L’Atelier Brückner a récemment inauguré « Le Voyage des Pionniers » au Musée du Futur de Dubaï. Cette exposition, s’étendant sur trois étages et 3.000 mètres carrés, promet une aventure futuriste franchement hors du commun !
Giovanni Emilio Galanello
Trois étages, trois voyages
Chaque niveau du musée offre une expérience immersive bien spécifique, avec des récits spatiaux sur la vie dans l’espace, sur la bio-ingénierie, ainsi que sur la régénération des écosystèmes endommagés. Un espace ludique et intuitif “Future Heroes” est également dédié aux enfants jusqu’à 12 ans, couvrant 1,200 mètres carrés au premier étage.
Giovanni Emilio Galanello
Architecture et vision
L’architecture insolite du musée, en forme d’anneau argenté, est ornée de calligraphies spiralées, rappelant la philosophie du Sheikh Zayed : “l’avenir appartient à ceux qui peuvent l’imaginer, le concevoir et l’exécuter“.
Giovanni Emilio Galanello
Une expédition spatiale
L’exposition commence par un voyage dans l’espace en 2071, où les visiteurs sont recrutés pour une mission sur la station spatiale OSS Hope. Cette mission vise à utiliser l’énergie solaire pour alimenter l’humanité depuis la lune.
Les visiteurs découvrent un monde transformé et plus durable, avec des villes comme le Caire devenues des “Green Cities”. Malgré ces avancées, des défis persistent, comme les incendies menaçant la forêt amazonienne.
Giovanni Emilio Galanello
HEAL Institute : régénération écosystémique
Au quatrième étage, le HEAL Institute invite les visiteurs à devenir des pionniers dans la régénération des écosystèmes. L’expérience est enrichie par la découverte de la faune et de la flore, et l’utilisation de la technologie Biosynth pour la création d’espèces améliorées.
Giovanni Emilio Galanello
ALWAHA : un espace de bien-être
Enfin, ALWAHA offre une expérience de bien-être et de reconnexion avec soi-même, grâce à des thérapies utilisant de nouvelles technologies, dans une atmosphère relaxante.
De nombreux Belges se rendant en Suisse ou en Italie, et cherchant à éviter tant les dispendieux péages français que l’exorbitant tunnel du Mont-Blanc, ont pris l’habitude de s’acquiter des 40 CHF nécessaires à l’acquisition de la vignette autoroutière helvète. Un sésame créé il y a 40 ans et que l’on peut acquérir soit à la frontière, soit en ligne. Mais la confédération a pris la décision de dématérialiser celle-ci, à compter de cette année.
Comment ça fonctionne ?
On le sait, cette “redevance” de 40 CHF (soit environ 42 €) est obligatoire pour circuler sur les autoroutes et voies rapides en Suisse. Une fois acquittée, l’automobiliste reçoit une vignette qu’il est prié de coller sur son pare-brise, bien en évidence. Mais depuis la fin de l’année dernière, il est désormais possible d’opter pour une vignette électronique ou, pour les fans du petit autocollant coloré, pour la vignette conventionnelle. La première est disponible sur le portail de l’Office fédéral des douanes (OFDF) ou sur le site http://www.e-vignette.ch.
Pour acheter cette vignette électronique, il suffit d’indiquer la catégorie du véhicule, le pays d’immatriculation et le numéro repris sur votre plaque d’immatriculation. Plus besoin donc de s’arrêter au poste-frontière. Autre différence importante : inutile de décoller et recoller la vignette en cas de problème, comme un bris de pare-brise, ou de changement de voiture, à condition que vous utilisiez la même plaque, l’e-vignette y étant liée.
Même tarif
La variante autocollante de ladite vignette est maintenue mais le Conseil fédéral pourra la supprimer si la part des ventes tombe en dessous des 10%, soit environ un million d’exemplaires. Depuis son lancement, la vignette électronique a d’ores et déjà été vendue 250.000 fois sur le site de l’OFDF. Qu’elle soit électronique ou à coller, la vignette reste valable 14 mois comme auparavant, et donc jusqu’au 31 janvier 2025 pour l’édition 2024. Son prix reste inchangé, soit 40 CHF (42 €).
