Grâce à votre téléchargement de ce guide de voyage, un arbre sera planté à Cunewalde, en Saxe. Cela se fait en collaboration avec Go Forest, une organisation belge qui se consacre à la reforestation de notre planète. Avec votre aide, nous veillerons à ce que la nature allemande soit préservée et protégée.
Les pays qui imposent la vignette autoroutière sont en progression constante. Et s’il n’y a pas de vignette à apposer sur le pare-brise, l’automobiliste est bien souvent confronté au péage autoroutier.
7. La République tchèque et la Slovaquie
S’il y a bien un pays où l’automobile est reine, c’est bel et bien l’Allemagne. C’est aussi là que l’on compte le réseau autoroutier le plus dense. Actuellement, les autoroutes allemandes ne sont pas payantes. Par contre, certains centres-villes imposent la vignette environnementale. Sa couleur déterminant où l’on peut se rendre. En outre, les principales métropoles ont définitivement banni les véhicules les plus anciens fonctionnant au diesel.
Ce site reprend les villes qui exigent ladite vignette environnementale. Cette dernière peut généralement être achetée auprès des stations-service locales.
Le réseau autoroutier français est en grande majorité payant. Paiement qui s’effectue par l’intermédiaire des célèbres péages où l’on peut régler son dû en espèces, par carte bancaire ou encore à l’aide d’un boîtier de télépéage. Ce dernier permet d’éviter les files en passant par une voie spécifique, les frais de péage étant prélevés automatiquement.
Outre les autoroutes, il faut également payer pour traverser certains tunnels et ponts. C’est notamment le cas des tunnels du Mont-Blanc et du Fréjus.
Ce site vous permet de calculer le coût de votre trajet en France.
Avec des tarifs en constante évolution, il être souvent plus intéressant de passer par l’Allemagne pour rallier la Suisse et l’Italie. C’est aussi un bon moyen d’éviter les gilets jaunes…
Peu le savent mais c’est en Italie qu’on a inventé l’autoroute ! Si dès 1913 les Allemands entament les travaux d’un tronçon expérimental à l’ouest de Berlin (baptisé AVUS), ce sont les Italiens qui ont inauguré la première autoroute civile le 21 septembre 1924 entre Milan et Varèse avec l’Autostrada dei Laghi.
Comme en France, l’Italie applique un système de péage où l’on paye par kilomètre parcouru. Il est possible de payer en espèces, par carte ou encore par Telepass (système similaire au télépéage français). Certains tunnels autoroutiers sont également payants, à l’image du tunnel du Grand Saint-Bernard qui relie la Suisse à l’Italie et qui permet d’éviter le très encombré tunnel du Mont-Blanc.
Le site officiel du réseau autoroutier italien permet de calculer le coût d’un déplacement en terre transalpine.
En Autriche comme en Suisse, on paye l’usage des autoroutes à l’aide d’une vignette que l’on achète et que l’on colle derrière son pare-brise. Si l’Autriche vous permet d’opter pour une durée de dix jours, deux mois ou un an, la Suisse ne vous offre pas ce choix puisque seule une vignette d’une année civile est disponible. La vignette suisse peut être achetée en Belgique (notamment auprès de Touring) ainsi qu’en ligne. L’acheter à l’avance vous permettra de gagner pas mal de temps, les files aux frontières étant monnaie courante.
À noter que depuis peu, l’Autriche propose pour sa part une vignette digitale que l’on télécharge sur son smartphone. Ici aussi cela permet de gagner pas mal de temps !
Dans la péninsule ibérique, la plupart des autoroutes sont payantes. Celles-ci sont signalées par les lettres AP. Il est possible de régler son dû par carte bancaire ou en cash. Alternatives aux principales autoroutes : les routes A, gratuites, mais souvent plus encombrées et sinueuses.
