Dans le Bois de Hal, situé en Brabant flamand, les préparatifs sont en cours pour un événement naturel exceptionnel qui, chaque année, attire des milliers de visiteurs : la floraison des jacinthes mauves. Cet événement, se déroulant lors de la seconde moitié d’avril, transforme le paysage en un véritable tableau vivant !
Priorité à l’accessibilité et à la mobilité
Conscients de l’afflux massif de visiteurs, les organisateurs encouragent les modes de transport doux. Des navettes gratuites opéreront les weekends du 13 avril au 1er mai, facilitant l’accès au site depuis la gare. Une initiative louable cette année est l’introduction d’une navette séparée pour les personnes à mobilité réduite. En complément, des vélos seront mis à disposition gratuitement, encourageant une expérience immersive dans la nature. Les visiteurs envisageant de venir en voiture sont invités à repenser leurs plans en raison des limitations de parking, exacerbées par les travaux sur le ring de Bruxelles.
La Mosquée Sainte-Sophie, autrefois basilique chrétienne, puis mosquée, symbolise parfaitement le mélange unique d’influences chrétiennes et islamiques qui caractérise Istanbul. Son dôme majestueux et ses mosaïques byzantines offrent un aperçu fascinant de l’histoire religieuse et artistique de la ville.
2. Le Bosphore : un pont entre deux mondes
Ash Coronado
Le détroit du Bosphore sépare l’Europe de l’Asie, faisant d’Istanbul la seule ville au monde située sur deux continents. Une croisière sur le Bosphore offre des vues magnifiques sur les palais ottomans, les forteresses médiévales, et les somptueuses résidences qui bordent ses rives, révélant la splendeur architecturale de la ville.
3. Le Grand Bazar : un labyrinthe de couleurs et de saveurs
Mahmut Yildiz
Avec plus de 4.000 boutiques réparties dans des dizaines de ruelles, le Grand Bazar est l’un des plus anciens et des plus grands marchés couverts au monde. C’est un lieu vibrant où les visiteurs peuvent trouver de tout, des épices exotiques aux bijoux faits main, plongeant au cœur de l’effervescence commerciale d’Istanbul.
4. Les quartiers historiques de Galata et Beyoğlu
Ibrahim Uzun
Les quartiers de Galata et Beyoğlu sont célèbres pour leur riche histoire, leurs boutiques branchées, et leur vie nocturne animée. La Tour de Galata offre une vue panoramique sur la ville, tandis que l’Istiklal Caddesi, la rue principale de Beyoğlu, est un lieu de promenade populaire, bordé de cafés, de galeries d’art et de théâtres.
5. La mosquée bleue
Istanbul
La Mosquée Bleue, ou Sultanahmet Camii, est remarquable par ses six minarets et son intérieur orné de plus de 20 000 carreaux de céramique bleue d’Iznik. C’est un chef-d’œuvre de l’architecture ottomane et un lieu de culte actif, reflétant la spiritualité et l’art islamiques.
La Grande Muraille Verte, étendue sur 8 000 km à travers l’Afrique, du Sénégal à Djibouti, est plus qu’une barrière contre l’avancée du désert. Ce projet soutient les communautés locales dans la gestion durable des zones désertiques, dans la lutte contre le changement climatique et la désertification
Une mosaïque de paysages verts
Loin d’être simplement un “mur d’arbres”, la Grande Muraille Verte se présente comme une mosaïque de paysages verts et productifs, transformant la vie de millions d’individus en Afrique du Nord, au Sahel, et dans la Corne de l’Afrique. Ce programme phare, adopté par l’Union africaine en 2007, rassemble plus de 20 pays africains dans un effort pour combattre les changements climatiques, la désertification, l’insécurité alimentaire, et la pauvreté.
Des bénéfices écologiques et sociaux tangibles
La Grande Muraille Verte apporte protection contre le vent et l’érosion, enrichit les sols presque morts, augmente l’humidité et la pluviométrie locales, et fournit un fourrage de qualité pour le bétail. Ces interventions devraient en outre contribuer à l’amélioration des revenus des populations locales.