Les vignettes électroniques feront l’objet de contrôles automatisés, avec des installations fixes mais aussi des appareils mobiles. Pour rappel, le conducteur qui ne se serait pas acquitté de cette redevance obligatoire, s’expose à une amende de 200 CHF et devra en plus acquérir une vignette. Sachez enfin que tous les véhicules sont concernés : voitures, camping-cars, motos, remorques ou encore caravanes.
On le sait, les voyages en train de nuit connaissent un nouvel essor, encouragés par un flight shame qui gagne en popularité. Mi-décembre, un premier Nightjet en provenance de Berlin est arrivé en gare de Bruxelles-Midi mardi, un peu avant 11 heures. Une nouvelle ligne de nuit qui est le fruit d’une collaboration entre les opérateurs ferroviaires allemand (DB), belge (SNCB), français (SNCF) et autrichien (ÖBB), et qui relie Berlin à Bruxelles, en passant par Francfort, Cologne, Aix-la-Chapelle et Liège. Le même consortium lance également une nouvelle ligne entre Berlin et Paris.
Pour rappel, le projet Nightjet, lancé à l’initiative des chemins de fer autrichiens qui, il faut le dire, ont fait preuve d’un sacré courage, proposait déjà depuis plusieurs mois une connexion nocturne entre Vienne et Bruxelles en passant par Munich et Linz.
Les départs de Bruxelles vers Berlin et Vienne sont prévus trois fois par semaine : les mardis, jeudis et samedis en soirée, avec arrivée le lendemain matin. Les retours vers la Belgique s’organisent les lundis, mercredis et vendredis. Entre Bruxelles et Berlin, le nouveau Nightjet vient concurrencer l’European Sleeper, cet autre train de nuit qui relie les deux villes, mais en passant par le nord de la Belgique et les Pays-Bas. European Sleeper prévoit par ailleurs de prolonger son trajet jusqu’à Dresde et Prague dès le 25 mars 2024.
Regain d’intérêt
Abandonnés au début des années 2000, les trains de nuit connaissent aujourd’hui un nouvel essor. Les préoccupations climatiques croissantes et le développement du slow tourism ont remis ce moyen de transport longue distance au centre du jeu. L’EEA (l’Agence européenne pour l’environnement) estime en effet que le voyage en train produit en moyenne 80 % de pollution carbone en moins par personne et par kilomètre que l’avion !
Malheureusement, voyager en train plutôt qu’en avion reste, pour l’heure, généralement plus cher. Un rapport de Greenpeace met en évidence que le prix d’un billet pour voyager en train entre Bruxelles et 20 destinations analysées est en moyenne trois fois plus élevé que le prix d’un billet d’avion pour parcourir le même trajet !
Booking tire la sonnette d’alarme : jamais les pirates agissant sur le web n’ont été aussi organisés et efficaces qu’aujourd’hui. Ceux-ci parviennent en effet à reproduire fidèlement les communications des sites officiels tout en étant à même d’accéder à l’adresse électronique et à la fonction de chat de ceux-ci ! De quoi précipiter bon nombre d’internautes dans le panneau et leur faire perdre des centaines voire des milliers d’euros…
Pour éviter, à votre tour, de vous faire arnaquer lors de la réservation d’un billet d’avion ou d’une chambre d’hôtel, voici une série de conseils qu’on vous recommande de suivre à la lettre.
1. Priorité aux sites connus
Lorsque vous réservez vos vacances, optez pour des plateformes de confiance, telles que le site officiel de la compagnie aérienne ou des entreprises ayant pignon sur rue comme Vacancesweb…
2. Trop beau pour être vrai
Si vous trouvez un hébergement ou un billet d’avion à un prix nettement inférieur à la moyenne, c’est qu’il y a anguille sous roche. Si certaines plateformes de réservation tierces peuvent proposer des prix légèrement inférieurs à ceux appliqués par des sites officiels, les différences ne sont néanmoins jamais énormes. Ne vous laissez donc pas avoir par des prix super avantageux proposés par des sites méconnus.