Le site des autoroutes espagnoles, particulièrement bien fait, permet de calculer les frais relatifs à un déplacement en Espagne mais également en dehors des frontières. Pratique lorsque vous souhaitez par exemple vous rendre au Portugal ou au Maroc en voiture.
Au Portugal, une grande partie du réseau autoroutier est soumise à des péages. Vous pouvez régler les péages par carte bancaire ou en espèces. Les routes nationales sont une alternative gratuite au autoroutes, mais ces routes peuvent être plus encombrées et sinueuses, ce qui risque de rallonger le temps de trajet. Les autoroutes sont signalées par les lettres AP, tandis que les routes nationales sont signalées par la lettre A, ce qui permet de faire la distinction.
Pour calculer les frais relatifs à un déplacement au Portugal, vous pouvez consulter le site web officiel des autoroutes portugaises. Ce site est particulièrement bien fait et vous permet de planifier votre itinéraire en tenant compte des péages.
En République tchèque tout comme en Slovaquie, on paye l’usage des autoroutes en utilisant une vignette autoroutière. Celles-ci sont disponibles pour différentes durées, allant de 10 jours à un an et doivent être collée sur le pare-brise du véhicule. La vignette autoroutière peut être achetée dans les stations-service, les points de vente autoroutiers ou en ligne pour les deux pays.
Le site web officiel du réseau autoroutier slovaque vous permet de trouver diverses informations sur les vignettes, les tarifs et les conditions d’utilisations de celles-ci. Le site web des autoroutes en République tchèque vous permet non seulement de retrouver toutes ces informations, mais aussi de calculer le coût de vos déplacements.
La Hongrie met en place un système combinant vignettes autoroutières et paiement supplémentaires sur certaines sections spécifiques. La vignette autoroutière, également appelée e-vignette, est obligatoire et peut être achetée aux stations-service, en ligne ou dans certains bureaux de postes désignés. Elle est disponible pour des durées variées, allant de 10 jours à 1 an, et doit être achetée avant d’entrer sur l’autoroute. En plus de la vignette autoroutière, des péages supplémentaires sont imposés sur des tronçons spécifiques d’autoroutes et de routes rapides en Hongrie. Ces péages doivent être réglés aux postes de péage désignés ou via des systèmes électroniques de paiement du péage.
Avant de prendre la route en Hongrie, n’hésitez pas à consulter le site web de l’autorité nationale de péage hongroise afin d’obtenir les informations les plus à jour sur les exigences du pays. Cela facilitera votre voyage !
Pour voyager au Danemark et en Suède, vous n’avez pas besoin d’une vignette autoroutière spécifique. Au Danemark, vous rencontrerez principalement des péages pour l’utilisation de ponts, tunnels, et routes spécifiques. Les péages sont généralement basés sur le principe du paiement à l’utilisation, où vous payez en fonction de la distance parcourue ou du passage à travers une infrastructure spécifique.
Par contre, le système de péage en Suède est basé sur une combinaison de péages urbains et de péages sur les autoroutes. Les péages urbains sont en place dans certaines villes, où vous devez payer pour entrer ou circuler dans certaines zones centrales pendant certaines heures de la journée. Concernant les péages autoroutiers en Suède, la plupart des autoroutes sont gratuites à l’exception de quelques tronçons où des péages sont prélevés.
Il est recommandé de consulter les sites web officiels des autorités routières du Danemark et de la Suède pour obtenir des informations actualisées sur les péages, les méthodes de paiement et les règles spécifiques pour chaque pays.
Les préoccupations liées à l’inflation et au changement climatique dépassent désormais celles du Covid-19 ou de la guerre en Ukraine. Le budget reste le principal critère de choix de destination, suivi du climat et de la qualité des infrastructures touristiques. Des différences notables existent entre francophones (plus inquiets pour leur budget) et néerlandophones (inquiets quant au risque terroriste) dans ces préoccupations.
Le budget moyen alloué aux vacances par les ménages belges est de 2.182 euros, une baisse par rapport à l’été précédent. Cependant, ce déclin est plus prononcé chez les francophones que chez les néerlandophones.
