L’Europe abrite la moitié des stations de ski mondiales générant plus de 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel. Bien que cela ne représente que 3% des recettes touristiques directes en Europe, ces stations sont cruciales pour les économies locales.
Une étude exhaustive sur l’avenir des stations
L’étude, publiée dans la revue Nature Climate Change, a analysé 2.234 stations de 28 pays européens. Deux scénarios de réchauffement, 2°C et 4°C, ont été envisagés pour évaluer l’impact sur ces destinations hivernales.
Des conditions de neige en déclin
Samuel Morin, co-auteur de l’étude, souligne que le changement climatique entraînera des conditions de neige dégradées dans toutes les régions montagneuses d’Europe. Bien que les impacts varient selon les régions, la tendance générale est à la baisse de la couverture neigeuse.
Un avenir sombre sans neige artificielle
Sans la neige de culture, 53% des stations seraient à risque avec un réchauffement de 2°C. Ce chiffre grimpe à 98% avec un réchauffement de 4°C. La neige artificielle pourrait réduire ces proportions à 27% et 71% respectivement.
Les limites de la neige artificielle
Cependant, la neige artificielle n’est pas une solution miracle. Dans les régions à faible altitude ou situées plus au sud, les températures élevées rendent sa production inefficace.
Lorsque vous préparez vos bagages pour un voyage en avion, vous pensez sûrement à vos vêtements, vos accessoires et vos gadgets électroniques. Mais avez-vous pensé à la manière dont vous allez transporter vos piles et batteries?
Connaître la capacité de vos batteries
Tout dépend de la capacité et de la composition de vos piles ou batteries. Les batteries au lithium, par exemple, doivent généralement être emportées dans un bagage à main. Si elles sont dans un appareil électronique, elles peuvent parfois être placées dans un bagage enregistré. Pour les powerbanks, la plupart restent sous les 100 Wh, ce qui les rend aptes à être transportés en cabine. Si vous avez des batteries entre 100 et 160 Wh, signalez-le lors de l’enregistrement.
Notez que si les batteries doivent de préférence être en cabine, c’est parce que cela facilite l’accès en cas d’explosion !
Vérifiez les règles de votre compagnie aérienne
Chaque compagnie aérienne a ses propres directives concernant le transport de piles et batteries. Certaines peuvent exiger qu’elles soient emportées en cabine, tandis que d’autres peuvent avoir des zones spécifiques dans la soute pour elles. Consultez toujours le site web de votre compagnie aérienne pour connaître ses règles spécifiques.
Conseils pour un transport sécurisé
Si vous emportez des batteries de rechange, assurez-vous de les ranger en toute sécurité. Utilisez du ruban adhésif pour couvrir les pôles positif et négatif et placez chaque batterie dans un sac en plastique. Informez toujours le personnel au comptoir d’enregistrement de la présence de batteries dans vos bagages.
Après une interruption due à la crise sanitaire, l’Eastern & Oriental Express qui sillonne l’Asie du Sud-Est, revient sur les rails avec deux voyages en Malaisie mêlant culture, gastronomie, arts et architecture. Baptisées Essence of Malaysia et Wild Malaysia, ces deux nouvelles expériences ferroviaires de luxe combinent excursions inédites, gastronomie raffinée et service à l’ancienne, le tout à bord d’une rame composée de quinze wagons au luxe inouï. Ces voitures ont été entièrement redessinées et réaménagées, en ce compris l’emblématique Observation Car, placée en queue de train. On ne peut que tomber sous le charme des combinaisons de couleurs et des détails soigneusement sélectionnés qui ornent ce train légendaire.
Les voyageurs les plus aisés pourront jeter leur dévolu sur les cabines Presidential qui célèbrent de manière somptueuse la culture locale par des teintes dorées et des ornements brodés ou encore par le tapis surmonté d’une orchidée tigrée qui s’épanouit sur toute la longueur de la voiture piano-bar.
Deux itinéraires
Belmond propose donc deux nouveaux voyages saisonniers au départ de Singapour et qui courent au travers de la Malaisie : Essence of Malaysia (de novembre à février) et Wild Malaysia (de mars à octobre). La luxueuse rame partira de la gare de Woodlands à Singapour et se rendra dans des destinations telles que Penang, Langkawi et, pour la première fois, dans le parc national de Taman Negara, avant de revenir dans la cité-jardin.