Quels défis ?
Née d’une idée en 2002, et officiellement lancée en 2007, l’initiative de la Grande Muraille Verte a évolué d’un simple projet de plantation d’arbres à un outil de développement durable multifacette. Malgré les défis, notamment l’inconstance des financements et les conflits régionaux, le projet a fait quelques progrès significatifs, avec le Sénégal et l’Éthiopie menant le peloton en termes d’implantation.
Ceci est particulièrement vrai pour le monde germano-balte. Bien ancré depuis plus de 700 ans au Nord de l’Europe, ayant passé sans trop de mal tous les changements politiques, passant d’un souverain à un autre en renforçant même ses pouvoirs et fondements sociétaux, il finira par disparaitre en 1920.
Tous ces grands faits de l’histoire sont très bien relatés, voir même illustrés, modifiés, réécrits, corrigés, adaptés, affirmés et j’en passe des vertes et des pas mûres … par de nombreux auteurs, historiens, professeurs, politiciens et parfois même par quelques douteux blogueurs à la recherche d’un scoop dans leurs heures creuses.
Parfait ! Mais qu’en est-il des simples gens dans tout cela ? Avons-nous ressenti, au cours de notre existence, la sensation d’avoir participé à un moment historique qui a changé à tout jamais le monde connu ? Cela doit être plutôt rare.
En me promenant dans les cimetières et sites de commémorations, je regarde souvent avec une attention particulière les dates et le nom des personnes. Je pense à ces moments-là, qu’une pierre devrait pouvoir parler. Les histoires qui ont façonnés ces gens semblent perdues à tout jamais. Ceci dit, pas toujours !
Tout commence lors de l’une de mes visites au Mémorial de l’Ordre de Lāčplēsis à Valka. Une inscription sur une stèle attire mon attention : « Herberts Saulītis, né en 1900 et décédé en 2000 ». Cet homme aux dates angulaires marquantes a reçu la plus haute distinction lettonne attribuée en temps de guerre. Au vu de sa date de naissance, il a participé, à l’âge de 19 ans, à la guerre de libération qui a finalement abouti à l’indépendance de la Lettonie. Un homme issu du peuple, letton, courageux, disposé à se battre pour la liberté de sa patrie, dont le nom de famille Saulītis traduit en Français donne : « le petit soleil ». Presqu’un programme …
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Grâce aux recherches menées en collaboration avec Reinis Kulbergs, Directeur au Musée d’Histoire locale à Valka, voici son histoire :
Herberts Saulītis est né à Zvartava, de nos jours le Comté de Rujiena, en Lettonie, le 25 août 1900. Il visite l’école normale (à l’époque à consonnance germano-balte, « die Realschule ») à Riga.
A l’âge de 19 ans, il s’engage volontairement dans l’armée Lettonne récemment créée pour combattre les occupants russes et allemands. Il s’enrôle dans la 8e division d’Infanterie de Daugavpils et participe à tous les combats de cette unité. Dans les champs de Spilve, près de Riga, il attaque sous un feu très nourri du camp adverse, avec le soutien de trois autres camarades, un poste de mitrailleuses. Suite à une fusillade, suivi d’un combat à la baïonnette et malgré ses blessures, il s’empare d’une mitrailleuse et dirige le feu contre l’ennemi. Les troupes Lettonnes gagnent finalement ce combat. Pour ce fait d’armes, hors du commun, il est décoré de la médaille de l’Ordre des Trois Etoiles pour son courage exceptionnel et plus tard, en 1926, de la médaille de l’Ordre de Lāčplēsis (Le personnage « Lāčplēsis », décrit par le poète letton, Janis Rainis, est la figure du libérateur en mythologie lettonne), la plus haute distinction attribuée en temps de guerre par la Lettonie. Il quitte l’armée au grade de sous-officier.
