L’Ardent Trail Center, un ambitieux projet dédié au vélo tout-terrain, est actuellement en cours de développement. Trois sites majeurs ont été sélectionnés pour accueillir le projet : les sites de Renory, Bois-Saint-Jean et Bois Saint-Laurent, à proximité de Liège et Seraing ; les sites de la piscine de Seraing et du Bois de l’Abbaye ; ainsi que le site du CHU-Famelette, dominant la boucle de l’Ourthe à Neupré et Esneux.
Le futur terrain de jeu des VTTistes
Le Ardent Trail Center, qui devrait être inauguré d’ici décembre 2025, proposera un total de 39 pistes de VTT sur une distance de 25,5 kilomètres, s’étendant sur une superficie de 360 hectares. Les parcours seront diversifiés, avec une vingtaine de kilomètres consacrés aux descentes d’enduro et le reste aux montées techniques. Des liaisons sont également prévues pour connecter ces pistes avec deux autres centres de trail existants à Chaudfontaine et Anthisnes-Esneux.
Financement et respect de l’environnement
Le projet bénéficie d’un budget de 750 000 euros, avec une majorité provenant d’un subside du gouvernement wallon dédié à l’aménagement de sites naturels pour le VTT. Il est important de souligner qu’aucun abattage d’arbre ni modification du relief ne sont prévus dans le cadre des travaux.
Prévisions d’affluence
Une fois les centres de VTT achevés, la Province de Liège s’attend à une affluence annuelle de 25 000 à 40 000 visiteurs.
Erigé en 1961, le Mur de Berlin n’était pas seulement une séparation physique, mais un puissant symbole de la Guerre Froide, de la division idéologique entre l’Ouest capitaliste et l’Est communiste. Son but premier était d’arrêter l’exode massif de l’Est vers l’Ouest, un mouvement qui minait l’économie et la réputation de la République Démocratique Allemande (RDA). Cependant, loin d’être une solution, le Mur n’a fait que cristalliser la division et exacerber les tensions entre les deux blocs.
En 1989, l’Europe de l’Est est en ébullition. Le régime communiste polonais a été contraint de négocier avec le syndicat Solidarność, la Hongrie a ouvert ses frontières avec l’Autriche, permettant aux Allemands de l’Est de fuir vers l’Ouest. Le mécontentement populaire en RDA est à son comble. Sous la pression interne et internationale, le gouvernement de la RDA annonce une libéralisation des voyages à l’étranger. Une erreur de communication fait croire à la population que cette mesure est immédiate, alors que le gouvernement envisageait une mise en œuvre progressive. La confusion et la joie mènent à une convergence massive vers le Mur, et dans la soirée du 9 novembre, face à la foule immense, les gardes-frontières finissent par ouvrir les portes. Le Mur de Berlin, symbole de la division du monde en deux blocs, était tombé.
Rocio Perera
Une ville réunifiée
Au fur et à mesure que le Mur tombe, cerné qu’il est par la population, les gens se précipitent à travers les ouvertures, leurs mains tendues vers leurs voisins de l’autre côté. Des accolades, des retrouvailles, des rencontres. Les Berlinois de l’Est rencontrent ceux de l’Ouest pour la première fois depuis presque trois décennies. Les visages reflètent l’étonnement, le soulagement, la jubilation. Berlin n’est plus une ville divisée, mais une ville réunifiée.
Conclusion
Le 9 novembre 1989 est gravé dans l’histoire comme le jour où le Mur de Berlin est tombé, le jour où une ville a été réunifiée, le jour où l’espoir a triomphé de la division. C’est un rappel du pouvoir du peuple et du désir universel de liberté. Alors que les fragments du Mur sont désormais dispersés dans le monde entier, le souvenir de cette nuit reste indélébile dans le cœur de Berlin.
La Banque de France a tiré la sonnette d’alarme, notant une baisse de 20 à 30% des réservations dans la majorité des hébergements touristiques en Corse, une situation inédite pour la haute saison. Les professionnels de l’hôtellerie, de la restauration et de la location de véhicules observent des baisses de volume.
Selon Karina Goffi, présidente de l’UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie) de Corse, « la majorité des hébergements touristiques n’atteignent pas 80% de taux de remplissage », peut-on lire dans le Figaro. « Beaucoup accusent une baisse de 20 à 50% dans leurs réservations pour juillet-août », une situation sans précédent.