Le voyage Essence of Malaysia pour sa part consiste en une excursion de trois nuits à travers les merveilles de l’ouest du pays. Il vous mène de Singapour à l’île colorée de Penang en passant par Kuala Lumpur et Langkawi. Après une journée de détente à bord, les passagers débarqueront du train à Alor Setar et prendront place sur une luxueuse embarcation pour une croisière privée jusqu’à Langkawi. Enfin, pour la première fois de son histoire, l’Eastern & Oriental Express propose aux passagers une excursion de plongée avec masque et tuba pour explorer la riche vie sous-marine du Pulau Payar Marine Park.
Régulièrement, l’Institut royal météorologique de Belgique (IRM) publie des cartes qui illustrent, à l’aide de différentes couleurs, le nombre moyen d’heures d’ensoleillement partout en Belgique. De quoi distinguer les zones les plus généreusement ensoleillées mais aussi celles qui le sont nettement moins.
Celle qui bat tous les records, avec 5,1 à 5,2 heures de soleil par jour, soit environ 1.830 heures sur une année, est Knokke-Heist. Viennent ensuite, à égalité, Middelkerke, Sint-Laureins et Zeebruges, avec 5 à 5,1 heures de soleil par jour, soit 1.800 heures par an. Pour ce qui est des grandes villes belges, c’est Bruges qui emporte la mise avec 4,9 à 5 heures de soleil par jour (1.760 heures par an). Gand et Anvers la suivent de près.
Et dans le Sud ?
Au sud du pays, c’est Mons qui est la mieux placée, vraisemblablement grâce à sa proximité avec la mer du Nord. Puis, étonnamment, on trouve ensuite Arlon, qui bénéficie du célèbre microclimat de la Gaume. En troisième place sur ce podium wallon, on trouve Liège.
À l’autre extrémité du classement, et ce à nouveau au niveau national, c’est Namur qui termine dernière. La région de Bruxelles-Capitale fait légèrement mieux mais demeure également dans le bas du classement.
Inauguré à Raeren, en Communauté germanophone, ce sentier certifié “Leading Quality Trails Best of Europe” traverse l’Est de la Belgique du nord au sud, reliant les Trois frontières à Bütgenbach. En six étapes, il invite les randonneurs à explorer la diversité et la richesse des cantons de l’est.
Découverte de trois paysages distincts
Le nom “Venntrilogie” est une fusion de “Venn“, signifiant les Fagnes en allemand, et “trilogie“, évoquant les trois types de paysages que l’on rencontre. Au nord, les marcheurs sont accueillis par de vastes prairies, puis par les fagnes avec leurs forêts et leur végétation unique. Plus au sud, les vallées et les rivières offrent un spectacle naturel apaisant.
Un outil touristique majeur pour la région
La Venntrilogie rejoint la Vennbahn et le Stoenman Arduenna, destiné au VTT, comme l’un des produits phares des cantons de l’Est. Les indications le long du parcours guident les randonneurs, fournissant des informations sur les distances, les hébergements, la restauration et d’autres points d’intérêt.
Collaboration et connexions transfrontalières
La ministre Isabelle Weykmans met en avant la collaboration avec l’Allemagne, car la Venntrilogie se connecte à l’Eifelsteig, un sentier de randonnée populaire en Allemagne. Des connexions futures avec le Luxembourg sont également à l’étude, renforçant le caractère international de ce projet.
Aux portes de l’Ardenne, celle qu’on appelle communément l’OVA, pour Ourthe-Vesdre-Amblève, est considérée par beaucoup comme le jardin de la ville de Liège. En effet, lorsqu’on quitte la Cité Ardente par le sud, on pénètre dans une région rurale verdoyante et empreinte de sérénité.
Comme son nom l’indique, l’Ourthe-Vesdre-Amblève se situe dans les vallées de l’Ourthe, de la Vesdre et de l’Amblève. Trois rivières qui, au fil des siècles, ont creusé des vallées et façonné des dizaines de panoramas grandioses. Sans surprise, l’homme s’y est installé pour y ériger des villages typiques ainsi que des châteaux majestueux.
Un spot parfait pour les randonnées pédestres
L’Ourthe-Vesdre-Amblève propose des attractions touristiques variées et renommées à l’image du Monde Sauvage d’Aywaille
OVA Tourisme
ou des Grottes de Remouchamps, mais aussi une multitude d’activités qui combleront celles et ceux qui cherchent à se dépenser dans un cadre bucolique et authentique, le tout rehaussé d’un patrimoine exceptionnel. Du kayak à la balade à cheval, en passant par le VTT et la randonnée, il y en a vraiment pour tous les goûts.
