The barrier was put up a week ago in a popular photo spot in Fujikawaguchiko town, where residents had complained about streams of visitors littering, trespassing and breaking traffic ruleshttps://t.co/3XMCU47UY2pic.twitter.com/ZASD20bCwc
La ville de Fujikawaguchiko au Japon a installé une barrière pour limiter les nuisances causées par les touristes. Ce lieu est populaire sur les réseaux sociaux pour sa vue spectaculaire du Mont Fuji avec en premier plan une supérette, symbolisant le Japon contemporain. Les habitants se sont plaints des visiteurs abandonnant des déchets, fumant hors des zones autorisées, traversant au feu rouge ou se garant n’importe comment. Certains grimpaient même sur le toit d’une clinique dentaire pour prendre de meilleures photos.
Des incidents malgré la surveillance
Malgré l’embauche d’un agent de sécurité entre 10h00 et 16h00, une dizaine de petits trous ont été percés dans la toile, probablement le matin ou le soir. “C’est une question de comportement. C’est dommage“, a déclaré un responsable de la ville à l’AFP en évoquant les trous.
Objectif atteint malgré tout
Selon ce même responsable, la barrière de 2,5 m de haut sur 20 m de long a néanmoins atteint son objectif : réduire la foule sur le trottoir étroit. “Il y a des gens qui sont venus voir cet écran. Mais nous avons atteint notre objectif: décourager les gens de rester sur place“, a-t-il ajouté.
La ville prévoit de retirer cette barrière lorsque le lieu sera moins populaire. En attendant, elle envisage de placer des codes QR sur la barrière pour présenter d’autres attractions touristiques de la région, y compris d’autres endroits pour prendre des photos du Mont Fuji.
La Cour suprême du Népal a ordonné au gouvernement de limiter le nombre de permis accordés pour l’ascension de l’Everest et d’autres sommets himalayens. Cette décision vise à protéger l’environnement montagneux face à l’afflux croissant d’alpinistes, qui a atteint un pic avec 478 permis délivrés l’année dernière.
La directive judiciaire répond à une préoccupation grandissante concernant les effets néfastes de la surfréquentation sur l’écosystème local. L’avocat Deepak Bikram Mishra, ayant porté cette cause devant la justice, a souligné l’urgence de respecter la capacité d’accueil des zones montagneuses et de mettre en place des mesures pour la gestion des déchets et la préservation de l’environnement.
Chaque printemps, la période favorable pour les ascensions, voit converger des centaines de grimpeurs vers ces sommets majestueux. Cependant, l’incident de 2019, où un embouteillage humain sur l’Everest a causé des retards mortels, illustrant les risques du surpeuplement, a marqué un tournant dans la gestion des expéditions.
Boeing vient de connaître une nouvelle semaine riche en turbulences. En effet, trois de ses avions ont été victimes d’accidents en quelques jours. Le 9 mai dernier, à l’aéroport de Diass, à 40 km de Dakar, un 737 a fait une sortie piste. Parmi les 78 passagers de ce vol assuré par Air Sénégal, 11 ont été blessés, dont 4 grièvement. Pour l’heure, les causes de cet incident ne sont pas connues. La veille, à l’aéroport d’Istanbul cette fois, c’est un Boeing 767 cargo de la compagnie Fedex qui n’a pas réussi à sortir son train d’atterrissage. L’appareil a par conséquent dû effectuer un atterrissage sur son fuselage ! L’incident n’a heureusement pas fait de victime. Enfin, un troisième incident a eu lieu le 7 mai sur un 787 de la compagnie Air France. L’appareil, qui assurait un vol Paris-Seattle, a été dérouté vers le Canada suite à l’apparition “d’une odeur de chaud ressentie en cabine”. Là encore, il n’y a pas eu de blessé mais les passagers ont eu la peur de leur vie.
