Son tort ? Porter exactement le même nom qu’un autre Roumain, condamné pour vol aggravé et recherché par la justice italienne. Emmené directement en prison à Pordenone, Ovidiu y restera presque un mois. À sa sortie, il résume : “Le cauchemar est terminé” (Corriere del Veneto).
Une bataille administrative kafkaïenne
Il a fallu que l’avocat fouille les archives judiciaires, car les systèmes informatiques des différentes autorités ne communiquent pas entre eux. Résultat : des semaines à prouver qu’il n’était pas l’homme condamné en… 2014, avec une peine confirmée en 2020.
Libéré, Ovidiu a choisi de ne pas fuir immédiatement l’Italie. Lui et sa famille vont prolonger encore un peu leur séjour, histoire de finir ces vacances mouvementées sur une note plus douce.