Moins d’un Belge sur quatre envisage des vacances de trois semaines ou plus, une baisse par rapport à 2022. De plus, plus d’un quart des Belges choisissent de rester en Belgique pour leurs vacances d’été. La France reste la destination étrangère la plus prisée, en particulier par les francophones.
La voiture reste le moyen de transport privilégié des familles belges, suivie de l’avion et du train qui gagne légèrement en popularité. Notamment, plus de 60% des Belges affirment que l’empreinte écologique joue un rôle significatif dans le choix de leur destination, surtout chez les moins de 35 ans.
Le restaurant bistronomique de l’hôtel, avec sa terrasse offrant une vue imprenable sur la Meuse, est un véritable joyau. Les clients peuvent profiter d’une cuisine bistronomique moderne et inventive, préparée avec des ingrédients locaux de première qualité. Le sommelier de l’établissement est également disponible pour conseiller les convives sur la carte des vins, afin de leur permettre de savourer chaque plat dans les meilleures conditions.
Pour les clients en quête de relaxation, l’hôtel met à disposition un espace wellness équipé d’un sauna, d’un hammam et d’un jacuzzi, offrant ainsi la possibilité de se détendre en toute quiétude. De plus, une salle de fitness dotée des derniers équipements de remise en forme est à la disposition des clients souhaitant maintenir leur routine d’exercice pendant leur séjour.
L’équipe de réception de l’hôtel est disponible 24h/24 pour répondre à toutes les demandes des clients et les guider dans le choix des attractions et des activités à faire dans la région.
Le pack est proposé à 160 euros pour 2 personnes au lieu de 239 euros, soit un avantage net de 79 euros.
Offre valable jusqu’au 31/12/23 suivant les disponibilités de l’hôtel.
Taxe de séjour à régler à l’hôtel : 1.25 € par personne/nuit
La pandémie de Covid-19 a poussé bon nombre de secteurs à revoir leur mode de fonctionnement, en ce compris celui du tourisme. C’est qu’on ne compte plus les sites exceptionnels, situés tout autour du globe, qui ont dû faire face, avant la crise sanitaire, à une invasion de touristes. De quoi frôler la saturation avec toutes les conséquences environnementales et logistiques que cela engendre. Le “monde d’après” est donc l’occasion pour les professionnels du tourisme d’imaginer une nouvelle vision. Parmi les leviers à leur disposition, on trouve une nouvelle manière de voyager, plus verte, qui gagne en popularité : le “tourisme régénératif”.
Du parc national d’Ao Phang Nga en Thaïlande aux sommets du Népal en passant par les Gorges du Verdon en France, Venise, Barcelone ou encore le site de Stonehenge au Royaume-Uni, on ne compte plus les destinations qui font l’objet d’invasions de touristes tout au long de l’année. Un “sur-tourisme” qui a tendance à accélérer la détérioration de ces sites remarquables à tel point que ceux-ci pourraient disparaître ou, à tout le moins, être irrémédiablement anéantis dans les prochaines années. Il faut dire que le secteur du tourisme a connu une croissance plus rapide que le PIB mondial au cours des neuf dernières années !
La crise sanitaire qui a sévi ces deux dernières années a été l’occasion pour de nombreux professionnels du tourisme, mais aussi pour le voyageur lambda, de réfléchir au modèle actuel. C’est dans ce contexte d’introspection et de réflexion que des initiatives visant à promouvoir un tourisme plus local et moins polluant ont vu le jour. Mais jusqu’à présent, ces démarches balbutiantes avaient fort à faire face à un tourisme de masse, globalisé et bien rodé, dont l’appétit semblait ne connaître aucune limite.
Chaque crise donne l’occasion de se réinventer et de reconsidérer les pratiques du passé pour mieux anticiper l’avenir. On vient de le voir, le tourisme vert se développe déjà depuis plusieurs années mais certains professionnels veulent aller encore plus loin afin de promouvoir ce qu’on appelle le “tourisme régénératif”.
