Chamonix, célèbre pour sa station de ski, ses paysages à couper le souffle et son ambiance unique, prend un virage audacieux pour préserver son authenticité. Avec 70% de résidences secondaires, la station veut redonner la priorité aux habitants et travailleurs locaux en limitant fortement les nouvelles constructions dédiées aux résidences de villégiature : plus aucune construction neuve dédiée aux résidences secondaires ne sera autorisée dans la station française !
Les projets hôteliers de grande envergure, c’est fini ! Seuls les hôtels de petite taille pourront s’agrandir légèrement. L’objectif ? Préserver l’âme de Chamonix et surtout, contenir l’envolée des prix pour les locaux.
En effet, le droit d’entrée passe de 12 à 24 euros (4 000 yens) pour accéder au sentier Yoshida, l’itinéraire le plus populaire. Et cette fois, les autres chemins – jusqu’alors gratuits – seront aussi concernés. Une première pour la préfecture de Shizuoka, qui applique désormais le même tarif.
Limiter l’affluence pour protéger le site
Le mont Fuji attire chaque année des milliers de randonneurs en seulement deux mois d’été. Résultat ? Surfréquentation, insécurité et impact environnemental préoccupent les autorités. En 2024, le nombre de grimpeurs a chuté à 204.316 contre 221.322 en 2023. Une tendance que les nouvelles restrictions pourraient (et voudraient) accentuer.
“Aucune autre montagne au Japon n’attire autant de monde en un peu plus de deux mois. Certaines restrictions sont donc nécessaires pour assurer la sécurité“, explique Natsuko Sodeyama, responsable de la région de Shizuoka.
Tourisme de masse : le Japon serre la vis
Avec un afflux record de touristes en 2024 (36,8 millions), le Japon tente de mieux encadrer la fréquentation de ses sites emblématiques. Kyoto et d’autres destinations souffrent de la même problématique. L’objectif : éviter que la montagne sacrée ne devienne une simple attraction surpeuplée… et préserver son charme mystique.
On savait que voyager, c’est manger, mais qui aurait parié que La Nouvelle-Orléans détrônerait les grandes capitales gastronomiques ? Selon Time Out, la ville de Louisiane est la meilleure destination culinaire du monde en 2025 ! Avec son mélange d’influences françaises, espagnoles, africaines et vietnamiennes, elle semble avoir rallié tous les suffrages !
Derrière, Bangkok et sa street food imbattable prennent la seconde place, suivies par Medellín, qui prouve que la Colombie, ce n’est pas que du café !
Top 10 des villes où l’on mange le mieux !
1. La Nouvelle-Orléans (États-Unis) – Gumbo, jambalaya et fusion culinaire incroyable. 2. Bangkok (Thaïlande) – Du Michelin au trottoir, le paradis des saveurs. 3. Medellín (Colombie) – Une scène culinaire en pleine effervescence. 4. Le Cap (Afrique du Sud) – Poissons frais et cuisine métissée. 5. Madrid (Espagne) – Tapas et créativité à l’espagnole. 6. Mexico (Mexique) – L’épicentre du taco et de la tequila. 7. Lagos (Nigeria) – Riz jollof et suya, le goût de l’Afrique de l’Ouest. 8. Shanghai (Chine) – Traditions millénaires et audace culinaire. 9. Paris (France) – Toujours une référence, mais moins surprenante. 10. Jakarta (Indonésie) – Rendang et autres délices indonésiens.
Mini-Europe s’agrandit ! Le parc bruxellois dédié aux maquettes des monuments européens a inauguré deux nouvelles pépites : le Palais sur l’île (Palais Lazienki) et le Monument de Chopin, tous deux issus de la capitale polonaise, Varsovie.
Ces maquettes, fidèlement reproduites au 1/25, viennent étoffer l’espace polonais qui comptait déjà la Cour d’Arthus et le Monument des trois croix de Gdansk, présents depuis 2004, année où la Pologne a rejoint l’Union européenne.