3. Évitez de payer à l’avance
Bien que la réservation sur les grandes plateformes soit relativement sûre, sachez tout de même que sur ces dernières aussi, de faux lieux peuvent se glisser dans les listes officielles. Que l’endroit n’existe pas ou que vous découvriez, une fois sur place, qu’il est loin de correspondre à la description de l’annonce, il est toujours préférable de ne payer qu’une fois arrivé à bon port et pas lors de la réservation.
4. Fiez-vous aux reviews
Certains sites comme Tripadvisor et Google Maps se sont spécialisés dans la récolte d’avis sur des endroits et sites touristiques tout autour du globe. Consultez-les avant de réserver quelque part, qu’il s’agisse d’un hôtel, d’un restaurant, d’un musée voire même d’une plage.
5. Il n’y a pas le feu
Ne faites jamais confiance à un interlocuteur qui vous demande de payer dans un délai très court. Si, lors de la réservation, on vous demande d’envoyer un paiement anticipé, partiel ou total, dans un court laps de temps, méfiez-vous ! Le cas le plus typique est celui où ce qui semble être la plateforme de réservation utilisée peu avant vous informe qu’il y a eu un problème dans le traitement des données de votre carte de crédit lors de la réservation et que vous devez reconfirmer celles-ci dans les 4 heures ou, parfois, dans la journée.
6. Méfiez-vous des fichiers à télécharger
Si vous recevez un e-mail ou un message relatif à vos vacances auquel vous ne vous attendiez pas, ne téléchargez pas sa pièce jointe et ne cliquez sur aucun lien. Vérifiez l’intitulé de l’adresse e-mail qui vous transmet ce message, c’est souvent un excellent indicateur. En cas de doute, prenez contact avec la plateforme de réservation en utilisant l’adresse de contact reprise dans votre confirmation de réservation.
7. Suivez vos intuitions
Si quelque chose vous semble suspect, vérifiez, dans la mesure du possible, les informations auxquelles vous êtes confronté. Vous pouvez par exemple utiliser Google Maps et Google Street View pour jeter un œil à l’adresse où vous envisagez de vous rendre. Si vous recevez un e-mail qui semble provenir de l’hôtel que vous avez réservé peu avant, il est préférable d’appeler celui-ci ou de contacter le service clientèle de la plateforme que vous avez utilisée pour effectuer la réservation.
Toutes ces précautions devraient vous permettre d’éviter la majorité des fraudes et arnaques mises en place par les fraudeurs qui sévissent sur le web.
Selon l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), le secteur du tourisme international devrait connaître une reprise significative en 2024, surpassant même les niveaux observés avant la pandémie de Covid-19 ! C’est principalement la locomotive asiatique qui devrait tirer les chiffres vers le haut et ce, en dépit de tensions internationales.
L’année 2023 a marqué une étape importante avec 1,3 milliard de touristes internationaux, soit une hausse de 44% par rapport à 2022. Ce chiffre représente 88% du niveau de 2019, indiquant une reprise soutenue du secteur.
Et selon les régions ?
Le Moyen-Orient a enregistré une forte progression avec une augmentation de 22% par rapport à 2019. L’Europe, en tant que première destination touristique, a atteint 94% de son niveau d’avant pandémie. L’Asie, cependant, a connu une reprise plus modeste, limitée à 65% du niveau de 2019, malgré la fin de la politique “zéro-Covid” en Chine. Mais la situation devrait changer en 2024…
En effet, Zurab Pololikashvili, secrétaire général de l’OMT, souligne la résilience et le rebond rapide du tourisme, prévoyant une activité en 2024 supérieure de 2% à celle de 2019. L’assouplissement des restrictions de visas et l’augmentation des voyages depuis la Chine devraient contribuer à cette croissance.
L’économie et les guerres : des freins au tourisme ?
L’OMT met toutefois en garde contre les risques économiques et géopolitiques, notamment au Proche-Orient. L’inflation, les taux d’intérêt élevés, et la volatilité des prix du pétrole pourraient également influencer les coûts de transport et d’hébergement en 2024.