L’idée est de laisser un lieu dans un meilleur état que celui dans lequel on l’a trouvé en y arrivant. Avec ce concept, on vise à créer un tourisme durable qui limite non seulement les impacts environnementaux mais qui ralentit aussi la dégradation des écosystèmes. Le tout a été “gravé dans le marbre” par l’intermédiaire de la coalition Future of Tourism qui énonce les grands principes de ce tourisme régénératif.
Tout cela ne pourra se faire qu’avec le concours des autorités locales mais aussi internationales. Il faudra en effet que des lois et des régulations plus strictes soient édictées, tout en accompagnant les acteurs du secteur touristique afin qu’ils puissent se réinventer. Depuis la moitié du siècle dernier, le succès du tourisme a été défini par la seule augmentation du nombre de visiteurs. Or, cette course effrénée a des conséquences désastreuses sur l’environnement, mais également sur l’expérience des touristes eux-mêmes.
Avec le retour des températures douces et des journées plus longues, le printemps est la saison idéale pour les aventures en plein air ! Que vous cherchiez une activité à faire en famille ou entre amis, la Belgique regorge de choix pour les amateurs d’aventures et de découvertes.
Nous réalisons ici un petit tour d’horizon de l’offre de divertissements proposée en Belgique et en France. Suivez le guide!
Le parc d’attraction Walibi est un incontournable pour les enfants, familles et amateurs de sensations fortes. Pour l’anecdote, le nom «Walibi» vient des deux premières lettres des localités proches du parc, à savoir Wavre, Limal et Bierges. C’est le parc d’attractions par excellence avec son mélange de manèges dédiés aux chérubins et d’attractions à sensations fortes destinées aux adolescents. Que l’on ait une âme d’enfant ou d’adolescent, l’adulte en question y trouvera son compte.
Dans la même veine que Walibi, Bobbejaanland, situé à Lichtaart en province d’Anvers, offre un mix d’adrénaline et de plaisirs enfantins. Entre les montagnes russes, les attractions aquatiques et les grottes à explorer, ce parc fait le bonheur des familles par temps sec. Le parc mise aussi sur quelques spectacles pour émerveiller les jeunes pupilles.
Bellewaerde, sis à Ypres en Flandre-Occidentale, joue sur deux tableaux. C’est à la fois un parc d’attractions avec des manèges davantage destinés aux petits lardons qu’aux adolescents et un parc animalier avec plus de 300 espèces exotiques. Plus besoin de choisir, on peut admirer des léopards, zèbres, éléphants et nombreux autres animaux, avant de faire le pleins de frissons dans des montagnes russes, le tout au même endroit.
Sis sur l’ancien site du Meli Park qui prenait pour thème le monde des abeilles, Plopsaland pour sa part tourne autour du lutin Plop, une série pour enfants. Plutôt méconnue dans la partie francophone du pays, cette mascotte est une véritable star en Flandre. Cela dit, de nombreuses familles venues de Bruxelles et de Wallonie font le déplacement jusqu’à La Panne pour découvrir les nombreux manèges à destination des kids. Quelques montagnes russes parsèment ce parc à thèmes davantage destiné aux jeunes pousses et ados jusqu’à 15 ans.
Anciennement TéléCoo, du nom de la célèbre cascade de Coo dans la région de Stavelot, en province de Liège, les lutins de Plop ont racheté le parc en 2005 et en ont fait une deuxième demeure de villégiature après celle sise à La Panne. Ce parc est un mélange de nature, d’aventure et surtout de plaisir, le tout au cœur des Ardennes belges. Les curieux qui s’y rendent ne manquent jamais l’occasion de s’amuser avec la luge d’été et de prendre le télésiège pour admirer le panorama sur la vallée de l’Amblève.
