Depuis son passage du légendaire Cap Horn le 23 janvier, Denis Van Weynbergh doit jongler avec une météo capricieuse. Le skipper belge de l’IMOCA D’Ieteren Group a dû s’adapter à des vents changeants, variant entre 15 et 50 km/h. «Je dois faire beaucoup de réglages et d’ajustements au niveau de ma trajectoire », expliquait-il début février. Mais rien n’ébranle sa détermination : après six ans de préparation, il est sur le point de concrétiser son rêve.
Un exploit inédit pour la Belgique
S’il franchit la ligne d’arrivée aux Sables d’Olonne, Denis deviendra le premier Belge à terminer cette course mythique, souvent qualifiée d’Everest des mers.
Arrivée prévue le 2 mars
Le décompte est lancé ! L’ETA (heure estimée d’arrivée) est fixée autour du 2 mars, sous réserve des conditions de navigation. On reste connectés pour suivre son avancée et connaître l’heure exacte du grand moment ! ⏳⛵
Un chiffre impressionnant qui représente une hausse de 12,17 % par rapport à 2019 et de 4,85 % par rapport à l’an dernier. Même les Luxembourgeois s’y sont mis, avec 17.228 visiteurs, en hausse de 57,23 % sur cinq ans.
Une croissance fulgurante
Globalement, 62,2 millions de voyageurs ont visité la Turquie en 2024, une augmentation de 9,8 % par rapport à 2023 et de 20,3 % par rapport à 2019. Ce succès dépasse toutes les attentes et s’accompagne d’un chiffre d’affaires record de 61,1 milliards USD, en hausse de 8,3 %. Les Européens, Moyen-Orientaux et Asiatiques centraux forment le cœur du tourisme turc, mais l’Amérique, l’Inde et la Chine montent en puissance. Les chiffres sont parlants : + 8,1 % d’Américains, + 65,1 % de Chinois et + 20,7 % d’Indiens.
Un séjour qui vaut le détour
Les voyageurs restent en moyenne 10,7 jours en Turquie et dépensent 972 USD par personne. De quoi profiter des merveilles du pays, de la Cappadoce aux plages d’Antalya. Pour info, la Turquie figure désormais parmi les 5 destinations les plus visitées au monde, selon UN Tourism.
Quand la grisaille persiste et que le printemps se fait attendre, les Pays de la Loire offrent une bulle de sérénité parfaite pour se ressourcer ! Entre forêts verdoyantes, rivières paisibles et rivages apaisants, cette région pas très éloignée de la Belgique, se révèle être un refuge où l’on peut enfin souffler !
Ici, pas de klaxons ni de métro bondé : seulement le murmure du vent dans les arbres et le clapotis de l’eau. Que ce soit pour une escapade detox ou un week-end de lâcher-prise, tout est pensé pour ralentir et renouer avec l’essentiel. Elle est pas belle la vie ?
Détente et détox : le combo gagnant
Envie de bouger en douceur ? Une balade en bateau électrique à la Ferté-Bernard, surnommée la « Petite Venise de l’Ouest », promet une connexion totale avec la nature. À Pornic, l’Éco-Domaine La Fontaine propose des séances de yoga et méditation en plein air pour une détente maximale.
Les amateurs de randonnée ne seront pas en reste avec un itinéraire de 17 km dans les Alpes Mancelles, serpentant au fil de la Sarthe. Après l’effort, direction La Maison du Gasseau, où cuisine bio et chambres cosy attendent les explorateurs fatigués.
Des nuits au cœur de la nature
Le bien-être passe aussi par un sommeil réparateur. À Côté Rivière, près d’Angers, des lodges haut de gamme avec spa et hammam assurent une déconnexion totale. Pour une immersion zen à 30 minutes de Nantes, Slow Om propose un cadre propice à la méditation et aux soins ayurvédiques. Et si l’appel du large se fait sentir, cap sur l’Île d’Yeu et son hôtel-spa La Mission, où hammam et soins bien-être promettent une évasion sensorielle incomparable.
Cela peut sembler étrange, mais Nauru ne possède pas de capitale officielle. La plupart des États du monde ont une ville désignée comme centre politique et administratif, mais ce n’est pas le cas ici. Historiquement, Yaren, le district le plus peuplé de l’île, a souvent été considéré comme la “capitale de facto”, car il abrite les principales institutions du pays : le Parlement, l’aéroport international, la banque nationale et l’école principale.
2. Une richesse soudaine… puis une chute brutale
Il y a plusieurs décennies, Nauru était l’un des pays les plus riches du monde en termes de PIB par habitant. Pourquoi ? Parce que son sous-sol regorgeait d’une ressource précieuse : le phosphate. Cette richesse naturelle, issue d’excréments d’oiseaux fossilisés (le guano), a été exploitée massivement dès le début du XXe siècle.