Envolées, les bonnes résolutions ?
A noter que les résolutions prises pendant la période COVID, comme des voyages plus respectueux de l’environnement, plus proches et à l’écart des grosses masses touristiques ne semblent être considérées que par une minorité de touristes, principalement européens.
Ginmay est un gin complexe, surprenant, doux et parfois piquant. Ses nombreuses distillations à base de coriandre, de baies de genévrier et de semences angéliques sont agrémentées par des infusions de cardamome, de thym, d’abricot, d’orange amer et de prunellier. Le tout est concocté dans la région de Charleroi à l’aide d’ingrédients 100 % bios et, dans la mesure du possible, d’origine locale.
Ikigai est le premier né de la famille des gins proposés par Eskæpe. Imaginé dans un esprit très japonais, celui-ci se démarque par ses notes de fleurs de sakura, les cerisiers du Japon, sélectionnées et cueillies au moment où elles sont les plus belles et les plus aromatiques. On y retrouve également le citron yuzu ainsi que 17 autres plantes aromatiques dont le poivre de Sichuan qui provoquent une belle explosion florale en bouche. Les gins d’Eskæpe sont distillés à Pepingen dans le Brabant flamand.
Produit à Genappe dans le Brabant wallon, Squirus est né de la complicité qui a réuni deux jeunes amis passionnés de gin et désireux de partager leur passion tout en l’alliant à leur intérêt commun pour la nature. Sans surprise, ce breuvage offre des arômes 100 % naturels, directement issus des forêts wallonnes. De quoi faire de ce gin belge un produit au goût à la fois complexe et surprenant.
Élaboré à Baelen en région liégeoise, le gin Bucolique est un breuvage artisanal dont les principaux ingrédients sont la nectarine, le romarin et le poivre de Kampot rouge. Rond, soyeux, complexe et fruité, les arômes délicats du romarin de ce gin mettent superbement en évidence la nectarine, tandis que le poivre éveille les sens avec subtilité. Le tout vous gratifiera d’une expérience gustative fraîche, vibrante, épicée, avec une belle longueur en bouche.
En cinq ans, le gin Panda est devenu une référence et a multiplié par dix sa production annuelle ! Cette année, pas moins de 100.000 bouteilles devraient être écoulées tout autour du globe. Entièrement bio, il est le premier gin au monde à contenir des litchis. La saveur délicate de ce fruit est complétée par d’autres ingrédients dont la cerise, le zeste d’orange, le basilic, le romarin, la badiane chinoise, la baie de genièvre, le tout arrosé d’eau pure des Hautes Fagnes. Panda est dépourvu d’additif et de sucre.
Le musée, qui a d’ailleurs reçu du Prix MasterPrize dans la catégorie Architecture Conceptuelle en 2023, se fond heureusement, parfaitement dans le paysage grâce à son toit incliné qui émerge naturellement du sol.
Studio RE+N
L’architecture circulaire du musée s’inspire des cratères volcaniques, des bains thermaux, et des lacs de la région. Trois parcours distincts sont prévus : une rampe d’entrée descendante, une galerie intérieure pour une immersion artistique, et un sentier extérieur pour découvrir des sculptures en plein air.
Studio RE+N
Façade et matériaux en harmonie avec l’environnement
La façade du musée n’est sans doute pas l’élément le plus réussi, à notre goût, même si elle se fond assez harmonieusement dans l’environnement. C’est principalement vu du dessus, depuis le toit qui accueille une généreuse terrasse, que le musée (ou plutôt le projet, la chose n’étant pas – encore? – construite) est le plus spectaculaire, avec sa présentation en demi-lune, qui est un écho accueillant au paysage glacial.
Selon un rapport présenté à Genk par l’ASBL “Regionaal Landschap Kempen en Maasland”, plus de 9.000 espèces de plantes et d’animaux y ont été observées au cours des vingt dernières années. Ce rapport est le fruit du travail de quarante experts de diverses organisations environnementales et universités flamandes. Les observations, basées sur 500.000 enregistrements entre 2000 et 2020, indiquent que le parc abriterait près d’un quart de la biodiversité de la Flandre, avec au moins 1.600 espèces encore à découvrir.
