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Author: Julie Docsterd

  • Ce fabuleux hôtel a servi de décor au film à succès Glass Onion sur Netflix

    Ce fabuleux hôtel a servi de décor au film à succès Glass Onion sur Netflix

     

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    Bienvenue à Porto Heli, petite station balnéaire grecque du Péloponnèse située sur le Golfe argolique. Là, on y trouve un hôtel bluffant baptisé Villa 20, composé de différents pavillons construits dans un style épuré qui dominent la mer toute proche.

    Benoît Blanc à l’affût !

    C’est ce resort qui a servi de lieu de tournage au nouveau thriller Glass Onion, proposé depuis peu sur la plateforme de streaming Netflix. Ce qui n’est autre que le deuxième opus des aventures du détective Benoît Blanc (après Knives Out, sorti en 2019) voit son intrigue se dérouler en Grèce dans des décors sublimes. Si quelques scènes ont été tournées sur l’île de Spetses, plus de la moitié du film se passe sur l’île privée de l’un des protagonistes, un milliardaire dénommé Miles Bron, incarné par Edward Norton. Les différents personnages du film se retrouvent isolés dans son immense villa où vont s’enchaîner une série de péripéties.

     

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    Villa 20

    Pour trouver le lieu de tournage idéal, il se dit que les équipes du film ont parcouru une bonne partie de la Grèce afin de dénicher la propriété idéale. Et c’est donc finalement l’hôtel Villa 20, du groupe Aman Resort, qui a été retenu. Il faut dire que le décor est pour le moins grandiose. En effet, l’endroit n’est pas sans rappeler les édifices gréco-romains de l’Antiquité. Chef-d’œuvre d’élégance et de sobriété, cet établissement de luxe a été conçu par Edward Tuttle et Marios Angelopoulos pour se fondre au mieux dans l’environnement sauvage du Péloponnèse. Et si la Villa 20 offre une vue imprenable sur les collines et la mer Égée, sa décoration intérieure est tout aussi époustouflante.

    Un établissement de très haut vol

    L’établissement compte notamment un spa privé, 6 piscines et une multitude d’espaces de restauration, dont une taverne grecque lovée sous des oliviers. Il est à même d’accueillir jusqu’à 18 personnes, grâce à ses trois pavillons de 100 m2 chacun doté d’une piscine privée, ses deux pavillons avec vue sur mer et ses quatre studios de luxe.

    Chaque recoin de la Villa 20 est un véritable hommage à la Grèce antique et à ses paysages typiques. On trouve notamment de grandes sculptures disposées dans les jardins ainsi qu’une sélection d’œuvres d’art d’époque.

  • L’hôtel de ville de Bruxelles deviendra un musée en 2023

    L’hôtel de ville de Bruxelles deviendra un musée en 2023

    Austin P

    Le bourgmestre de la Ville de Bruxelles, ses échevins et tout le personnel qui occupait le vénérable édifice de la Grand-Place ont entamé leur transhumance vers le nouveau centre administratif Brucity, là même où le Parking 58 s’élevait encore il y a quatre ans à peine. Du coup, que va devenir l’édifice de style gothique brabançon et classique ? Un musée !

    À l’heure actuelle, l’hôtel de ville, classé depuis 1936, peut uniquement être visité sur réservation, accompagné d’un guide assermenté, uniquement les mercredis et dimanches. Mais dès le printemps prochain, la vocation muséale des lieux sera étendue a assuré le mayeur socialiste de la capitale, Philippe Close. Les nouvelles modalités de visite doivent néanmoins encore être précisées.

    Pour rappel, l’hôtel de ville de Bruxelles constitue le seul vestige médiéval encore debout sur la Grand-Place de Bruxelles. Il est considéré comme un chef-d’œuvre de l’architecture gothique civile et, plus particulièrement, du gothique brabançon. La partie de style gothique a été construite au XVe siècle, le long de la Grand-Place et de la rue Charles Buls. L’extension de style classique a pour sa part été érigée au XVIIIe siècle. Elle est constituée de trois ailes disposées en U à l’arrière de l’édifice gothique, le long des rues de l’Amigo, de la Tête d’Or et Charles Buls.