Dans les années 1970-1980, grâce à l’exportation de ce minerai, les habitants de Nauru vivaient dans un luxe insolent : voitures de luxe, voyages en avion, absence d’impôts… Mais cette prospérité a été de courte durée. À mesure que les réserves de phosphate s’épuisaient, l’économie de l’île s’est effondrée, laissant le pays en grande difficulté. Aujourd’hui, Nauru dépend presque entièrement de l’aide internationale, notamment celle de l’Australie.
3. Le triste record du taux d’obésité le plus élevé au monde
Avec plus de 60 % de la population en situation de surpoids, Nauru détient un record inquiétant. Ce phénomène s’explique par plusieurs facteurs :
✅ Une alimentation largement importée, riche en aliments transformés et sucrés 🍔🥤
✅ Un mode de vie sédentaire, avec peu d’activités physiques 🚶♂️
✅ Un effondrement de l’économie qui limite l’accès à une alimentation saine
Ce problème de santé publique est l’une des conséquences directes de l’ancienne prospérité économique : dans les années de richesse, la population s’est habituée à une alimentation occidentale peu équilibrée, et après la crise économique, les alternatives locales sont devenues limitées.
4. L’un des pays avec le taux de chômage le plus élevé
Avec un territoire de seulement 21 km² et une économie en déclin, les opportunités d’emploi sont rares à Nauru. À la fin de 2020, plus de 90 % de la population active était sans emploi stable.
Les principales sources de revenus actuelles du pays sont :
💰 L’aide internationale, principalement en provenance de l’Australie
🛂 Le centre de rétention pour demandeurs d’asile, géré pour le compte du gouvernement australien
Ce dernier point est particulièrement controversé. L’Australie envoie sur Nauru des migrants interceptés en mer, en échange d’un soutien financier. Ce système a été critiqué par de nombreuses organisations humanitaires en raison des conditions de vie difficiles des réfugiés dans ces camps.
5. Aucune armée pour protéger le pays
Nauru fait partie des rares pays au monde sans forces armées officielles. L’île ne possède ni armée, ni marine, ni force aérienne. Pour assurer sa défense, Nauru dépend entièrement de l’Australie, avec qui elle a signé un accord de protection.
En échange, l’Australie bénéficie de certaines facilités, notamment l’exploitation du centre de détention pour migrants, qui constitue l’un des rares revenus du pays.
Un micro-État fascinant et méconnu
Malgré son déclin économique et ses défis sociaux, Nauru reste un pays unique, chargé d’histoire et de particularités insolites. Peu de touristes s’y aventurent en raison de son éloignement et du coût élevé des voyages pour s’y rendre. Pourtant, cette île a beaucoup à raconter et constitue un cas d’étude passionnant sur les conséquences de l’exploitation des ressources naturelles.
1. Barcelone, Espagne – Tapas en toute tranquillité
À Barcelone, manger sans gluten est un vrai jeu d’enfant. Des croquetas croustillantes aux paellas savoureuses, même les bars à tapas traditionnels proposent des options sans gluten. Les restaurants sans gluten pullulent, à tel point que nous ne saurions même pas lequel vous conseillez !
enes
2. Rome, Italie – La dolce vita sans gluten
Oui, à Rome, vous pouvez savourer des pizzas croustillantes et des pâtes fondantes… sans gluten ! Le restaurant Mama Eat propose des plats italiens authentiques en version gluten free, et c’est un vrai régal.
chris-czermak
3. Stockholm, Suède – Le paradis nordique des sans gluten
À Stockholm, le sans gluten est presque une religion. Que ce soit pour un brunch branché ou un fika traditionnel (pause café avec douceurs), vous trouverez des options partout. Testez les roulés à la cannelle sans gluten chez Sally Voltaire & Systrar.
ana-borquez
4. Prague, Tchéquie – Bière et spécialités locales sans gluten
Vous pensiez que bière et sans gluten étaient incompatibles ? Détrompez-vous ! À Prague, des brasseries proposent de la bière sans gluten, et des restaurants comme Svejk U Karla offrent des plats tchèques traditionnels revisités.
martin-krchnacek
5. Budapest, Hongrie – Goulash et douceurs gluten free
À Budapest, goûtez au fameux goulash et laissez-vous tenter par des desserts comme la dobos torta sans gluten. Le Drop Restaurant est un incontournable pour les amateurs de cuisine 100% gluten free.
À partir de la prochaine saison hivernale, TUI fly ne proposera plus de vols long-courriers au départ de Brussels Airport. La compagnie belge retire son dernier Boeing 787 Dreamliner début novembre, une décision confirmée par son porte-parole Piet Demeyere.
Résultat ? Fini les escapades directes vers des destinations ensoleillées comme Punta Cana, Cancún ou Curaçao. Il faudra désormais compter sur des escales ou décoller d’autres aéroports.
Une décision stratégique
TUI fly explique ce virage après une « évaluation minutieuse de l’offre et de la demande du marché » ainsi que des « facteurs opérationnels internes ». Traduction : moins de demande, coûts élevés, et l’opportunité de rationaliser l’offre au sein de TUI Airline en misant sur des ventes transfrontalières.
