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Author: François Piette

  • Les 5 visites incontournables à faire à Lisbonne

    Les 5 visites incontournables à faire à Lisbonne

    lisbonne
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    La Tour de Belém : un symbole historique

    Impossible de visiter Lisbonne sans faire un détour par la célèbre Tour de Belém. Construite au XVIe siècle, cette tour en pierre blanche surplombant le Tage est un symbole de l’ère des grandes découvertes maritimes du pays.

    Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle offre un panorama exceptionnel sur le fleuve, et ses nombreux bateaux qui défilent tout au long de la journée.

    belem
    Julius_Silver

    Le monastère des Hiéronymites : chef-d’œuvre de l’art manuélin

    Situé à deux pas de la Tour de Belém, le monastère des Hiéronymites est une autre perle architecturale de Lisbonne. Ce monastère impressionnant témoigne de la richesse de l’époque des explorations portugaises.

    Ne manquez pas de visiter son cloître magnifiquement orné et d’observer les tombeaux de Vasco de Gama et de Fernando Pessoa, deux figures emblématiques de l’histoire portugaise.

    lisboa
    the-creativv

    L’Alfama : un voyage dans le temps

    L’Alfama, le plus ancien quartier de Lisbonne, est un labyrinthe de ruelles étroites, de maisons colorées et de petites boutiques typiques. Ici, le temps semble suspendu. C’est l’endroit idéal pour prendre des clichés mémorables.

    Profitez de la balade pour découvrir le charme de la ville, notamment ses tramways… Et si vous avez le temps, allez écouter du Fado dans un restaurant traditionnel !

    lisbonne
    francois-le-nguyen

    Le château de São Jorge : une vue imprenable

    Perché sur l’une des sept collines de Lisbonne, le château de São Jorge offre une vue imprenable sur la ville et le fleuve. Ce site historique est parfait pour une immersion dans le passé médiéval de Lisbonne, avec ses remparts bien conservés et ses jardins paisibles.

    lisboa
    Mylo Kaye

    Bairro Alto : entre tradition et modernité

    Pour une expérience plus contemporaine, dirigez-vous vers le Bairro Alto, connu pour sa vie nocturne animée et ses boutiques branchées. Ce quartier montre une facette dynamique et plus moderne de Lisbonne. Flânez dans ses rues pavées durant la journée, puis profitez de l’ambiance festive des bars et restaurants le soir. Pour connaître les meilleurs endroits pour manger et boire un verre dans ce quartier pas comme les autres, suivez les conseils de l’équipe de Bonjour Lisbonne.

    bairro alto
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  • Pompéi limite ses visiteurs !

    Pompéi limite ses visiteurs !

    Vésuve, depuis Pompéi
    andy holmes

    En effet, Pompéi n’accueillera pas plus de 20.000 visiteurs par jour : « ce sont essentiellement des raisons de sécurité, aussi bien des visiteurs que du personnel, mais aussi la protection du patrimoine », a expliqué Gabriel Zuchtriegel, directeur du site. Avec près de 4 millions de visiteurs en 2023, cette mesure vise à assurer une expérience de qualité tout en préservant ce joyau classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    D’autres initiatives en Italie

    Pompéi n’est pas un cas isolé.

    Ces mesures s’inscrivent dans une dynamique de « croissance durable » selon Zuchtriegel, qui prévoit d’étendre les zones visitables de Pompéi et de ses sites archéologiques voisins. Il faut dire que le site de Pompéi compte 22 hectares de terrain, dont un tiers encore inexploré.

  • L’Île des Poupées : un sanctuaire macabre au Mexique !

    L’Île des Poupées : un sanctuaire macabre au Mexique !

    doll mexico
    adobe

    Des centaines de poupées abîmées et démembrées y pendent des arbres et des bâtiments, avec leurs visages déformés et leurs membres cassés. Selon la légende, ce serait l’œuvre d’un homme, Don Julián Santana, qui y a vécu reclus pendant des décennies.

    Une légende terrifiante

    L’histoire raconte que Don Julián Santana aurait découvert le corps d’une petite fille noyée près de son île. Peu après, il aurait trouvé une poupée flottant dans l’eau, qu’il aurait accrochée à un arbre pour repousser les mauvais esprits. Craignant que l’esprit de l’enfant le hante, il aurait continué à collecter des poupées pour les suspendre aux arbres et ainsi calmer cette présence inquiétante. Au fil des années, l’île est devenue un sanctuaire sinistre, chaque poupée servant à protéger l’île des forces surnaturelles.

    Aujourd’hui, l’Île des Poupées est devenue une destination prisée pour les amateurs de lieux insolites et macabres. La visite se fait en trajinera, une barque typique de Xochimilco, ajoutant une touche d’aventure à cette expérience étrange.

  • Delphinarium de Bruges : le couperet est tombé, il devra fermer !