  • Les 5 villes les plus accueillantes pour les cyclistes

    Les 5 villes les plus accueillantes pour les cyclistes

    La compagnie d’assurance allemande Luko, spécialisée dans la couverture des cyclistes et de leur matériel, dresse chaque année un classement des villes les plus accueillantes pour la pratique du deux-roues. Pas moins de 90 villes ont été auscultées, réparties sur tous les continents. De quoi déterminer quelles villes sont les plus engagées en faveur du cyclisme urbain.

    L’Europe figure en tête !

    Pour ce baromètre 2022, l’Europe n’a pas à rougir puisque ce sont trois villes du Vieux-Continent qui grimpent sur le podium : Utrecht (Pays-Bas) décroche la première place, Münster (Allemagne) la deuxième et Anvers la troisième. Il faut relever que ces trois cités comptent moins de 500.000 habitants et que la part modale de recours à la bicyclette tourne aux alentours de 30 %, voire 50 % dans le cas d’Utrecht !

    Notons aussi que dans le cas anversois, la métropole portuaire compte pas moins de 70 magasins de vélos sur son territoire !

    Et en dehors de l’Europe ?

    Si allez pédaler en Asie vous tente, sachez que la première ville asiatique à entrer dans le classement est chinoise : Hangzhou. Celle-ci arrive même en 7ème position, loin devant des villes européennes qui se disent pourtant pro-vélo, à l’image de Paris qui n’arrive qu’en 32ème position ! À Hangzhou, ville qui compte 9,5 millions d’habitants, 30 % des déplacements sont réalisés à vélo ! La seconde entrée d’une ville asiatique est celle de Tokyo, à la 24ème position.

    De l’autre côté de l’Atlantique, sur le continent américain, plusieurs grandes villes ont été passées au crible. C’est Montréal au Canada qui s’offre la première place des villes américaines et la 16ème au classement général. Elle est suivie par la ville de Vancouver ainsi que par San Francisco, respectivement 37ème et 39ème. Sur le continent nord-américain la petite reine est relativement peu utilisée pour les déplacements urbains.

  • Egypte : une nouvelle tombe royale découverte !

    Egypte : une nouvelle tombe royale découverte !

    Kristina Tamasauskaite

    Les autorités égyptiennes ont annoncé la mise au jour d’une nouvelle tombe royale, probablement celle d’une épouse de la 18ème dynastie, celle d’Akhenaton et de Toutankhamon, il y a près de 3500 ans. Elle a été découverte sur la rive ouest du Nil, là où se trouvent les célèbres vallées des rois et des reines.

     

    Les fouilles continuent, et les premiers éléments découverts semblent indiquer qu’elle date de la 18ème dynastie, considérée comme l’apogée et la période la plus prospère de l’Egypte antique. Il pourrait s’agir de la tombe d’une épouse royale ou d’une princesse de la lignée des Thoutmosides dont très peu ont été mises au jour.

    L’intérieur de la tombe est en mauvais état, avec « de nombreuses constructions et inscriptions détruites du fait des inondations de l’Antiquité qui ont rempli les chambres mortuaires de sédiments sableux et calcaires », précise l’archéologue égyptien Mohsen Kamel. C’est une véritable aubaine pour les archéologues et les amoureux de l’histoire égyptienne, et pour l’économie égyptienne qui compte sur cette découverte (ainsi que sur de nombreuses autres) pour relancer le tourisme, en berne depuis 2011.

  • Focus sur le syndrôme de Paris : de quoi s’agit-il ?

    Focus sur le syndrôme de Paris : de quoi s’agit-il ?