Depuis 2014, Pairi Daiza rime surtout avec pandas. Si vous n’avez pas encore vu Hao Hao, Xinghui et Tian Bao, soit les trois ursidés, il n’est jamais trop tard! En plus des pandas, le parc animalier le plus populaire de Belgique, accueille 700 espèces d’animaux. Avec ses différents mondes dédiés à la nature et à l’exotisme, ce parc animalier, sis à Brugelette, près d’Ath, est un véritable havre de paix.
Au menu de ce parc safari et récréatif de 86 hectares, situé dans la province de Liège: une tonne de spectacles avec comme comédiens: des otaries, perroquets, rapaces… Parmi les autres locataires à découvrir: rhinocéros, girafes, éléphants, hippopotames, lions, tigres, jaguars, chimpanzés, kangourous, ours polaires, singes, loups blancs etc. Cette diversité d’espèces vous permet de voyager aux quatre coins du monde tout en restant en Belgique !
Les Zoos d’Anvers et de Planckendael à Malines, accueillent chaque année 1,6 million de visiteurs. Le premier, véritable institution belge, existe depuis 1843. Le deuxième, quant à lui, a ouvert ses portes au public en 1960. Ces deux jardins zoologiques se complètent bien : l’un est davantage un zoo urbain tandis que l’autre s’offre aux visiteurs comme une belle zone de promenade en pleine nature. Le zoo de Planckendael était au départ une extension du zoo d’Anvers et accueillait les animaux en revalidation. Le parc a depuis lors pris son indépendance et se démarque de son prédécesseur, c’est d’ailleurs le seul parc animalier belge détenant des bonobos, une espèce en voie de disparition.
Le Boudewijn Seapark qui doit son nom à l’hommage rendu jadis à feu le roi Baudouin est connu pour son delphinarium. En sus des dauphins, ce parc animalier situé aux alentours de Bruges invite les visiteurs à découvrir des otaries et des phoques. Ainsi, les plus petits ne les confondront plus. Après la mer, les airs avec le spectacle des rapaces. Vautours, aigles et faucons s’illustrent dans des pirouettes spectaculaires.
Dans un tout autre genre, on vous invite à faire un tour vers les contrées montoises et plus particulièrement à Frameries pour découvrir Le Pass. Ce parc d’aventures scientifiques est un lieu original qui invite à comprendre les sciences et les technologies en s’amusant. Au menu : des expositions interactives sur différentes thématiques (chimie, numérique, énergie, corps humain, sport, nature…), une plaine de jeux, des animations ainsi que le fameux Palais des images. Bref, une kyrielle d’activités originales et ludiques pour comprendre la place des sciences dans notre quotidien.
Enfin, terminons par un zoom sur quelques parcs de loisirs dans l’Hexagone. Premier de notre tour d’horizon, Nausicaá, le centre national de la mer à Boulogne (Pas-de-Calais). Depuis l’année dernière, l’aquarium possède le plus grand bassin de poissons d’Europe et le quatrième du monde. Un événement qui vaut le déplacement ! Autre incontournable des excursions en France, le Futuroscope. Ce parc de loisirs sur les thèmes de la technologie et de la science possède plusieurs attractions qui en mettent plein les mirettes en mélangeant les approches sensorielles et projections d’images. Enfin, pour ceux qui projettent de passer par l’Auvergne, on ne saurait que trop vous conseiller de vous arrêter à Vulcania. Lieu de loisirs autant que d’apprentissage, Vulcania est un parc ludique qui permet à chacun de mieux comprendre le fonctionnement des volcans et de notre planète.
Comme elle l’avait annoncé il y a quelques mois, Air Belgium a toutefois en effet dû récemment suspendre les lignes régulières vers la Martinique et la Guadeloupe pour la saison d’été en raison des réalités du marché pour cette période. La période entre fin mars et fin octobre est une saison faible pour ces destinations, justifie-t-elle. “Le contexte économique actuel reste délicat pour les compagnies aériennes (la crise énergétique n’est malheureusement pas derrière nous) et un dumping des tarifs important au départ de la France impacte défavorablement ces destinations au départ de la Belgique, durant la basse saison“, argumente Air Belgium.