Ce n’est pas vraiment une surprise : dès l’été 2023, la flotte long-courrier avait été réduite à un seul appareil, au lieu de deux. À l’époque, la compagnie pointait du doigt la flambée des prix de l’énergie.
Les îles Cíes font partie d’un parc naturel protégé. Ici, pas de tourisme de masse : seuls 1.800 visiteurs par jour sont autorisés pour préserver ce trésor écologique. L’eau cristalline et la faune variée, comme les nombreux oiseaux marins, font de cet endroit un véritable havre de paix pour les amoureux de la nature.
Des plages de carte postale
La plage de Rodas, régulièrement classée parmi les plus belles au monde, est un incontournable. Avec son sable blanc et ses eaux turquoise, elle rivalise avec les destinations tropicales !
Les randonneurs adoreront explorer les sentiers balisés qui serpentent à travers les collines et offrent des vues spectaculaires sur l’océan Atlantique. Ne manquez pas le phare des îles Cíes, un spot idéal pour admirer un coucher de soleil inoubliable !
Accessible uniquement en bateau depuis Vigo, Baiona ou Cangas, la visite des îles Cíes nécessite une réservation, au minimum 30 jours à l’avance ! Pensez à emporter votre pique-nique : aucun commerce n’est autorisé sur l’île !
Votre assurance RC familiale (Responsabilité Civile) vous couvre généralement en Europe et dans les pays bordant la mer Méditerranée. C’est une exigence minimale imposée aux assureurs actifs en Belgique. Cependant, il est toujours bon de vérifier les conditions spécifiques de votre contrat ou de consulter directement votre assureur. En effet, certaines compagnies peuvent appliquer des restrictions particulières, notamment pour des destinations hors de cette zone.
Gardez toutefois à l’esprit que votre responsabilité civile contractuelle n’est pas couverte par votre RC familiale. Concrètement, si vous causez un dommage dans le cadre d’un contrat passé avec quelqu’un ou avec une société, votre assurance n’interviendra pas forcément. C’est le cas si vous louez un mobil home ou une chambre d’hôtel par exemple. Dans le premier cas, vous arrachez le pare chocs en manoeuvrant, dans le second votre enfant griffonne une immense fresque sur le mur de la chambre à l’aide d’un feutre indélébile… Dans un cas comme dans l’autre, il y a peu de chance que votre assurance intervienne étant donné qu’un contrat est passé avec le loueur ou le propriétaire de l’hôtel et que vous n’avez pas été en mesure de respecter ce contrat.
Par contre, en balade le long de la digue à Torremolinos, votre chien arrache le sac de plage d’une passante et le déchiquète en mille morceaux. En visite dans un petit musée sicilien, vous renversez une vitrine et deux pièces en faïence sont cassées. Ou encore, votre fils qui est en séjour Erasmus à Dublin blesse un de ses condisciples en jouant au football au parc. Ici, dans tous ces cas de figure, votre RC familiale devrait intervenir afin de dédommager la personne lésée.
Son joyau, le Palandöken Ski Resort, attire les sportifs du monde entier grâce à ses infrastructures modernes et son joli programme d’événements. Bon à savoir : du 1er au 3 mars, place à l’adrénaline avec la Coupe du monde de snowboard. D’autres événements sont également au programme, comme le Championnat de Türkiye d’escalade sur glace (7-10 février), la Tournée mondiale de volley-ball sur neige (13-16 mars), ainsi qu’une course de descente sur neige pour… cyclistes ! Lunaire, mais impressionnant !
Türkiye/TGA
Erzurum : l’après-ski au sommet
Si le ski ne vous branche pas vraiment, orientez-vous vers les sites naturels comme la cascade de Tortum, les cheminées de fées de Narman ou encore les Sept Lacs d’İspir. Passionné d’histoire ? Visez la mosquée Ulu et les mystérieuses Trois Tombes. Et pour clôturer la journée en beauté, savourez le fameux Cağ kebab et le délicat kadayıf dolma.
Depuis le 8 février 2025, les visiteurs de Pairi Daiza auront un billet direct pour la préhistoire grâce à “Préhi Daiza, les Terres Disparues“. Pas besoin de DeLorean, juste un bon manteau pour la “Terre du Froid”, où vous attendent pas moins de 60 dinosaures et animaux de l’Âge de Glace en taille réelle.
Et attention, pas des statues figées ! Grâce à des technologies de pointe, vous verrez des T-Rex, des spinosaures, des brachiosaures et même des mammouths laineux s’animer sous vos yeux. De quoi impressionner petits et grands…
Cerise sur le fossile : à l’entrée du parc, vous serez accueillis par “Vulcain”, un authentique squelette d’Apatosaurus de 21 mètres, découvert en 2018 dans le Wyoming. Ce mastodonte vieux de 150 millions d’années est prêté par l’investisseur belge Marc Coucke. Avec 80 % des os d’origine préservés, Vulcain est vraiment authentique !
Mais Pairi Daiza ne se contente pas de faire rugir des dinosaures : le parc veut aussi faire réfléchir, en établissant un parallèle entre l’extinction des dinosaures et les défis actuels de conservation des espèces.