Entre 1921 et 1939, années qui correspondent à la première période de l’indépendance de la Lettonie, il travaille comme ouvrier dans une usine à Riga.
Au déclenchement de la seconde guerre mondiale, il se réengage dans l’armée lettonne pour combattre à nouveau les envahisseurs. Sous la pression de l’Armée Rouge de Staline et par crainte d’être déporté d’office en Sibérie – ceci, dans le meilleur des cas, il quitte en 1944 la Lettonie pour les Etats-Unis. Là-bas, il s’installe à Willimantic dans l’Etat du Connecticut où il travaille comme ouvrier dans l’usine « Americain Threads Co » jusqu’à l’âge de sa retraite. Willimantic est une petite ville américaine située au milieu des forêts, dans un milieu naturel et au climat très similaires à la Lettonie. Peut-être un choix afin de ne pas trop ressentir le mal du pays, tant aimé, qu’il ne verra plus jamais de son vivant.
Vous croyez que c’est la fin de l’histoire … ? Eh bien, non !
Nous retrouvons Herberts Saulītis, le 25 août de l’an 2000, au Centre de soins Roncalli de Willimantic ; il a 100 ans ! Au crépuscule de sa vie, les dirigeants de l’église luthérienne lettonne aux Etats-Unis soutenus par l’Association lettonne des anciens combattants, ont pris soin de lui.
Une fête d’anniversaire est organisée !
L’assemblée festive lui remet un gros bouquet de fleurs rouge grenat (les couleurs de la Lettonie) ainsi qu’un coussin en velours pour mettre en valeur ses deux médailles nationales. On se raconte sa longue vie. Ses amis proches le décrivent comme « un homme pimpant, plein de charme, toujours habillé comme un vrai gentleman » et « danseur très apprécié par toutes les dames ».
Un mois plus tard, Herberts Saulītis est une nouvelle fois aux honneurs !
Le colonel Valdis Matiss, attaché militaire à l’Ambassade de la République de Lettonie à
Washington D.C., vient lui rendre visite pour lui remettre un certificat et une médaille spéciale en reconnaissance de ses actes de bravoure lors des combats pour la liberté en 1919-20 et pendant la Seconde Guerre mondiale. Matiss lui dit en letton : « Je vous apporte les honneurs et les félicitations de la Présidente Vaira Vike-Freiberga et du Ministre de la Défense G.V. Kristovskis ».
Après cette petite cérémonie et sous les yeux de son infirmière attitrée, notre centenaire ne put retenir un sanglot à peine audible et une grosse larme coula sur sa joue.
Herberts Saulītis s’éteint, le 5 novembre 2000. Le jour de ses obsèques, une délégation venue spécialement de Lettonie lui rend un dernier hommage en couvrant son cercueil du drapeau letton, si chèrement défendu. Ses cendres sont rapatriées en Lettonie et inhumées au « Cimetière central des Frères », le lieu de sépulture des combattants pour la liberté de la Lettonie, à Riga. Il repose finalement, et certainement aussi en paix avec lui-même, en terre lettonne.
Cette belle histoire et bien d’autres encore seront à découvrir à Valka /Valga. Ce haut-lieu des combats pour la liberté du pays est sur notre route du voyage « Exploration culturelle des perles baltes : Tallinn – Tartu – Riga ».
Baltique
A Valka /Valga, nous parlerons aussi du Traité de Versailles en quête d’un Ordre Nouveau, bien truffé d’embûches pour cette petite ville de la Baltique désormais coupée en deux : une partie lettonne, dite « Valka » et une autre, estonienne, appelée « Valga ».
Le colonel Valdis Matiss, attaché militaire à l’Ambassade de la République de Lettonie à
Washington D.C., vient lui rendre visite pour lui remettre un certificat et une médaille spéciale en reconnaissance de ses actes de bravoure lors des combats pour la liberté en 1919-20 et pendant la Seconde Guerre mondiale. Matiss lui dit en letton : « Je vous apporte les honneurs et les félicitations de la Présidente Vaira Vike-Freiberga et du Ministre de la Défense G.V. Kristovskis ».
