L’Abbaye propose aux visiteurs gratuitement une application de visite. Des QR codes sont placés sur des panneaux dans différentes zones du site à visiter (église, cloîre…), ceux-ci peuvent être scannés à l’aide d’un smartphone afin de découvrir l’histoire des lieux et le quotidien des moines qui l’ont occupé.
Les images de synthèse redonnent vie à des éléments architecturaux et à des hommes aujourd’hui disparus.
Abbaye de Villers
La ligne du temps des rosiers anciens
D’anciennes variétés de rosiers sont placées en regard de la ligne du temps qui retrace l’histoire mouvementée de l’Abbaye à travers les siècles. Ces fleurs d’antan sont issues de nombreuses variétés de roses apparues avant 1867.
Abbaye de Villers
Des jardins colorés
Des espaces verts en 8 jardins à thème ont été aménagés. Les aspects visuels et odorants des différents jardins évoluent au cours des saisons.
Un lieu animé… l’Abbaye a toute l’année quelque chose à vous proposer !
Le secteur du tourisme, traditionnellement basé sur des interactions humaines, est aujourd’hui bouleversé par l’avènement de technologies émergentes. La réalité augmentée (RA), la réalité virtuelle (RV), l’intelligence artificielle (IA) et le Big Data font désormais partie intégrante de l’expérience touristique.
La réalité augmentée et virtuelle : une immersion totale
La RA et la RV sont des outils précieux qui enrichissent l’expérience touristique. Les applications de RA permettent aux touristes de visualiser des informations contextuelles en temps réel. La RV propose des visites virtuelles, permettant d’explorer sans quitter son salon.
L’intelligence artificielle : un guide touristique personnalisé
L’IA, avec ses chatbots et assistants virtuels, offre un service clientèle 24/7, répondant instantanément aux questions. Les recommandations de voyage sont désormais personnalisées en fonction des préférences individuelles.
Le big data : l’optimisation du voyage
Le Big Data joue un rôle crucial dans l’analyse des comportements touristiques, aidant les entreprises à optimiser leurs offres.
Les défis de la transformation numérique
Malgré ces avancées, l’intégration de la technologie dans le tourisme n’est pas sans défis. D’une part, la dépendance à la technologie peut entraîner une perte d’authenticité de l’expérience de voyage. L’interaction humaine et le charme de la découverte spontanée sont parfois éclipsés par les itinéraires optimisés et les visites virtuelles.
De plus, l’usage intensif des données personnelles pose des questions sur la vie privée et la sécurité. Le respect de ces dernières est un enjeu crucial.
Enfin, l’accès inégal à ces technologies risque de creuser un fossé numérique dans l’industrie touristique, certains pouvant être laissés pour compte.
Quel avenir pour le tourisme
La transformation numérique a modifié le secteur du tourisme, offrant de nouvelles opportunités mais aussi des défis à surmonter. L’équilibre entre l’innovation technologique et le respect des valeurs traditionnelles du voyage sera la clé de l’avenir du tourisme.
Deux squelettes d’hommes d’une cinquantaine d’années ont été retrouvés dans les ruines de Pompéi, annonce le ministère italien de la Culture. Mis au jour lors de travaux de maintenance à la célèbre “Maisons des chastes amants”, ils présentent des fractures multiples, témoins de l’écroulement de l’édifice.
Résultat des Cataclysmes
Les archéologues soulignent que l’éruption du Vésuve n’est pas l’unique cause de la destruction de Pompéi. Un séisme accompagnant l’éruption a entraîné l’effondrement de nombreux bâtiments, ajoutant au tragique bilan.
Progression de la Connaissance
“Les techniques modernes de fouilles nous permettent de mieux comprendre le drame de Pompéi“, déclare Gabriel Zuchtriegel, directeur du Parc archéologique de Pompéi. Les cendres volcaniques, en sédimentant, ont préservé la ville et ses victimes, offrant un témoignage précieux de l’événement.
Pompéi, un Site Patrimonial
Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, Pompéi est la deuxième destination touristique d’Italie après le Colisée de Rome. Ces découvertes renforcent l’intérêt historique du site.
Nos voisins d’outre-Quiévrain vont bénéficier d’un nouveau “plan vélo” pour le moins ambitieux. En effet, quelque 2 milliards d’euros vont être débloqués pour encourager les Français à enfourcher leurs bicyclettes. En septembre dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, avait déjà annoncé consacrer 250 millions d’euros au vélo pour l’année 2023. Mais on sait à présent que cette somme va être reconduite tous les ans pendant cinq ans.
