Cette situation économique difficile, sous la nouvelle présidence ultralibérale de Javier Milei, a profondément impacté les habitudes des vacanciers. Habituellement bondée, la plage voit désormais des espaces libres, inhabituels pour cette période.
Un tourisme en berne
La ville, d’ordinaire un lieu effervescent accueillant six fois plus de touristes que ses 650.000 habitants entre Noël et février, connaît une baisse significative de son activité touristique. Avec seulement 60% d’occupation mi-janvier, les professionnels du tourisme local considèrent la saison comme perdue.
Les vacanciers sous le poids de l’austérité
L’inflation, qui a atteint 211,4% sur l’année, et la dévaluation du peso de plus de 50% en décembre, ont érodé le pouvoir d’achat des Argentins. Pour le secteur hôtelier, la chute est brutale : il a vu une baisse de fréquentation de 20 à 30% par rapport à l’année précédente.
Du 21 février au 16 juin 2024, Bozar commémorera les 100 ans du surréalisme avec une exposition intitulée “Histoire de ne pas rire – Le surréalisme en Belgique”, consacrée au célèbre mouvement d’avant-garde belge sur une période de pas moins de 60 ans. Celle-ci comprendra notamment des œuvres signées par Paul Nougé, René Magritte, Jane Graverol, Marcel Mariën, Rachel Baes, Leo Dohmen, Paul Delvaux, Salvador Dalí, Giorgio De Chirico et bien d’autres.
Les Musées royaux des Beaux-Arts pour leur part profiteront de l’occasion pour accueillir une exposition itinérante conçue avec le Centre Pompidou. Une immersion dans la poésie surréaliste, à travers les thématiques du rêve, du labyrinthe, de la métamorphose, de l’inconnu et du subconscient, emmenée par les grands noms du surréalisme, de Max Ernst à Giorgio de Chirico, en passant par Dali, Miro et Man Ray.
Ensor et Rodin
En parallèle de ces deux expos incontournables se poursuivra tout au long de 2024 “l’année Ensor” à l’occasion du 75e anniversaire de sa mort. À Mons, à partir du 13 avril, le BAM accueillera une exposition Rodin à parcourir comme une “revisite” du cheminement artistique de l’artiste avec son expérience belge en point d’orgue. Au programme : près de deux cents sculptures parmi les plus célèbres de l’artiste, dont certaines monumentales, mais aussi des dessins, des gravures et des peintures.
Mais ce n’est évidemment pas tout ! En effet, de nombreuses autres manifestations auront lieu dans le pays au fil des prochains mois. Le Wiels à Forest propose, dès ce 2 février, une exposition consacrée à l’artiste belge Jef Geys, décédé en 2018. En parallèle, le même centre d’art contemporain exposera le travail récent de l’artiste colombien Oscar Murillo.
À la Villa Empain, on rendra hommage avec l’expo House of Dreamers à partir du 4 avril au couple mythique d’artistes Anni et Josef Albers, figures marquantes du modernisme.
Au Musée d’art de la province du Hainaut à Charleroi, à partir du 10 février, ce sera l’artiste américain Banks Violette, baptisé “l’enfant terrible de l’art contemporain”, qui occupera l’ensemble des salles d’exposition avec une quarantaine d’œuvres, dont des installations monumentales qui côtoieront ses créations les plus récentes.
Enfin, au printemps, rouvrira à Jabbeke, le Mu.ZEE (le musée Constant Permeke) avec un tout nouveau contenu hébergé dans une bâtisse moderniste unique en son genre, comprenant un atelier de sculpture où le peintre vécut jusqu’à sa mort.
Lors de l’assemblée générale de l’Association culturelle des bouquinistes de Paris, une majorité des membres a voté pour une action en justice au tribunal administratif. Jérôme Callais, le président de l’association, souligne l’unanimité du vote, reflétant l’ampleur de l’enjeu pour ces commerçants.