Après cette petite cérémonie et sous les yeux de son infirmière attitrée, notre centenaire ne put retenir un sanglot à peine audible et une grosse larme coula sur sa joue.
Herberts Saulītis s’éteint, le 5 novembre 2000. Le jour de ses obsèques, une délégation venue spécialement de Lettonie lui rend un dernier hommage en couvrant son cercueil du drapeau letton, si chèrement défendu. Ses cendres sont rapatriées en Lettonie et inhumées au « Cimetière central des Frères », le lieu de sépulture des combattants pour la liberté de la Lettonie, à Riga. Il repose finalement, et certainement aussi en paix avec lui-même, en terre lettonne.
Cette belle histoire et bien d’autres encore seront à découvrir à Valka /Valga. Ce haut-lieu des combats pour la liberté du pays est sur notre route du voyage « Exploration culturelle des perles baltes : Tallinn – Tartu – Riga ».
baltique
A Valka /Valga, nous parlerons aussi du Traité de Versailles en quête d’un Ordre Nouveau, bien truffé d’embûches pour cette petite ville de la Baltique désormais coupée en deux : une partie lettonne, dite « Valka » et une autre, estonienne, appelée « Valga ».
Grâce à l’Union Européenne, de nos jours, nous nous en balançons ! C’est vraiment le cas de le dire à Valka /Valga où une balançoire est installée exactement au-dessus de cette frontière jadis si bizarrement tracée par le représentant du gouvernement britannique, Stephen George Tallents.
Toute cette histoire n’est finalement ni courte, ni brève, mais me fait penser à une citation d’un autre expatrié, bien célèbre celui-là :
« Très peu de gens vivent dans le présent. Ils habitent le passé, le futur ou les deux. Les coups : ils les reçoivent deux fois. Les joies : ils les émoussent à l’avance. Ils vivent dans la crainte de malheurs que cette prévoyance démesure, dans l’attente de bonheurs que la distance épuise. » (Albert Einstein)
A vos bagages ! Avec AirBaltic, vos vacances commencent à Bruxelles ! Je me ferai un plaisir de vous faire découvrir « la chaleur de vivre en Lettonie ».
Commençons par le début ! Le chêne « Yggdrasil », est l’un des arbres clés dans les croyances païennes. De par ses racines, il trouve ses bases dans le bas-monde où vivent serpents et dragons. Sa cime rejoint le ciel, le domaine des Dieux. Ses branches portent les sept mondes que les Dieux visitent en naviguant sur des arcs-en-ciel. Il symbolise la force des choses. Tel est l’un des récits dans la mythologie nordique.
Notre récit de ce jour raconte l’histoire du chêne au Château de Birini, vénéré comme l’arbre qui donne la force à l’amour éternel. C’est pour cela que depuis bien longtemps déjà, les couples viennent y célébrer un rituel bien spécifique.
Château de Birini
Jadis, la tradition voulait que les jeunes mariés enterrent une bouteille au pied du chêne contenant une lettre qui reprend tous les mauvais traits de caractère de leurs proches. C’était là une façon de ne pas encombrer le bonheur du jeune couple d’un tel fardeau. Cependant, au fil du temps, il arriva de plus en plus fréquemment qu’un couple déterre accidentellement une bouteille déjà enfouie, ce qui équivaut à emmener dans son mariage les défauts des autres. Il fallait donc une nouvelle coutume.
Chose faite ! Aujourd’hui, le jour du mariage, le couple lance une paire de clochettes, elles-mêmes reliées par un fil, dans les branches du chêne. Les clochettes représentent l’épouse et son mari, le fil les unissant pour toujours et les branches du chêne leurs donnant la force pour l’amour éternel. Preuve en est que la mythologie et les croyances païennes qui en découlent sont encore bien vivantes dans la Baltique.