Hendrik Cornelissen
Les causes possibles
Plusieurs facteurs sont évoqués pour expliquer ce déclin. Certains pointent du doigt les tarifs de transport exorbitants, « une mauvaise communication, la concurrence d’Airbnb, les réseaux sociaux contre le tourisme et les tags antifrançais qui fleurissent sur les murs. » Cependant, les compagnies de transport réfutent ces accusations, affirmant que leurs réservations sont satisfaisantes et que l’inflation affecte tous les domaines de l’économie.
Quid de l’avenir
La Corse va-t-elle disparaître progressivement des radars du monde touristique ? Ou cette situation n’est-elle que provisoire ?
Depuis 2015, à Mouscron, des dizaines de milliers de personnes ont vécu l’expérience BattleKart : un concept unique qui allie les sensations du karting électrique, le fun et les interactions des jeux vidéo, et la technologie de la réalité augmentée.
BattleKart
BattleKart conquiert et révolutionne le monde des activités de loisir telles que les escape games et les bowlings. A bord de leur kart, les joueurs peuvent se mesurer sur des environnements projetés depuis le plafond, et en choisissant différents modes de jeu, tels que BattleRace, BattleFoot, BattleVirus, BattleSnake, et encore d’autres !
BattleKart
Nul besoin d’enfiler une combinaison ou un casque, les joueurs (dont les enfants à partir de 1,45m) peuvent participer en toute sécurité ! BattleKart Mouscron, c’est donc l’endroit rêvé pour des moments inoubliables entre amis, en famille, entre collègues lors de teambuildings et autres afterworks, ou encore pour célébrer des anniversaires et enterrements de vie de jeune fille ou de garçon.
Selon une étude récente menée par l’organisation Greenpeace, voyager en train en Europe coûte en moyenne deux fois plus cher que de prendre l’avion. Le rapport se base sur une analyse des prix de 112 trajets entre 27 pays européens, pour des distances inférieures à 1 500 kilomètres et des temps de voyage inférieurs à 24 heures en train.
Ça se présente mal chez nous !
La Belgique, en particulier, semble présenter une situation défavorable aux voyageurs ferroviaires. Le prix moyen des voyages en train y est 2,6 fois plus élevé que celui des vols. Parmi les trajets analysés depuis la Belgique vers d’autres villes européennes, seul le trajet entre Bruxelles et Hambourg est systématiquement moins cher en train.
Un défi pour les voyages durables
Greenpeace critique cette disparité de prix, et plus spécifiquement les compagnies aériennes à bas coût qui proposent des vols avec escale, moins chers pour le consommateur. L’ONG souligne que ces vols entraînent jusqu’à 10 fois plus d’émissions de gaz à effet de serre que les voyages en train, posant ainsi un défi pour les efforts de transition vers des modes de transport plus durables.
Des solutions proposées
L’ONG appelle les gouvernements européens à mettre en place des “tickets climats“, des abonnements qui favoriseraient les transports transfrontaliers moins polluants. Elle propose aussi de supprimer les subventions accordées aux compagnies aériennes et aéroports, dans le but de rééquilibrer la concurrence entre les différents modes de transport.
La ministre du Tourisme grec, Olga Kefalogianni, a récemment annoncé que le pays envisageait d’introduire des quotas pour les croisières. Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une stratégie plus large visant à promouvoir un tourisme durable et responsable, en réponse aux défis posés par la pandémie de COVID-19.
Vers une régulation de l’activité touristique
La Grèce, dont le tourisme représente près de 20% du PIB et emploie un million de personnes, envisage de prendre des mesures plus drastiques pour réguler son activité touristique. L’idée d’instaurer un quota sur les croisières est actuellement à l’étude, car certaines destinations sont devenues insoutenables en termes de durabilité. Cette mesure pourrait être mise en œuvre d’ici 2025.
Investir dans l’avenir
La taxe envisagée servirait à financer les investissements des destinations pour améliorer les infrastructures d’accueil des visiteurs. Parallèlement, la Grèce prévoit de soutenir le développement de marchés de niche, tels que la randonnée, la gastronomie, la plongée, l’œnotourisme et l’écotourisme, afin de diversifier les profils de voyageurs et d’étaler les flux.
Face aux défis climatiques
La canicule et les violents incendies qui ont touché le pays pourraient peser sur la fréquentation touristique de la saison estivale. Face à ces défis, la ministre insiste sur la nécessité de changer les politiques touristiques pour prendre en compte cette nouvelle réalité climatique.