Concessions et inquiétudes
La préfecture a révisé son plan initial, réduisant le nombre de boîtes à démonter de 604 à 428. Cependant, malgré ce compromis, les bouquinistes persistent dans leur démarche judiciaire. Ils réclament soit le maintien des boîtes, soit une indemnisation et un traitement respectueux de ces librairies à ciel ouvert, inscrites au patrimoine culturel immatériel français.
Des boîtes endommagées lors du démontage ?
Les bouquinistes restent malgré tout très méfiants à l’égard de la mairie. Ils craignent en effet des dommages irréparables à leurs installations, avec des conséquences directes sur leurs revenus.
Le maire de Londres n’a pas hésité à critiquer l’approche « extrêmement dure » du gouvernement conservateur envers le Brexit. Il a également pointé du doigt l’attitude du parti travailliste, qu’il accuse de maintenir un silence sur la question d’une possible réintégration économique avec l’UE.
La jeunesse londonienne, première victime du Brexit
Selon Khan, les jeunes londoniens ont particulièrement souffert des répercussions du Brexit. Le départ du programme Erasmus et les difficultés accrues pour travailler à l’étranger sont des exemples concrets de ces impacts négatifs.
Vers un nouveau programme de mobilité ?
Dans sa quête d’un troisième mandat, Sadiq Khan envisage la création d’un programme de mobilité pour les jeunes, qui bénéficierait non seulement à Londres mais aussi au Royaume-Uni dans son ensemble, sur les plans économique, culturel et social.
Londres, une ville européenne malgré le Brexit
Le maire insiste sur le fait que, bien que le Royaume-Uni ait quitté l’UE, Londres reste et demeurera une ville profondément européenne. De quoi remettre en question l’obligation de passeport ?
Avec le froid qui est de retour en ce début d’année, qui n’a pas envie de se faire dorloter bien au chaud et en bonne compagnie ? En la matière, la Saint-Valentin est un excellent prétexte pour s’évader en couple et, une fois de retour chez vous, repartir du bon pied et requinqué. Nous vous proposons donc une sélection des meilleurs hébergements en Wallonie, équipés d’un espace dédié au bien-être. De quoi vous permettre de combiner un moment de complicité avec l’être cher, tout en vivant une expérience inoubliable.
Le Manoir de Lébioles
CGT – Arnaud Siquet
Lové au cœur de la région spadoise, c’est l’un des plus beaux spas du pays ! Pourvu d’une vue imprenable sur une magnifique vallée verdoyante, le Manoir de Lébioles accueille ses hôtes dans une atmosphère à la fois chic et surannée, rehaussée d’un service irréprochable, digne des étoiles que compte l’établissement. Le wellness propose notamment un sauna, un hammam, une douche aromathérapie, ainsi qu’une série de soins et traitements prodigués en collaboration avec les marques de cosmétiques premium Valmont et Babor.
Niché dans la forêt de Soignes, ce resort quatre étoiles se rejoint facilement en voiture. Les maîtres-mots y sont détente et luxe, ce qui en fait une destination idéale pour un séjour cocooning, loin de l’agitation. Après un copieux petit déjeuner dégusté face à la forêt, rien de tel qu’une balade pour recharger vos batteries, puis place au lâcher-prise dans un cadre on ne peut plus zen, sur pas moins de 800 m² ! Le Spa Cinq Mondes vous fera vivre une expérience sensorielle inoubliable avec, par exemple, la possibilité de se relaxer dans un bain japonais parsemé de fleurs !
Situé à 4 km de Crupet, l’un des plus beaux villages de Wallonie, ce superbe château qui fut la demeure de Clémentine de Belgique et de Victor Napoléon Bonaparte, vous propose de passer un moment au vert, dans un hébergement classique ou insolite. Vie de château, cabane perchée, cube futuriste en pleine nature, hutte ou encore bivouac fait de roulottes en toile, demandez à Cupidon ce qu’il préfère pour passer la nuit ! Le wellness du château compte une piscine chauffée, un hammam, un bain scandinave, deux saunas et une tisanerie où il fait bon se ressourcer. Le dépaysement est garanti !