Espèces les plus courantes
Les plantes vasculaires dominent le paysage en termes de nombre d’espèces observées. Elles sont suivies de près par les coléoptères, les papillons nocturnes et les champignons. Le parc est également le seul habitat en Flandre de certaines espèces uniques, comme la Sésie du Tremble, un papillon de nuit.
Préservation de la biodiversité
Le rapport révèle qu’une espèce sur six observée dans le parc est classée sur la liste rouge des espèces menacées de l’UICN. Zuhal Demir, ministre flamande de l’Environnement, a exprimé son inquiétude : « En Flandre, nous avons négligé notre nature pendant des siècles, ce qui a entraîné une diminution de la biodiversité. Pourtant, cette biodiversité est comme un baromètre de la qualité de notre nature et, par extension, de notre santé à tous. »
La rénovation de la pyramide de Mykérinos, considérée par certains comme « le projet du siècle », sème la discorde en Egypte. Sous la direction de Mostafa Waziri, patron des Antiquités égyptiennes, des ouvriers s’affairent à aligner des blocs de granit sur la base de cette pyramide, la plus petite des trois sur le plateau de Guizeh. Cette initiative vise à restaurer son revêtement en granit d’origine, perdu au fil du temps.
Restauration ou profanation ?
Cette « rénovation », prévue pour durer trois ans, est célébrée par M. Waziri comme un « cadeau de l’Egypte au monde au XXIe siècle ». Selon ce dernier, cette rénovation « permettra de voir […] la pyramide de Mykérinos telle qu’elle a été construite par les anciens Egyptiens ».
Pourtant, elle suscite une réaction farouche des conservateurs du patrimoine et des internautes. L’égyptologue Monica Hanna, par exemple, exprime son indignation sur Facebook, s’opposant fermement à ce qu’elle qualifie d’acte de profanation : « Il ne manquait plus que de carreler la pyramide de Mykérinos! Quand va-t-on arrêter l’absurdité dans la gestion du patrimoine égyptien? » exprime-t-elle, révoltée ! Elle souligne que les principes internationaux de rénovation interdisent de telles interventions, appelant à une mobilisation des archéologues.
Lancement du projet de reconfiguration de la couverture extérieure de la pyramide de Mykérinos https://t.co/zWU3AwOUOF
Toute la politique de préservation du patrimoine est remise en question !
Face à l’ampleur des réactions, une enquête a été annoncée concernant la rénovation de la mosquée d’Alexandrie. C’est donc toute la gestion du patrimoine culturel en Egypte qui est remise en question. Faut-il rénover ou laisser en l’état ?
La tour Eiffel a enregistré un nombre record de visiteurs en 2023. Avec 6,3 millions de visiteurs, elle dépasse sa fréquentation de 2019, période d’avant-Covid. La Sete, société d’exploitation de la tour, a partagé ces données qui marquent une reprise significative du tourisme.
2023, une année de célébrations et d’innovations
L’année dernière, la hausse de fréquentation fut calculée à 8% par rapport à 2022 ! Voilà une belle manière de célébrer le centenaire de la disparition deGustave Eiffel. 2023 fut en outre, jalonnée d’hommages et de nouveautés, comme l’introduction de visites guidées et une offre de restauration élaborée par des chefs renommés tels que Frédéric Anton et Thierry Marx.
La diversité des visiteurs
Les Français restent majoritaires parmi les visiteurs (18,9%), suivis de près par les touristes nord-américains, notamment des États-Unis. Les Européens, hors France, représentent une part significative (44%), en hausse par rapport à 2019. Les visiteurs allemands, anglais, et espagnols figurent en tête de cette catégorie.
Une tendance générale dans les musées parisiens
Cette hausse de fréquentation ne se limite pas à la Tour Eiffel, mais se retrouve également dans les grands musées parisiens, qui ont soit battu des records, soit retrouvé leurs niveaux de 2019.