Un tourisme plus qualitatif que quantitatif
L’objectif de la Grèce n’est pas d’atteindre des records de fréquentation, mais de développer un tourisme durable et de qualité. Pour ce faire, des investissements seront réalisés, notamment grâce au fonds européen Résilience, et le secteur privé sera également sollicité. L’ambition est de faire monter en gamme l’offre tout en opérant une transition écologique.
Vous êtes en quête d’une cure de désintoxication numérique ? Alors ne cherchez plus ! En effet, l’île finlandaise d’Ulko-Tammio entend devenir la première zone touristique sans téléphone au monde ! Située dans le golfe oriental de Finlande, cette petite île s’est autoproclamée “zone sans téléphone”. “Nous voulons exhorter les vacanciers à éteindre leurs appareils connectés et à s’arrêter pour profiter réellement des îles” a expliqué Mats Selin de l’office du tourisme local.
Dans la pratique, il sera demandé aux voyageurs de garder leurs appareils dans leurs poches et de se déconnecter des médias sociaux. L’île dispose pourtant bel et bien d’un réseau de téléphonie mobile opérationnel…
Redécouvrir les bienfaits de la nature
Ulko-Tammio, qui est nichée au cœur d’un parc national, est inhabitée. Il est néanmoins possible d’y passer la nuit dans des tentes ou des cabanes. Les nouvelles règles, qui ne seront néanmoins pas contraignantes mais à considérer comme une invitation, offriront aux visiteurs l’occasion de “se concentrer sur la nature”, explique Joel Heino, de Parks and Wildlife Finland. Une initiative pour le moins insolite qui pourrait être mise en œuvre dans d’autres destinations naturelles et récréatives du pays.
Une cure bénéfique
Beaucoup l’ignorent mais, en moyenne, un adulte européen passe en moyenne six heures par jour le nez sur des écrans ! Les abandonner peut avoir de nombreux effets bénéfiques sur la santé mentale. En effet, une étude réalisée en 2022 a révélé que les participants à celle-ci qui ont fait une pause d’une semaine dans les médias sociaux ont constaté des améliorations significatives de leur bien-être et de la qualité de leur sommeil. Le “repos numérique” peut également contribuer à restaurer la capacité d’attention. L’exposition constante aux stimuli numériques diminuerait en effet les capacités de concentration.
Enfin, une étude réalisée en 2019 par l’Université d’East Anglia a révélé qu’une cure de “désintoxication numérique” augmentait significativement le sentiment de bien-être.
La partie nord de Venise abrite le quartier tranquille de Cannaregio, un lieu souvent négligé par les touristes. Flâner dans ses rues calmes et le long de ses canaux est un plaisir rare. Le vieux quartier juif et les tavernes locales traditionnelles, appelées “bacari”, vous feront vivre une Venise authentique.
2. L’Escalier du palais Contarini del Bovolo
Caché au cœur de Venise, l’escalier du Palais Contarini del Bovolo est une merveille architecturale souvent oubliée. Ses multiples arcs et sa forme en spirale offrent une vue panoramique inégalée sur la ville.
3. La Librairie Acqua Alta
Bien que de plus en plus connue, la Librairie Acqua Alta reste un secret bien gardé. Avec ses piles de livres d’occasion disposées dans des gondoles et des baignoires pour les protéger des inondations, cette librairie dégage un charme indéniable.
4. L’Île de San Francesco del Deserto
Cette petite île abrite un monastère franciscain actif et est un havre de paix loin de l’agitation de la ville. Le jardin paisible et l’aura sereine de l’île en font une retraite spirituelle inoubliable.
5. Le Palais Fortuny
Le Palais Fortuny, autrefois résidence de l’artiste Mariano Fortuny, est souvent ignoré des itinéraires touristiques. Aujourd’hui, c’est un musée dédié à l’œuvre de Fortuny, avec ses textiles luxueux et ses magnifiques lustres en verre de Murano.
1. Las Vegas, la ville du jeu qui perd de son éclat
Grant Cai
Selon ViaTravelers, Las Vegas serait la destination la plus surestimée des États-Unis. Malgré ses lumières scintillantes et ses casinos alléchants, la ville semble perdre de son glamour. Les activités familiales sont rares et tout tourne autour de l’industrie du jeu.
2. La Tour de Pise, un selfie trop cher
Andrea Cevenini
La Tour de Pise, selon le même site, est l’une des destinations les plus décevantes de la planète. En réalité, c’est juste un endroit pour prendre un selfie. De plus, la tour est beaucoup plus petite que ce que l’on pourrait penser et les foules rendent difficile la prise d’une bonne photo.