    John Towner

    Le syndrôme de Paris concerne principalement les touristes japonais. Un trouble psychologique qui est provoqué lorsqu’un voyageur nourrit de telles attentes vis-à-vis de la capitale française qu’il déchante une fois confronté au vrai visage de la Ville Lumière. En effet, à l’international, l’image stéréotypée de Paris évoque le luxe, le raffinement, la propreté et la courtoisie. Autant de clichés qui ont fait long feu et qui ne correspondent en rien au Paris d’aujourd’hui.

    Pourquoi un “syndrôme de Paris” ?

    Les facteurs déclencheurs du syndrôme varient d’un touriste à l’autre. Ils peuvent être dus à la confrontation avec l’impolitesse des autochtones, la saleté et les nombreux travaux en rue voire, dans le pire des cas, la délinquance avec des vols à la tire dans les quartiers fréquentés par les touristes. Et si ce sont principalement les Japonais qui sont victimes de ce syndrôme, Américains et Australiens ne sont pas épargnés. En gros, les uns comme les autres sont en décalage total entre la vision d’un Paris de carte postale, véhiculée par le cinéma et la publicité, et une réalité nettement moins flatteuse.

    Quels sont les symptômes ?

    Le syndrôme de Paris se traduit par des attaques de panique, doublées de crises d’angoisse très fortes. Des états de délire voire des hallucinations ont également été observés. Mais, fort heureusement, il n’y a pas de séquelles à déplorer.

    Un phénomène récent ?

    L’origine du syndrome de Paris remonte au milieu des années 1980. C’est en effet en 1986 que le professeur Hiroaki Ota, un psychiatre japonais basé à Paris, a diagnostiqué le premier syndrome de Paris. Il est évidemment fort probable que d’autres touristes aient été atteints par ce syndrome bien avant les années 1980, mais ce n’est qu’en 1986 que l’on a commencé à l’identifier en tant que tel.

  • Thalys, c’est fini ! Voici le futur du groupe Eurostar !

    Thalys, c’est fini ! Voici le futur du groupe Eurostar !

    Le groupe Eurostar, issu de la fusion entre Eurostar et Thalys, a dévoilé un nouveau logo et des ambitions pour connecter les grandes capitales européennes. Le design sera déployé en 2023 et la marque Thalys disparaîtra.

    Le logo représente une étoile avec la lettre « e » symbolisant les connexions de la compagnie et son ancrage européen. L’entreprise vise à transporter 30 millions de passagers en 2030 (soit le double du résultat de 2022) en développant des « open hubs » et en connectant son réseau à celui des opérateurs nationaux. Enfin, de nouvelles destinations sont également à l’étude.

  • La petite Venise du Nord retrouve des couleurs !

    La petite Venise du Nord retrouve des couleurs !

    Elijah G.

    Selon les chiffres communiqués par la ville, 7,3 millions de visiteurs ont visité Bruges en 2022, dont 3 millions d’étrangers. Le taux de fréquentation est légèrement inférieur à celui de 2019 (-7%), qui était la deuxième meilleure année en termes de tourisme. Au cours du premier trimestre 2022, Bruges a principalement accueilli des touristes belges, mais les visiteurs étrangers ont afflué dès le deuxième semestre. Les mois les plus populaires pour visiter Bruges ont été juillet, août et décembre. Le chiffre d’affaires du tourisme pour la ville est estimé à 624 millions d’euros.

  • 5 destinations originales pour un week-end hivernal

    5 destinations originales pour un week-end hivernal

    Bien au chaud à Budapest

    Kate Kasiutich

    Vous êtes frileux ou, plus simplement, le froid de ces dernières semaines vous a donné envie de vous mettre au chaud ? Ça tombe bien puisque la capitale hongroise compte pas moins de 123 sources thermales ! Située de part et d’autre du Danube, Budapest est la destination parfaite pour allier thermalisme, relaxation et culture. En matinée, vous pourrez vous promener dans le centre historique avant de luncher dans l’un des nombreux restaurants qu’elle compte. Plongez ensuite dans l’un de ses nombreux spas, dont les célèbres bains extérieurs de Széchenyi ou les bains Gellért à la magnifique décoration Art Nouveau.