Pour les amateurs de marche, les autorités locales sont occupées à mettre en place des itinéraires pédestres avec des hébergements-étapes. Concrètement, la formule consiste en une série de randonnées d’environ 15 à 20 km par jour, étalées sur plusieurs journées et qui s’effectuent en boucle. Chaque matin, vous partez d’une chambre d’hôte ou d’un hôtel et empruntez les plus beaux chemins de la région vers votre nouvelle étape. Les itinéraires concoctés font bien entendu la part belle aux plus beaux sites touristiques de l’OVA mais aussi aux points de vue les plus impressionnants ainsi qu’aux routes pittoresques.
Les différentes étapes qui jalonneront votre parcours sont aussi l’occasion de rencontrer des producteurs locaux qui vous proposeront de déguster de nombreux produits du terroir dont des bières, des fromages, des fruits ou encore des charcuteries et salaisons. La garantie de pouvoir profiter de pique-niques à chaque fois différents, rehaussés de produits d’exception, mais aussi de découvrir les meilleursrestaurants de la région !
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Des balades thématiques
Neuf boucles ont d’ores et déjà été constituées pour les randonneurs : quatre de trois jours (d’environ 18 km/jour) ponctuées d’hébergements relais, et cinq boucles modulables d’environ 13 km/jour qui se font à chaque fois au départ d’Esneux. Les quatre premières sont d’ores et déjà reprises dans des brochures pratiques qui peuvent être téléchargées en PDF : la Sylvestre (itinéraire principalement forestier), l’Épicurienne (émaillée de visites auprès de producteurs du terroir), la Patrimoniale (qui vous permet d’apprécier les plus beaux sites de la région) et enfin la Torrentielle (qui suit le parcours des rivières locales). Pour plus d’informations, jetez un œil au site d’OVA Tourisme.
Notez que la région se découvre aussi à vélo, à cheval et en kayak ! Les familles avec enfants apprécieront particulièrement le parcours cyclable Totemus tandis que deux boucles spécifiques sont dédiées aux personnes à mobilité réduite.
Dans la culture belge et plus globalement, dans toute l’Europe, le pourboire est un moyen de remercier le personnel pour la qualité des services. Cependant, cette notion de satisfaction client n’est pas universelle. Dans certains pays, le pourboire a une connotation négative.
En effet, même au cœur de l’Europe, il existe certaines différences. Sachez d’abord que la moyenne est généralement de 10%. Cependant, chaque pays a ses particularités. En Italie, le pourboire peut être inclus dans la note, tandis qu’en Pologne, il est préférable de le donner directement au serveur. En Espagne, il est courant d’arrondir la note à l’euro supérieur.
Les États-Unis et l’Amérique du Nord
Aux États-Unis, le pourboire est essentiel, car de nombreux employés dépendent de celui-ci pour compléter leurs revenus. Il est courant de donner un pourboire de 20% de l’addition. Cette norme s’étend également au Canada, au Mexique et à Cuba, avec des moyennes variant entre 10 et 20%.
L’Asie et ses nuances
Dans certains pays asiatiques comme la Chine et le Japon, donner un pourboire peut être mal vu. La qualité du service est souvent incluse dans le prix, et donner un pourboire peut insinuer le contraire. En Corée, cela peut même être perçu comme une tentative d’établir une hiérarchie.
Avant de partir à l’étranger, renseignez-vous sur les coutumes locales en matière de pourboire. Cela vous évitera des malentendus et vous permettra de montrer votre appréciation de la manière la plus respectueuse possible.
Les autorités népalaises envisagent d’augmenter le prix d’entrée pour les aventuriers étrangers, en faisant passer le billet d’ascension de 11.000 dollars à 15.000 dollars. Le conseil des ministres est actuellement en plein brainstorming. En cas d’accord, préparez-vous à réajuster vos budgets de voyage à partir de 2025.
Si vous pensiez que l’herbe (ou plutôt la neige) était plus blanche en Chine, détrompez-vous! L’ascension depuis l’Empire du milieu y est déjà légèrement plus onéreuse. Et avec l’engouement croissant pour l’Everest, le Népal n’est pas le seul à jouer avec les tarifs.
L’Antarctique n’est probablement pas la première destination qui vient à l’esprit du touriste lambda mais celle-ci gagne néanmoins en popularité, d’autant que les possibilités d’atteindre cette zone reculée sont de plus en plus nombreuses. Une fréquentation en nette hausse qui pousse certains à appeler à interdire le tourisme vers le “Continent blanc”. C’est notamment le cas de la journaliste Sara Clemence qui n’hésite pas à expliquer, dans un article paru sur le site de The Atlantic, pourquoi l’Antarctique est une destination à oublier en tant que touriste.