3. London Eye, une vue surestimée
John Cameron
Le London Eye, cette grande roue près du Palais de Westminster, est une autre attraction surestimée. Les longues files d’attente et le prix élevé du billet rendent l’expérience décevante. De plus, la vue depuis le sommet n’est pas aussi impressionnante qu’on pourrait le penser.
4. Les Chutes du Niagara, une beauté naturelle gâchée par le tourisme
Sergey Pesterev
Les Chutes du Niagara, malgré leur beauté naturelle, sont devenues un piège à touristes. La ville de Niagara Falls est remplie de boutiques de souvenirs et le stationnement peut être un véritable challenge. De plus, il n’y a pas grand-chose à faire dans la région une fois que vous avez vu les chutes.
5. Hollywood, le glamour qui s’estompe
Oxana Melis
Hollywood, malgré son image glamour, est une autre destination surestimée. La circulation est un cauchemar et beaucoup de studios de cinéma ont déménagé vers des villes plus abordables. De plus, le Walk of Fame d’Hollywood a été voté comme l’un des pires pièges à touristes de tous les temps.
6. Dubaï, une ville sans âme
ZQ Lee
Dubaï, malgré son apparence impressionnante, est souvent décrite comme une ville sans âme. La ville est pleine d’hôtels, de centres commerciaux et de projets de construction qui la font ressembler plus à un projet de développement qu’à une destination touristique de haut niveau.
7. Times Square, un carrefour surpeuplé
James Ting
Times Square, l’une des destinations les plus surestimées de New York, est en réalité un carrefour bruyant et surpeuplé. Les prix sont élevés et l’expérience est souvent décevante.
8. Les Champs-Élysées, un luxe surestimé
Pedro Gandra
Les Champs-Élysées, bien que considérés comme une promenade de luxe, sont en réalité remplis de magasins vendant des marques surévaluées et de restaurants qui ne sont pas à la hauteur des autres options à Paris.
9. Le Manneken Pis, une déception belge
Frédéric Paulussen
Le Manneken Pis, bien que célèbre, est souvent cité comme l’une des attractions touristiques les plus surestimées… au monde ! Cette petite statue, bien qu’emblématique de Bruxelles, est souvent décrite comme décevante en raison de sa taille et de son manque d’intérêt. En réalité, c’est juste un endroit pour prendre un selfie. De plus, la zone autour du Manneken Pis est souvent bondée de touristes, ce qui rend difficile la prise d’une bonne photo.
10. Le Mont Rushmore, une déception en pierre
Jean Beller
Enfin, le Mont Rushmore, malgré son image emblématique, est souvent décrit comme décevant. La sculpture est beaucoup plus petite qu’on pourrait le penser et il y a très peu de choses à faire sur place.
Le Global Peace Index vient donc de révéler son classement annuel des destinations les plus sûres au monde. De quoi ravir les touristes et voyageurs qui choisissent leur lieu de vacances en fonction de la sécurité qui y règne. Car qu’on se le dise, il n’y a pas que la diversité des paysages, le temps clément ou encore la gastronomie locale qui sont des critères déterminants.
Cette année, 23 indicateurs différents ont été pris en compte pour déterminer les pays les plus safe, dont le taux de violence et de criminalité liés au terrorisme et aux conflits internationaux, l’accès aux armes, les relations avec les pays voisins ou encore le nombre de manifestations émaillées d’incidents et de faits de violence. Sur cette base, une moyenne est établie sur une échelle allant de 1 à 5. Plus le score est bas, plus le pays est sûr !
Robert Lukeman
Selon le Global Peace Index, c’est l’Islande qui est le pays le plus sûr du monde, avec un résultat de 1,124/5. C’est tout sauf une surprise puisque ce pays du nord de l’Europe occupe cette première place depuis 15 ans ! Suit le Danemark en deuxième position (avec un score de 1,31/5) puis l’Irlande avec une moyenne de 1,312/5. Enfin, en quatrième et cinquième positions, on retrouve la Nouvelle Zélande (1,313/5) et l’Autriche (1,316/5).
Quid de la Belgique ?
Sur les 163 pays passés au crible, la Belgique occupe la vingtième place du classement avec une moyenne de 1,523/5. Pour ce qui est des destinations les moins sûres, les cinq pays qui bouclent ce classement annuel sont la République démocratique du Congo (3,214/5), le Soudan du Sud (3,221/5), la Syrie (3,294/5), le Yémen (3,35/5) et enfin l’Afghanistan (3,44/5) qui arrive en dernière position.
Envie d’en savoir plus ? Les résultats de l’enquête Global Peace Index peuvent être consultés ici.