    Athènes, une valeur sûre

    Enric Domas

    La Grèce est belle toute l’année et sa capitale, Athènes, n’échappe pas à la règle. En hiver, la température qui y règne se maintient autour de 15°, ce qui rend la visite de la ville très agréable. Athènes compte de nombreuses ruines antiques et, pendant les mois de forte affluence touristique, la ville est surpeuplée. Mais en hiver, lorsque les températures baissent, la foule disparaît. Le bon moment pour profiter d’une ville dénuée de touristes, avec des sites culturels d’exception, rien que pour vous !

    Séville la belle

    Joan Oger

    C’est sans aucun doute l’une des meilleures villes à visiter pendant cette période. Attendez-vous à y trouver des températures très douces tout au long de l’année. L’Andalousie, qui se trouve dans la partie méridionale de l’Espagne, est une excellente option si vous souhaitez passer des vacances d’hiver au chaud en Europe. Et, comme Athènes, c’est probablement la meilleure période de l’année pour visiter la ville car, l’été, les températures peuvent dépasser 40 degrés, alors qu’en hiver les températures avoisinent 18 degrés. Le tout, avec nettement moins de touristes !

    Prague la féérique

    William Zhang

    Considérée à juste titre comme l’une des plus belles villes d’Europe, la capitale tchèque est d’autant plus féerique en hiver. Construite il y a plus d’un millénaire, elle abrite de nombreux bâtiments classés au patrimoine mondial de l’Unesco, à l’image de l’église de Notre-Dame du Tyn, de l’horloge astronomique ainsi que du pont Saint-Charles. Ne manquez pas non plus le château de Prague car il offre un magnifique panorama sur la ville. Le soir, on ne peut que vous recommander de vous perdre dans les ruelles de Malá Strana où de nombreux bars vous permettront de faire la fête jusqu’aux petites heures !

    Luxembourg la surprenante

    Cédric Letsch

    C’est une destination à laquelle on ne pense pas d’entrée de jeu pour un city-trip et pourtant,  à seulement trois bonnes heures de train de Bruxelles, la capitale du Grand-Duché regorge de surprises ! Dans la vieille ville notamment, les amateurs de culture seront aux anges avec une kyrielle de bâtiments historiques et de musées, dont le Musée National d’Histoire et d’Art, le Musée National d’Histoire Naturelle, le Lëtzebuerg City Museum ou encore la Villa Vauban, qui se dresse fièrement dans un joli parc. On apprécie aussi les nombreuses galeries de la ville qui recèlent parfois des œuvres surprenantes.

  • Istanbul : une nouvelle ligne de métro pour faciliter les city-trips !

    Istanbul : une nouvelle ligne de métro pour faciliter les city-trips !

    Engin Yapici

    Pour rejoindre la place Taksim, lieu emblématique de la vie touristique stambouliote, il ne vous faudra plus qu’une quarantaine de minutes, en ce compris une correspondance ! Avant cette nouvelle ligne, l’aéroport, situé à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest du centre-ville, était uniquement accessible en bus, voiture privée ou taxi. Istanbul possède également un deuxième aéroport, Sabiha Gökçen, situé sur la rive asiatique, au sud-ouest du centre-ville.

  • Quelles sont les destinations favorites en Europe ?

    Quelles sont les destinations favorites en Europe ?

    Anders Jilden

    Parmi les destinations de vacances phares en Europe, la France et l’Espagne ne sont pas loin de leur niveau d’avant-crise, mais le redressement est moins fulgurant pour la Grèce et l’Italie, la première accusant encore un retard de 7,5% par rapport à 2019 et la seconde de 9,5%. Bon à savoir néanmoins, ce sont les destinations moins « prisées » qui ont le plus vite retrouvé leur niveau d’avant crise (voire qui l’ont dépassé), telles que le Danemark, les Pays-Bas et… la Belgique !