    Delphinarium de Bruges : le couperet est tombé, il devra fermer !

    delphinarium
    Fabrizio Frigeni

    Le delphinarium du Boudewijn Seapark à Bruges, dernier de Flandre, fermera définitivement ses portes en 2037. Cette décision, rapportée par De Zondag, met fin aux discussions interminables sur l’avenir de cet établissement. Le ministre flamand Ben Weyts (N-VA) explique : « En fin de compte, la Flandre interdit une bonne fois pour toutes en 2037 la captivité des dauphins

    Le gouvernement avait déjà imposé des restrictions : interdiction de reproduction, d’importation, et construction d’un bassin extérieur obligatoire pour 2027. Selon Ben Weyts, ce calendrier permettrait aux exploitants d’amortir leurs investissements avant la fermeture.

    Le Boudewijn Seapark ne compte pas s’arrêter là. Son directeur, Lars van den Ham, affirme : « L’accord était qu’une nouvelle évaluation aurait lieu en 2037. » Il menace de recourir à des mesures juridiques si le gouvernement ne respecte pas les engagements précédents.

    Pour Gaia, cette décision est une étape cruciale. L’organisation espère toutefois que les six dauphins en captivité seront à terme relogés dans des réserves naturelles. Une baie en Grèce est déjà envisagée pour accueillir ces mammifères marins.

  • Booking enfin contraint à la transparence : le géant n’est plus incontournable !

    Booking enfin contraint à la transparence : le géant n’est plus incontournable !

    booking.com
    Jas Rolyn

    Les hôtels en Europe référencés sur Booking.com peuvent désormais offrir des tarifs plus avantageux sur leur propre site ou sur d’autres plateformes, suite à l’entrée en vigueur du DMA (Digital Markets Act). Cette réglementation vise à équilibrer la concurrence, permettant aux prestataires de proposer des offres plus compétitives. “Booking n’aura pas le droit d’augmenter les taux de commission ni de déréférencer les offres” pour ces entreprises, a précisé la Commission européenne.

    Un marché plus compétitif

    Le DMA, d’ores et déjà d’application, vise à renforcer la concurrence dans le secteur de la réservation en ligne. “Cela signifie que d’autres plateformes et prestataires de services pourront les concurrencer dans des conditions plus équitables, stimulant l’innovation et réduisant les prix“, affirme la Commission. De plus, les hôtels et prestataires auront désormais accès en temps réel aux données générées par les clients sur Booking.com, favorisant une meilleure gestion et de nouvelles offres personnalisées.

    Les obligations de conformité

    Pour prouver sa conformité au DMA, Booking a présenté un rapport accessible sur le site de la Commission européenne. En cas de non-respect des règles, des sanctions allant jusqu’à 20% du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise peuvent être appliquées. “À compter d’aujourd’hui, Booking.com répond aux exigences de la loi sur les marchés numériques“, a déclaré la plateforme néerlandaise.

  • Plaisirs d’Hiver 2024 : quelques traditions et de nombreuses surprises !

    Plaisirs d’Hiver 2024 : quelques traditions et de nombreuses surprises !

    plaisirs d'hiver
    visit.brussels – Eric Danhier

    La 24e édition de Plaisirs d’Hiver s’ouvrira le 29 novembre à Bruxelles avec une inauguration en grande pompe à 18h00. Le spectacle inaugural inclura une performance son et lumière sur la Grand-Place, l’illumination du sapin de Noël, ainsi qu’une performance musicale en collaboration avec les chœurs de La Monnaie.

    Le Var à l’honneur

    Cette année, le département français du Var sera l’invité d’honneur, avec une véritable “crèche provençale” installée sur la place de la Bourse. Les visiteurs pourront profiter des produits typiques de la région, entre truffes, miel, huile d’olive et autres spécialités locales. “Une trentaine de partenaires présents vous proposeront une immersion dans les saveurs, les odeurs et le son des cigales si propres à notre région“, a indiqué Guillaume Decard, président de Var Tourisme.

    Les incontournables et les nouveautés

    Outre les traditionnels chalets, la grande roue et les manèges, plusieurs nouveautés feront leur apparition cette année. Le public pourra notamment admirer “Echinodermus“, une installation artistique de 11 mètres de haut au Mont des Arts, et découvrir “Lucia“, une scénographie multimédia mêlant conte et musique orchestrale dans la cour de l’Hôtel de Ville.

    Une expérience économique et durable

    Avec près de quatre millions de visiteurs en 2023, Plaisirs d’Hiver joue un rôle économique important pour Bruxelles. Lors de l’édition précédente, “on estimait à près de 260 millions d’euros les dépenses effectuées par les visiteurs“, rappelle la Ville. Delphine Houba, échevine des Grands événements, insiste également sur le caractère durable de l’événement, avec des actions telles que la vaisselle réutilisable, les toilettes sèches et des illuminations LED.

  • L’aviation privée : un fléau climatique ignoré ?

