Reliant Rome à Brindisi, cette voie a été essentielle pour les échanges dans l’Antiquité. Pavée sur plus de 500 kilomètres depuis 312 av. J.-C., la Via Appia est une fenêtre ouverte sur diverses époques, des catacombes aux demeures cinématographiques du XXe siècle.
La création de cette route a impliqué des travaux titanesques, depuis le percement de montagnes jusqu’à la mise en place de systèmes d’évacuation des eaux. Sa conception avant-gardiste permettait déjà à deux chariots de se croiser, préfigurant nos modernes autoroutes. Ce monument est désormais le 60ème site italien honoré par l’UNESCO, rien que ça !
Chun Wang, le commandant, est un co-fondateur de F2pool et Stakefish. Les autres membres comprennent Jannicke Mikkelsen, une réalisatrice norvégienne, Eric Philips, un explorateur australien, et Rabea Rogge, une chercheuse allemande en robotique.
Selon l’astrophysicien Jonathan McDowell, atteindre une orbite polaire exige plus de puissance et expose à des radiations plus élevées. Cette mission, qui volera entre 425 et 450 km d’altitude, permettra également des observations scientifiques, notamment des radiographies spatiales et l’étude de phénomènes lumineux similaires aux aurores.
Une avancée pour le tourisme spatial… Et pour la Terre ?
Ce projet s’inscrit dans le boom du tourisme spatial aux États-Unis, symbolisant une nouvelle ère d’exploration spatiale privée. Avec des équipements de pointe tels que la capsule Dragon, équipée d’un dôme d’observation, Fram2 ouvre de nouvelles perspectives pour les aventuriers de l’espace… Mais est-ce réellement ce dont le monde a besoin ?
¿Aún no sabes cómo refrescarte este verano ☀️? Nuestro rider @moncho.tanaka 🏂 nos deja claro cuál es el mejor planazo en Madrid con este calor 🥵, ¡venir a Snozone!
¿Cuáles de estos trucos te atreverías a hacer en nuestra pista de nieve? ❄️ pic.twitter.com/VBfJxJtk67
À Arroyomolinos, à quelques kilomètres au sud de Madrid, le centre commercial Xanadú abrite depuis 2003 le Snozone, une station de ski intérieure où il fait -3°C toute l’année. Avec une piste de 250 mètres recouverte de neige artificielle, ce lieu attire les amateurs de ski, même en plein été. Pour une session de deux heures, il faut compter environ 40 euros pour la location du matériel et des vêtements.
Skier dans un frigo géant pose évidemment des questions environnementales. Comme l’explique Thomas à Belga, moniteur de ski venant régulièrement au Snozone, “ce n’est pas très écologique, mais nous, ce qu’on cherche, c’est le rendement et le ski.” Cyrila, une jeune skieuse de 18 ans, admet que ses amis lui demandent parfois si elle n’a pas honte de skier en intérieur. “Je me dis que si les générations passées avaient fait attention à l’écologie, on aurait skié tout simplement sur des glaciers,” confie-t-elle.
Un lieu plébiscité malgré tout
Le Snozone reste très populaire, avec environ 200.000 visiteurs par an. “Les gens viennent pour s’entraîner, car il n’y a plus de neige dans les montagnes,” explique Javier Villar, directeur de Snozone. Même si la consommation d’eau est faible, l’électricité nécessaire pour maintenir ce gigantesque congélateur en marche représente une dépense importante. “Si on éteignait et rallumait, la dépense énergétique serait immense,” précise-t-il. Ce qui explique pourquoi la station est ouverte toute l’année…
Cette décision met fin à une mesure qui avait permis aux passagers de transporter des liquides sans restriction de quantité, facilitant ainsi le passage aux contrôles de sécurité. La Commission justifie cette décision en pointant du doigt la fiabilité desscanners C3 EDSCB, initialement déployés pour détecter les composants explosifs dans les liquides et autres objets personnels. Selon un rapport technique, ces scanners ne détectent plus efficacement les éléments dangereux lorsque les contenants dépassent 330 ml, ce qui a conduit à ce retour en arrière par mesure de précaution.