De coup, c’est la somme colossale de 1,250 milliard d’euros qui sera débloquée pour développer les pistes cyclables dans l’Hexagone. Le reste de l’enveloppe servira à prolonger les aides à l’achat d’un vélo jusqu’en 2027, en ce compris les bicyclettes d’occasion à condition qu’elles soient vendues par des professionnels.
100.000 km de pistes cyclables d’ici 2030 !
En France, pas moins de cinq ministres sont mobilisés pour encourager la pratique du vélo. Parmi les initiatives publiques, on peut citer les 200.000 enfants qui participent au dispositif “Savoir rouler à vélo”. Le but est de multiplier leur nombre par quatre d’ici 2027, l’idée étant d’en avoir 800.000 par an à partir de 2027.
Il y a aussi un enjeu économique. Le marché français du cycle représente plus de 3,6 milliards d’euros. Le “plan vélo” vise à soutenir tout un écosystème, à savoir favoriser la réindustrialisation et donc l’assemblage des vélos en France, car les importations de vélos complets depuis l’Italie, la Roumanie, le Portugal ou l’Asie représentent encore la majorité du marché. L’objectif est aussi de développer des nouveaux métiers, les professionnels estimant qu’on manque de quelque 5.000 réparateurs de vélos en France. Enfin, le gouvernement souhaite arriver à 100.000 km de pistes cyclables d’ici 2030 contre 57.000 km actuellement.
Je vous l’accorde, quand on cherche une destination proche pour passer un week-end un rien dépaysant, on pense tout naturellement à l’Ardenne ou à la mer. Mais j’ai décidé de sortir des sentiers battus et d’explorer une région qui gagne à être connue en tant que destination touristique.
À l’image de la ville d’Essen en Allemagne, qui a fait de son passé industriel un atout, Charleroi encourage désormais tout un chacun à venir découvrir ce qui a fait sa richesse aux 19e et 20e siècles, à commencer par ses terrils. Ces collines artificielles, érigées par l’accumulation de résidus issus de l’extraction du charbon, sont devenues des havres naturels remarquables qui invitent à la promenade.
5 sites à ne pas manquer
Avant de me lancer à l’assaut de ces drôles de collines, j’ai effectué quelques recherches sur la plateforme de Charleroi Métropole Tourisme qui recense tous les sites à découvrir à Charleroi et dans la vingtaine de communes alentour. J’ai repéré plusieurs terrils en libre accès : celui du Martinet à Roux, celui des Vallées à Gilly, le terril Saint-Charles à Marchienne-au-Pont, celui, célèbre, du Bois du Cazier et enfin le terril des Piges à Dampremy.
Leslie Artamonow
J’ai jeté mon dévolu sur ce dernier car il offre un panorama exceptionnel sur la ville en contrebas, tout en étant facile d’accès depuis le centre-ville. Formé de plusieurs monticules, il s’étend entre la chaussée de Bruxelles, la route de Mons, la rue Joseph Wauters et la rue Decoux où se situe l’accès principal, situé juste derrière la plaine de jeux. Comme pour gravir tout terril, je vous invite à vous munir de bonnes chaussures de marche, les chemins, riches en terre noire, n’étant pas compatibles avec des baskets blanches !
De Dampremy à Marchienne
Après une matinée ensoleillée passée sur les hauteurs de Dampremy, je me suis ensuite rendu au sud de Charleroi et plus précisément sur le site du terril Saint-Charles. Celui-ci est né des extractions du puits Saint-Charles qui a fermé en 1958. Dans les années nonante, les deux terrils de Bayemont et Saint-Charles ont été exploités pour leur charbon résiduel puis remodelés en une seule et même colline. Les autorités locales ont eu la bonne idée d’y planter des arbres et des plantes herbacées et, peu après, une faune et une flore spontanées sont venues enrichir la biodiversité du site.
Leslie Artamonow
Ici aussi j’ai particulièrement apprécié la découverte de ce terril qui se distingue par sa sérénité. Ce petit circuit, très aisé dans l’ensemble, grimpe en douceur vers le plateau intermédiaire de la colline où l’on découvre un ancien bassin de décantation aujourd’hui peuplé de roseaux. Le sentier monte ensuite en pente douce vers le sommet où l’on jouit d’une vue fantastique sur le relief de la région ainsi que sur les usines de Marchienne-au-Pont et Marcinelle. Le parcours s’achève par une jolie boucle autour du bassin en contrebas où se dévoilent différents points de vue sur les environs.