    L’aviation privée : un fléau climatique ignoré ?

    private jonasson
    Niklas Jonasson

    Les émissions de CO2 de l’aviation privée ont bondi de 46% entre 2019 et 2023, selon une étude publiée dans la revue “Communications Earth & Environment”. Bien que cette part reste marginale à l’échelle mondiale, les experts soulignent un impact croissant sans mesures de régulation. À titre de comparaison, cette niche est responsable de 1,7 à 1,8% de l’empreinte carbone totale de l’aviation commerciale.

    Un loisir de luxe

    L’étude révèle que l’utilisation des jets privés est souvent saisonnière et axée sur les loisirs des ultra-riches. “Il y a une pointe estivale évidente“, notent les chercheurs, avec des vols fréquents vers les Baléares et la Côte d’Azur. Des centaines de jets ont aussi été utilisés pour des événements tels que le Super Bowl, le festival de Cannes, ou encore la COP28 à Dubaï.

    Une taxation discutée

    Face à cette situation, le gouvernement français propose d’alourdir la taxation des passagers des jets privés dans le budget 2025. Cette mesure est évidemment décriée par le secteur de l’aviation d’affaires qui insistent sur le fait que ces appareils sont nécessaires pour le transport médical et les déplacements professionnels. Certains chercheurs concluent que la croissance rapide de l’aviation privée pourrait annuler les gains de consommation réalisés par des avions moins gourmands.

  • France : un site pour… louer un étang !

    France : un site pour… louer un étang !

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    jason pixabay

    C’est dans ce contexte que Rentalake, surnommée “l’Airbnb des étangs“, a lancé ses premières réservations cet été. La plateforme française permet de louer un plan d’eau – lac, étang, ou même rivière – pour quelques heures, une journée, voire plusieurs jours.

    Une expérience sur-mesure en pleine nature

    L’objectif ? Offrir la possibilité de se baigner, pêcher, camper ou profiter d’activités nautiques en pleine nature. Certains lieux proposent même un hébergement insolite, comme une cabane ou un chalet. Avec des superficies allant de 2.000 mètres carrés à 30 hectares, l’offre est plutôt variée !

    Combien ça coûte ?

    Les prix varient en fonction de la taille et des services proposés. Comptez entre 30 et 900 euros. Par exemple, un étang de 0,8 hectares en Charente est à 72 euros la journée, tandis qu’un lac de 17 hectares près de Bordeaux atteint 468 euros. Les créateurs de Rentalake espèrent atteindre 300 annonces d’ici la fin de l’année.

  • Découvrez nos dernières destinations « Le Soir Voyage » !

    Découvrez nos dernières destinations « Le Soir Voyage » !

    le soir voyage
    le soir voyage

    L’air se rafraichit, les feuilles tombent et les premières gelées pointent sur le sol : un temps propice à la rêverie, à des climats plus cléments et à de magnifiques destinations pleines de découvertes et de rencontres ! Et c’est précisément ce que nous vous proposons : d’un circuit à travers la Toscane et les Cinq Terres au festival d’Aix-en-Provence, en passant par le Monténégro, le choix est vaste !

    Vous avez une attirance pour l’eau ?

    Nous aussi : ne manquez pas nos croisières à la découverte des plus belles îles croates, de l’Islande voire encore vers la Grèce à bord du somptueux voilier Star Clipper.

    Vous préférez des destinations plus exotiques ?

    Nous avons de multiples destinations en Asie, en Afrique, dans les Caraïbes, en Amérique et même en Océanie ! Pour les découvrir, il vous suffit de les parcourir via la liseuse ci-dessous.

    Lire le supplément Le Soir Voyage

  • Des vols « low-cost » vers l’espace d’ici 2027 ?

    Des vols « low-cost » vers l’espace d’ici 2027 ?

    space
    cosmic timetraveler

    Deep Blue Aerospace, l’une des entreprises pionnières dans le secteur spatial commercial en Chine, a lancé la vente de deux billets pour un vol spatial suborbital prévu en 2027. Chaque ticket est proposé à 1,5 million de yuans, soit environ 195.000 euros. Un prix qui reste évidemment astronomique dans l’absolu, surtout si l’on considère qu’il permet de vivre à peine 5 minutes d’apesanteur, mais qui est très compétitif dans ce secteur de niche.

    Le vol proposé par Deep Blue Aerospace sera suborbital : les passagers atteindront l’espace pour un séjour de 12 minutes, mais ne seront pas placés en orbite. En mai, la société CAS Space avait déjà annoncé qu’elle proposerait des vols similaires en 2028, confirmant l’intérêt croissant pour le tourisme spatial en Chine.

    Et pourquoi pas la Lune ?

    La Chine continue de viser haut, avec des projets d’envergure tels que l’envoi d’astronautes sur la Lune d’ici 2030 et la construction d’une base lunaire. Elon Musk, à la tête de SpaceX, a-t-il du souci à se faire ?