Une zone préservée… à préserver
L’Antarctique, qui est resté inaccessible à l’homme pendant des siècles et n’a été ouvert au tourisme que récemment, présente un attrait que peu d’autres endroits sur Terre peuvent offrir, notamment grâce à sa nature sauvage et intacte. À l’instar du tourisme spatial ou de la plongée, les globetrotters sont attirés par la nouveauté que représente la visite d’un paysage totalement gelé et vierge, mais aussi d’un endroit où peu d’autres personnes se sont aventurées auparavant. L’aspect “tourisme de la dernière chance” conjugué à l’idée de visiter un endroit qui disparaîtra bientôt en raison du changement climatique, renforce encore l’intérêt pour la destination.
Cassie Matias
Sara Clemence estime que c’est précisément pour cette raison que les touristes devraient être interdits de fréquenter le continent car leur présence en hausse constante menace l’environnement délicat dans lequel ils pénètrent. L’été dernier, 100.000 touristes sont arrivés en Antarctique, principalement par le biais de croisières, ce qui représente une augmentation de 40 % par rapport aux années antérieures à la pandémie et n’est en rien comparable aux quelques centaines de visiteurs que le continent recevait au cours de l’été il y a quarante ans.
Pour rappel, l’Antarctique n’est pas accessible par le train ou les transports publics et il n’y a aucune alternative de transport respectueuse de l’environnement. Il n’y a que deux options, les avions et les croisières, qui doivent tous deux parcourir des milliers de kilomètres pour atteindre les côtes du continent, en brûlant des réservoirs remplis de carburant en chemin. “L’empreinte carbone d’une personne effectuant une croisière en Antarctique est comparable aux émissions annuelles d’un Européen moyen”, affirme la journaliste.
Rod Long
Un sacré paradoxe…
Comble de l’indécence, l’année dernière, un tour-opérateur a ouvert un camp de luxe, uniquement accessible par jet privé, offrant même aux couples à la recherche d’une expérience exceptionnelle la possibilité de se marier au beau milieu de ce désert blanc. “Les invités, qui paient au moins 65.000 $ par séjour, sont encouragés à explorer le continent en avion, en ski-Doo et en camion arctique, avant de déguster un repas gastronomique dont les ingrédients sont acheminés par avion depuis l’Afrique du Sud…”, déplore l’auteure.
Le sort de l’Antarctique relève donc du paradoxe : son attrait inné est ce qui, en fin de compte, contribue à sa destruction.
Il est courant d’entendre qu’il faut réserver son billet d’avion à une heure précise, comme à 3 heures du matin un mardi, ou encore utiliser la navigation privée pour obtenir un meilleur tarif. Cependant, selon Frédéric Pilloud, directeur marketing et e-commerce de MisterFly et cité dans le Figaro, ces astuces relèvent davantage de la légende urbaine. En réalité, l’heure et le jour de la réservation n’ont pas d’impact direct sur le prix final du billet.
Pourquoi les prix fluctuent-ils autant?
Les variations de prix constantes s’expliquent par le “yield management”. Cette méthode de fixation des prix s’adapte en fonction de la demande et du nombre de recherches. Les compagnies aériennes peuvent ajuster leurs tarifs en fonction de divers facteurs, tels que le taux de remplissage ou les tarifs des concurrents. De plus, chaque rangée de sièges dans un avion a un prix spécifique, et dès qu’elle est réservée, le tarif passe à la tranche supérieure.
La clé : Anticiper
L’anticipation est la véritable astuce pour obtenir un bon tarif. Il est conseillé de réserver son billet plusieurs mois à l’avance, idéalement en janvier pour un départ en été. Cependant, réserver trop tôt, comme un an avant le départ, peut ne pas être avantageux, car les compagnies peuvent réduire leurs tarifs au fil des mois. De plus, les départs en milieu de semaine, du mardi au jeudi, sont souvent moins onéreux que ceux du week-end. Les mois de juin et septembre offrent également des tarifs avantageux par rapport à la haute saison de juillet et août.
Conseils supplémentaires
Pour maximiser vos chances d’obtenir un bon tarif, inscrivez-vous aux newsletters des compagnies aériennes pour être informé des ventes flash. Vous pouvez également créer des alertes sur des comparateurs de vols pour être notifié lorsque les prix baissent pour votre trajet et période souhaités.