🎹 L’art polonais à l’honneur
Le Palais Lazienki et le Monument de Chopin ne sont pas là par hasard. Ces deux trésors se situent dans le Parc Lazienki, le plus grand parc de Varsovie, véritable écrin de verdure qui respire la culture et l’histoire polonaise. Comme l’explique Vincianne Meeus, administratrice-déléguée de Mini-Europe : « On essaie vraiment de mettre en avant ce qui rassemble les Européens […] on a une histoire, une culture, des héritages communs et que tous les pays finalement se sont mélangés et influencés l’un l’autre. »
L’inauguration de ces nouvelles maquettes intervient alors que la Pologne préside le Conseil de l’Union européenne. Pour Philippe Close, bourgmestre de Bruxelles, c’est aussi l’occasion de saluer le rôle essentiel de la Pologne dans l’aide humanitaire en Ukraine. « La guerre en Ukraine nous rappelle l’importance d’être unis. […] C’est aussi l’occasion de donner envie d’aller découvrir la Pologne, un pays que peut-être peu de gens connaissent, mais qui a un vrai intérêt architectural, culturel et aussi sociétal. »
Brussels Airlines a révélé son tout nouvel avion thématique, et pas des moindres ! Un de ses Airbus A320 est désormais décoré de motifs inspirés de l’Atomium, le célèbre édifice bruxellois qui attire chaque année des centaines de milliers de visiteurs. Cette décoration unique a été choisie grâce à un concours ayant recueilli plus de 900 propositions. L’architecte Thomas Faes a remporté la mise avec son design hommage à l’Atomium, un monument qui le fascine depuis l’enfance. À bord, les passagers pourront profiter d’un intérieur décoré de photos et croquis retraçant l’histoire de l’Atomium.
Brussels Airlines
« Le mariage parfait de deux icônes belges »
Pour la CEO de la compagnie, Dorothea von Boxberg, le choix s’imposait : « C’était un choix difficile mais finalement, je trouve que cela s’impose de façon évidente. » D’ailleurs, elle rappelle que les neuf boules de l’Atomium sont déjà subtilement représentées dans le logo de Brussels Airlines.
Brussels Airlines
Du côté de l’Atomium, Julie Almau Gonzalez, directrice générale, parle d’une collaboration réussie : « L’avion Atomium va permettre de rendre le monument visible dans de nombreux pays, peut-être même pour des gens qui n’auront jamais l’occasion de visiter la Belgique. »
Brussels Airlines
Et de 4 !
Il s’agit du quatrième avion thématique de Brussels Airlines, après le Rackham (Tintin), l’Amare (Tomorrowland) et le Trident (Diables rouges et Red Flames). Et ce n’est pas fini, un cinquième modèle est prévu pour novembre.
Brussels Airlines
L’Atomium, une inspiration inépuisable
Construit en 1958 pour l’Expo universelle de Bruxelles, l’Atomium représente un cristal élémentaire de fer agrandi 165 milliards de fois. Un monument qui, en 2024, a attiré plus de 844.000 visiteurs, un record !
Avis aux amateurs de châteaux et d’histoire ! Le Château d’Ooidonk, situé à Deinze, à seulement 20 minutes de Gand, rouvrira ses portes au public à partir du 1er avril. Cette bâtisse majestueuse, érigée à la fin du XVIe siècle, charme par son architecture hispano-flamande de la Renaissance. Tours à bulbes, pignons emblématiques, douves paisibles… Un cadre digne d’un conte de fées !
Un passé mouvementé
Ancienne demeure des Seigneurs de Nevele, le Château d’Ooidonk n’a pas toujours eu la vie paisible qu’il dégage aujourd’hui. Détruit deux fois durant les guerres de religion du XVIe siècle, il fut reconstruit par Maarten della Faille, un notable d’Anvers qui lui insuffla un style Renaissance raffiné, tout en lui conservant son caractère résidentiel. Malgré plusieurs restaurations, le château a su préserver son charme d’antan.
Infos pratiques pour les visiteurs
Le château est accessible du 1er avril au 1er novembre, les dimanches et jours fériés, de 14h à 17h30. En juillet et août, il est également ouvert les samedis. Les visites guidées se déroulent en deux sessions : 14h15 et 16h15. Pas de visite libre, car le château est toujours habité.
Tarifs :
Château : 12 € pour les adultes, 4 € pour les enfants jusqu’à 12 ans.
Jardins : 3 € pour les adultes, 1 € pour les enfants.
Les jardins sont ouverts du mardi après-midi au dimanche, de 9h30 à 18h00 (fermés le lundi et mardi matin).
C’est une petite révolution dans le monde de l’immobilier belge à l’étranger. Après des années de domination, la France cède sa couronne à l’Espagne en tant que destination préférée des Belges pour une résidence secondaire. Selon des chiffres du SPF Finances relayés par Het Laatste Nieuws, 70.620 Belges possèdent désormais un bien en Espagne, contre 70.398 en France.
Pourquoi l’Espagne séduit-elle autant ?