La Boucle Noire
Vous n’avez jamais entendu parler de la Boucle Noire ? Eh bien moi non plus, du moins jusqu’à ce que je tombe sur un plan expliquant le concept. Si le GR des Terrils (baptisé GR412) consiste en un sentier de plus de 300 km qui relie Bernissart à Liège en passant par Charleroi, sachez qu’une boucle de 22 km peut être effectuée en démarrant depuis la gare de Charleroi-Sud. On peut donc facilement s’y rendre en train, d’où que vous veniez en Belgique. Cette randonnée d’un jour m’a permis de découvrir les châteaux de Marchienne et de Monceau mais aussi les terrils du Martinet et la chaîne des terrils de La Docherie. Un parcours qui comprend l’ascension de quatre collines artificielles, reliées entre elles par des passages et des sentiers. J’ai particulièrement apprécié le balisage clair et bien visible qui permet de cheminer facilement tout au long du parcours !
Leslie Artamonow
L’expérience vous tente ? Alors comme moi, rendez-vous sur le site de Charleroi Métropole Tourisme pour préparer votre escapade au Pays Noir !
En combinant les deux périodes de vacances, environ 1,8 million de touristes d’un jour ont visité la Côte belge, soit une légère baisse de 5% par rapport à l’année précédente.
2,6 millions de nuitées !
Westtoer a enregistré 2,6 millions de nuitées, une situation similaire à celle des vacances de Pâques et de la première quinzaine de mai 2022.
Impact de la météo et des vacances disjointes
Malgré une météo moins clémente, les chiffres du tourisme restent encourageants. Malgré les défis liés à la dissociation des vacances, Westtoer est convaincu que l’étalement des périodes de congé peut avoir un impact bénéfique à long terme pour le tourisme côtier.
Les Belges ont réservé 324 000 séjours dans les villes d’art belges au 4e trimestre 2022 (Bruxelles, Anvers, Gand, Bruges, Louvain, Malines, Liège, Charleroi et Mons), en hausse de 96,3% par rapport à 2019 et de 296% par rapport à 2016.
Les villes d’art surpassent la Côte
Les villes d’art sont désormais plus prisées que la Côte, avec 303 000 séjours au 4e trimestre 2022, tandis que l’Ardenne reste en première position.
Diminution des voyages à l’étranger
Les voyages à l’étranger ont diminué de 10,4% par rapport à 2019, mais ont augmenté de 27,6% par rapport à 2016. La France, les Pays-Bas et l’Espagne restent les destinations favorites.
La plupart des séjours durent de une à trois nuits, totalisant 2 392 000 voyages.
Implanté dans un cadre naturel unique en son genre sur les rives du lac de la Plate Taille aux Lacs de l’Eau d’Heure, le Golden Lakes Hotel est un établissement 4 étoiles certifié Best Western Plus. Il se compose de 79 chambres, studios et appartements de standing jouissant d’un panorama extraordinaire sur l’étendue du lac et la beauté du site. Un espace wellness avec sauna, hammam, piscine et jacuzzi complètent l’offre de l’hôtel et font du Golden Lakes un véritable hôtel 4 étoiles. Le Golden Lakes Hotel se veut être un espace de bien-être, privilégiant la nature, les espaces verts et les plans d’eau, endroit idéal pour se ressourcer le temps d’un week-end à pied ou à vélo.
Quel prix ?
Payez 198 euros pour deux personnes pour un séjour de 2 jours et une nuit, au lieu de 223 euros, soit un avantage net de 25 euros.
Ce pack comprend :
1 nuit pour 2 personnes en chambre double tout confort
Le petit déjeuner continental sous la forme d’un buffet
Grâce à des conditions météorologiques favorables, neuf Sherpas ont fixé les cordes le long de l’ascension de l’Everest. Ces cordes seront utilisées par les centaines d’alpinistes qui s’attaqueront au sommet de 8 849 mètres dans les semaines à venir.
Cette année, plus de 900 alpinistes, dont 466 alpinistes étrangers avec des permis d’escalade délivrés par les autorités népalaises, prévoient de gravir l’Everest pendant la saison du printemps. Malgré des tragédies survenues en avril, l’ouverture réussie de la voie par les Sherpas marque le début de cette saison d’ascension.
Olivier Pitance, administrateur délégué de Dinant Evasion, a d’ailleurs exprimé sa satisfaction quant à cette situation.
Vive la pluie !
La météo n’est pas un cauchemar pour tous les professionnels du tourisme en extérieur. Selon Olivier Pitance, il préfère nettement les pluies des derniers jours à la météo plus clémente de l’année précédente. La sécheresse avait déjà sévi en avril, les empêchant de travailler durant la deuxième quinzaine de juillet et tout le mois d’août. Les pluies abondantes récentes ont donc été bénéfiques pour leur activité.
Un regain d’espoir pour la saison du kayak
Grâce aux pluies abondantes des derniers jours, la Lesse a retrouvé un niveau qui lui permettra très probablement d’accueillir des kayaks tout au long de l’été. Comparé à l’année précédente marquée par un triste record, cela signifie un gain de six semaines pour cette saison.