Selon le transporteur, de nombreuses compagnies aériennes sont d’ailleurs actuellement contraintes de revoir leurs programmes de vols et même de suspendre complètement certaines routes. “Les vols depuis Charleroi ne disparaissent pas du planning des opérations futures“, assure-t-il. La suspension temporaire des liaisons entre Brussels South Charleroi Airport (BSCA) et les Antilles françaises pour la saison d’été n’a en outre aucun impact sur le personnel, affirme encore Air Belgium, qui “continue de recruter pour le développement de ses activités et travaille à maintenir des opérations rentables“. Les liaisons entre Zaventem et l’Afrique du Sud sont, à ce titre, un véritable succès depuis leur lancement en septembre dernier.
Les festivités du carnaval de La Louvière ont commencé dès le mois de janvier avec les soumonces et les répétitions. Le 11 mars, une sortie à la viole est organisée pour faire monter l’ambiance avant le carnaval des enfants qui aura lieu le 17 mars.
Les festivités du carnaval commenceront le 19 mars avec le traditionnel ramassage des Gilles et la formation des sociétés carnavalesques. Les Géants réalisés dans le cadre du dernier opéra urbain “Décrocher la Lune” seront également de sortie dans les cortèges.
Les organisateurs ont mis en place une exposition pour faire revivre l’épopée du Laetare louviérois à l’Office du tourisme Centrissime. La Ville de La Louvière, la Maison du tourisme et l’Amicale des sociétés du Carnaval louviérois se sont associées pour proposer cette exposition.
La police locale de La Louvière sera renforcée par les effectifs de la police fédérale et des zones voisines pour assurer la sécurité de l’événement. Des périmètres d’interdiction de circuler et de stationner dans le centre-ville seront mis en place. Un poste médical de la Croix-Rouge sera installé à l’école communale.
En 2022, le Rally 4 Porsche a surpris la sphère automobile avec un évènement au format inédit en Belgique, qui se répétera au printemps prochain. Un weekend automobile qui, comme son nom l’indique, joue la carte monomarque sans être sectaire, que du contraire. D’une part, le week-end s’articule autour de quatre évènements : un rallye de vitesse, un rallye de régularité sportive, une balade touristique et un codrive caritatif. D’autre part, si l’année 2023 fête les 60 ans de la 911 et les 75 ans de la firme allemande, le Rally 4 Porsche s’adresse à tout qui partage cette passion pour la marque et est, par conséquent, ouvert à tous les véhicules badgés Porsche, qu’ils comptent 4, 6, 8 ou 10 cylindres, qu’ils soient à moteur avant, central ou arrière, qu’il s’agisse d’un coupé, d’un cabrio, d’une berline ou d’un SUV, des origines à nos jours.