Répercussions pour les aéroports
Cette décision n’a évidemment pas manqué de provoquer de vives réactions, notamment de la part de l’Airports Council International Europe (ACI Europe). Olivier Jankovec, son directeur général, a exprimé dans l’Echo Touristique ses préoccupations : ce retour à l’ancienne règle va entraîner une « pression opérationnelle importante » pour les aéroports, nécessitant du personnel supplémentaire et la reconfiguration des points de contrôle. De plus, les aéroports ayant déjà investi dans les coûteux scanners C3 voient leurs efforts d’innovation mis à mal. Il faudra évidemment voir comment l’ancien système peut être souplement remis en route…
Les plages de Fukui, au Japon, sont habituellement des lieux paisibles. Pourtant, depuis le début de l’année, 18 nageurs ont été morduspar des dauphins dans cette région. Un chiffre qui contraste fortement avec les années précédentes, où seulement deux incidents avaient été rapportés en 2022 et neuf en 2023. Selon les garde-côtes locaux, ces morsures, bien que souvent mineures, peuvent parfois nécessiter des soins importants. Un enfant a ainsi dû recevoir 20 points de suture après une attaque récente !
Un dauphin solitaire à l’origine des incidents ?
Les autorités restent prudentes quant au nombre de dauphins responsables de ces morsures. Toutefois, le professeur Tadamichi Morisaka, spécialiste en cétologie, a suggéré qu’un seul individu pourrait être à l’origine de ces attaques. “Plutôt que de nuire aux humains, il pourrait chercher à interagir avec eux comme il le fait avec ses congénères“, a-t-il déclaré à NHK. Ce comportement, bien que non agressif, peut néanmoins représenter un danger.
Sur la plage de Suishohama, les autorités locales ont pris les devants. Des dépliants sont distribués pour conseiller aux nageurs de ne pas s’approcher ou toucher les dauphins. “Les dauphins sont généralement calmes, mais ils peuvent mordre au sang avec leurs dents acérées“, avertit l’association touristique locale.
New York est la ville la plus peuplée des États-Unis, avec une population de 8,4 millions d’habitants. Cette densité de population crée une ambiance dynamique et diversifiée, faisant de la ville un véritable melting-pot culturel.
5 arrondissements
La ville est composée de cinq arrondissements distincts : Manhattan, Brooklyn, Queens, le Bronx et Staten Island. Chacun de ces arrondissements possède une identité unique et offre des expériences variées, de l’effervescence de Times Square à Manhattan à l’atmosphère plus détendue des plages de Staten Island !
Luca Bravo
800 langues parlées
New York est l’une des villes les plus diversifiées linguistiquement au monde, avec plus de 800 langues parlées. Cette diversité linguistique reflète l’immense variété des communautés immigrantes qui y résident et contribuent à la richesse culturelle de la ville.
1.213 km2 de superficie
La superficie totale de New York est de 1 213 kilomètres carrés. Malgré cette taille relativement modeste, la ville est densément construite avec une multitude de gratte-ciels, de parcs, et d’infrastructures, maximisant chaque mètre carré disponible.
1792 parcs et aires de loisirs
New York abrite 1792 parcs et aires de loisirs, offrant des espaces verts essentiels pour les résidents et les visiteurs. Central Park, le plus célèbre d’entre eux, est une oasis de verdure au cœur de Manhattan, attirant des millions de personnes chaque année.
En tête du classement, on retrouve la… Nouvelle-Zélande qui séduit par ses paysages diversifiés et sa beauté naturelle époustouflante. Que ce soit les montagnes majestueuses, les plages immaculées ou les larges espaces ouverts, ce pays a tout pour plaire. Selon Rough Guides, “la beauté des paysages et la culture” sont au cœur de l’attrait de ce pays.
2. Italie
Anders Jilden
L’Italie reste un incontournable avec sa richesse culturelle et ses paysages variés. Des Dolomites aux vignobles de Toscane, en passant par les côtes ensoleillées de l’Amalfi, l’Italie offre quelque chose pour tout le monde. “L’Italie a tout ! C’est le pays le plus complet sur Terre” souligne un lecteur de Rough Guides.
3. Canada
Bruno Soares
Le Canada occupe la troisième place grâce à ses paysages grandioses et sa faune incroyable. Des montagnes de la Colombie-Britannique aux vastes espaces des Prairies, le Canada offre une diversité de panoramas à couper le souffle. Les parcs nationaux comme Jasper et Banff sont des incontournables pour les amoureux de la nature.
4. Suisse
Samuel Ferrara
En quatrième position, la Suisse est célébrée pour ses scènes spectaculaires de lacs et montagnes. Ce petit pays enchante par la pureté de ses paysages, de Zermatt au Matterhorn, en passant par les villages pittoresques au bord des lacs. La région de la Jungfrau est particulièrement appréciée pour ses randonnées offrant des vues à couper le souffle.
5. France
Jace Afsoon
La France (que l’on s’attendait à retrouver plus haut) clôt ce top 5 avec ses paysages variés et sa riche culture. Des sommets enneigés des Alpes aux champs de lavande de Provence, en passant par les plages dorées du sud, la France a de quoi satisfaire tous les goûts. Ses villes historiques, comme Paris et Montpellier, offrent également une abondance de trésors culturels.