Des incidents quasiment quotidiens
Force est de constater que les pépins techniques sur les avions de Boeing sont récurrents. En effet, depuis le début de l’année, des incidents sont à déplorer à peu de choses près toutes les semaines. Parmi les plus sérieux, on peut citer le toboggan de secours d’un 767 de Delta Airlines qui s’est détaché en plein vol le 26 avril dernier lors d’un vol entre New York et Los Angeles. Moins d’une semaine avant, le 21 avril, un 737 appartenant à FlySafair avait dû atterrir d’urgence après avoir perdu une roue pendant son décollage de Johannesburg en Afrique du sud. En janvier, un 737 MAX d’Alaska Airlines partant de Portland perdait une porte alors qu’il volait à 5.000 m d’altitude sous le regard médusé des passagers et membres d’équipage. Selon les conclusions d’une enquête rendues, il manquait des boulons à la porte…
Faut-il avoir peur de voler sur un Boeing ?
Pour bon nombre d’experts en aéronautique, les derniers incidents endurés par des Boeing seraient principalement dûs à un problème de maintenance. Richard Aboulafia, directeur général d’AeroDynamic Advisory, une société de conseil en gestion aérospatiale basée aux États-Unis, explique “qu’une fois les avions livrés, Boeing n’intervient plus (…) le problème dans le secteur de la maintenance se pose dans le monde entier”. Et d’ajouter “qu’il n’y a pas eu un seul décès depuis plus de dix ans aux États-Unis alors que des millions de personnes prennent l’avion chaque année”. Aboulafia rappelle aussi qu’un plus grand nombre de personnes meurent sur les routes chaque jour. Mais alors, pourquoi les Airbus, qui eux aussi sont entretenus par des sociétés externes, ne connaissent-ils pas les mêmes écueils ?
En outre, le 17 avril dernier, des lanceurs d’alerte ont témoigné devant une commission d’enquête du Sénat américain pour prévenir que des “problèmes graves” concernaient la production des avions Boeing 737 MAX, 787 Dreamliner et 777. Suite à cela, le directeur général de Boeing, Dave Calhoun, a annoncé sa démission. Il quittera ses fonctions auprès de l’avionneur à la fin de l’année. Ed Pierson, un ingénieur aéronautique qui a travaillé sur le 737 MAX a lui aussi témoigné devant ladite commission en prévenant que “chaque personne qui monte dans un avion Boeing est en danger, à moins qu’une action soit menée et que les dirigeants soient mis devant leurs responsabilités”. Une déclaration certes catastrophiste mais qui rend parfaitement compte du malaise qui règne actuellement au sein de l’entreprise américaine et qui est tout sauf rassurante pour les passagers qui volent sur des Boeing aux quatre coins du monde.
Des chercheurs chinois ont mis au point un moteur hypersonique, décrit comme le plus puissant au monde, capable de propulser des avions à une vitesse de 20 000 km/h, soit Mach 16 !
Fonctionnement du moteur
Le moteur fonctionne en deux modes distincts selon la vitesse. Jusqu’à Mach 7, il utilise la détonation rotative où les détonations circulent continuellement autour d’un canal, ce qui permet une combustion plus efficace du carburant. Au-delà de Mach 7, il passe à la détonation oblique, où les ondes de choc sont dirigées de manière linéaire, augmentant la stabilité à des vitesses extrêmement élevées…
Au-delà de l’impact sur le transport civil, où un vol de Paris à New York pourrait se réduire à seulement 20 minutes, cette technologie ouvre également de nouvelles perspectives dans le domaine militaire.
Toutefois, ce développement n’est pas exempt de défis. Les chercheurs travaillent à surmonter les instabilités du moteur autour de Mach 7 et à optimiser la transition entre les deux modes de fonctionnement pour garantir une efficacité maximale à toutes les vitesses. Bref, ce n’est pas pour demain, mais si le Concorde est mort, la descendance s’organise !
Wilbur et Orville Wright étaient des passionnés de mécanique et des innovateurs habiles, issus d’une famille de Dayton, Ohio. Avant de s’attaquer au défi du vol motorisé, les deux frères possédaient une entreprise de fabrication de bicyclettes, ce qui leur a permis de développer une compréhension approfondie de l’équilibre et des structures légères, deux éléments cruciaux dans la conception d’un aéronef.