Cette belle histoire et bien d’autres encore seront à découvrir au Château de Birini. Ce très charmant ensemble remontant à l’époque suédoise est sur notre route du tour « Châteaux et Manoirs en Lettonie ».
Château de Birini
Le Château actuel, érigé en style baroque suédois, date du 18e siècle. Il est l’une des plus belles demeures de cette époque dans la Baltique.
Bien évidement notre voyage prévoit assez de temps pour profiter pleinement de ce cadre de rêve. Nous logerons dans les chambres les plus somptueuses et nous prendrons le jour de notre arrivée, un délicieux repas au restaurant du Château.
Château de Birini
Notre arrivée sera ponctuée par la dégustation de la liqueur locale de Valmiera. La visite guidée du Château et de son parc idyllique est également au programme.
A vos billets d’avion ! Avec AirBaltic vos vacances commencent à Bruxelles ! Je me ferai un plaisir de vous faire découvrir la « Chaleur de vivre » en Lettonie.
Pour contrôler le flux touristique envahissant, les autorités vénitiennes ont décidé d’introduire une taxe destinée aux visiteurs d’un jour. À partir du 25 avril, et ce pendant 29 jours jusqu’au 14 juillet, une période correspondant à la haute saison touristique, les visiteurs journaliers seront soumis à une taxe de cinq euros. Cette mesure s’applique entre 08h30 et 16h00 locales pour accéder à la vieille ville.
Exemptions et modalités
Bien que la taxe soit généralisée, plusieurs exemptions sont prévues. Les enfants de moins de 14 ans, les étudiants, et les membres des forces de l’ordre en sont dispensés. Bon à savoir, la billetterie en ligne, disponible en anglais et en italien sur https://cda.ve.it/en/, est ouverte !
Ne venez pas !
L’objectif principal de cette mesure est de dissuader les visiteurs à la journée. Venise souffre en effet du tourisme de masse. Cette initiative vise à préserver ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1987.
Défis et Critiques
Cette politique fait suite à une recommandation de l’Unesco, qui avait envisagé de classer Venise “en péril” en juillet, à cause de l’impact néfaste du tourisme et du réchauffement climatique.
Le permis d’environnement actuel de Brussels Airport expire en juillet 2024. Selon ce document, il s’agit de “renouveler l’autorisation existante d’exploiter l’aéroport dans les locaux, l’infrastructure et les conditions actuels”. Une bonne nouvelle pour les riverains puisque cela signifie qu’il n’y aura pas de construction de nouvelles pistes, ni de vols de nuit supplémentaires.
En revanche, la mobilité qui prévaut autour de l’aéroport a été analysée et l’objectif est clairement de faciliter l’accès de tous à Bruxelles-National. Une intention qui a fait l’objet d’un plan qui prévoit notamment de mettre en place un tramway reliant l’aéroport à la capitale belge. Il faudra pour cela que les régions flamande et bruxelloise s’entendent sur le parcours ainsi que sur la tarification à appliquer.
Mais ce n’est pas tout !
En effet, l’opérateur flamand de transport public De Lijn étudie la possibilité de mettre en place des bus de nuit, qui permettraient aux voyageurs et au personnel d’accéder plus facilement à l’aéroport par l’intermédiaire des transports publics. Une des lignes relierait l’aéroport au centre-ville, en passant par Rogier.
La SNCB de son côté a annoncé un scénario similaire, qui entrerait en vigueur à partir de l’été prochain. Par ailleurs, une étude en cours envisage l’option d’un train à grande vitesse s’arrêtant à la gare de l’aéroport. Enfin, il est question de supprimer la “taxe diabolo” de 5,70 € qui doit actuellement être acquittée par toutes les personnes qui se rendent à Bruxelles-National en train. C’est que celle-ci décourage bon nombre de passagers à se rendre à l’aéroport en train, privilégiant plutôt la voiture ou le bus…
Enfin, Brussels Airport a également pensé aux cyclistes. En effet, de nouvelles pistes cyclables sont dans les cartons tandis que des infrastructures supplémentaires seront mises en place pour permettre aux passagers et au personnel de se rendre plus facilement à l’aéroport à vélo. Des douches, des casiers et des espaces de rangement supplémentaires pour les vélos ne sont que quelques-unes des mesures prévues en la matière.