Plusieurs raisons expliquent cet engouement. D’abord, le coût de la vie y est plus attractif, tout comme les prix de l’immobilier, souvent plus abordables qu’en France. Ensuite, l’Espagne offre un climat ensoleillé toute l’année, un argument de poids pour ceux qui fuient la grisaille. Et enfin, la fiscalité espagnole est perçue comme plus avantageuse que celle de l’Hexagone.
Un top 10 aux destinations variées
Derrière l’Espagne et la France, on retrouve d’autres pays qui séduisent les Belges :
Italie (29.329 propriétaires belges)
Pays-Bas (14.101)
Portugal (9.795)
Grèce (5.906)
Des destinations plus surprenantes comme l’Inde (1.110), les États-Unis (1.048) ou encore la Bulgarie (821) complètent le classement.
Un phénomène qui va s’accentuer ?
Avec un marché immobilier espagnol toujours attractif et une demande croissante, il y a fort à parier que cette tendance se confirme dans les années à venir.
Lancé en grande pompe, le train de nuit Nightjet promettait une liaison confortable entre les capitales belge et allemande en 13 heures et 38 minutes, à raison de trois départs par semaine. Mieux encore, ÖBB, la compagnie ferroviaire autrichienne derrière ce service, avait même prévu d’augmenter la fréquence des trajets à un départ quotidien dès l’automne 2024. Mais les promesses sont restées à quai.
Un embouteillage nocturne fatal ?
En raison d’une modification des jours de départ, le Nightjet s’est retrouvé en concurrence directe avec le Good Night Train d’European Sleeper. Résultat : deux trains partant le même jour, avec seulement 20 minutes d’écart. Un duel ferroviaire qui a visiblement pesé dans la balance, poussant ÖBB à jeter l’éponge.
Une fin précipitée après des perturbations
Ce n’est pas la première embûche sur les rails du Nightjet : la ligne avait déjà été interrompue entre août et octobre 2023 pour cause de travaux. Cette fois, c’est une suppression définitive.
Que reste-t-il pour les voyageurs ?
Les adeptes du train de nuit pourront toujours compter sur :
🚆 Le Nightjet Vienne-Bruxelles, qui continue d’opérer.
🌙 Le Good Night Train d’European Sleeper, toujours en service sur Bruxelles-Berlin.
Le SPF Affaires étrangères belge envisage d’adapter ses recommandations pour les voyageurs se rendant aux États-Unis. Cette décision fait suite au “renforcement général des contrôles aux frontières” mais également à l’évolution de la situation pour les personnes LGBTQI+. Une information confirmée par le SPF et relayée par Het Nieuwsblad ce mardi.
Une préoccupation grandissante
Pourquoi cette mise à jour ? Parce que l’attitude envers la communauté LGBTQI+ varie d’un État américain à l’autre. Des voyageurs européens, notamment allemands, ont même été détenus à la frontière américaine, poussant l’Allemagne à modifier ses propres conseils de voyage.
La Belgique souhaite s’aligner sur les démarches récentes de la Finlande et du Danemark. Le but ? Garantir une certaine cohérence au sein de l’UE en matière de recommandations pour les personnes LGBTQI+.
Que prévoit cette adaptation ?
Pour l’instant, rien n’est officiel. Le projet est toujours en cours, mais il est clair que le SPF Affaires étrangères souhaite alerter sur les éventuelles difficultés rencontrées par les voyageurs LGBTQI+ en fonction de l’État américain visité. D’ailleurs, le site officiel du ministère indique déjà que la situation est suivie de près par l’ambassade belge et ses consulats sur place.
Nous vous en faisions part il y a peu, l’autorisation de voyage électronique (ETA) est désormais indispensable pour franchir la frontière britannique. Mauvaise nouvelle, si son prix est actuellement fixé à 10 livres sterling (environ 12 euros), l’ETA coûtera 16 livres sterling (19 euros) dès le 9 avril.
Pourquoi cette augmentation de plus de 60 % ? Selon Visas News, l’objectif est de « réduire la dépendance du système migratoire et des frontières vis-à-vis du financement public ». En d’autres termes, l’Angleterre souhaite que les touristes financent eux-mêmes leur passage.
Rappel utile : l’ETA est valable deux ans. Cependant, si votre passeport expire avant, il faudra en refaire la demande… et donc repayer.
Qui est concerné par l’ETA ?
Toute personne se rendant au Royaume-Uni pour une durée maximale de six mois doit se munir de cette autorisation, qu’il s’agisse d’un séjour touristique, professionnel ou d’une simple escale. Seules certaines situations spécifiques permettent d’éviter cette démarche.