La préparation
Le chemin vers le premier vol n’était pas simple. Les frères Wright ont passé des années à étudier les travaux de leurs prédécesseurs, à expérimenter avec des planeurs et à perfectionner leurs connaissances en aérodynamique. Ils ont également dû concevoir et construire leur propre moteur, car aucun moteur commercial n’était assez léger et puissant pour leurs besoins. Ils ont choisi Kitty Hawk, une ville de Caroline du Nord, aux Etats-Unis, comme site de leurs essais en raison de ses vents constants et de son terrain sablonneux, qui pourrait offrir un amorti en cas de crash.
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Le jour décisif
Le 17 décembre 1903, dans le froid piquant de l’hiver, après plusieurs tentatives et ajustements, le Flyer I a décollé avec Orville Wright aux commandes. Le vol a duré 12 secondes et a couvert une distance de 120 pieds (environ 36 mètres). Ce moment de vol, bien que bref, a été la première fois qu’un aéronef motorisé, piloté et contrôlé, a réussi à s’élever et à se maintenir dans les airs. Wilbur et Orville ont réalisé trois autres vols ce jour-là, le plus long durant près d’une minute.
L’impact et l’héritage
Les implications de ce succès ont été monumentales. Les frères Wright ont continué à développer leur invention, aboutissant à des aéronefs de plus en plus sophistiqués et capables. Leur travail a jeté les bases de l’aviation moderne, ouvrant la voie aux voyages aériens commerciaux, à l’exploration aérienne des continents et des océans, et finalement à la conquête de l’espace.
Kitty Hawk
Aujourd’hui, Kitty Hawk est une destination touristique assez prisée comme symbole de l’ingéniosité. Les ruines du premier avion et les documents des Wright sont conservés comme des trésors nationaux. Si vous êtes de passage dans le coin…
Plus de 32.000 personnes à Santa Cruz de Tenerife et environ 14.000 à Las Palmas de Gran Canaria ont manifesté sous le slogan Canarias tiene un límite (Les îles Canaries ont une limite), clamant haut et fort leur refus du modèle actuel de tourisme de masse.
Les manifestants, soutenus par des organisations environnementales telles que Greenpeace et le WWF, ont formulé des demandes claires. Ils réclament la limitation du nombre de touristes, l’instauration d’une taxe écologique pour les visiteurs et une régulation stricte du marché immobilier, notamment en restreignant les achats par des étrangers. Ces mesures visent à préserver l’environnement unique de l’archipel et à garantir un développement durable.
Au-delà du tourisme : une crise sociale
La manifestation a également mis en lumière des problèmes plus larges tels que la pauvreté, les bas salaires, la hausse des loyers et la saturation des infrastructures. “Nous ne sommes pas contre le tourisme, mais nous demandons un changement du modèle actuel basé sur une croissance illimitée“, a déclaré Rosario Correo, manifestante interviewée par TVE. Les protestations s’étendent au-delà des îles, avec des rassemblements de soutien à Barcelone et Madrid.
Les Îles Canaries, avec leurs 2,2 millions d’habitants, restent une destination majeure en Europe, attirant près de 14 millions de touristes l’année dernière.
Le 14 septembre 1927, Isadora Duncan monte dans une Amilcar, un « cyclecar » (une voiturette de sport) pour une balade sur la célèbre Promenade des Anglais. Puis, elle part profiter de sa joyeuse monture sur les routes tortueuses de l’arrière-pays. Son foulard long et flottant, signature de son style inimitable, se noue tragiquement dans les roues du véhicule, provoquant sa mort instantanée.
Qui est-elle ?
Isadora Duncan est née en Californie en 1877. Danseuse exceptionnelle, elle a rejeté les rigueurs du ballet classique, s’inspirant plutôt de la Grèce antique et de la nature pour ses performances. Gagnant en notoriété, Duncan a voyagé à travers l’Europe et a influencé l’évolution de la danse contemporaine. Isadora vivait comme elle dansait, en totale liberté et cumulant les relations.
