute. Les Alliés, pris par surprise, font face à une offensive massive destinée à briser leurs lignes et reprendre le port d’Anvers. Bastogne devient l’épicentre de combats acharnés. Les parachutistes américains de la 101e Airborne, encerclés, tiennent héroïquement la ville malgré le froid polaire et les bombardements incessants. Après des semaines de batailles, l’avancée allemande est stoppée. Cette victoire alliée scelle l’échec du dernier grand assaut nazi sur le front occidental !
Anne Segers
Un hommage aux héros de 1944
Du 13 au 15 décembre 2024, Bastogne revêtira ses habits de mémoire pour commémorer les 80 ans de la célèbre Bataille des Ardennes, avec des activités et commémorations organisées par la Ville de Bastogne et ses nombreux partenaires pour honorer nos libérateurs. Ce sera le « Nuts Weekend », en clin d’œil à la célèbre réplique du brigadier général McAuliffe face à la demande de reddition allemande. Selon le Bourgmestre Benoît Lutgen, “notre responsabilité est de rappeler que la liberté et la paix ne sont jamais acquises. Elles doivent être constamment défendues.”
Anne Segers
Plongez dans la féerie de Noël
En parallèle, la ville s’illuminera grâce au marché de Noël “Bastogne fête Noël”, à l’entrée gratuite ! Réparti sur trois espaces distincts, ce marché vous propose :
Le Petit Noël, au premier étage du bureau d’accueil du Syndicat d’Initiative sur la Place McAuliffe, où l’artisanat local est à l’honneur avec des créations uniques.
Anne Segers
Le Jardin du Père Noël, Place Charles Govaerts, un espace familial et ludique où les enfants pourront rencontrer le Père Noël, avec en outre quelques animations pour les petits.
Anne Segers
Le Village de Noël, autour de l’église Saint-Pierre, avec ses chalets regorgeant de délices gourmands et d’idées cadeaux.
Anne Segers
Le vendredi 13, le marché de Noël est ouvert en soirée jusque 22 h (1h pour le village de Noël). Le samedi, les espaces sont ouverts dès midi et jusqu’à 22h (1h pour le village de Noël). Enfin, le dimanche, vous êtes les bienvenues entre 12h et 21h !
Commandé par le roi Suryavarman II, le temple fut érigé non seulement comme un lieu de culte dédié au dieu Vishnu, mais également comme une démonstration de la puissance et de la grandeur du royaume. Aujourd’hui, Angkor Wat est l’une des merveilles les plus célèbres au monde, attirant des millions de visiteurs chaque année !
Une vision divine et politique
Le roi Suryavarman II rêvait de construire un temple à la hauteur de ses ambitions, une structure qui refléterait à la fois sa piété et son pouvoir. Angkor Wat était conçu comme un microcosme de l’univers hindou, avec ses cinq tours symbolisant le Mont Meru, la montagne sacrée considérée comme le centre de l’univers dans la mythologie hindoue. Sa construction, qui s’étendit sur plusieurs décennies, mobilisa des milliers d’artisans et de travailleurs, mettant en lumière les techniques de construction avancées et la maîtrise de l’art de la sculpture par les Khmers.
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Un chef-d’œuvre d’ingénierie et d’art
Angkor Wat est bien plus qu’un simple temple; c’est un véritable exploit d’ingénierie. Le site est entouré par un vaste fossé, et ses galeries ornées de bas-reliefs détaillés racontent des scènes épiques tirées des textes sacrés hindous comme le Ramayana et le Mahabharata. La symétrie parfaite et l’alignement astronomique de ses structures démontrent une connaissance approfondie de l’astronomie et une compétence architecturale inégalée à l’époque. Chaque pierre raconte une histoire, illustrant la puissance et l’esthétique raffinée de la civilisation khmère.
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Une transition vers le bouddhisme
Bien que conçu initialement comme un temple hindou, Angkor Wat devint au fil des siècles un important lieu de culte bouddhiste. Cette transition reflète l’évolution religieuse de la région et l’adaptabilité de la culture khmère. L’empire khmer, au fil du temps, adopta progressivement le bouddhisme comme religion dominante, et Angkor Wat devint un lieu de prière et de pèlerinage pour les moines bouddhistes, tout en conservant les symboles hindous qui en font un site unique et sacré.
Un héritage intemporel
Aujourd’hui, Angkor Wat est un symbole de la fierté cambodgienne et figure sur le drapeau national du Cambodge. Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1992, il est devenu un site emblématique représentant non seulement l’histoire ancienne du pays !
Bordé de falaises abruptes de 400 mètres de haut, le Mont Roraima est souvent enveloppé de nuages, créant l’illusion d’un monde flottant dans le ciel. Le Roraima marque la jonction entre le Venezuela, le Brésil et la Guyane et sa silhouette unique fascine les explorateurs depuis des siècles !
Une biodiversité unique
Isolé du reste du monde pendant des millions d’années, le Mont Roraima abrite une faune et une flore uniques, dont certaines espèces ne se trouvent nulle part ailleurs sur Terre. On y trouve des plantes carnivores, des mousses rares et des formations rocheuses érodées qui semblent tout droit sorties d’un décor de science-fiction. Ce plateau est également la source de plusieurs fleuves majeurs, faisant de lui un véritable château d’eau naturel.
Une inspiration pour la fiction
Le Mont Roraima a captivé l’imaginaire collectif. Il aurait inspiré le roman Le Monde Perdu d’Arthur Conan Doyle, où des dinosaures et des créatures préhistoriques peuplaient un plateau isolé. Plus récemment, il a servi de modèle pour les paysages du film Là-Haut de Disney-Pixar, renforçant son image de lieu magique et inexploré.
Une aventure réservée aux audacieux
Atteindre le sommet du Mont Roraima est un défi réservé aux aventuriers chevronnés. Une randonnée jusqu’au plateau peut durer plusieurs jours et nécessite de traverser la jungle, des rivières et des pentes raides. Mais une fois au sommet, la vue panoramique, les paysages surréalistes et le silence mystique valent tous les efforts.
🖼️ De rares fresques datant du XVIIe siècle ont été découvertes à la Villa Farnesina, lors de travaux de manutention électrique. Elles étaient cachées au-dessus des voûtes du palais, célèbre pour ses fresques de Raphaël #AFPvertical ⤵️ pic.twitter.com/C56bZXU6qi
Lors d’une simple inspection électrique à la Villa Farnesina, Davide Renzoni, électricien de son état, a fait une découverte incroyable : des fresques anciennes cachées derrière un faux plafond. “Je suis allé chercher une lampe-torche et lorsque je l’ai allumée, tout est apparu: c’était une merveille“, confie-t-il à l’AFP. Ces peintures, d’une beauté saisissante, représentent des angelots et des décors champêtres.
Un saut dans le passé
La Villa Farnesina, située au bord du Tibre, est bien connue pour ses peintures murales signées par Raphaël. Ces fresques, récemment découvertes, appartenaient au riche mécène Agostino Chigi, fondateur de la villa. Une exposition est organisée jusqu’au 12 janvier 2025, permettant aux visiteurs d’observer ces fresques par le biais de photos et de caméras, étant donné les contraintes d’accès.