Le reste du top 20
Le classement se poursuit avec le Royaume-Uni (6e), la Norvège (7e), l’Australie (8e), la Grèce (9e), et l’Afrique du Sud (10e), les États-Unis (11e), le Chili (12e), l’Islande (13e), l’Argentine (14e), la Croatie (15e), l’Inde (16e), l’Indonésie (17e), le Portugal (18e), la Slovénie (19e) et le Japon (20e).
En effet, et en dépit des congés scolaires raccourcis et d’une météo capricieuse, le nombre de nuitées a augmenté de 9% par rapport à 2019, l’année de référence pré-pandémie, et de 5 à 7% comparé à l’été 2023. Les gîtes de grande capacité ont été particulièrement prisés, enregistrant une hausse de 16% des réservations sur un an.
Le tourisme international a dominé cette saison, avec une recrudescence de visiteurs étrangers, en particulier des Allemands et des Italiens. Cette tendance s’était déjà manifestée l’année dernière, confirmant l’attrait grandissant de la Wallonie pour les touristes étrangers !
FTBW
En revanche, les attractions touristiques de la région ont connu un été un peu moins glorieux : la météo défavorable de juillet et plusieurs alertes orageuses ont découragé de nombreux visiteurs, qui ont préféré rester chez eux ou opter pour des activités en intérieur. Jusqu’au 15 août, 60% des attractions signalaient une baisse de fréquentation par rapport à l’année précédente. Cependant, un léger redressement a été observé à partir de la mi-août.
Une étude récente du Massachusetts Institute of Technology (MIT) révèle que prendre l’avion est de plus en plus sûr. Depuis la fin des années 1960, le risque de mourir lors d’un vol a été divisé par deux chaque décennie, soulignant les progrès constants en sécurité aérienne.
Des chiffres en constante amélioration
Entre 2018 et 2022, le risque de mort s’élevait à un passager sur13,7 millions dans le monde, une nette amélioration par rapport aux périodes précédentes. À titre de comparaison, ce chiffre était d’un sur 7,9 millions entre 2008 et 2017, et d’un sur 350.000 entre 1968 et 1977. “La sécurité aérienne ne cesse de s’améliorer“, affirme Arnold Barnett, professeur au MIT et coauteur de l’étude publiée dans le Journal of Air Transport Management.
Des disparités selon les pays
Bien que la sécurité soit en progression globale, certaines régions du monde affichent de meilleures statistiques que d’autres. Les États-Unis, les pays de l’Union européenne, ainsi que des nations comme le Japon et la Nouvelle-Zélande, figurent parmi les pays les plus sûrs. En revanche, des disparités existent, notamment dans des pays classés en catégorie deux, comme le Brésil, l’Inde ou encore le Mexique. Malgré tout, même dans ces régions, les risques ont été divisés par deux entre 2018 et 2022.
Des incidents qui rappellent la vigilance
Bien que le dernier accident majeur aux États-Unis date de 2009, avec le crash du Bombardier de Colgan Air à Buffalo, de récents incidents rappellent que la sécurité n’est pas totale et que les compagnies, tout comme les constructeurs, doivent rester vigilents. On pense notamment aux récentes déconvenues de Boeing avec le 737 MAX.
Située à Amarillo, Texas, Cadillac Ranch est une installation artistique créée en 1974 par le milliardaire excentrique Stanley Marsh 3 et le collectif d’artistes de San Francisco appelé Ant Farm. L’œuvre comprend dix Cadillac, datant de 1949 à 1963, enfouies nez en premier dans le sol, illustrant l’évolution de la taille des ailerons des Cadillac au fil des années.
Andy Staver
Marsh et le collectif Ant Farm voulaient choquer et déstabiliser les habitants d’Amarillo avec cette sculpture publique. Chaque Cadillac, achetée pour environ 200 dollars dans des casses locales, a été placée de manière à faire face à l’ouest, symbolisant ainsi la course vers le coucher du soleil américain. En 1997, l’installation a été déplacée de quelques kilomètres vers l’ouest pour échapper à l’expansion urbaine d’Amarillo.
Dès le début, Cadillac Ranch a encouragé l’interaction du public. Les visiteurs sont invités à apporter des bombes de peinture pour laisser leur marque sur les voitures, ajoutant ainsi des couches de graffiti qui changent constamment l’apparence de l’œuvre. Au fil des ans, Cadillac Ranch est devenu un incontournable de la culture populaire, apparaissant dans des clips, des films, et inspirant même des attractions similaires.