Un héritage indélébile
Isadora Duncan laisse derrière elle un héritage qui transcende le tragique de sa mort. Sa vision de la danse comme une forme d’expression pure, libérée des contraintes classiques, inspire encore aujourd’hui danseurs et chorégraphes. Nice, lieu de sa dernière danse, se souvient d’elle à travers des hommages et des événements célébrant son art et sa vie.
Nick Karvounis
L’arrière-pays niçois, lieu de la tragédie
L’arrière-pays niçois, avec ses paysages époustouflants, offre un contraste saisissant avec la vibrante Côte d’Azur. Entre montagnes escarpées et vallées verdoyantes, cette région regorge de villages perchés et de sentiers de randonnée invitant à l’exploration. Sa beauté naturelle, source d’inspiration pour de nombreux artistes, continue d’attirer ceux en quête de tranquillité et d’authenticité.
L’attrait pour une seconde résidence à la mer du Nord reste indéniable, mais les tendances du marché immobilier côtier de l’année passée révèlent une réalité contrastée. Malgré une baisse notable des transactions de 19,9%, la demande pour des bijoux immobiliers en bord de mer pousse les prix à la hausse. Selon la fédération des Notaires, le coût moyen d’un appartement a augmenté de 7,1% par rapport à l’an dernier, bien au-delà de l’inflation.
Des prix en ascension
Investir à la Côte belge demande désormais un budget conséquent. Pour s’offrir un appartement, il faut compter en moyenne 318.446 euros, et même 397.080 euros pour une vue imprenable sur la digue.
Où investir à la côte ?
La question du meilleur endroit pour acheter varie considérablement selon votre budget. À Westende, les prix demeurent les plus accessibles avec un coût moyen de 171.883 euros pour un appartement. À l’opposé, Knokke se positionne comme la commune la plus exclusive, où un bien immobilier coûte en moyenne 773.582 euros. La taille de l’appartement joue également un rôle crucial dans la détermination du prix, oscillant entre 193.000 euros pour une chambre et jusqu’à 596.498 euros pour trois chambres.
En 30 av. J.-C., la ville d’Alexandrie devient le théâtre du dernier acte tragique de la dynastie ptolémaïque. Cléopâtre VII, reine d’Égypte, connue pour son intelligence, sa beauté et son pouvoir politique, fait face à l’inévitable conséquence de sa défaite face à Octave, le futur empereur Auguste de Rome.
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Une fin emblématique
Selon la légende, Cléopâtre choisit de mettre fin à ses jours de manière emblématique, préférant le suicide par morsure de serpent à la captivité sous Rome. Ce geste désespéré marque non seulement la fin de sa vie mais aussi celle de l’Égypte en tant que royaume indépendant, désormais annexée à l’Empire romain.
L’héritage d’une reine
La mort de Cléopâtre à Alexandrie symbolise la fin d’une époque. Elle laisse derrière elle un héritage complexe, mélange de fascination et de mystère, inspirant des générations d’artistes, d’écrivains et d’historiens. Sa vie et sa fin tragique restent gravées dans l’histoire comme le crépuscule brillant d’une des figures féminines les plus puissantes de l’antiquité.
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Alexandrie aujourd’hui
Alexandrie est une ville vibrante, mêlant histoire ancienne et modernité. Jadis centre de savoir et de culture de l’antiquité, la cité fondée par Alexandre Le Grand abrite des sites historiques comme la colonne de Pompée et les catacombes de Kom el Shoqafa. Son bord de mer, ses bibliothèques et musées modernes attirent toujours autant les touristes !
Et les Belges semblent manifestement ravis de dépenser de l’argent chez leurs voisins car nous avons dépensé plus de 8 milliards d’euros ! Nous devançons ainsi les Britanniques, les Allemands et les Suisses. Atout France, qui a révélé ces chiffres, indique par ailleurs que les Américains font leur retour en force, avec un montant de 6,2 milliards d’euros. En revanche, les Chinois et les Japonais furent encore relativement absents, avec 1,2 milliard d’euros chacun.