À partir du 15 janvier, l’entrée du Louvre, le musée le plus visité au monde, passera de 17 euros à 22 euros, marquant une hausse de 29%. Cette augmentation se situe en parallèle avec l’inflation de 30% observée sur la même période, selon l’Insee. Cette décision intervient dans un contexte où Paris, hôte des Jeux Olympiques, s’attend à une affluence touristique accrue.
Le Louvre en chiffres
En 2022, le Louvre a enregistré 7,2 millions de visiteurs, générant 76,5 millions d’euros de recettes de billetterie. Cependant, ces revenus couvrent seulement un quart des charges de fonctionnement du musée, le reste étant financé par le ministère de la Culture et d’autres sources, y compris le mécénat.
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Accès gratuit pour certains visiteurs
Le musée a souligné que plus de la moitié des visiteurs français bénéficient d’un accès gratuit. Cette gratuité concerne notamment les moins de 25 ans, chômeurs, bénéficiaires des minima sociaux, personnes handicapées et leurs accompagnants, enseignants, professionnels de la culture et journalistes. Sur les 8,7 millions de visiteurs attendus en 2023, environ 3,6 millions devraient entrer sans payer.
Des projets d’expansion et d’acquisition
Pour améliorer l’accueil des visiteurs, le Louvre envisage l’ouverture d’une deuxième entrée, en plus de celle sous la Pyramide. Le musée poursuit également ses acquisitions, comme en témoigne son appel aux mécènes pour acquérir “Le Panier de fraises des bois” de Chardin, estimé à 24,3 millions d’euros.
La ligne Amsterdam-Londres est prévue pour décembre 2027. Utilisant le tunnel sous la Manche, ce trajet inclura des arrêts à Schiphol, Rotterdam, Anvers et Bruxelles. Avec quinze trains circulant quotidiennement dans les deux sens, Heurotrain ambitionne de devenir un acteur majeur sur cette route.
Le marché des trains à grande vitesse connaît une expansion rapide. D’autres compagnies, telles que Qbuzz et Arriva, ont déjà annoncé des projets similaires sur la ligne Amsterdam-Paris via la Belgique.
La Mongolie est le 18ème plus grand pays du monde en termes de superficie, mais elle est l’un des moins densément peuplés. Avec une superficie de plus de 1,5 million de kilomètres carrés (soit trois fois la France), elle n’accueille que… 3 millions d’habitants (contre 67 millions en France) !
2. Le désert de Gobi
Victor He
Le désert de Gobi, qui s’étend sur une partie de la Mongolie et de la Chine, est l’un des déserts les plus grands et les plus arides du monde. Il couvre une superficie impressionnante de 1,3 million de kilomètres carrés. Malgré ses conditions extrêmes, il abrite une faune et une flore uniques, adaptées à un environnement très hostile.
3. Tradition équestre
Mongolia
La Mongolie possède une tradition équestre profondément enracinée. Il est estimé que le pays compte plus de 3 chevaux par habitant. Ces animaux jouent un rôle central dans la culture nomade du pays, et la fête nationale, le Naadam, met en avant des courses de chevaux spectaculaires.
4. Température extrême
Mongolia
Oulan Bator, la capitale de la Mongolie, détient le titre peu enviable de la capitale la plus froide du monde. Les températures peuvent chuter jusqu’à -40°C en hiver. Mais l’été, le mercure peut grimper jusqu’à 30°C !
5. Richesse archéologique
Mongolia
La Mongolie est un trésor pour les archéologues. Elle est le berceau de l’Empire mongol, l’un des plus grands empires de l’histoire. De nombreuses découvertes, comme celle de la tombe de Genghis Khan, restent encore à faire, faisant de ce pays un terrain de jeu passionnant pour les chercheurs.