Cet hôtel qui a pris ses quartiers dans une ancienne église néo-gothique est avant tout un lieu chargé d’histoire. Partout les traces du passé sont là : voûtes gothiques, arcs brisés, rosaces, vitraux, colonnes imposantes, et ce, jusque dans les chambres aux plafonds démesurés. Expo 58, Magritte, Eddy Merckx, Art Nouveau, 5 sens, chaque chambre vous fait vivre une expérience exclusive. Le spa de l’hôtel, baptisé Martin’s Alterego, est un cocon de bien-être pourvu d’un jacuzzi, d’un hammam et d’un sauna où il fait bon… buller en toute sérénité !
Incontournable en province du Luxembourg, l’hôtel-restaurant Le Quartier Latin offre des chambres agréables, dont une partie est hébergée dans une ancienne église jésuite du 18e siècle, mais aussi un centre de bien-être ainsi qu’un restaurant gastronomique, le tout au centre de la ville de Marche-en-Famenne. Tout y est prévu pour vous faire oublier votre quotidien et profiter des plaisirs de la vie le temps d’un week-end, à commencer par son spa où tel un havre de paix, il fait bon se ressourcer. Un endroit magique où le corps et l’esprit s’évadent pour quelques heures ou le temps d’un week-end… en amoureux !
La société belge ArcelorMittal, en partenariat avec l’Institut indien de Technologie de Madras (IIT Madras), des équipes d’étudiants et la startup TuTR Hyperloop, annonce le lancement du premier démonstrateur de train rapide à sustentation magnétique de type Hyperloop à Madras.
Hyperloop
L’Hyperloop est un concept de transport futuriste où des capsules pressurisées se déplacent à grande vitesse, pouvant atteindre 1.200 km/h, dans un tube à basse pression grâce à la sustentation magnétique. À ce jour, bien que plusieurs startups travaillent sur ce concept, aucune ligne opérationnelle n’a encore été mise en service. Un tube de 400 mètres est prévu pour les tests, où des capsules seront expérimentées à des vitesses allant jusqu’à 200 km/heure.
Selon Eurostat, l’office européen des statistiques, 2023 a été une année record pour l’industrie touristique européenne. Les hébergements tels que les hôtels, maisons de vacances et campings ont connu un afflux exceptionnel, marquant un retour en force du tourisme.
Des chiffres impressionnants
Les touristes ont cumulé 2,92 milliards denuitées dans l’Union européenne en 2023, soit une hausse de plus de 6% par rapport à 2022, une année encore impactée par la crise sanitaire. Ces chiffres surpassent également ceux de 2019, avant la pandémie, où 2,87 milliards de nuitées avaient été enregistrées.
Contribution des touristes internationaux
En 2023, ce sont principalement les touristes originaires de pays tiers qui ont stimulé ce rebond. Ils ont constitué 46% des nuitées, se rapprochant de leur niveau d’avant la crise sanitaire (47%).
Et en Belgique ?
La Belgique, dès 2022, a vu son nombre de nuitées touristiques surpasser ceux de 2019, témoignant d’une reprise anticipée dans notre pays.
La Belgique pourrait bientôt rejoindre le cercle restreint des pays européens bénéficiant d’une exemption de visa pour les courts séjours en Chine. Cette annonce, faite par la ministre des Affaires étrangères belge, Hadja Lahbib, vient après une série d’entretiens avec des hauts responsables chinois, y compris le président Xi Jinping. Actuellement, cinq pays de l’Union européenne jouissent déjà de cet avantage : la France, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne.
La neige est un élément essentiel de notre environnement. Une étude récente dans la revue Nature souligne que la raréfaction de la neige sous l’effet du réchauffement climatique est une menace qui pèse lourdement sur l’approvisionnement en eau de centaines de millions de personnes.