Figure de proue de l’épreuve et initiateur du projet, assisté de son comparse Jean-Marc Fortin, Yves Matton, lui-même fervent Porschiste, motive la gestation de cette seconde édition : « La première édition a été exceptionnelle à plus d’un titre. Nous avons réussi à rassembler 170 Porsche et au moins le double de Porschistes, leur entourage, les fans de la marque et l’un de ses plus grands ambassadeurs à l’échelle mondiale, Jacky Ickx. Or la période ne s’avérait pas vraiment favorable, au début de l’automne, au cœur d’un calendrier surchargé d’après-covid, quelques semaines seulement avant un autre évènement automobile dans la région. Pourtant, le succès était au rendez-vous. Une nouvelle démonstration que la Belgique est un pays d’automobilistes et que Porsche est chère à leur cœur. »
Comme l’an dernier, le centre névralgique du Rally 4 Porsche sera érigé au cœur de la ville de Huy, les alentours de la cité mosane faisant office de décor aux divers volets de l’évènement tout au long du weekend. « Nous avons, à nouveau, la chance de bénéficier du soutien de la ville de Huy et des autorités des arrondissements alentour. Non seulement, ils nous ouvrent les portes d’un cadre somptueux, chargé d’histoires automobiles, mais ils nous permettent également d’apporter de la personnalité et du caractère à chacun des 4 évènements que compte ce Rally 4 Porsche, en nous offrant de composer des tracés enthousiasmants, sélectifs et sûrs pour les participants comme pour les spectateurs. »
Le format du weekend, se différenciant des activités traditionnellement proposées aux Porschistes, permet également une communion entre les centres d’intérêts de chacun et de jeter des ponts entre les passions, détaille Yves Matton, ex-directeur des rallyes à la FIA : « Nous construisons notre évènement pour que chacun puisse y trouver son compte et participer et/ou assister aux autres volets du weekend. Nous évitons au maximum le chevauchement des diverses activités. À l’heure actuelle, certains détails du programme ne sont pas encore fixés, mais nous pouvons déjà confirmer que la balade touristique, conviviale et détendue aura lieu le samedi, sous une nouvelle formule ‘all in’. Le dimanche se dérouleront les évènements purement sportifs, à savoir les rallyes de vitesse et de régularité sportive, deux disciplines dans lesquelles les différents modèles Porsche excellent plus que régulièrement, en Belgique comme à l’étranger. Nous y maintenons une catégorie ‘Démo’ pour ceux qui veulent se faire plaisir sur route sécurisée et fermée et ce, même avec un véhicule d’origine pour autant qu’il soit antérieur à 1996. Tout cela sans oublier le codriving caritatif, impliquant le grand public, en lui offrant la possibilité de s’installer en passager dans une Porsche. »
Le moment de détailler le contenu de chacun des volets de ce weekend Porsche hutois n’est pas encore arrivé mais l’ouverture des engagements se fera à partir de ce 22 février. Néanmoins, sachez que le rallye de vitesse, qui permettra de revoir l’un des trois Mousquetaires, Robert Droogmans, en compétition au volant d’une 911, devrait proposer entre 110 et 120 km de spéciales tracées sur les contreforts de Huy. L’épreuve de vitesse accueille les équipages étrangers, les ancêtres, les protos modifiés et les modernes GT3 et en catégorie « Démo » à toute Porsche d’avant 1996. L’épreuve de régularité, au label VHRS (véhicules historiques de régularité sportive), empruntera le même parcours mais avec des moyennes de 50 ou 65 km/h et sera concoctée par une pointure de la discipline, Yves Noelanders. Quant à la balade, sur routes ouvertes et dans le strict respect du code de la route, elle emmènera les Porschistes dans les plus spectaculaires recoins de Wallonie, en empruntant un parcours spécifique, ponctué par une savoureuse halte à la mi-journée. Le codriving caritatif se concentrera, lui, sur la région hutoise. Dernière précision, les rallyes de vitesse et de régularité seront clôturés par la remise d’un prix qualitatif, intimement lié avec la thématique de la catégorie.
Durant la première semaine d’avril, la restriction de 5% sera en vigueur toute la journée pour les voyageurs au départ. Ensuite, jusqu’à la mi-mai, la mesure ne s’appliquera que pour les heures de pointe du matin. Cette mesure vise à réduire le risque de “retards inacceptables pour les voyageurs” à l’enregistrement et aux contrôles de sécurité et d’identité, a indiqué le gestionnaire de l’aéroport.
Selon l’aéroport, cela signifie que le nombre de sièges qui pourront être réservés sera réduit de 5%. Les compagnies aériennes peuvent choisir soit de moins remplir leurs avions soit d’annuler des vols.
Si l’aéroport néerlandais affiche une capacité supérieure à celle de l’année dernière, lorsqu’il faisait face à une pénurie de personnel, actuellement, le problème de manque de bras se situe plutôt au sein des bagagistes.