Des données alarmantes
Selon une étude de l’université de Dartmouth, 80% de la masse neigeuse de l’hémisphère nord se trouve dans des zones où le manteau neigeux reste relativement intact. Cependant, les 20% restants, situés dans des régions plus chaudes, sont en danger. Alexandre Gottlieb, doctorant et auteur principal de l’étude, met en garde : “D’ici la fin du 21e siècle, certains endroits pourraient être presque dépourvus de neige en mars.”
Impact sur l’eau et le tourisme
La diminution de la neige affecte directement les réserves d’eau, vitales pour les rivières, les ruisseaux et l’agriculture. Le sud-ouest et le nord-est des États-Unis, ainsi que l’Europe centrale et orientale, ont vu leur manteau neigeux diminuer de 10 à 20% par décennie depuis les années 1980. Cela se traduit par une baisse de 30 à 40% de l’eau de source disponible dans des régions clés comme le Mississippi supérieur et le Danube ! Bien entendu, le tourisme hivernal, en particulier les stations de ski, est également menacé par ce phénomène.
Enfin, outre lesrisques d’inondations dus au remplacement de la neige par la pluie en hiver, l’écosystème et la santé des forêts sont aussi en jeu, avec une augmentation des risques d’incendies et de propagation de parasites.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le ton est donné ! En effet, en décembre dernier, le ministre des Transports français, Clément Beaune, a appelé les Parisiens à “prendre des congés” pendant les JO. Une manière de dire que si ces derniers ne se déplacent pas, cela facilitera la tâche pour accueillir les 800.000 spectateurs attendus chaque jour. De même, il recommande de faire “plus de télétravail” durant cette période, ce qui revient à inviter tout un chacun à ne pas se déplacer voire à quitter la région parisienne, afin de faciliter la tâche aux services concernés pour accueillir tout ce petit monde. Il faut dire que le réseau de transports en commun local est déjà au bord de la saturation en temps normal, ce qui constitue un sacré challenge et fait peser une certaine tension sur ces jeux parisiens.
185 km de route interdits à la circulation
Mais les transports en commun ne sont les seuls concernés. En effet, l’inquiétude grandit aussi dans le chef des automobilistes, les difficultés à venir en matière d’accès et de circulation dans l’agglomération de Paris se multipliant. Au menu pendant quasiment un mois : restrictions de circulation, axes fermés et sites inaccessibles. Une période qui risque d’être particulièrement difficile pour celles et ceux qui se déplacent en voiture.
Ces restrictions de circulation toucheront les sites des épreuves mais aussi les communes aux alentours. Le ministre des Transports a également annoncé vouloir dévier le trafic de transit. Ce qui aura comme conséquence d’augmenter la circulation sur des routes qui ne sont pas forcément adaptées pour. Parmi les zones fermées à la circulation, on peut citer le Stade de France, les quartiers des Invalides, Trocadéro, Concorde, Bercy ou encore Roland-Garros. Mais ce n’est pas tout ! Des fan zones tout comme des lieux pour fêter le sport vont être installés partout dans la capitale. Du coup, vouloir circuler facilement en voiture dans les rues de Paris sera quasiment mission impossible. Au total, pas moins de 185 kilomètres de route seront interdits à la circulation !
Les voies de l’A1 entre Paris et l’aéroport Roissy, l’A13 ou encore deux tiers du périphérique seront principalement concernées. Lorsque l’on connaît le trafic habituel sur ces axes, il y a de quoi ici aussi s’inquiéter… D’autant que la mairie de Paris compte bien se servir des jeux Olympiques pour condamner définitivement ces axes, l’objectif étant de développer le covoiturage et la mobilité douce dans la capitale.
Bref, si vous êtes allergique à la foule ainsi qu’aux embarras de circulation, la réponse est oui, mieux vaut éviter Paris durant la période des jeux Olympiques !